Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: katiadelage

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 23-04-08

Ultimo aggiornamento: 04-05-08

 

Commenti: 40 reviews

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DrameRomance

 

Riassunto: N° 38 : Un cauchemar qui rappele de mauvais souvenir...Un tueur en série... Et une peur au ventre... " Alors qu'est ce que vous en dites ?"

 

Disclaimer: Les personnages de "La Peur au Ventre" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

Some pieces of advices to authors

 

- Check the grammar and spelling of your stories. - Read your story at least once. - Try to write chapters of at least 2 pages and of a maximum of 6-7 pages. - Try to update your story regularly.

 

 

   Fanfiction :: Tome 38 La Peur au Ventre

 

Capitolo 8 :: Chapitre VIII

Pubblicato: 04-05-08 - Ultimo aggiornamento: 09-05-08

Commenti: Ca y est c'est la fin de cette fic, j'espère que vous avez aimé. Je vous remercie tous pour vos encouragements qui m'ont aidé à avancer, encore merci. Je vous embrasse tous et vous dis à bientôt...

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8


 

 

Chapitre VIII  

 

 

- (Rio) Kaori, regarde moi, je t’interdis de bouger, tu m’entends, je t’interdis de bouger…  

 

 

 

Il avait prononcé ces mots en hurlant, la voix déchirée par la peur, que pourrait lui occasionner le fait de la voir bouger, puis mourir devant ses yeux, impuissant avant de succomber par la suite. Il ne pouvait partir en sachant qu’elle serait morte. Il voulait qu’elle vive, peut importe ce qui lui arrivait.  

 

 

 

- (kaori) Rio, je crois bien que c’est la fin… Je veux que tu saches que…  

 

 

 

- (Rio) Ne dis rien, je t’en prie et écoute moi. Si tu restes tranquille il ne t’arrivera rien.  

 

 

 

Il regarda en direction de Hiro.  

 

 

 

- (Rio) N’est ce pas ? Est ce que tu me donnes ta parole que tu la relâcheras ?  

 

 

 

- (Le Purificateur) Oui, tu as ma parole. Je suis un démon, mais je fais toujours ce que je dis.  

 

 

 

Puis se tournant vers elle, il lui dit :  

 

 

 

- (Rio) Alors kaori je t’en prie, ne fais rien de stupide. Ton frère ne me le pardonnerait jamais.  

 

 

 

- (Kaori) J’ai déjà pris ma décision Rio, je veux partir avec toi. Tu dois comprendre que je ne pourrai jamais vivre sans toi.  

 

 

 

- (Rio) Kaori, je t’ai… me…  

 

 

 

- (Kaori) Quoi ? !!!  

 

 

 

- (Rio) Euh, je veux dire, écoute… je…ne fais pas ça… ne me rends pas triste et vis pour moi.  

 

 

 

- (Kaori) Quoi !! Mais je n’y crois pas, dans une phrase aussi importante, tu trouves le moyen de bégayer, tu te fous de moi, même ça eu n’y arrive pas ?  

 

 

 

- (Rio) Et ! Attend une minute, je te signale que je suis entrain de te dire que je tiens à toi, espèce d’œuf au plat !!!  

 

 

 

- (Kaori) Œuf au plat ??? Mais tu ne t’es pas regardé, mollusque défraîchi.  

 

 

 

- (Le Purificateur) Ca y est, les 5 mn viennent de s’écouler.  

 

 

 

Et elle fondit en larme. Elle aussi l’aimait, et sa décision était vraiment prise, elle partira avec lui. Son éternel amour. Hiro les regardait fixement, c’est étrange… il y avait entre eux quelque chose de palpable, il y avait de l’amour, comme jamais il n’avait pu percevoir ce sentiment. C’était beau et poignant à la fois de ressentir cela. Il se tourna vers Kaori, et la vit lever fébrilement le pied. Rio de son côté n’en croyait pas ses yeux, elle allait le faire, elle allait bouger, elle allait mourir, Nonnnnnnnnnn…  

 

 

 

Toujours attaché, il fit glisser subtilement de sa manche une petite lame qu’il y avait de caché dans celle-ci, et s’en servit pour couper le premier lien. Puis rapidement il sectionna les Trois autres.  

 

Kaori releva la tête, et le regarda, lui criant son amour une dernière fois, les yeux toujours baignant de larmes. La roue avait entreprit son ascension et elle descendait dangereusement vers l’acide. Rio, agilement se détacha et remonta le long de l’engin en bois, il se releva sur l’engrenage positionné à l’horizontal cette fois… sortit son magnum, et tira en direction du fusil qui était sur le point de se déclencher. L’arme fut projeté sur le sol, mais eu le temps d’envoyer un coup. Kaori fut touchée, du sang se mit à couler sur ses vêtements, elle chavira et finit par tomber, Rio sauta à terre pour la rejoindre. Il la prit dans ses bras.  

 

 

 

- (Rio) Kaori, Kaaaaaaaooooooooooooorrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii  

 

 

 

Elle ouvrit les yeux et le vit, il était là il n’était pas mort, elle remercia le ciel pour cela.  

 

 

 

- (Kaori) Je n’ai rien, ne t’inquiète pas, je suis juste touché à l’épaule.  

