Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: lady Gaby

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 10 chapitres

Publiée: 11-01-05

Mise à jour: 18-04-06

 

Commentaires: 46 reviews

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Résumé: Une affaire qui tourne mal où Kaori a sa part de responsabilité. City Hunter se sépare. Kaori sème le trouble dans le milieu et les esprits. Saeko, de son côté, reçoit des appels anonymes...

 

Disclaimer: Les personnages de "Une alliée précieuse ou une ennemie redoutable" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Une alliée précieuse ou une ennemie redoutable

 

Chapitre 7 :: L'inévitable se produit

Publiée: 14-04-06 - Mise à jour: 16-04-06

Commentaires: Dsl pour le manque de maj régulières, il faut ke je suis un peu découragée! ce chap est très important pour la suite dc ne le manqyez pas! par ailleurs des encouragements seraient les bienvenus

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10


 

Ryo déposa Seako et Ryo Kenji à l’appartement de cette dernière.  

 

- Merci !  

- Tu es sure que ça va aller ?  

- C’est un bébé, pas une bombe, Ryo ! T’inquiète !  

 

Ce dernier lui sourit. Et celle-ci se décida à rentrer quand Ryo l’interpella :  

 

- Tu t’occupes de l’affaire Kaori ou Tanya ?  

- Les deux, t’inquiète ! Quelque chose me dit que ta partenaire va refaire surface dans les jours qui vont suivre !  

 

Ryo la regarda étonné. Saeko avait toujours eu un bon feeling, une sorte d’intuition, un peu comme Kaori. A la pensée de sa partenaire, Ryo se souvint des clichés plus que compromettants, de cette rumeur qui circulait depuis quelque temps déjà :  

 

Kaori Makimura, la célèbre partenaire de Ryo Seaba a changé de camp  

 

Comme si elle avait lu dans ses pensées, l’inspectrice qui tenait le bébé endormi dans ses bras, s’avança vers le nettoyeur lui déposa un baiser sur la joue et lui dit en s’en allant vers l’entrée de l’immeuble :  

 

- Aie confiance !  

 

Le nettoyeur resta planté là, regardant la jeune femme s’éloignait, la porte d’entrée se fermant lentement, en montant les marches pour regagner son appartement. Il se surprit à penser qu’il avait de la chance de l’avoir. Elle l’avait certes usé de ses charmes pour obtenir son aide, mais elle lui avait plusieurs fois sauvé la vie, au dernier moment, lors de missions difficiles.  

 

- Merci Seako ! murmura-t-il pour lui-même.  

 

Pendant ce temps :  

 

FLASH BACK :  

 

« Vous allez pouvoir nous prouver qu’on peut avoir confiance en vous ! Un client vient d’appeler et il a besoin de vos services ! Comme il s’agit d’un homme important qui finance en partie notre organisation, je compte sur vous pour ne pas le décevoir !  

- Quelle est ma mission ?  

- Vous verrez avec lui ! Je tiens à ce que les choses soient claires vous nous avez maintes fois répété que Ryô Seaba appartenait à votre passé et que vous n’auriez aucun remords à remplir vos contrats, j’espère que vous dites vrai car je m’en voudrais d’avoir accordé ma confiance à une aussi jolie femme que vous !  

- Vous me voyez flattée ! Rassurez-vous je ne vous décevrai pas !  

 

FIN DU FLASH :  

 

La voiture s’arrèta devant un portail, la jeune femme se présenta et on la fit passer. Il faisait déjà nuit noire, à l’absence d’étoiles et de la lune, la jeune femme frissonna, de plus l’air s’était rafraichie :  

« Je sais pas pourquoi, mais il va y avoir un drame ! »  

 

Un homme l’accueillit en pyjama dissimulait par une robe de chambre, il la conduisit dans son bureau qui se trouvait à l’étage. Aucun mot ne fut échangé entre eux jusqu’à ce qu’ils soient à destination. L’homme referma la porte derrière lui, il ne put s’empêcher de détailler son invitée :  

 

« Vraiment très attirante ! »  

 

Elle portait un ensemble en cuir qui mettait ses formes en valeurs. L’homme lui fit signe de s’asseoir sur le fauteuil en face de lui.  

