Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: Eliane

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 20 capitoli

Pubblicato: 22-07-06

Ultimo aggiornamento: 31-08-06

 

Commenti: 101 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: (rien à voir avec les trois autres! je vous préviens tout de suite!!) Donc ,voilà le résumé; prenez deux personnes qui ont beaucoup de choses sur le coeur, mettez dans une pièce close, et observez...

 

Disclaimer: Les personnages de "Coincés..." sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo. Yakusoku Jefferson et Kikuchi sont la propriété exclusive d'Eliane.

 

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   Fanfiction :: Coincés...

 

Capitolo 14 :: La première manche (1/2)

Pubblicato: 03-08-06 - Ultimo aggiornamento: 03-08-06

Commenti: Alala! début de l'action, cityHunter bouge enifn (un peu me direz-vous, mais c'est pas facile, je vous y verrai bien vous! )lol, je plaisante, c'est bien le genre de chose qui ne peut arriver qu'à Ryô et Kaori...Et oui, le karma surement... Enfin bref, à suivre, "La première manche, deuxième partie", je pars en fait demain pour un mariage qui se trouve dans la cambrousse, donc ma nouvelle maj sera surement seulement Samedi ou Dimanche, voilà pour la pub et bonne lecture! ^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20


 

Son regard se fit plus froid: " Il est 13h45. Top Chrono!"  

 

Un des gardes ouvrit la porte de la banque pour que Saeko puisse sortir et commencer la première manche.  

 

Saeko sortit en courant. Elle se doutait bien que la difficulté serait dans la sélection, et non dans la trouvailles des tenues. Et vingt minutes, qui sait si c'était trop juste?  

 

- Yakusoku!  

- Alors? Tu lui as dit que j'étais là?  

- Non, j'ai 20 minutes pour trouver 15 tenues noires avec cagoules assorties, retourner dans la banque et choisir les "bons" otages qui auront le privilège de les porter et donc de sortir sains et sauf. Mobilise tes hommes pour trouver ces tenues au plus vite; je veux avoir un maximum de temps pour terminer "la première manche"...  

Yakusoku retrouva son sérieux.  

 

- Cette Saya...Je sais qu'elle a fait 4 braquages de banque jusqu'ici, une fois, elle avait pris d'assaut un bâtiment de recherches scientifique. Personne ne sait encore ce qu'elle a bien pu prendre, et personne n'arrive à mettre la main dessus.  

A chacun d'entre eux, elle avait créee un jeu qui mettait en danger la vie de plusieurs otages, jeu auquel le négociateur n'avait d'autre choix que de participer.  

Elle se croit dans une emission télé, et quelque fois, il y a des imprévus. Les "aléas du direct" comme elle disait. C'est une spécialiste dans son genre...  

- Aurais-tu par hasarddes confidences à me faire, Yakusoku?  

Ce dernier soupira et sortit une cigarette.  

 

- J'ai été le négociateur lors d'un de ses braquages. Je l'ai suivi dans son jeu. J'ai été très intrigué par sa façon d'opérer. on n'a pas l'impression qu'elle a conscience que ce qu'elle fait est illégal. Justement parce qu'elle ne fait quasiment rien. On n'a pas réussi à mettre la main sur elle mais...  

- ...toi, tu aurais pu. Finit Saeko. Mais tu ne l'as pas fait.Pour des raisons sentimentales je présume...  

- C'est en effet pour ça. Je sais que c'est immorale d'avoir ce genre de relation et que...  

- Ca va Yaku. Tu n'as pas besoin de te justifier...C'est le passé tout ça...Et puis, toi même tu as dit que tu n'étais pas là pour des raisons personnelles alors...  

 

****************************  

 

Saeko venait tout juste de sortir en courant.  

Saya avait une craie en main. Elle commença à faire des dessins sur le sol. Les otages tremblaient. Ils la prennaient vraiment pour une tarée!  

Les autres braqueurs étaient impassibles. L'un sortit son portable et composa un numéro. Ryô et Kaori faisaient attention à tous les mouvements.  

