Capitolo 11 :: "Je n'en ai pas fini avec toi!"

Pubblicato: 30-07-06 - Ultimo aggiornamento: 30-07-06

Commenti: Un petit peu d'action prévu pour the next chapter (je m'entraine pour l'anglais avt d'aller o States!), so, voici le chapitre 11, City Hunter toujours coincé, ce chapitre est un peu plus long que les autres, c vrai, bref, bonne lecture! ^^

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Saeko sortit de la banque, seule.  

Elle venait de rejoindre ses troupes.  

- Inspecteur! Quelles sont leurs demandes?  

- Le déjeuner...  

Les officiers de police qui l'écoutaient restaient bouche bée. Un officier leva cependant la main pour prendre la parole.  

- Euh...c'est une blague? Demande-t-il d'une petite voix.  

- Non, ça n'a rien d'une blague...Soupira l'inspectrice. Leur chef est quelqu'un ne plaisante pas quand il s'agit de ses désirs. Elle a parlé de 3 hélicoptères mais elle a dit que ça ne pressait pas. J'ignore encore ce qu'elle veut mais je vous conseille de vous bouger et de trouver "ce qu'il y a de mieux", ou elle tuera un des otages. elle en a déjà blessé un par balle qui saigne abondamment! Allez!  

- Oui Inspecteur!! Dirent tous les officiers en même temps avant d'éxécuter l'ordre.  

Saeko s'appuya contre une voiture de police et soupira. Beaucoup de journalistes étaient prêts à tout pour l'interviewer.  

"Je ne serai pas prête d'oublier ce braquage moi..."  

*****************************  

- Je crois...que j'ai perdu. Reika, ou quelqu'un d'autre réussira peut-être là où j'ai échoué...  

Elle se redressa et prit une direction qu'elle ignorait encore. Ryô était resté immobile. Mais il revint de suite sur terre et saisit le poignet de sa partenaire.  

Celle-ci se retourna et essaya de lui faire lâcher prise.  

- Non! Ryô!  

- Kaori! Je n'en ai pas fini avec toi!  

Soudain, il sentit que plusieurs présences arrivaient dans leur direction.  

Il saisit alors plus fermement le poignée de Kaori et l'entraîna dans une pièce qu'il ne connaissait pas.  

Il ferma derrière lui et ordonna Kaori de se taire.  

Elle était énervée mais elle préférait rester muette.  

Ils s'étaient retrouvés dans une salle vide ressemblant à une salle de réunion avec une longue table et des sièges autour.  

Ryô était aux aguets. Il entendit quatres personnes marcher vite qui étaient suivit par deux autres personnes qui semblaient marcher doucement.  

"Dépéchez-vous sans un mot!" fit une grosse voix. Ryô eut alors une idée.  

Il ouvrit brusquement la porte et frappa le premier homme qui tomba inconscient.  

Le deuxième réagit alors au quart de tour et sortit son arme. Mais c'est sans compter sur la rapidité de Ryô qui le désarma avec un grand coup de pied et finit aussi par l'assomer.  

Les quatres personnes qui étaient devant restaient bouche bée devant la scène. Qui était donc cet homme?  

Ryô ne prétait pas attention à eux et prit le corps des deux personnes dans les vaps et les emmena avec lui dans la salle où se trouvait Kaori.  

Celle-ci avait pris un siège et regardait son partenaire poser les deux corps.  

- Qu'est-ce que tu m'as encore fait dis-moi? Lança-t-elle d'un air dubitatif.  

- J'ai chopé deux "fétards", ils vont être sonnéspour quelques heures mais j'aimerai que tu m'aides d'abord, j'ai un plan pour nous faire sortir d'ici...  

- Un plan tu dis? et le braquage? Saeko doit surement être dans le coup pour les arrêter non?  

- justement, elle va surement nous aider.Mais comme la "fête" se passe au rez-de-chaussée, on va tout faire pour y aller sans se faire voir.  

- Tu proposes quoi?  

- Déshabille-toi.  

Kaori piqua un far et lui asséna une massue "Répète un peu pour voir!" de 1500t.  

-Aïya, Kaori, calme-oti voyons, ce que je voulais dire c'est...  

Puis, il venait d'analyser sa phrase. Il avait déjà imaginer Kaori lui demander de faire ça dans ses rêves mais tout naturellement dans d'autres circonstances!  

"non, euh Kaori..."  

Celle-ci avait croisé les bras. Elle attendait.  

"Ce que je proposais, c'est qu'on se déshabille pour qu'on puisse prendre leur combinaison et leur cagoule afin de pouvoir se faire passer pour des braqueurs et infiltrer la bande..."  

Kaori venait enfin de comprendre. Elle se leva et se dirigea vers son partenaire et les deux hommes KO.  

- Et après?  

- Et après...on verra.  

Kaori en tomba à la renverse.  