 

- Vous m’avez demandée ?  

- Oui, je voudrais que vous exécutiez un contrat pour moi ! Mais avant clarifions les choses et dîtes moi s’il y a erreur : ancienne partenaire de City Hunter, talon d’Achille du grand Ryô Seaba, mais dites moi, c’est très intéressant tout ça ! A propos comment va-t-il ? Je parie qu’il ne doit pas dormir correctement en sachant que sa partenaire trempe ses lettres de noblesse dans la boue !  

 

L’homme se mit à ricaner méchamment.  

 

- Que voulez-vous dire ?  

 

L’homme s’alluma un cigare, prit quelques bouffées. Il semblait prendre plaisir à voir Kaori complètement paniquée. De la panique, elle passa à la colère :  

 

- Expliquez-vous ou je vous abats !  

 

La jeune femme pointa, sans ménagement, son arme sur ce type. Ce dernier pointa du doigt la caméra de surveillance :  

 

- Tuez-moi et c’est la prison qui vous attend!  

- Très bien !  

 

Elle rangea son arme dans sa bottine et s’adressa froidement à l’homme :  

 

- A qui ai-je l’honneur, grand père ?  

- Remarquez pour un grand-père comme vous dites, je sais encore satisfaire les femmes !  

- Qui êtes-vous ? Insista Kaori dont la patience atteignait ses limites.  

- Mon identité est sans importance !  

- Pas pour moi !  

- Sachez seulement que je fais partie de ces hommes qui ont du pouvoir et que rien ne peut atteindre ! Même pas la loi !  

- Même pas la loi, vous dites ?  

 

« Hé bien, c’est mal parti ! Mais qu’est-ce qui m’a prise de penser que tout ce serait facile ? Je devrais demander de l’aide à….»  

 

La jeune femme n’eut pas le temps d’approfondir ses réflexions que son mystérieux interlocuteur attira son attention :  

 

- Bon, trêve de bavardage inutile ! Parlons de votre travail ! Tenez !  

 

Il lui tendit un dossier que la jeune femme ouvrit. Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant le portrait :  

 

- C’est…  

- Le ministre de l’immigration, Julio Liar !  

- Qu’attendez de vous de moi ?  

- Que vous l’éliminez ! Vous avez toute la nuit ! Demain matin, à la radio, j’espère apprendre la nouvelle !  

 

La jeune femme fut choquée. Malheureusement, elle ne pouvait reculer. Son client vit son trouble :  

 

- Il y a un problème, Kaori !  

- Aucun problème ! Répondit-elle sure d’elle.  

- Bien !  

 

Kaori s’apprêtait à regagner la sortie quand son client l’interpella :  

 

- Une dernière chose : n’essayez pas de me doubler vous êtes sous étroite surveillance, ma chère ! De plus, je n’ai pas confiance à la gente féminine, vous avez beau être désirable, si vous n’exécutez pas ce contrat comme il se doit votre patron aura de mes nouvelles !  

- Ce sera tout ? Demanda Kaori, sans pour autant se retourner.  

 

- Apportez-moi des preuves ! Et pour vous prouver ma bonne grâce, voici un acompte de 1000 000 yens, bien sur ce n’est qu’un acompte ! Sur ce, vous pouvez disposer !  

 

L'homme lui lança une mallette, remplie d'argent ; Kaori l'attrapa et sortit de la pièce, non sans avoir inspecter discrètement les environs. En descendant les escaliers, elle se mit à siffler d’admiration en constatant la grandeur de la demeure et les moyens de sécurités mis à dispositions :  

 

- Chic, la baraque, monsieur !  

 

Un meuble en bois sur lequel se trouvait une photo de famille attira son attention, avant de franchir la sortie : il y avait une femme d’une grande beauté la quarantaine et deux jeune hommes, ainsi que cet homme :  

 

« Ils ont l’air d’une famille heureuse ! Est-ce qu’ils savent au moins dans quelles magouilles trempe le chef de famille ? »  

 

- C’est ma femme, Diane, ainsi que nos deux fils ! Lança une voix.  

- Vous n’éprouvez aucun remords à faire tué un homme quand vous regardez cette photo ?  