 

- Bon, maintenant tu proposes quoi? Demanda Kaori en chuchotant.  

- Au sujet de? Demanda Ryô.  

Kaori faillit tomber à la renverse.  

- Idiot! tu sais très bien de quoi je parle! siffla cette dernière.  

- Malheureusement, nous sommes loin d'être les maîtres du jeu si je peux m'exprimer ainsi...Mais on peut aider Saeko à gagner la première manche.  

- Explique...  

- Toi et moi pouvons faire la différence entre les vrais et les faux otages. On peut le sentir...Dit-il en reniflant comme un chien.  

Une grosse goutte apparut derrière la tête de Kaori. Mais elle reconnut qu'il venait de marquer un point. Or, une question subsistait...  

 

- Ah oui? Et tu vas faire quoi? Lui souffler les réponses? Ironisa Kaori dans un souffle.  

- Oui!  

Des dizaines de points d'interrogations tombèrent sur le crâne de Kaori.  

 

Alors que Saya était inspirée artistiquement, elle perçut que deux braqueurs, un très grand et une plus petite étaient en train de parler sans se regarder.  

- Hé!  

Kaori sursauta. Ryô leva la tête vers Saya.  

- Je ne veux pas intervenir dans vos conversations amoureuses mais je suis en pleine inspiration, là!  

Une colonie de libellules traversèrent la salle.  

Kaori sentit ses joues se chauffer.  

- Mais...prononça-t-elle.  

Mais Ryô l'arrêta.  

 

Aparemment, Saya savait qu'il y avait un couple parmi les braqueurs. Ou alors, elle ne connaissait pas personnellement ses alliés, mais elle savait qu'il y avait une femme...C'était un bon point pour eux...  

 

- Taratata! Les autres sont encore en train de travailler là-haut, alors un peu de patience, d'après vous, pourquoi j'ai créee ce jeu?! Je fais tout pour ne pas m'ennuyer...Soupira Saya.  

City hunter remarqua alors qu'elle était perdue dans ses pensées. Etait-ce son vrai visage?  

Mais Saya se reprit très vite. Elle se leva et prit un ton autoritaire.  

- Les amoureux! Allez voir où en sont les autres au 9ème étage, et ensuite, vous me ferez un rapport de ce qui se passe!  

- Oui. Firent-ils en même temps en prenant les escaliers.  

 

********************  

 

- Quelle idée franchement de coincer exprès les ascenseurs! J'espère seulement qu'on ne va pas avoir à monter 15 étages! Se plaignait Kaori en arrivant au premier. Elle retira sa cagoule, ce qui lui donna une coupe de cheveux des plus terribles.  

Ryô dut se retenir de rire. Kaori sentit sa colère monter.  

- Je peux savoir ce qui te fait rire?!  

- Je crois que c'est l'électricité statique...Riait Ryô en désignant du doigt les cheveux de sa partenaire.  

Kaori rougit de honte en constatant l'état de ses cheveux.  

 

- Hé! Ca suffit maintenant! Et toi, ça donne quoi? Demanda Kaori d'un air sadique.  

- Euh...bah...bégaya comme un idiot Ryô.  

Elle lui arracha sa cagoule et explosa de rire en voyant les dégats.  

Ils riaient tellement qu'ils ne se rendirent pas compte qu'ils étaient déjà arrivés au 9 ème étage.  

Ils durent faire une pose pour reprendre leur souffle. Ils étaient dos à dos et prenaient appui l'un sur l'autre. ( NdA: Je les vois biens comme ça..)  

 

Ils émirent en même temps un soupir. Ils avaient vraiment hâte d'en finir avec ce braquage, et si ça ne tenait qu'à eux, ils auraient tout fait pour partir en douce - Même s'ils ne savent pas encore comment -, en laissant Saeko gérer ça toute seule. Mais là, c'était un coup du hasard, et ils ne voulaient pas la laisser tomber.  

En fait, la vraie raison était que maintenant que Saeko savait qu'ils étaient là, s'ils partaient maintenant, elle leur en voudrait toute sa vie, et ils auraient à subir tous les jours son courrou!  

