Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: nanou

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 9 capitoli

Pubblicato: 22-02-06

Ultimo aggiornamento: 15-09-08

 

Commenti: 122 reviews

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General

 

Riassunto: Tout va mal chez City Hunter, faute de clients et la relation entre les deux partenaires n'est pas au beau fixe. Mais fort heureusement Ryô va trouver du travail, et quel travail!

 

Disclaimer: Les personnages de "Le feu ça brûle!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I'm almost 18. Can I get access to the NC-17 section?

 

No. Legally, you are not major, before you are 18 years old. I don't care if it's in a day or a week. Make your request when you are actually 18.

 

 

   Fanfiction :: Le feu ça brûle!

 

Capitolo 2 :: Un espoir à l'horizon....

Pubblicato: 24-02-06 - Ultimo aggiornamento: 24-02-06

Commenti: Salut à tous! Me revoilà pour un nouveau chapitre. Je remercie infiniment Maruku, le Bougnat de Lutèce pour ses conseils sur le chapitre précédent. Merci à tous les reviewers, Mini, Chibi, Oceane28, Tam, Saintoise, Laur_e, Eden, Maruku, Lolo, Black, le fermier de Brest (Merci à toi pour avoir relevé ma vilaine faute!), Kaoridu95, ma répétitrice, mon chat, ma Bougnate, Lovely, Myriam et Pitite. Biz et bonne lecture. Votre star intergalactique.

 


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Pendant ce temps, Ryô revenait à l’appartement ; ça ne servait à rien d’éviter Kaori. La veille, il avait dormi sur la banquette d’un des ses bars favoris. Une des hôtesses lui avait proposé de dormir chez elle mais il la trouvait trop entreprenante à son goût. Pour couronner le tout, l’image d’une Kaori brandissant une énorme massue le dissuada totalement !  

 

Il n’avait rien mangé depuis le matin, son estomac gargouillait affreusement et il ne savait pas s’il y avait encore quelque chose dans le frigo. Il fit craquer ses articulations parce que la banquette du bar n’était pas des plus confortables !  

 

Il se frotta le menton qui avait pris un aspect rugueux. Deux jours sans se raser, mais c’est qu’il y avait du laisser-aller ! Qu’allait-il faire s’il croisait une jeune et jolie fille en chemin ? Bah, son charme naturel agirait quand même ! Un petit sourire aux lèvres, il reprit sa route…  

 

Soudain, une affichette attira son attention. Sur un fond rouge vif, des caractères en lettres noirs. Il se rapprocha, pensant trouver la pub d’un nouveau cabaret mais ce n’était qu’une pub pour la caserne de la ville ! Il allait partir quand un mot fit tilt dans son esprit : recrutement !  

 

Il lut le prospectus en entier. « Vous êtes fort, vous êtes dynamique, vous aimez rendre service, venez vous joindre à notre équipe, la BSPS (NDA : Brigade des Sapeurs Pompiers de Shinjuku) a besoin de vous ! Bonne condition physique demandée. Horaires variables. Bonne rémunération. Veuillez contacter…  

 

Ryô fut surtout attiré par les derniers mots. « Bonne rémunération, ça veut dire bon manger, sorties au Kabuki-cho, belles hôtesses, le pied quoi ! » pensa t-il. Il se dit aussi que Kaori ne lui ferait plus de reproches, il ne subirait plus de coups de massues, enfin peut-être pas !  

 

Avant de rentrer il se décida à aller faire un tour à la caserne. Il poussa la grande porte cochère. Ses chaussures crissèrent sous le gravillon de la cour ; Une statuette en bronze montrant un pompier en pleine action ornait le milieu. Il se retrouva ensuite devant une porte vitrée à travers laquelle il vit une superbe jeune femme aux cheveux bruns et aux longues jambes fuselées qui sortaient de sous son bureau. Mokkori en avant, bave aux lèvres, il se colla contre la vitre.  

 

La jeune femme leva les yeux et poussa un petit cri en le voyant. Sans plus attendre, elle prit son téléphone et appela la sécurité malgré les grands gestes désespérés de Ryô. Deux pompiers bien costauds le soulevèrent et entreprirent de le mettre dehors. Il se retint à un pan du mur et essaya de leur faire comprendre qu’il venait suite à l’annonce. Les deux hommes le lâchèrent et le laissèrent entrer dans le bureau.  

 

Cette dernière daigna ouvrir en actionnant la porte par un bouton sous son bureau. Elle le détailla de la tête aux pieds en baissant ses lunettes.  

 

- Que puis-je pour vous ? Vous savez que nous n’accueillons pas les sans-abri ici ! dit-elle sèchement.  

- Mais non mademoiselle, je ne suis pas un sans-abri !!  

 

Il est vrai que l’aspect de Ryô ne donnait pas à penser qu’il venait pour travailler ! Une barbe de deux jours, des vêtements froissés, des cheveux hirsutes. Qui aurait cru que sous ces dehors peu avenants se trouvait le nettoyeur le plus craint du Japon ?  

