Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: katiadelage

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 23-04-08

Ultimo aggiornamento: 04-05-08

 

Commenti: 40 reviews

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DrameRomance

 

Riassunto: N° 38 : Un cauchemar qui rappele de mauvais souvenir...Un tueur en série... Et une peur au ventre... " Alors qu'est ce que vous en dites ?"

 

Disclaimer: Les personnages de "La Peur au Ventre" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Tome 38 La Peur au Ventre

 

Capitolo 4 :: Chapitre IV

Pubblicato: 27-04-08 - Ultimo aggiornamento: 09-05-08

Commenti: Coucou, merci à tous pour vos encouragements. ça comme de façon un peu noir, mais la suite sera plus soft je vous rassure...

 


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Chapitre IV  

 

 

 

Arrivée sur les lieux du crime, ils n’en revenaient pas.  

 

Une jeune femme avait été retrouvée décapitée au fond de la remise d’un restaurant du quartier.  

 

Il y avait une sorte de collier mécanique autour de son cou, qui laissait penser à un collier relié à un dispositif de déclenchement à distance.  

 

Mais ce qui était le plus choquant, c’est qu’on lui avait découpé la poitrine. Le couteau était au sol juste à côté de la victime.  

 

 

 

- (Kaori) Quel monstre peut faire une chose pareille ?  

 

 

 

- (Ryo) Kaori, tu devrais sortir et nous attendre dehors.  

 

 

 

Elle accepta, et sortit aussi vite qu’elle était entrée.  

 

Elle avait la gorge sèche, elle avait envie de vomir et une douleur lancinante l’engourdissait de la tête aux pieds. Elle essayait de calmer sa tachycardie et dans un effort surhumain inspira très profondément une bouffée d’air frais.  

 

Quand aux nettoyeurs toujours à l’intérieur, ils discutaient de l’affaire avec Saeko.  

 

Elle leur expliqua la nature un peu particulière de ce tueur, qui était de confronter ses victimes à un choix ultime.  

 

Celui de vivre ou de mourir, en se battant ou non. En l’occurrence dans le cas présent, il avait kidnappé et endormi Sumiko, c’était le nom de la victime, puis l’avait emmené jusqu’ici et avait monté cette mise en scène.  

 

Il avait emprisonné son cou par ce collier destructeur, et à son réveil se retrouvant seule, avec une lettre explicative sur le choix qu’elle devait faire. Saeko la lut à voix haute :  

 

 

 

- (Saeko) « Vous vous retrouvez ici a présent car vous êtes une femme et que vous êtes faible de nature, mais je vais vous laisser le choix de vous en sortir. Je vous ai posé un dispositif autour du cou qui explosera dans 10 mn. Si vous tentez de fuir au de là d’un périmètre de 5 mètre, il explose. Il y a une clef… qui peut vous sauver, elle permet d’ouvrir le collier que vous portez. Cette clef se trouve dans l’un de vos seins, je l’y ai implanté. J’ai même eu la bonté d’âme de vous laisser une arme à disposition. A vous de choisir, vivre ou mourir ? »  

 

 

 

Vu la scène du crime, cette femme avait du tenter le tout pour le tout, et s’était lacéré les seins pour pouvoir trouver cette clef.  

 

Quand a la suite, pas difficile d’imaginer ce qui s’était passé. Elle avait du être terrorisée, puis le premier choc passé, et vue l’urgence du moment, elle avait du prendre la décision de vivre…  

 

Et elle avait dû lutter et lutter psychologiquement avant de prendre le couteau pour se lacérer le premier sein afin de trouver cette maudite clef ; Puis ne l’ayant pas trouvée, elle s’était attaquée au second.  

 

Elle avait fini par la trouver, mais à son grand malheur pas assez rapidement car les dix minutes venait de s’écouler.  

 

 

 

Saeko regarda Ryo :  

 

 

 

- (Saeko) Ryo, retrouve ce salaud et tue le.  

 

 

 

- (Ryo et Umibôzu) Quoi ?  

 

 

 

- (Seako) Vous m’avez bien entendu, il n’est pas question d’attraper juste ce malade, et de lui offrir des vacances tout frais payé par l’Etat. Je ne pourrai supporter qu’un type pareil puisse vivre après tout ce qu’il a pu faire à ces femmes. Je ferai passer sa mort pour un règlement de compte.  

 

 

 

- (Kaori) Pas question. Je ne veux pas de sang sur les mains de Ryo.  

 

 

 

Umibôzu se dit dans son fort intérieur, qu’un peu plus ou un peu moins, ce n’était pas ce qui allait faire la différence, mais vu l’air résolu de Kaori, il n’osa pas rétorquer. Perplexe les deux autres la regardèrent.  

 

 

 

- (Kaori) Oui bon, je sais ce que vous vous dites, mais je ne veux pas de « ce » sang sur tes mains, Ryo, c’est compris ? !!! On va le retrouver et le livrer à la police, après tu en feras ce que tu veux Saeko.  

 

 

 

- (Ryo) On ne fera rien du tout, car toi, tu vas rentrer à la maison.  

