Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG - Prosa

 

Autore: katiadelage

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 23-04-08

Ultimo aggiornamento: 04-05-08

 

Commenti: 40 reviews

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DrameRomance

 

Riassunto: N° 38 : Un cauchemar qui rappele de mauvais souvenir...Un tueur en série... Et une peur au ventre... " Alors qu'est ce que vous en dites ?"

 

Disclaimer: Les personnages de "La Peur au Ventre" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Tome 38 La Peur au Ventre

 

Capitolo 2 :: Chapitre II

Pubblicato: 23-04-08 - Ultimo aggiornamento: 09-05-08

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8


 

 

Chapitre II  

 

 

Le lendemain matin, la sonnerie du réveil se déclencha à 9h, kaori envoya une main hasardeuse qui tâtonna plusieurs secondes avant de stopper la montée en puissance de la sonnerie du réveil.  

 

D’ordinaire elle la stimulait, aujourd’hui, elle l’agressait…  

 

Elle mit longtemps à émerger, se sentit fiévreuse, essoufflée comme après un effort intense. Elle tenta d’ouvrir les yeux, en vain, elle lutait contre un sentiment désagréable de mal être et d’oppression.  

 

Et dans un effort surhumain, entrouvrit les paupières. Une lumière douce traversait les stores de sa chambre, pour venir se refléter contre le visage de Ryo  

 

 

 

- (Kaori) Ryo ? Mais qu’est ce qu’il fait là ?  

 

 

 

Elle allait se mettre à hurler, quand les souvenirs de la veille lui revinrent en mémoire.  

 

Elle se rappela le cauchemar, la sensation de détresse, la peur de perdre Ryo à nouveau. Puis elle se pencha vers lui, le regarda longuement, et décida plutôt de se lever sans faire de bruit pour ne pas le réveiller.  

 

Elle était très attendrie par le fait qu’il soit resté auprès d’elle cette nuit, pour la surveiller et pour la réconforter, mais elle était aussi très gênée de constater qu’elle avait passé cette même nuit dans le même lit que Ryo.  

 

Elle se mit à glousser tout doucement, en pensant à eux comme à un couple marié, ce qui eut effet au moins, de la détendre après les vives sensations qu’elle avait pu ressentir au réveil.  

 

 

 

Elle sortit donc de la chambre sur la pointe des pieds, pour se préparer et débuter la journée. Elle referma la porte derrière, s’attarda une minute, puis reprit sa marche.  

 

Il fallait qu’elle mette cet horrible cauchemar de côté, et surtout elle décida qu’elle n’en parlera pas à Ryo  

 

 

 

- (Kaori) Allez ma grande, c’était rien… juste ton imagination, tu as du boulot aujourd’hui, donc… on y pense plus.  

 

 

 

Et sur ce, elle décida d’entamer sa journée sur de bonnes résolutions.  

 

Ryo quand a lui toujours dans la chambre de kaori, n’avait pas bougé d’un pouce, en sentant celle-ci se lever.  

 

Il n’aurait pas su comment gérer la situation au réveil.  

 

C’est vrai que la veille, sa démarche semblait si naturelle qu’il ne s’était pas posé de question quand à la venue des évènements.  

 

Mais maintenant la journée prenait une nouvelle dimension, le retour entre « guillemet » à la réalité, et il fallait donc reprendre ses marques.  

 

 

 

Kaori était dans la cuisine, quand Ryo arriva.  

 

 

 

- (Ryo) Bonjour kaori. Comment vas-tu ?  

 

 

 

- (Kaori) Bien merci, au fait je suis désolée pour hier soir, je ne sais pas ce qui m’a pris.  

 

 

 

- (Ryo) Oui et bien la prochaine fois évite ce genre de cauchemar stp, je n’ai pratiquement pas fermé l’œil de la nuit, tu ronfles comme un bulldozer.  

 

 

 

- (Kaori) Quoi ?  

 

 

 

- (Ryo) Et oui madame !!!! et en plus j’ai plein de courbatures à cause de ton lit.  

