Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: katiadelage

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 23-04-08

Ultimo aggiornamento: 04-05-08

 

Commenti: 40 reviews

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DrameRomance

 

Riassunto: N° 38 : Un cauchemar qui rappele de mauvais souvenir...Un tueur en série... Et une peur au ventre... " Alors qu'est ce que vous en dites ?"

 

Disclaimer: Les personnages de "La Peur au Ventre" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Tome 38 La Peur au Ventre

 

Capitolo 7 :: Chapitre VII

Pubblicato: 03-05-08 - Ultimo aggiornamento: 09-05-08

Commenti: Merci pour tous les encouragements que j'ai reçu de vous tous, encore merci.

 


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Chapitre VII  

 

 

Du côté du Cat’s Eyes, nos trois nettoyeurs avaient décidé de se séparer pour entamer les recherches.  

 

Umibôzu retourna dans les rues de shinjuku à la recherche d’informations, Ryo quand à lui retourna à l’appartement au cas ou le purificateur déciderait de l’appeler, et Mick, lui décida de retracer le chemin qu’avait parcouru Kaori pour voir si il ne trouverait pas des indices.  

 

 

 

Umibôzu, après avoir consulté plusieurs de ses indics, se retrouva dans un immeuble.  

 

Il monta jusqu’au 32ème étage comme on le lui avait dit, kaori était censé être retenue à ce niveau.  

 

Quand l’ascenseur s’ouvrit, il n’y avait rien juste une lettre sur le sol, méfiant, il regarda aux alentours, ne vit rien et donc se dirigea vers la missive.  

 

Il put y lire : « Vous êtes arrivé, bravo, et adieu… » Bien que déconcerté, il se mit à courir en direction de l’ascenseur, ça sentait le piège à plein nez, et là, il entendit une explosion, et l’immeuble s’écroula sous ses pieds.  

 

Il se retrouva en bas, à terre, sous d’innombrables décombres, gisant à moitié mort.  

 

 

 

De son côté Mick, remontait la rue empruntée un peu plus tôt par Kaori.  

 

Quand il arriva au niveau de la ruelle, que celle-ci avait jugé bon de prendre comme raccourci, il découvrit son sac sur le sol, et décida de suivre cette piste.  

 

La nuit était déjà tombée sur la ville, et Mick en marchant ne fit pas attention à l’énorme attrape qui était placée sur son chemin, et se prit le pied dans un énorme piège à souris.  

 

 

 

- (Mick) Ahhhhh !! Mais ce n’est pas vrai, quel est l’imbécile qui a placé ce truc ici ? Ah ! Tiens c’est bizarre, en fait je me sens tout bizarre…je… crois … que… je… me… suis… fait… avoir… r…  

 

 

 

Mick venait de se faire prendre dans un des pièges qu’avait laissé le tueur. Celui-ci avait judicieusement placé l’appât, et surtout l’avait enduit de poison.  

 

 

 

Quand à Rio, de son côté, il était rentré chez lui, en attendant un signe de vit du purificateur. Il était terriblement inquiet pour Kaori, et se maudissait de l’avoir laissé partir toute seule.  

 

Son mal être et sa souffrance était palpable. Il rageait et pestait contre lui même quand il entendit un bruit sourd.  

 

On venait de balancer un objet à travers la fenêtre de son appartement.  

 

C’était un gaz soporifique, il avait peine à le croire, lui, le numéro un du japon, venait bêtement de se faire avoir.  

 

Absorbé par la douleur d’avoir perdu Kaori, et par la crainte de ce que pouvait lui faire ce malade, il n’avait pas fait attention à l’attaque qui s’était produite, et n’avait même pas ressenti l’aura meurtrière de son attaquant. Quand finalement il s’évanouit.  

 

 

 

Une silhouette pénétra dans l’appartement de City Hunter, il avait attendu que le gaz fasse son effet avant de pénétrer dans l’immeuble. Il s’avait de réputation que Rio Saeba était un homme redoutable, et qu’il n’en viendrait pas facilement à bout. Mais le nettoyeur était bien là au sol, gisant, inconscient… Il se chargea donc de le transporter jusqu’à son repaire.  

 

 

 

Après être arrivé dans son antre et s’être occupé de Rio, Kaori commençait à ouvrir les yeux. Elle marmonna quelque chose d’incompréhensible, et l’homme qui venait de pénétrer dans la salle, tomba à la renverse.  

 

 

 

- (Le Purificateur) Mais c’est quoi ça ? Vous ne dormez donc jamais. Je vous ai donné la dose maximum d’anesthésie, pour être sûr d’être tranquille pour encore 4 bonnes heures. Mais vous êtes pire qu’un cheval ? !!!  

 

 

 

Kaori qui avait repris ses esprits, répliqua :  

 

 

 

- (Kaori) Ca suffit maintenant avec cette histoire de cheval, vous commencez à me les gonfler !  

 

 

 

- (Le Purificateur) Mais elle est folle celle-là !!! je vous signale que je vous retient en…  

 

 

 

- (Kaori) Ca suffit maintenant vous commencez à me fatiguer, avec vos : « Je vous retiens en otage, et c’est moi le méchant, et toi la gentille, et blablabla… »  

 

 

 

Perplexe, le tueur n’en revenait pas, il était entrain de se faire engueuler par sa captive.  