 

- Que voulez- vous donc ? dit la secrétaire en tapant du pied, montrant son agacement d’être dérangé par Ryô.  

- Hum…en fait, je venais pour l’annonce…  

- L’annonce ? Vous êtes sûr ?  

 

Une nuée de corbeaux passa au dessus de Ryô avec la banderole « Ca craint ! »  

 

- Oui oui, je viens de la voir dans la rue et je suis venu aussitôt, la place est toujours vacante, non ?  

- En effet, mais….  

- Mais quoi, je ne fais pas l’affaire ?  

 

Quelque peu vexé, Ryô enleva sa veste et son t-shirt. La secrétaire put admirer les biceps saillants et les abdominaux du nettoyeur. Elle déglutit un peu. En le regardant plus attentivement, elle comprit qu’il était loin d’être un sans-abri, il avait même beaucoup de charme !  

 

« C’est vrai qu’il est pas mal du tout…. » pensa t-elle. Une brusque chaleur l’envahit. Elle voulait caresser cette peau couverte de cicatrices.  

 

Le rose aux joues, elle se prit à penser qu’il était peut-être célibataire. Ryô se rendit compte qu’elle n’était pas indifférente à son charme. Il en joua un peu.  

 

- Alors, vous pensez toujours que je ne fais pas l’affaire ? dit-il en se rapprochant du bureau et en bombant le torse.  

- Heu…si…, dit-elle d’une toute petite voix.  

- Comment ? Je vous entends pas bien ! dit-il en se penchant en avant.  

- Vous…vous êtes… dit-elle, soudain très embarrassée.  

- Alors ? insista Ryô.  

- Vous….faites très bien l’affaire, lâcha t-elle dans un souffle.  

- Je m’en doutais un peu, dit-il en la dévorant du regard. Ca veut dire que je suis engagé ?  

- Hum…pas encore, il faut l’accord du capitaine, dit-elle, toujours aussi troublée.  

- Et où est ce qu’il est ce capitaine ?  

- Vous ne pourrez le voir que demain, c’est son jour de congé aujourd’hui….je vais vous noter un rendez-vous pour demain…  

- Et si je suis pris, qu’est ce que je devrais faire au juste ?  

 

Elle tomba à la renverse devant la question du nettoyeur.  

 

- Ben quoi ? Qu’est ce qu’il y a ? J’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ?  

- Enfin, vous savez bien en quoi consiste le boulot d’un pompier ?!!  

- Ah oui, il éteint les incendies, c’est tout ce que je dois faire ?  

- Hum…je crois que le capitaine sera à même de vous renseigner sur le métier de pompier ! dit la jeune femme, désespérée par cet homme, dont le QI contrastait grandement avec sa plastique irréprochable !  

- Heu…et c’est bien payé ?  

- Ca dépend, au bas de l’échelle, ça commence à 200 000 yens.  

- 200 000 yens !  

- Vous pensez que j’ai une chance d’être pris, je n’ai aucune expérience dans le domaine…  

- Vous vous êtes présenté comme volontaire et c’est tout à votre honneur ! Nous avons besoin de personnel, je pense que vous avez de grandes chances d’être pris, dit la jeune femme, alors que son regard se promenait sur le torse puissant de Ryô.  

 

Il reprit son sérieux et se rhabilla. La secrétaire le regarda en soupirant ; elle aurait bien voulu qu’il reste encore un peu dans cette tenue !  

 

- Vous voulez que je vous mette à quelle heure pour l’entretien ?  

- Alors dans l’après-midi parce que je ne suis pas du matin !  

- Heu, je vous signale à titre informatif que si vous êtes pris, on peut vous appeler à toute heure !  

- Ah oui, hum…mettez moi là où il y a de la place….  

 

Elle consulta son agenda et le nota à onze heures.  

 

- Je mets quel nom ?  

- Saeba, Ryô Saeba…puis- je connaître votre prénom mademoiselle? dit Ryô en s’installant sur le bureau de la jeune femme.  

- Heu…Madoka…  

- Hé bien, j’ai été ravie de faire votre connaissance Madoka, j’espère que nous serons amenés à nous voir souvent, dit-il en lui faisant le baise-main.  

- Sûrement…dit-elle, troublée par la proximité de Ryô.  

- Alors à demain Madoka…dit-il en se levant.  

- A demain monsieur Saeba….  

- Appelez moi Ryô voyons, dit-il en faisant un clin d’œil.  

- A demain Ryô, murmura t-elle.  

 

Il lâcha la main de la secrétaire et partit sans se retourner.  

 

Elle resta un moment debout à le regarder partir. Elle rougit au souvenir de Ryô, torse nu.  

 

« Ah Ryô, j’espère que vous serez pris, en tout cas je ferais tout ce que pourrais pour que vous le soyez! »  

 

Elle caressa sa main à l’endroit même où Ryô l’avait embrassé et y déposa ses lèvres.  

 

 

 

 


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