 

 

 

En tombant l’armement avait changé de trajectoire, mais au passage avait touché le bras de notre nettoyeuse. Sans pour autant touché les points vitaux. Hiro, regardait la scène, il était comme pétrifié, ne pouvant bouger, se demandant si c’était ça, l’amour.  

 

Après s’être rassuré sur l’état de Kaori, Rio se releva et dirigea son arme, toujours à la main, vers Hiro. Il se rapprocha de lui et pointa son révolver sur sa tête, il allait le tuer, oui… il allait le tuer pour tout ce qu’il avait fait.  

 

Kaori péniblement se mit sur pied et se précipita dans leur direction, et se jeta devant l’homme qu’allait abattre froidement son partenaire.  

 

 

 

- (Kaori) Ne le tue pas, Rio, s’il te plait, je t’en pris, ne le tue pas.  

 

 

 

Des larmes coulaient le long du doux visage de Kaori, elle était sincère, elle voulait que cet homme vive, Rio était désorienté, il ne comprenait pas, pourquoi sa partenaire réagissait ainsi.  

 

 

 

- (Rio) Je ne peux pas Kaori, après tout ce qu’il t’a fait, je ne peux pas le laisser vivre.  

 

 

 

Elle se rapprocha tout doucement de celui qu’elle aimait follement et passionnément, elle avançait pas à pas, et posa sa tête délicatement sur la poitrine de Rio, juste au dessus de son cœur. Celui-ci battait rapidement, fortement, intensément. Rio était surpris par ce geste. Et il se mit à ressentir tout cet amour que Kaori pouvait dégager. Rio était ravagé, il se battait contre lui même, il voulait écouter Kaori, mais cet homme avait faillit lui enlever celle qu’il aimait. Il méritait de mourir.  

 

 

 

- (Kaori) Si tu penses tout ce que tu m’as dit, ne le tue pas, fait le pour moi.  

 

 

 

Rio hésitait, il réfléchit… il le regardait… quand soudain, toujours contre son torse, Kaori releva la tête, leva la main vers son visage, le tourna tendrement et délicatement pour pouvoir capturer son regard. Et là, Rio baissa son bras, l’arme à la main, il la regarda à son tour, longuement…  

 

Il se dégagea subitement, reporta son attention sur Hiro et lui demanda ou ils étaient. Celui ci ne rechigna pas et lui donna l’adresse. Il sortit alors, un téléphone portable de sa poche et appela Saeko.  

 

 

 

- (Rio) Saeko, je suis au hangar 128, dans le vieil entrepôt désinfecté du quartier sud, il est là, je t’attends.  

 

 

 

Hiro regarda Kaori et dit :  

 

 

 

- (Hiro) Il a raison, tuez-moi, je ne mérite pas de vivre.  

 

 

 

- (Kaori) Non, Rio ne le fera pas.  

 

 

 

Elle venait tout juste de lui démontrer que l’amour pouvait changer les hommes, que l’amour était un sentiment fort et profond, puissant. Et que si on se battait, quelque chose de bon pouvait en ressortir. Et dans son fort intérieur Hiro comprit, et put enfin pardonner à sa mère….  

 

 

 

Chapitre IX  

 

 

Rio se tourna vers la porte d’entrée, il sentait une présence, il se mit sur ses gardes, et ajusta son 357 magnum. Il entendit un bruit sourd, et là une explosion retentit, et Rio vit surgir Umibôzu, son éternel bazooka à la main, essayant d’exterminer tout ce qui bougeait.  

 

 

 

- (Rio) Mais qu’est-ce que tu fabriques mon vieux, tu arrives après la guerre, j’te signale ? !!!  

 

 

 

- (Umi) Où est ce fumier, que je lui fasse la peau. A cause de lui j’ai deux côtes cassées et le nez amoché.  

 

 

 

- (Ryo) Calme toi, je te dis, « everything is under control!!! »  

 

 

 

- (Kaori) Depuis quand tu te la joues en anglais, toi ?  

 

 

 

- (Rio) Je te rappelle que j’ai vécu aux Etats Unis, alors lâche-moi.  

 

 

 

Et Rio, vexé leur tourna le dos. Kaori se rapprocha tout près de lui, sans un mot et lui sourit. Ils étaient en vie, et c’est tout ce qui comptait.  

 

 

 

Saeko arriva au même moment suivi de ses coéquipiers, qui prirent le criminel en charge, pour le mettre sous les verrous. Elle les remercia et partit à son tour. Nos trois amis de nouveau réunis décidèrent, quand à eux de retrouver un foyer plus chaleureux, et ils prirent le chemin du Cat’s Eyes, pour rejoindre Miki et Mick.  

 

 

 

- (Umi) Tiens en parlant de Mick, tu sais où il est ?  

 

 

 

- (Rio) Cette espèce de grosse limasse a dû se la couler douce, pendant qu’on se tapait tout le boulot…  

 

 

 

Et pendant ce temps, à l’autre bout de la ville, dans une ruelle sombre des bas quartiers de shinjuku, des spasmes violant secouaient un homme…  

 

 

 

- (Mick) Ahhh, je vais… mourir, à moi… Ahhh… mais y a personne qui m’aime ?… Personne ne veut me sauver, moi… Sniff... Sniff… Sniff!!!  

 

 

 

 

 

THE END 

 


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