 

- Nous y sommes. De ce que j'ai retenu, il y a deux braqueurs dans la salle des commandes au 15ème étage, deux braqueurs qui ont pris d'assaut une salle de conférence à cet étage et 4 autres qui surveillent les employés entre le 14ème et le 10ème étage. Dit Kaori en ouvrant la porte du 9ème étage.  

- Au Rez-de-chaussée, j'ai bien compté, il y a en effet 3 complices parmis les otages et parmis les braqueurs attitrés, sur 14 -sans nous compter- braqueurs en tenue, 2 ne sont que des pauvres innocents. Fait Ryô.  

- Tu proposes quoi? Nous ignorons encore quel sont leurs visages...  

- Pas besoin. nous allons les éliminer un à un...  

Ils se rapprochèrent de la salle de conférence. Kaori se tourna vivement vers son partenaire.  

- Quoi? Mais comment va réagir Saya si elle cherche à en contacter un?!  

- Elle ne le fera pas. Elle attend justement un appel d'eux confirmant que la transaction s'est bien passée, aussi, le jeu qu'elle a inventé a l'air de bien la passionner déjà, voilà qui est aussi un bon point pour nous.  

- Oui mais, elle pourrait très bien nous tirer dessus, comme elle l'a déjà fait avec l'autre type.  

- Kaori, quelle importance; elle ne l'a pas tué.  

- Quoi?  

- Sa balle n'avait pas une vitesse normale, même pour un petit revolver; c'est que les balles étaient à blanc, mais imagine un peu la réaction qu'ont eut tous ces otages en entendant le coup de feu, l'homme tomber, et la réaction de Saeko; elle en a forcément parlé à ses hommes et la presse ne tardera pas à le savoir, et donc "l'action" va s'accélerer dans très peu de temps. C'est pourquoi va falloir faire vite.  

- Mais c'est horrible de faire ça! Elle utilise ces otages à des fins psychologiques?  

- C'est exact, comme si elle les étudiait et notait leurs réactions. Un peu comme cette histoire de jeu. Elle veut observer les réactions en chaînes...  

- Ok, admettons, mais elle a dit que c'est pour passer le temps. moi je crois qu'elle a beau être brillante, cette femme a un...petit problème, si tu vois ce que je veux dire... Fait Kaori en faisant le geste d'un fou (NdA: Vous savez, avec sa main, son index, on fait des cercles à côté de sa tête...).  

 

Ryô sourit en la regardant. Il la trouvait vraiment craquante comme ça. il ne se rendit pas compte tout de suite que son regard s'était fait plus intense, mais les joues colorées de Kaori le mirent sur la voie.  

- Bon. Ok. On fait comme tu dis. Faut qu'on arrive avant que Saeko ne commence sa sélection.  

 

Ryô toqua quatre fois la porte de la salle.  

- Entrez!  

il ouvrit doucement la porte. Il vit une dizaine de personnes assises dans un coin dans la salle tandis qu'un des braqueurs les menaçait avec son fusil.  

Le deuxième s'approcha de Ryô. Kaori était restée dehors, un peu en retrait.  

- C'est pourquoi?  

- Le chef voulait savoir comment ça se passait de votre côté.  

Le braqueur voulut répondre mais Ryô sortit de la pièce, ce qui l'obligea à le suivre.  

Kaori qui était à côté lui donna un coup derrière la nuque. L'homme tomba comme une masse.  

 

En entendant le bruit, le premier braqueur releva la tête vers l'entrée.  

- Hé!  

Ryô entra. pendant ce temps, Kaori laissa glisser le corps jusqu'aux toilettes pour femmes.  

 

- Quoi?  

- Il est où l'autre? Demanda le braqueur.  

- Il a reçu un ordre du chef, comme quoi on échangeait les places.  

- Ah, ok.  

Il reprit sa place. Ryô jeta un regard sur une des otages et lui fit un clin d'oeil. La femme ne comprenait pas ce qui se passait...  