 

 

 

- (Kaori) Pas question. Et puis d’abord, qu’est-ce que je ferai ?  

 

 

 

- (Ryo) Tu feras la cuisine, je te rappelle que c’est pour ça que je t’ai engagé  

 

(dit il triomphant !!!)  

 

 

 

Et Là, Ryo se prit une Massue sur la tête, spéciale « Ménagère en colère !! » digne de la taille d’un clocher d’église.  

 

 

 

- (Kaori) Tiens prend ça… Et je viens avec vous un point c’est tout.  

 

 

 

- (Ryo) Ecoute Kaori, c’est très dangereux, et…  

 

 

 

- (Kaori) Et quoi ? Ce n’est pas la première fois que nous sommes confrontés au pire ?  

 

 

 

- (Ryo) Oui… Mais là, c’est différent.  

 

 

 

Kaori réfléchit une minute puis reprit, (la mains juste en dessous de son menton et un doigt sur celui ci) :  

 

 

 

- (Kaori) En fait tu préfères me laisser à la maison, et quand ce malade saura que tu es sur l’affaire et qu’il voudra se venger, il n’aura qu’à me kidnapper tranquillement, vu que tu ne seras pas là pour me défendre. Je vois… En fait c’est une tactique pour le pister… Tu aurais pu me le dire, j’aurai compris…  

 

 

 

Kaori triomphante regarda son partenaire.  

 

 

 

- (Ryo) C’est bon, pas la peine de te la jouer, tu viens avec nous !!! Grrrr…  

 

Bon… Saeko, on y va… je te tiendrai au courant.  

 

 

 

Ryo fulminait intérieurement, depuis quand Kaori se jouait-elle de lui ? Depuis quand les rôles s’étaient-ils inversés ?  

 

 

 

Sur le chemin du retour, Ryo sentit une présente…. Umibôzu qui le regardait, lui fit remarquer que lui aussi la sentait. Quand a Kaori nada !! Niet !!! La pauvre se sentait un peu exclue, mais bon, participa quand même à la discussion.  

 

Quelqu’un les suivait, ils en étaient sûrs à présent, ils se retournèrent pour observer les alentours, mais ne virent rien. Puis l’aura de cet inconnu disparu.  

 

Kaori commençait à ressentir cette impression d’oppression dont elle entamait à être coutumière, quand Ryo surprit son mal être. Et sans savoir ni pourquoi, ni comment, cet abruti se mit à hurler et prit son envol pour sauter sur une passante.  

 

 

 

- (Ryo) Détection Mokkoriiiiiiiiiiiiii en actionnnnnnnnnnnnnnnn !!!  

 

 

 

Et il plongea littéralement sur une charmante demoiselle qui en voyant arriver un homme au rictus de pervers, la bave aux lèvres, se mit à hurler, elle aussi à son tour.  

 

 

 

- (Kaori) Mais ce n’est pas fini ce cirque ?  

 

 

 

Et kaori se projeta a son tour dans les airs une double massue super sonique dans les mains, et extermina Ryo, qui fit un vol plané et atterrit dans la devanture d’un magasin de sous vêtement.  

 

Une fois le choc passé, celui-ci ouvrit les yeux et sourit béatement, dans ce qui devait être le purgatoire de l’amour…  

 

 

 

- (Ryo) Je suis mort, et j’ai toutes ces petites culottes qui flottent autour de moi, Ahhhh !! des soutiens gorges, je suis mort, mais je suis un homme comblé…  

 

 

 

- (Kaori) Je vais le tuer, lâche moi Umibôzu, je vais le tuer… je vais le tuer… je jure que je vais le tuer, comme ça j’en aurai fini de lui, et je pourrai enfin respirer… pervers, satyre, tu es un cauchemar pour l’humanité. Lâche moi Umi…  

 

 

 

Et sans crier gare Umibôzu relâcha Kaori qui s’étala à terre de tout son long comme une crêpe.  

 

Nos deux héros se retrouvaient donc à terre, les quatre fers en l’air…  

 

 

 

- (Kaori) Mais ça ne va pas la tête ???  

 

 

 

- (Umi) Mais, tu m’as demandé de te lâcher.  

 

 

 

- (Kaori) Tu ne vas pas t’y mettre, toi aussi ?  

 

 

 

- (Umi) Pardon, Kaori… Lui dit-il l’air tout penaud…  

 

 

 

Pendant ce temps, à l’autre bout de la rue, un inconnu se demandait ce que s’était ce soit disant nettoyeur que la police lui avait collé sur le dos.  

 

Et puis fou de rage devant cette femme, faible, qui se laissait traiter de la sorte, il décida d’orchestrer la plus belle œuvre de sa vie.  

 

Tout se mettait en route dans son esprit comme par magie, et il comprit qu’il avait trouvé sa prochaine victime.  

 

Mais s’était étrange, la vision de cette fille se superposait sur celle de sa mère. De toutes celles qu’il avait purifiées, celle-ci était la plus ressemblante. Enfin… Son œuvre allait se concrétiser. Et ce pervers allait y jouer un rôle aussi…  

 

 

 


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