Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: nanou

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 9 capitoli

Pubblicato: 22-02-06

Ultimo aggiornamento: 15-09-08

 

Commenti: 122 reviews

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General

 

Riassunto: Tout va mal chez City Hunter, faute de clients et la relation entre les deux partenaires n'est pas au beau fixe. Mais fort heureusement Ryô va trouver du travail, et quel travail!

 

Disclaimer: Les personnages de "Le feu ça brûle!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Le feu ça brûle!

 

Capitolo 5 :: Examen de passage

Pubblicato: 15-09-06 - Ultimo aggiornamento: 15-09-06

Commenti: Salut tout le monde! Tout d'abord merci à tous ceux qui m'ont laissé un message sur le tag ou dans ma boite mail, ça me touche énormément! C'est vrai que je n'ai pas majé cette fic depuis longtemps mais je vais essayer de merattraper, c'est promis! Merci encore aux reviewers. Biz et bonne lecture. Votre star intergalactique

 


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Ryô gara sa mini dans la cour de la caserne. Il se dirigea immédiatement au secrétariat. Là, Madoka l’accueillit avec un grand sourire. Elle portait un tailleur de couleur vert amande dont la jupe était plus courte que celle de la veille. Elle avait lâché ses cheveux qui tombaient en cascade sur ses épaules. Elle était vraiment magnifique. D’ailleurs elle était entourée par une dizaine de jeunes pompiers complètement subjugués par sa beauté et qui lui comptaient fleurette ! Ryô la dévorait des yeux, ce qui la fit rougir. Elle ne prêtait plus aucune attention aux hommes du feu à l’arrivée du nettoyeur.  

 

Ces derniers se retournèrent vers le nouvel arrivant et le dévisagèrent. Madoka fit les présentations. L’un des pompiers du nom de Masako, qui était un peu forte tête posa toutes sortes de questions à Ryô. Du même gabarit que Ryô, il voulait faire impression devant Madoka. Il serra la main de Ryô en essayant de lui faire mal. Finalement il cria pour que Ryô arrête de lui broyer la main !  

 

Furieux, il sortit en claquant la porte vitrée du bureau qui faillit se briser sous le choc. Se autres camarades souhaitèrent la bienvenue à Ryô. D’autres volontaires arrivèrent. Certains, plus timides que d’autres restèrent un peu à l’écart. L’un attira particulièrement l’attention de Ryô, un brun à lunettes qui ressemblait beaucoup à Hideyuki.  

 

Le téléphone sonna à ce moment, Madoka dit aux pompiers qu’un bâtiment était en feu dans le centre-ville et la sirène retentit dans toute la caserne. Les nouveaux venus furent un peu surpris par ce bruit. Aussitôt les pompiers qui traînaient encore dans le bureau de Madoka partirent en courant.  

 

Quelques minutes plus tard, le capitaine des pompiers vint à la rencontre de Ryô et des autres. C’était un homme grand, d’une cinquantaine d’années, le visage parsemé de rides et les cheveux poivre et sel. Son allure juvénile et athlétique prouvait qu’il avait dû avoir du succès après de la gente féminine dans sa jeunesse. Il fit une brève présentation de lui-même. Il s’appelait Saburô Wakamyia. Il était rentré dans cette caserne à l’âge de dix-huit ans et n’en avait plus bougé et c’était le métier qu’il voulait faire depuis tout petit. Il les salua chaleureusement et les emmena faire une visite des lieux avant de commencer les choses sérieuses.  

 

La caserne était immense. Ryô s’étonnait de voir qu’il y avait autant de profondeur dans le bâtiment. Il y avait deux garages, l’un pour les ambulances et l’autre pour les véhicules de service. Dans ce dernier, on pouvait admirer un véhicule de sécurité routière, celui qui permettait d’éteindre les gros incendies, ayant une contenance de 8000 litres, et un autre avec une échelle de 24 mètres.  

 

Un peu plus loin, il y avait un atelier pour réparer les véhicules, un vestiaire, une salle à manger et pour finir un gymnase. C’est là que le capitaine les réunit tous. Il n’était que dix, de toute taille et de tout gabarit.  

 

- Messieurs, tout d’abord je vous remercie de vous être présentés suite à notre annonce. Je crois que je n’ai pas besoin de vous dire en quoi consiste ce métier. Vous n’êtes pas venus faire une ballade de santé ! Chacun d’entre vous mettra sa vie en péril chaque jour pour venir en aide à autrui. Quand vous arrivez le matin, vous n’êtes pas sûr de repartir le soir !  

 

Il y eut des murmures dans le groupe. Le capitaine sourit.  

 

- Je suis peut-être un peu brusque mais c’est pour que vous compreniez que ça ne sera pas rose tous les jours, que vous verrez des choses qui vous marqueront à vie parfois…je ne veux pas vous dégoûter du métier dès le premier jour, vous pouvez encore partir…  

 

C’est alors qu’un jeune homme d’apparence chétive se leva et s’excusa avant de quitter le groupe.  

 

- Ça vaut mieux pour lui le pauvre bougre, il n’aurait pas tenu le coup longtemps ! dit-il en rigolant un peu. Bon les autres, on va passer aux choses sérieuses ! Je vais commencer par tester vos capacités physiques, indispensables pour un tel métier. Hum, vous allez me faire cinq fois le tour de la salle au pas de course !  