 

Kaori sortit des toilettes et jeta un bref coup d'oeil à la fenêtre. Elle pouvait reconnaitre Saeko qui s'impatientait.  

 

Ryô sortit de la salle. Kaori se tourna vers lui.  

- Alors?  

Derrière Ryô, tous les otages de la pièce sortirent.  

- Tu as été rapide..sourit Kaori.  

- Qui êtes-vous?  

- Disons que nous sommes là pour mettre fin à ce braquage. Répondit Kaori le sourire aux lèvres.  

Sourire qui rassura tous les otages.  

- Bon, Kaori, si tu me débarassais de l'autre type?  

- Hé! Je ne suis pas ta bonne! S'énerva Kaori qui était prête à sortir une de ses meilleures massues.  

- Non, non, je plaisantais allons! bégaya Ryô, je voulais juste que tu me dises où tu as mis l'autre pour qu'on puisse mettre en plus celui-ci!  

- Mouais...  

Les otages ne comprenaient alors vraiment pas ce qui se passait!  

- On peut faire quelque chose? Demanda un jeune homme.  

- faut dire que vous êtes un peu encerclés au dessus et en dessous je ne vous dis pas la galère...Soupira Ryô. Je sais, vous allez faire signe dehors, la police vous repèrera forcément.  

- Mais le plus prudent, c'est que la majorité d'entre vous retournent dans la salle de conférence. Tout devrait bien se passer désormais...Dit Kaoori avec uen voix rassurante.  

- Bon,ce n'est pas tout, mais faut retourner voir notre chef!  

 

***********************  

 

Dehors...  

- C'est le jeu le plus tordu qu'elle ait pu crée! s'exclama Yakusoku entouré de ses hommes.  

- Surement parce que cette banque est son plus gros braquage; elle doit jouer rusée pour trouver un moyen de s'enfuir.  

- Moi je crois surtout qu'elle vous fait perdre du temps. Dans cette banque, tout est informatisé non?  

- C'est exact.  

- Pas étonnant. Saya doit faire preuve de patience sur ce coup et elle s'amuse, comme d'habitude... As-tu pu évaluer le nombre de braqueurs qu'il y a dans les autres étages?  

- Non...  

Puis, elle se souvint que City Hunter était aussi présent et sourit.  

" Mais ça ne saurait tarder..."  

Yakusoku ne comprenait pas où elle voulait en venir...  

Un officier revint avec la commande.  

" Enfin, fait ce qu'il faut pour que tes hommes les plus discrêts intègrent l'immeuble par le toit, en tout cas, elle va finir par me tuer avec toutes ses commandes bizarre cette Saya Kikuchi, j'y vais. Il ne me reste que 10 minutes et 26 secondes. "  

Elle prit le sac et courut vers la banque.  

 

************************  

Kaori et Ryô étaient revenus et avaient fait le rapport à leur "chef".  

Saeko entra en courant avec le sac.  

Saya, toute souriante, se leva et prit les tenues.  

- Hum...Pas mal, vous avez trouvé des jolis trucs. C'est maintenant que les choses sérieuses commencent... Hé! Les amoureux!  

Kaori rougit et Ryô la fixa. C'était bien à eux qu'elle s'adressait...  

"Venez! Vous serez à vous deux l'Executeur du Jeu. Et moi je serai le Juge Suprême! "S'exclama Saya avec fierté.  

 

City hunter s'approcha alors de Saya, l'arme aux bras. Saeko et Kaori se jettèrent un bref regard.  

- Allez-y Saeko, il est 13h 52, vous avez jusqu'à cinq pour ne pas vous tromper plus de 2 fois! dit Saya en tapant des mains.  

Celle-ci se balada dans la salle et regardait attentivement les otages.  

- La jeune femme et son mari blessé. Dit-elle en premier.  

- Bien, plus que treize...Dit Saya en lui lançant 2 tenues. Elle s'adressa alors au couple.  

"Habillez-vous vite! Ceci est votre passeport de sortie..."  

 

 

 


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