Capitolo 21 :: Désir enfin exprimé

Pubblicato: 12-08-07 - Ultimo aggiornamento: 12-08-07

Commenti: Voilou un nouveau chap! je suis désolé de pas écrire plus vite mais j'ai pas trop le temps en ce moment. Ne lacher pas ma fic pour autant s'il vous plait snif je vais m'y remettre promis! bonne lecture bisou

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22

La jeune japonaise aux cheveux bleu nuit arriva enfin devant la porte de la maison des Makimura. Elle était encore essoufflée de sa course folle, ses joues rosies par le froid de l’air.  

Elle s’apprêta à frapper à la porte quand celle-ci s’ouvrit de volée, laissant apparaître devant elle un Hideyuki tout sourire.  

- Eh bien tu n’a pas l’air si malheureux que ça! Ironisa la jeune fille, je crois que je me suis dépêchée pour rien!  

- C’est le fait de te voir qui me rend heureux, déclara Hide en la saisissant par le poignet pour l’attirer à lui, à l’intérieur de la maison.  

Il referma la porte derrière elle.  

- Tu as froid? Demanda-t-il en caressant du pouce la joue fraîche de la japonaise.  

- Non, non…rougit-elle en baissant la tête; trouvant alors très intéressant la contemplation du bout de ses chaussures.  

Hideyuki lui releva le menton et plongea ses yeux dans les siens.  

- Merci d’être venue Saeko…. Tu peux pas savoir comme ça me fais du bien que tu sois là.  

La jeune fille vira à l’écrevisse.  

Hide se détacha d’elle, sentant son trouble, et lui fit un sourire charmeur.  

- Tu veux boire quelque chose?  

- Je veux bien un coca si tu as, répondit-elle un tantinet perturbée  

- Ok. Va t’asseoir dans la salle à manger, j‘arrive.  

Saeko obtempéra, connaissant par cœur cette maison où elle était déjà tant de fois venue.  

Mais jamais la nuitsongea-t-elle en souriant.  

Quelques minutes plus tard Hideyuki la rejoignit à la table du salon et posa devant elle un grand verre de Coca.  

- Madame est servie!  

Il s’assit à côté de la jeune fille.  

Celle-ci sirota goulûment sa boisson d’une traite, se rendant soudain compte que sa course à travers Shinjuku lui avait donné soif. Hideyuki, amusé et compatissant, poussa son verre vers elle.  

- Merci, murmura la jeune fille en s’en emparant.  

La morsure du soda glacé envahit sa poitrine et la fit frissonner.  

- Tu vois que tu as froid, la morigéna Hide  

- C’est le Coca, expliqua-t-elle en réprimant un second frisson.  

- Viens, je vais te réchauffer, proposa-t-il goguenard en lui faisant un clin d’œil.  

Saeko fronça les sourcils.  

Non mais j’ai bien l’impression qui se fou de moi là! Il va voir si je suis si prude que ça!  

- C’est très gentil, susurra-t-elle en s’approchant lentement de lui. Merci Hide.  

Elle s’assit sur ses genoux et plongea ses yeux bleus azur dans les siens.  

- Allez réchauffe-moi…  

Hideyuki déglutit avec difficulté.  

Ses yeux se posèrent sur les lèvres charnues et sensuelles de la jeune fille, puis glissèrent sur sa peau d’albâtre au grain parfait, jusqu’à sa poitrine généreuse, se soulevant au rythme de sa respiration.  

- C’est très dangereux ça…susurra-t-il d’une voie rauque.  

Saeko sourit, victorieuse. Faire de l’effet aux hommes n’était pas si dur que ça finalement. Elle prit de l’assurance et fit ce qu’elle avait eu envie de faire depuis leur rencontre il y a deux ans.  

Lentement elle approcha son visage de celui d’Hideyuki et posa timidement ses lèvres sur les siennes.  

A ce doux contact les deux corps s’enflamèrent, comme si ils libéraient enfin toute la tension sexuelle et l’amour qu’il avaient réprimé depuis trop longtemps.  

Hideyuki détacha sa bouche de celle de Saeko décidant de partir à découverte de ce corps tant désiré. La jeune fille sentit ses lèvres se poser dans son cou, alors que son corps appuyait toujours davantage contre le sien. La tête lui tourna, et elle dut s'accrocher à lui pour ne pas tomber.  

- Tout va bien ? demanda-t-il dans un souffle.  