 

 

 

Ryo avait décidé de la jouer détaché, pour dédramatiser la nuit de la veille.  

 

 

 

- (Kaori) Et bien encore une fois pardon, « Monsieur », la prochaine fois, j’irai voir ailleurs.  

 

 

 

Qu’est qu’il pouvait l’agacer, quand il se mettait à réagir comme ça…  

 

 

 

- (Ryo) Très bien, bon je suis dans le salon, tu m’apportes mon café ?  

 

 

 

- (Kaori) Et puis quoi encore, ce n’est pas parce que nous avons passé la nuit ensemble, qu’il faut te croire tout permis.  

 

 

 

Elle avait à peine prononcé ces mots, qu’elle réalisait leurs sous entendus.  

 

Elle devint rouge pivoine, et on pouvait même apercevoir de la fumée sortir au dessus de son crane, tant elle était gênée.  

 

Elle se tourna… prépara une tasse à café… et la tendit à Ryo, celui-ci toujours immobile, une horde de libellules faisant un ballet autour de son visage.  

 

Il récupéra la tasse et sortit sans un mot.  

 

 

 

Dans le salon, le téléphone se mit à sonner au même moment, et Ryo décida de répondre.  

 

 

 

- (Ryo) Allo !  

 

 

 

- (Saeko) Oui, bonjour, Ryo ? C’est Saeko.  

 

 

 

 

 

- (Ryo) Ah !!! Saeko !!! bonjour, comment vas-tu ma beauté, la reine de mes nuits, le fantasme de mon cœur, la….  

 

 

 

- (Saeko) Arrête ton char, tu me fatigues…  

 

 

 

 

 

- (Ryo) Quoi, je te signale que je suis entrain de me déclarer, tu pourrais avoir un peu plus de reconnaissance ?  

 

 

 

- (Saeko) Ecoute Ryo, je t’appelle car il faut que je te parle.  

 

 

 

 

 

- (Ryo) Humm ! Humm ! Ah, oui je vois, tu m’appelles pour enfin régler ton ardoise, c’est ça, et bien il était temps !!! je te signale que tu me dois 12 coups, et oui !! 12 merveilleux petits coups !!! Hi ! Hi ! Hi !  

 

 

 

Ryo en salivait d’avance, une merveilleuse nuit d’amour avec la belle Saeko.  

 

Il arborait un de ses rictus, plein de sous entendu, que Saeko ne pouvait pas voir mais néanmoins pouvait sentir.  

 

 

 

- (Saeko) Tu es vraiment incorrigible Ryo…. Je ne t’appelle pas pour ça, mais plutôt pour…  

 

 

 

- (Ryo) Plutôt pour me demander de t’aider sur une enquête c’est ça ?  

 

 

 

- (Saeko) Ah !! Tiens comment as-tu deviné ?  

 

 

 

- (Ryo) Parce que c’est toujours la même chose avec toi, tu me prends pour ton boy, et tu ne me payes jamais, mais maintenant c’est terminé, tu m’entends c’est terminé !  

 

 

 

Ryo s’était mit à hurler dans le téléphone, et Kaori, alerté, tendit l’oreille de la cuisine…  

 

Quand à Saeko, comprenant qu’il était à prendre avec des pincettes, décida de la jouer plus fine.  

 

 

 

- (Saeko) Ecoute mon Ryo, je te promets de t’honorer deux coups si tu m’aides à résoudre un petit problème.  

 

 

 

- (Ryo) Mon Ryo, tu as dis mon Ryo ? et deux coups ?  

 

 

 

Ryo n’avait même pas écouté la fin de la phrase, et n’avait bloqué que sur les quelques mots de Saeko « Mon Ryo »…puis « Deux coups »…  

 

Celle-ci savait que cela ferait effet, et ne fut donc pas surprise d’entendre Ryo répondre :  

 

 

 

- (Ryo) Bien alors je suis d’accord, mais je veux que tu me payes un coup d’avance.  