- C'est ça que tu appelles un plan?! S'écria KAori qui n'en croyait toujours pas ses oreilles.  

- Chhuuuu!!! Qui sait s'il y en a d'autres et qu'ils vont entendre!!  

- Bon.  

- Aussi, j'ai laissé poirotter quatres otages là, je vais leur expliquer pendant que toi tu prépareras.  

- Bien.  

Ryô sortit de la salle. Il soupira.  

Il voulait vraiment en finir. La grave décision de Kaori avait sonné en lui comme une condamnation. Il maugrait contre cette histoire de braquage qui l'empêchait une fois de plus de reprendre sa conversation avec sa partenaire. Ce qu'il espèrait, c'est pouvoir la faire changer d'avis.  

il se dirigea vers les quatres otages.  

- Bonjour! dit-il avec un sourire niais.  

Les trois hommes restaient immobiles, les yeux rivés sur cet inconnu. La femme lui répondit et sourit.  

Ryô reconnut la femme de l'accueil.  

- Ah! Vous êtes encore là! Demanda la jeune femme avec son sourire éclatant.  

- Euh...oui, comme vous pouvez le voir...Ya-t-il d'autres personnes comme vous dans les autres étages?  

- Et bien, répondit un homme, nous avons entendus qu'il y avait des salles prises d'assaut. Dedans, plusieurs de mes collègues.  

- Aussi, ajouta le deuxième homme, c'est parce que nous nous baladions dans les couloirs qu'on s'est fait prendre. On n'avait aucune idée de ce qui se passait après la coupure d'électricité. C'étaient les deux hommes armés qui n'ont tout expliqué et qui ont voulu nous emmener "rejoindre les autres" au rez-de-chaussée.  

- Les autres otages sont tous au rez-de-chaussée? Demanda une voix féminine.  

Les quatres employés regardèrent qui était la personne derrière l'homme.  

La femme portait une combinaison noire bouffante. Elle tenait une cagoule d'une main et une kalachnikov de l'autre.  

Ils furent surpris de voir une aussi belle femme dans la tenue des aggresseurs.  

Ryô s'était retourné. La voir dans une tenue bien trop grande pour elle, avec ses cheveux en batailles et ses quelques mèches rebelles lui cacher ses yeux le faisait sourire.  

Kaori souriait aussi mais au fond elle se moquait d'elle et de sa tenue. ça ne lui allait pas du tout!  

- Je vous présente Kaori, ma partenaire.  

Celle-ci s'était positionnée à côté de Ryô et en reconnaissant la femme de l'accueil, son sourire s'effaça presque.  

- Vous êtes...de la police? Demanda une des hommes.  

- Hum...des détectives privés. C'est un pur hasard si nous nous retrouvons ici, mais autant ne pas rester là à ne rien faire, n'est-ce pas? Fait Ryô en se tournant vers Kaori.  

Celle-ci défiait du regard la femme de l'accueil.  

- Je suis d'accord. Dit simplement Kaori. Va te changer, que tu me donnes des détails sur ce qu'on doit faire.  

Ryô avait senti la tension émaner de sa partenaire. Il préféra obéir en espérant que les deux femmes n'allaient pas se créper le chignon en son absence.  

(NdA: Ryô, tu t'y crois trop là...)  

Quand Ryô était retourné dans la salle où se trouvait les deux braqueurs, un lourd silence pesait dans le couloir.  

- Vous...vous vous en êtes déjà servi? Demanda un des hommes.  

- Oui. C'est un AK 105, kalachnikov fonctionnant avec des munitions de 5.42 mm! Dit Kaori en tenant fermement l'arme en main. Y a cinq type de kalachnikov sans compter les vieux modèles les plus rares tel que l' AK 47 ou 74M, et nous possédons un de chaque type à la maison...Ajouta Kaori.  

Tous les yeux étaient rivés sur elle. Celle-ci se rendit compte qu'elle venait de raconter plus ou moins les genre de "bijoux" qu'elle possèdait. Elle devint alors rouge écarlate.  

Ryô qui était dans la pièce d'à côté n'avait rien raté. il avait un grand sourire sur son visage.  

- Quand vous dites "nous", ajouta la standardiste, vous voulez dire que votre partenaire et vous vivez ensemble?  

Kaori la foudroya du regard. Non mais pour qui elle se prenait celle-là?  

- Je peux savoir de quoi je me mêle? Demanda alors la nettoyeuse avec un sourire crispé.  

C'est à ce moment que Ryô revint avec la même tenue que sa partenaire et la même arme. Il ne voulait vraiment pas que ça parte en cacahuètes entre elles(NdA: Pardonnez chers lecteurs mon expression mais je ne trouvais pas plus explicite)!  

- Bon, voilà ce qu'on va faire. J'aurai besoin de vous quatre aussi...Exposa alors Ryô. 

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