 

Aucun des hommes n’avait la tenue qu’il fallait pour courir mais ils s’exécutèrent. Ryô grommela un peu. « Si j’avais su, j’aurais mis quelque chose de plus confortable, quelle galère ! »  

 

Au bout de deux tours, deux hommes soufflaient comme des bœufs. Le capitaine leur demanda s’ils pensaient vraiment tenir le coup. Ils acquiescèrent mais tombèrent au 3ème tour. Ils déclarèrent forfait. Il n’en restait plus que sept. Ils finirent les tours restants sans problème.  

 

- Bien, c’est pas mal pour un début, maintenant vous allez monter aux cordes le plus vite possible et redescendrez aussi rapidement ! Allez, c’est parti !  

 

Là encore, un homme abandonna, car la corde lui brûlait les mains et qu’il allait avoir des cloques le lendemain ! Ils se retrouvaient à six. Ryô se fit remarquer par le Capitaine pour son agilité. La dernière fut une série de 50 pompes. Deux autres s’écroulèrent au bout de 20 pompes. Ils mirent de la mauvaise volonté à continuer, malgré les encouragements du Capitaine.  

 

Ils lui manquèrent même de respect. Le Capitaine se mit légèrement en colère et leur dit que les pompiers n’avaient pas besoin de fortes têtes dans leurs rangs. Ils étaient maintenant quatre.  

 

- Bon on va s’arrêter là. Messieurs, je m’aperçois que je m’étais trompé à votre sujet. Pourquoi êtes vous venus ? S’il y en a encore qui veulent partir, c’est maintenant ou jamais !  

 

Comme aucun des quatre ne bougeait, il réitéra sa question.  

 

- Alors je suppose que vous voulez continuer ? Bien, je crois que je vais arrêter de vous torturer pour le moment ! Je vais vous parler de la tenue du pompier.  

 

Il les emmena au vestiaire et leur montra les différents éléments qui allaient constituer leur tenue. La veste et le pantalon avec des bandes phosphoroscentes pour les voir à travers la fumée et aussi la nuit. Les rangers aux semelles en acier et aux bouts renforcés, un casque équipé d’une visière et d’une lampe, qui protégeait la nuque, ainsi qu’une cagoule de feu. Il y avait aussi les gants en kevlar qui protégeaient des coupures et du feu.  

 

- Et voici la dernière chose et pas la moindre, le bip, c’est avec ça qu’on peut vous vous contacter en cas d’urgence. Portez le toujours sur vous ! Bon, je crois que j’ai fait le tour de ce que je devais vous dire en groupe, maintenant je vais vous recevoir un par un dans mon bureau afin de mieux vous connaître.  

 

 

Les quatre qui restaient étaient Shijo, celui qui ressemblait à Hideyuki, Akio, Kinnao et Ryô. Chacun avait sa motivation pour devenir pompier. Akio, dont le père était un pompier avait toujours voulu exercer ce métier. A la mort de son père, mort héroïquement en voulant sauver des enfants, il s’était juré de lui faire honneur. Shijo ne pensait pas devenir pompier au départ mais en ayant eu la vie sauve grâce à l’un d’entre eux, il avait changé d’avis. Quant à Kinnao, le métier de pompier l’intéressait parce qu’il aimait le risque mais il se garderait bien de le dire au Capitaine ! Il avait une montée d’adrénaline chaque fois qu’il voyait les hommes du feu en action.  

 

Pour Ryô les motivations étaient bien différentes des autres, un manque cruel d’argent. Mais pouvait-il exercer un tel métier juste parce qu’il avait du mal à joindre les deux bouts en ce moment ? On ne pouvait pas faire semblant ici….  

« Mais quand j’ai entendu le capitaine parler de ce métier, j’ai eu envie de faire partie de cette équipe. Après tout, je protégeais les gens avant, là ce sera pareil sauf que….sauf que les jolies filles se feront plus rares, snif ! »  

 

Une libellule avec une pancarte « obsédé irrécupérable ! » passa au dessus de sa tête.  

 

Ryô fut reçu le dernier chez le Capitaine. Il avait déjà forte impression au supérieur par ses capacités physiques. L’homme était curieux de connaître le nettoyeur.  

 

- Alors monsieur Saeba, dites moi ce qui vous amène chez les pompiers ?  

- Hé bien je ne vais pas très original, je suis déjà dans la protection et donc…  

- La protection ? Comment ça ?  

- Hum… il m’arrive de rendre service à des gens, de les aider en cas de pépins…  

- Vous êtes en quelque sorte un détective, non ?  

- Hum…oui…  

- Intéressant…vous êtes sûr que ça ne va pas vous poser de problème ? Pour les horaires ?  

- Pour tout vous dire, j’aimerais bien un mi-temps, si possible….  

- Un mi-temps…. Ça peut se faire mais je ne peux pas vous garantir si ce sera le matin ou l’après-midi. Vous savez, nous les pompiers n’avons pas d’heure, nous sommes disponibles à tout moment !  

- Je le sais mais….  

- Je comprends votre point de vue, quelque part, vous êtes comme nous, vous aidez des gens, peut-être que vous mettez votre vie en péril….je sens que vous avez du potentiel mon garçon ! C’est d’accord !  

- Merci Capitaine ! cria presque Ryô.  

- Allons gardez votre énergie pour les combats contre le feu ! répondit le Capitaine en souriant.  

- Vous êtes originaire de Tokyo monsieur Saeba ?  

- Hum…je ne sais pas…dit Ryô, gêné.  

 

Il sentait que les questions allaient devenir embarrassantes…  

 

 

 


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