 

 

 

- (Kaori) Et puis arrêter de m’empoisonner avec cette puanteur de liquide que vous me faites respirer. Et ! je vous parle, vous pourriez me regarder, non !!!  

 

 

 

Il n’en revenait pas, cette femme était complètement folle…  

 

 

 

- (Kaori) Oh fait, comment vous vous appelez ?  

 

 

 

- (La Purificateur) Qu’est-ce que ça peut te foutre ?  

 

 

 

- (Kaori) OK, alors, machin, vous voulez bien me détacher, je commence à avoir mal aux poignets ?  

 

 

 

- (La Purificateur) Je ne m’appelle pas MACHINNNNN…  

 

 

 

- (Kaori) Alors vous n’avez qu’à me donner votre nom.  

 

 

 

- (La Purificateur) Elle commence à me taper sur le système celle-là…  

 

 

 

- (Kaori) Et c’est de moi dont vous parler ?  

 

 

 

- (La Purificateur) Bon… bon… d’accord, je m’appelle Hiro. Voilà t’es contente ?  

 

 

 

- (Kaori) Oui merci, moi c’est Kaori. Dite Hiro, vous voulez bien me détacher les poignets, je commence à avoir mal ?  

 

 

 

- (La Purificateur) Je suis désolé Kaori, mais c’est trop tard, j’aurai peut-être du vous rencontrer plus tôt…  

 

 

 

- (Kaori) Mais de quoi vous parlez, qu’est-ce qui se passe ?  

 

 

 

Hiro la regardait attentivement, cette femme avait un don, le don de changer un homme, il s’en rendait compte de plus en plus, mais pour lui s’était trop tard, il avait fait trop d’abomination, pour pouvoir être pardonné et expié… Il allait finir ce qu’il avait commencé, même si au plus profond de lui, ses sentiments commençaient à changer.  

 

 

 

- (Le Purificateur) Kaori, je vais finir ce que j’ai commencé  

 

 

 

- (Kaori) Ne faites pas ça, je vous aiderai… je vous aiderai à avancer, à lui pardonner…  

 

 

 

- (La Purificateur) C’est trop tard. J’aimerai te croire, mais c’est trop tard…  

 

 

 

kaori pouvait lire dans ses yeux de la tristesse, du désespoir, elle savait qu’il avait fait des choses atroces, mais elle entrevoyait une lueur d’espoir, une petite partie de son âme qui n’avait pas été noircie par le chagrin.  

 

Puis, Hiro entreprit d’ouvrir une sorte de rideau métallique qu’il fit coulisser. Et là, Kaori put voir son partenaire dans une pièce opposé à la sienne, il se faisait face. Rio était attaché à une roue géante, poings et pieds liés. Cette même roue était positionnée au-dessus d’une grande cuve, d’un liquide dont elle ne se connaissait pas le contenu. Elle était horrifiée de voir son coéquipier gisant, attaché à cette roue… inerte.  

 

 

 

Puis Rio reprit connaissance petit à petit, et lui, découvrit sa Kaori droite comme un « I », ne bougeant pas, debout sur une dalle en béton, il y avait aussi un fusil qui était pointé sur elle. En y regardant de plus près, Rio se rendit compte que l’arme était reliée à un fil qui se rattachait à la dalle en béton où se trouvait Kaori. Il comprit que ce système avait été volontairement préparé pour qu’elle ne puisse bouger sous peine de recevoir une balle en plein cœur. Rio avait peur, il se débattait, mais il se rendit compte qu’il était attaché et ne pouvait bouger.  

 

Il était terrorisé…  

 

 

 

- (Rio) Kaori, ne bouge pas, je t’en prie ne bouge surtout pas, tu m’entends ? Tu es reliée à un système qui se déclenchera et te tueras sur le coup.  

 

 

 

- (kaori) Rio, mon dieu, Rio…  

 

 

 

C’est à ce moment-là que Hiro décida de faire son entrée.  

 

 

 

- (Le Purificateur) Saeba, tu es attaché, tu ne peux strictement rien faire, alors n’essayes même pas, c’est une perte de temps. La cuve qui est juste en dessous de toi est remplie d’acide, le mécanisme se mettra en route dans 5mn, la roue basculera pour se positionner à l’horizontale, et elle descendra petit à petit pour finir son chemin, te plongeant entièrement dans ce bassin, et tu mourras… tu mourras dans d’atroces souffrances. Quand à toi, Kaori, tu es sur une dalle en béton qui comporte un certain poids, si tu bouges, le fusil relié à celle- ci sera déclenché et tu décèderas toi aussi. Maintenant, voici les règles kaori. Tu as le choix, vivre ou mourir avec lui. Si tu restes bien sage, tu verras ton partenaire mourir, mais je te laisserai la vie sauve. Par contre si tu bouges, tu seras tuée sur le coup et lui de toute façon périra. Mais la question est : Est-ce que tu pourras vivre avec cette idée ? Il semble que l’amour ne sera pas vainqueur aujourd’hui ?  

 

 

 


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