La jeune femme n'eut pas le temps de répondre qu'elle sentit une main posée sur sa hanche, alors que la deuxième semblait s'intéresser davantage à sa poitrine. Saeko tenta de reprendre ses esprit. Une petite voix dans sa tête lui souffla qu’il valait mieux s’arrêter là. Il était bien plus sage pour elle de le repousser, et c'était exactement ce qu'elle s'apprêtait à faire lorsque les lèvres du japonais trouvèrent les siennes. Il l'embrassa avec une force presque animale, et ses doigts habiles s'étaient déjà attaqués aux premiers boutons de son chemisier. Rejetant ses craintes au plus profond de son esprit, Saeko lui rendit son baiser tout en glissant ses doigts sous le pull de coton qu'il portait à même la peau.. Hide écarta avec douceur la chemise et les bretelles du soutien-gorge de la jeune fille pour en dégager en partie ses seins qu'il couvrit avidement de ses mains. Le cœur de la lycéenne battait la chamade, et tandis qu'il s'appuyait encore davantage contre elle, elle put sentir à travers son pantalon son sexe déjà dur. Un frisson la parcourut, mais tout se passait trop rapidement pour qu'elle n'ait le temps de se poser de questions. Il happa un de ses tétons entre ses lèvres, et ses mains remontèrent rapidement sa jupe étroite jusqu'à sa taille. Elle n'en ressentait cependant pas moins l'impression que tout allait beaucoup trop rapidement. Mais elle était tout simplement incapable de lui demander de ralentir, les baisers qu'il lui prodiguait chassant peu à peu toute pensée raisonnable et cohérente de son esprit. Et lorsque la main du jeune homme se glissa sous l'étoffe de sa culotte en dentelle, elle se crut sur le point de défaillir. Les lèvres toujours rivées à ses seins il la leva et fit lentement glisser le sous-vêtement le long de ses jambes, puis se laissa tomber à genoux devant elle. Sa bouche quitta alors sa poitrine, et il commença à déposer de légers baisers sur ses chevilles, ses mollets, derrière ses genoux, à l'intérieur de ses cuisses… et lorsque ses lèvres atteignirent son sexe, elle ne parvint plus à tenir sur ses jambes plus longtemps et se laissa glisser lentement sur le sol. Cela ne fit qu'augmenter l'ardeur d‘ Hideyuki, et chacun de ses baisers firent bientôt naître dans ses reins des élancements d'une violence toujours plus forte, toujours plus délicieuse.  

Il se redressa légèrement, appuyant à nouveau ses lèvres sur celles de Saeko, tandis que la jeune fille s'attaquait frénétiquement à la ceinture de son jean. . La bouche d’Hide glissa avidement dans son cou, et elle l'entendit grogner de plaisir lorsque ses doigts effleurèrent son sexe gonflé. Elle baissa rapidement son pantalon, sans prendre la peine de le lui retirer complètement, puis sa main s'insinua à l'intérieur de son caleçon.  

- Saeko…, grogna-t-il tout en mordillant légèrement son oreille.  

Consciente du pouvoir qu'elle prenait sur lui, la jeune femme titilla légèrement son sexe du bout des doigts, puis déplaça ses mains jusqu'à ses fesses musclées qu'elle caressa plus longuement. Mais Hideyuki ne la laissa pas continuer bien longtemps. Il fit lui-même descendre son caleçon, puis tira légèrement la japonaise contre lui de manière à ce qu'elle se retrouve presque entièrement étendue sur le sol. La position était certes inconfortable, mais ce fut à peine si la jeune fille le remarqua. Elle écarta fiévreusement les jambes, s'offrant entièrement à lui. Il enserra alors les hanches de sa partenaire de ses mains puissantes et, donnant un brusque mouvement des reins, il entra en elle. Elle se cambra violemment, le recevant au plus profond d'elle-même, se mordant la lèvre pour ne pas crier. Des spasmes de plaisir montaient en elle, d'une violence et d'une intensité à la limite du soutenable, et Hideyuki dut à plusieurs reprises étouffer ses gémissements par des baisers. Il entama un mouvement de va-et-vient, d'abord lent puis de plus en plus rapide, au fur et à mesure que le plaisir qui les submergeait tous deux se faisait plus intense. Leurs deux corps soudés l'un à l'autre bougeaient en rythme, fiévreusement, en réclamant toujours davantage. Alors qu'elle sentait l'orgasme monter peu à peu en elle, Saeko enfouit son visage dans le creux de la nuque de son amant, resserrant son étreinte autour de lui comme pour l'amener encore plus profondément en elle. Puis, d'un seul coup, elle eut l'impression que tout son corps implosait sous l'effet du plaisir qui se diffusait dans chaque molécule de son être. Au rythme de plus en plus saccadé de la respiration de son amant, elle devina qu'il n'était lui-même plus très loin de l'extase, et quelques secondes plus tard, son corps en sueur retombait lourdement contre le sien.  

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22