Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG - Prosa

 

Autore: katiadelage

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 23-04-08

Ultimo aggiornamento: 04-05-08

 

Commenti: 40 reviews

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DrameRomance

 

Riassunto: N° 38 : Un cauchemar qui rappele de mauvais souvenir...Un tueur en série... Et une peur au ventre... " Alors qu'est ce que vous en dites ?"

 

Disclaimer: Les personnages de "La Peur au Ventre" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 1500 words per chapter, so you can see that the minimum we're asking for is quite less.

 

 

   Fanfiction :: Tome 38 La Peur au Ventre

 

Capitolo 5 :: Chapitre V

Pubblicato: 30-04-08 - Ultimo aggiornamento: 09-05-08

Commenti: Coucou, bonjour à tout le monde, et voilà un nouveau chapitre.. Gros bisous à tous...

 


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Chapitre V  

 

 

Kaori se releva et décida de laisser Ryo à son triste sort.  

 

 

 

- (Kaori) Je rentre.  

 

 

 

Ryo surprit, se releva également, mais on ne pouvait entrevoir que sa tête, vu qu’il était enseveli sous une montagne de petites culottes.  

 

 

 

- (Ryo) Et ! tu vas ou ?  

 

 

 

- (Kaori) Depuis quand, ça t’intéresse ?  

 

 

 

- (Ryo) Pourquoi tu t’énerves ?  

 

 

 

- (Kaori) Je vais au Cat’s Eye, rejoindre Miki… J’en ai marre de toi.  

 

 

 

Une énorme goutte d’eau fit son apparition sur le crane de Ryo.  

 

 

 

- (Umi) Bon, vu que Kaori est en sécurité maintenant, que dirais-tu d’aller voir nos indics, histoire d’en apprendre un peu plus.  

 

 

 

- (Ryo) On y va.  

 

 

 

Et nos deux compères partirent dans la direction opposée.  

 

Ils parcoururent pratiquement toute la ville à la recherche d’informations susceptibles de faire avancer leur enquête.  

 

Finalement, c’est Yochima, un des indics d’Umibôzu, qui leur communiqua les nouvelles dont ils avaient besoin.  

 

Il leur dit ou le criminel s’était approvisionné en matos, et d’ailleurs, qu’il venait de passer une nouvelle commande.  

 

Cela présageait qu’il allait de nouveau recommencer.  

 

Il avait déjà dû enlever sa nouvelle victime… à moins qu’il ne soit sur le point de le faire…  

 

 

 

Au même moment à l’autre bout de la ville, Kaori se dirigeait toujours d’un pas décidé vers le Cat’s Eye.  

 

Elle fulminait intérieurement contre les idioties de Ryo, et se demandait pourquoi, quand tout allait bien entre eux, pourquoi quand enfin, il laissait entrevoir une relation de complicité et d’attention, il fallait toujours qu’il finisse par faire quelque chose qui la mettait dans tous ses états, la rendait folle de rage, et lui donnait l’impression que rien ne changerait dans leur relation.  

 

Décidément, il était vraiment trop bête… Et en plus cette affaire avec l’autre fracassé du cerveau, n’arrangeait rien du tout.  

 

Elle leva les yeux au ciel et se demanda à voix haute :  

 

 

 

- (Kaori) Pourquoi vous me faites ça à moi, qu’est-ce que j’ai fait pour mériter cette vie, pourquoi s’acharner sur moi de la sorte, c’est parce que…  

 

 

 

Et là, Kaori constata que tous les passants dans la rue, s’étaient arrêter de marcher et la regardaient bizarrement.  

 

 

 

- (Kaori) Ben quoi !!! Ils ont quoi ceux là, à me regarder comme ça ?  

 

 

 

Quand elle se rendit compte qu’elle avait pensé à haute voix, et là, elle devint toute rouge, « Oh ! la honte !!! ». Elle continua donc sa route, tête baissée, en se disant que ça lui fera du bien de voir Miki dans quelques minutes, et de se confier.  

 

 

 

Quand à Ryo et Umibôzu, ils avaient décidé d’aller voir le receleur de matériel chez lequel celui que l’on nommait le purificateur s’approvisionnait.  

 

Ils arrivèrent donc à l’endroit recherché, et se renseignèrent sur les approvisionnements du tueur.  

 

Le receleur, ne tenait pas à balancer son client, mais comme il connaissait bien Ryo, il fit une exception, de plus celui-ci ne s’avait absolument pas à quoi ce matériel pouvait bien servir et fut surpris par les révélations de notre duo.  

 

Loulou (nom du receleur, oui je sais ça fait tapette !!!) montra donc aux nettoyeurs les plans de la commande faite par le criminel.  

 

C’était une énorme roue en bois, qui devait servir à attacher une personne, et là dessus pas plus d’explication.  

 

Ryo, regarda l’objet perplexe, que pouvait bien pouvoir faire cet homme avec ce truc. Quand soudain :  

 

 

 

- (Ryo) Je sais, c’est la Roue de l’Amour !!! Il compte attacher ses partenaires et leur donner le tournis jusqu’à ce qu’elle accepte de coucher avec lui. Humm, Hum mm !!!  

 

C’est dégueulasse !! Mais comment n’y ais-je pas pensé plus tôt…  

 

 

 

Umibôzu et Loulou tombèrent à la renverse. Quand à Ryo, il était vert de ne pas avoir pensé à cette stratégie, lui même, quand Umibozu lui asséna un coup de matraque derrière la tête.  