- Voyez-vous je ne mélange pas les affaires, la famille et …. Les plaisirs charnelles bien entendu !  

 

Kaori n’en croyait pas ses oreilles, ainsi cet homme sur la photo était cet être ignoble en face d’elle ? Le pouvoir l’avait-t-il rendu fou ? Elle comprit soudain que si cet homme tombait, il entraînerait dans sa chute sa femme et ses deux fils.  

 

« L’enfoiré !!! »  

 

Elle quitta avec soulagement la demeure. Malheureusement, elle savait aussi qu’elle ne pouvait se rendre à Shinjuku, sans prendre le risque qu’on découvre ses réelles intentions.  

 

Elle monta dans sa voiture, une berline noire, mit le contact et démarra en trombe. Alors qu’elle s’arrêta au feu rouge, elle pensa :  

 

« Je vais tuer un homme ! Je te demande pardon Ryo ! Je ne peux plus reculer si pour les faire tomber, je dois tuer des innocents… »  

 

Le feu rouge passa au vert. Kaori pressa sur l’accélérateur en manipulant énergiquement sa  

 

… Qu’il en soit ainsi !!! »  

 

 

Tard dans la nuit, à Tokyo, une ombre se faufile dans une résidence privée. Ses pas résonnent sur le parquet, provoquant dans une chambre le réveil d’un homme. Ce dernier jette un dernier regard à son épouse dormant à poings fermés à ses côtés, il se lève, s’approche du lit de bébé se tenant au fond de la pièce. Il remonte la couverture sur le nourrisson et quitte sans bruit la chambre conjonguale.  

 

Arrivé au salon, l'homme vit une ombre, en face de lui. Il demanda, surpris :  

 

- Qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ?  

 

Une voix glaciale lui répondit :  

 

- Monsieur Liar, c’est ça ? Dit l'ombre, sans prêter attention aux questions que lui posait sa victime.  

 

 

L’homme approuva.  

 

- J’ai reçu l’ordre de vous tuer !  

 

L’homme regarda son assassin, il lui sourit. Monsieur Liar comprit qu'il n'avait pas le choix : Il devait se résoudre à mourir. Malgré la peine que cela lui causait, il dit, calmement :  

 

- Je vous demanderai juste une dernière faveur, ne me tuez pas ici ! Je ne voudrais pas que ma femme assiste à votre besogne ! Je ne veux pas la voir pleurer en me voyant mourir ! Si vous avez un cœur, accordez-moi au moins ça !  

 

Kaori sentit son cœur se serrait, elle tremblait, ses larmes…. Même s'il savait qu'il allait mourir, Monsieur Liar pensait à sa famille : Cette pensée brisa le coeur de Kaori. Non elle ne devait pas montrer ses failles, mais elle accepta la requête de sa victime.  

 

- J’ai toujours su que je me ferais abattre, mais j’avoue que je ne m’attendais pas à ce que ce soit par un ange !  

 

Ils étaient à présent au fond du jardin. Kaori pointa son arme sur le front du ministre de l’immigration, elle tremblait très légèrement, mais suffisamment pour que l’homme le nota.  

- C’est votre premier meurtre, n’est-ce pas ?  

 

La jeune femme ne lui répondit pas, elle plongea ses yeux dans les siens. Ce qu’elle y vit la déstabilisa une fraction de secondes : compassion, tristesse mais pas de peur.  

C’est d’une voix froide qu’elle s’adressa une dernière fois à lui, avant le coup fatal :  

 

- Une dernière prière ?  

- J’aurais voulu voir mon bébé grandir, dire à mes amours que je les aime, vous leur direz pour moi ?  

 

Kaori pressa sur la gâchette, sans plus attendre, car elle sentait son masque tomber :  

 

« Je… je suis… désolée ! Je vous promets de le leur dire ! »  

 

Comme si l’homme avait lu dans ses pensés, il sourit faiblement :  

 

- Merci !  

 

Le coup partit. La dernière chose que l’homme vit avant de mourir c’est une larme roulait sur la joue de sa tueuse.  

On entendit les sirènes de police et les secours arrivaient. On vit une femme aux long cheveux bouclés blonds se précipiter à l’extérieur en criant le nom de son mari…  

 

 

 

 


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