 

 

 

- (Saeko) Ecoute, je l’aurais fait avec plaisir, mais mon travail est plutôt urgente, alors comme compromis, je te propose deux coups + un offert à la fin de notre affaire.  

 

 

 

Ryo pensant avoir fait une super affaire, était sur le point d’accepter, tout en se disant, qu’il était le meilleur, le plus beau, le plus persuasif, et donc, qu’il était normal que Saeko est craquée…  

 

 

 

- (Ryo) OK, ça marche, tu veux passer à la maison pour qu’on en discute ?  

 

 

 

- (Saeko) Et bien, non pas trop, je préfère te voir à l’extérieur, et n’en parle pas à Kaori, stp.  

 

 

 

- (Ryo) Pourquoi ?  

 

 

 

Saeko savait que si Kaori était au courant elle refuserait l’affaire, et bien que Ryo, jouait les « don juan », c’est au final kaori qui avait le dernier mot, car il était toujours très sensible à ce quelle pouvait ressentir, même si il s’efforçait de le cacher à chaque fois.  

 

 

 

- (Saeko) Et bien, c’est un peu dangereux et je ne souhaite pas que Kaori soit mêlée à cette affaire, voilà tout.  

 

 

 

- (Ryo) Bien, où veux-tu que l’on se retrouve ?  

 

 

 

- (Saeko) Au parc, comme d’habitude ?  

 

 

 

- (Ryo) Dans 1h ?  

 

 

 

- (Saeko) C’est parfait.  

 

 

 

- (Ryo) A tout à l’heure.  

 

 

 

Et ils raccrochèrent.  

 

Kaori pénétra dans le salon au même moment, et demanda à Ryo :  

 

 

 

- (Kaori) C’était qui ?  

 

 

 

- (Ryo) Oh, rien de bien important  

 

 

 

Celle-ci qui avait suivi la conversation en partie, savait qu’il s’agissait de Saeko, et qu’elle avait sûrement dû encore demander les services de Ryo pour une enquête.  

 

Mais un sentiment de panique commença à envahir Kaori, elle ne savait pas pourquoi, ni comment, mais c’était plus qu’une intuition, c’était une certitude, terrible et inattendue.  

 

Cette conviction lui tomba dessus subitement et s’accrochait à elle comme une sale maladie qui venait vous chercher dans votre sommeil, s’acharnait physiquement sur vous, ne vous épargnant en rien.  

 

Une force inconnue, puissante et effrayante, avec laquelle on ne transigeait pas.  

 

Comme un signe envoyé de quelque part, une urgence devant laquelle on ne pouvait que s’incliner, sans chercher à comprendre.  

 

Et une voix qui murmurait : tu vas le perdre.  

 

Paniquée, Kaori regarda Ryo et lui dit :  

 

 

 

- (Kaori) S’il te plait, n’y va pas.  

 

 

 

- (Ryo) Mais de quoi tu parles ?  

 

 

 

- (Kaori) Je t’ai entendu parler à Saeko, elle va encore te demander de résoudre une enquête. Elle va encore te laisser prendre tous les risques, et…  

 

 

 

Ryo se rapprocha de sa partenaire et posa ses mains sur ses épaules, ce qui la prise de cours et elle ne put finir sa phrase.  

 

 

 

- (Ryo) Ecoute, ne t’inquiète pas, je vais voir ce dont il s’agit, d’ailleurs si tu veux tu peux venir avec moi, et si l’affaire ne te plait pas je laisserai tomber.  

 

 

 

- (Kaori) Mais… Je… ne comprends pas. Tu ne me demandes jamais mon avis quand tu décides vraiment d’accepter une affaire.  

 

 

 

- (Ryo) C’est faux et tu le sais. Alors tu es d’accord.  

 

 

 

- (Kaori) C’est d’accord.  

 

 

 

- (Ryo) Et puis, ne t’en fais pas, c’était juste un mauvais rêve.  

 

 

 

Kaori le regarda perplexe. Ryo s’avait que si elle s’était emportée aussi vivement, c’est que son cauchemar de la nuit passée devait avoir un rapport.  

 

 

 


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