 

 

 

- (Umi) Arrête de fantasmer, je te signale que l’heure est grave.  

 

 

 

- (Ryo) Ah ! oui c’est vrai, tu as raison…  

 

 

 

Redevenu sérieux, ils se demandaient également comment, cet homme en était arrivé là, et surtout pourquoi.  

 

Ryo se rappela la ressemblance troublante de toutes ces femmes, il se dit que le problème devait résider en ce point, qu’il fallait creuser autour de cette information, quand tout à coup il bloqua net.  

 

Umibôzu qui était toujours attentif à ce que son ami lui disait, fut étonné de le voir stoppé, un regard noir dans les yeux.  

 

Il le regarda et lui demanda ce qui se passait. Ryo venait de ressentir un frisson, le genre de frisson qui vous traverse l’échine, et vous glace le sang.  

 

 

 

- (Umi) Ryo, qu’est-ce qui se passe ?  

 

 

 

- (Ryo) Kaori…  

 

 

 

Et notre nettoyeur préféré, sortit en trombe de la pièce. Umibôzu le suivait.  

 

 

 

- (Umi) Mais Ryo, qu’est-ce qui te prend.  

 

 

 

- (Ryo) J’ai un mauvais pressentiment, il faut retourner au Cat’s Eye. Je veux voir si Kaori est là-bas.  

 

 

 

Malheureusement le ressenti de Ryo se confirma.  

 

Quand ils arrivèrent au café, Miki était seule, et n’avait pas vu Kaori, depuis leur départ à tous les trois.  

 

Ryo commençait vraiment à paniquer, Kaori, s’était fait enlever par ce malade, et aller savoir ce qu’il allait faire d’elle. Les photos des corps de femmes inanimés se matérialisèrent sous ses yeux, et il piqua une colère monstre.  

 

D’aussi loin qu’Umibôzu se souvenait, il n’avait jamais vu son ami dans cet état, mais s’était normal, l’heure était grave, et surtout s’était Kaori. Soudain, la porte du café s’ouvrit, et Mick pénétra à l’intérieur.  

 

 

 

- (Mick) Salut les amis, et ben, dis donc, vous en faites une tête ?  

 

 

 

- (Miki) Mick, Kaori a été enlevée.  

 

 

 

- (Mick) Quoi ? Mais…  

 

 

 

- (Umi) Kaori a été enlevée par le purificateur. Mick, cet homme est dangereux.  

 

 

 

- (Mick) J’ai entendu parler de lui, Ryo…  

 

 

 

Ryo ne disait mot, mais on pouvait voir à son expression, qu’il était ravagé, par la souffrance, et surtout la culpabilité, d’avoir laissé Kaori partir toute seule, malgré l’affaire épineuse sur laquelle ils étaient. Il aurait du être plus prudent, quel idiot il avait été de croire quelle aurait été plus en sécurité loin de lui.  

 

 

 

- (Umi) Ne t’inquiète pas Ryo, on va la retrouver.  

 

 

 

Pendant ce temps, Kaori, ouvrait les yeux péniblement, elle avait mal à la tête, et cette odeur désagréable lui soulevait le cœur. Du chloroforme…  

 

Ah oui ! Elle commençait à se souvenir de ce qui s’était passé.  

 

Elle marchait tranquillement dans la rue en direction du Cat’s Eye, quand en passant dans une petite ruelle, pour prendre un raccourci, elle avait sentit deux bras l’encercler, une odeur de chloroforme, et après plus rien…  

 

Elle voulut se gratter le nez, mais se rendit compte que ses mains étaient attachées.  

 

En fait elle ne pouvait plus bouger, ses deux mains et ses deux pieds étaient attachés, elle était emprisonnée sur une chaise. Puis elle réalisa qu’elle venait de se faire enlever par celui qu’elle traquait.  

 

Paniquée, elle décida quand même d’observer le lieu dans lequel elle se retrouvait.  

 

Ca ressemblait à un vieux hangar désaffecté, il y avait deux grandes fenêtres, mais qui étaient noircies par la grâce, elle continuait son inspection quand elle tomba sur un homme. Celui-ci la regardait incrédule.  

 

Il lui avait administré une forte dose de chloroforme, et s’étonnait quelle soit déjà réveillée.  

 

 

 

- (Le Purificateur) Mais c’est un cheval cette fille… se dit-il à lui même !!!  

 

 

 

- (Kaori) Et c’est qui que tu traites de cheval, mongole ? Et puis d’abord qu’est-ce que je fais là ?  

 

 

 

- (Le Purificateur) Tu es là parce que tu es à moi, parce que je vais te faire payer toutes les souffrances que tu m’as occasionnées pendant mon enfance.  

 

 

 

- (Kaori) Mais de quoi, il parle, celui là ? Et ! je ne vous connais même pas, relâchez-moi, je vous dis, sinon, je vais m’énerver.  

 

 

 

- (Kaori) Ah ! oui !! et qu’est-ce que tu comptes faire ma jolie ?  

 

 

 

Surprise, Kaori, se rappela qu’elle était toujours attachée, et donc, qu’elle ne pouvait difficilement rien faire.  

 

Puis elle se rappela ce qu’avait dit son kidnappeur «je vais te faire payer toutes les souffrances que tu m’as occasionnées pendant mon enfance ». C’était bizarre, elle était sûr de ne pas le connaitre, alors peut-être la confondait-il avec quelqu’un d’autre, mais qui ?  

 

 

 


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