Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur: Eden

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 9 chapitres

Publiée: 06-10-05

Mise à jour: 04-11-05

 

Commentaires: 95 reviews

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ActionRomance

 

Résumé: Quelle valeur doit-on donner aux rêves ? C'est ce que Ryo découvrira...

 

Disclaimer: Les personnages de "Entre rêve et réalité" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Entre rêve et réalité...

 

Chapitre 3 :: Une nouvelle affaire...

Publiée: 19-10-05 - Mise à jour: 19-10-05

Commentaires: Et voilà le troisième chap. Je remercie de tout coeur toutes les personnes qui m'ont laissé une petite review; Mojca, Milène, Fan2CH, Nanou, Imala et Lady Gaby. Merci aussi aux autres lecteurs. J'espère que ce chap vous plaira, alors continuez à m'envoyer un ptit mot pour me dire se que vous en pensez merci. Bonne lecture et bizzz à tous.

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9


 

Arrivée devant le tableau des messages, quelle ne fut pas la surprise pour Kaori de voir qu’ils allaient enfin avoir du travail après tous ces jours où ils n’avaient eu aucun client. D’après l’écriture, Kaori jugea que la demande venait d’une femme. Mais il n’était pas question pour elle de refuser ce travail, l’état de leur finance ne leur permettait pas. Elle ferait avec, comme toujours lorsque Ryo travaillait pour une femme, elle le surveillerait encore plus. Elle pris les coordonnées de cette personne et se dirigea vers la cabine téléphonique qui se trouvait à proximité. Après trois sonneries, une voix féminine décrocha. Quelques minutes suffirent à Kaori pour donner un lieu et une heure de rendez-vous à leur nouvelle cliente. Une fois le combiné raccroché, elle repris sa marche direction le café de son amie.  

Bien que le futur comportement de Ryo envers leur cliente lui causait quelques inquiétudes, elle se demandait surtout où Ryo avait pu aller et se qu’il avait de si mystérieux à faire pour qu’il ne l’ait pas accompagné au tableau ce matin. Surtout après la scène qui s’était déroulée entre eux.  

 

En entrant dans le café, Miki sentit immédiatement que quelque chose préoccupait son amie. Et sans avoir besoin de poser la question, elle pouvait déjà deviner qui était la cause de ces tourments. Pourtant, elle ne voulait brusquer Kaori en lui faisant un interrogatoire. Elle avait appris à faire preuve de beaucoup de diplomatie car elle savait que ce sujet causait toujours beaucoup d’inquiétudes à Kaori. Après lui avoir servit son café, elle osa s’aventurer sur le sujet épineux.  

 

-« Ca n’a pas l’air d’être la grande forme ce matin ? »  

-« Hmm », se contenta de répliquer Kaori plongée dans ses pensées. « Falcon n’est pas là ce matin ? »  

-« Il est parti faire quelques courses, répondit Miki. Mais, si tu me disais plutôt ce qui te préoccupe. C’est Ryo c’est ça ? Il a encore fait des siennes ? »  

-« Si seulement ce n’était que ça. Mais plus ça va, et moins je le comprends ».  

-« Là je crois que c’est moi qui ai un peu de mal à comprendre. Que cherches-tu à me dire Kaori ? »  

 

Kaori se leva alors de sa place et alla souffler dans l’oreille de son amie les causes de son tourment du jour.  

 

-« QUOI !, s’écria Miki une fois que son amie eut terminé, tu as dormis dans les bras de Ryo et dans son lit !!! ».  

 

L’ancienne mercenaire n’en revenait toujours pas des révélations de Kaori. Elle s’attendait à tout sauf à cela.  

 

-« Chuuut Miki, pas si fort quelqu’un pourrait nous entendre et je ne veux pas que cela se sache partout. D’autant plus, qu’il n’y a rien eu d’autre », termina Kaori dans un soupir de regret mais aussi de lassitude.  

-« Pourtant, ça me semble clair, enchaîna Miki. Apparemment Ryo cherche à faire évoluer la situation entre vous deux ».  

-« Tu crois ? », demanda timidement Kaori.  

-« Je le pense. Ecoutes t’a-t-il déjà demandé de dormir avec lui d’une façon aussi directe et sans faire l’imbécile ? »  

-« C’est vrai que de ce point de vue là… Mais… »  

-« Il n’y a pas de « mais » qui tienne. Bien sûr tu connais Ryo. Il a toujours tendance à se renfermer sur lui-même pour ces questions là. Ne t’attends pas avoir une déclaration enflammée de sa part. Mais si tu veux un petit conseil, profites de tous ces moments où il t’ouvre son cœur et laisses-toi porter par la situation. Tu verras bien par toi-même où tout cela vous mènera ».  

-« Tu as raison. Ca m’a fait du bien de t’en parler. Je me sens un peu plus rassurée. Mais peux-tu garder ce que je viens de te dire pour toi. Tu comprends… Il n’y a encore rien de sûr alors… »  

-« Kaori, tu es mon amie. Si tu me demandes de garder un secret, je le ferais ».  

-« Merci », murmura Kaori.  

 

 

Alors que les deux jeunes femmes étaient en train de discuter des derniers potins à la mode, la clochette du café retentit. Un énorme courant d’air se fit sentir alors que l’on pouvait entendre la voix d’un homme volant à moitié dans les airs.  

 

-« MIKI ma belle dans mes bras !!!! ».  

 

BANG !!!  

 

Le vol plané de Ryo se termina par un énorme coup de plateau suivi de la massue de Kaori.  

 

-« Mais pourquoi les femmes sont-elles si cruelles avec moi ?… », pleurnicha Ryo en se relevant.  

-« Ne peux-tu pas rester un peu tranquille, s’énerva Kaori. Et je te signal que ce n’est pas le moment de jouer au joli cœur. Nous avons une nouvelle cliente que nous devons rencontrer dans une heure ».  

-« QUOI !!! Ai-je bien entendu, tu as parlé d’UNE nouvelle cliente ? Ouhlala !!! J’espère qu’elle sera jolie », ricana Ryo en se frottant les mains tout en montrant son plus beau visage de pervers n°1.  

-« Ouais, c’est bien se qui m’inquiète… », marmonna en colère Kaori.  

-« Ne t’inquiètes pas ma douce Kaori, il te suffit de quitter cet imbécile de Ryo et de devenir ma partenaire alors tu seras enfin ce qu’est une femme comblée », murmura Mick le sourire jusqu’aux oreilles, en voulant entourer de son bras les épaules de la jeune femme.  

-« Qu’est-ce qui nous veux l’amerloque en débarquant sans prévenir », râla Ryo tout en lui pinçant le dessus de la main pour l’empêcher de toucher Kaori.  

-« En tout cas, lança Miki tout en riant face à la tête de Mick qui soufflait comme un gamin sur sa pauvre main qui avait doublé de volume sous la force de Ryo, et qui avait les larmes aux yeux, je ne suis pas sûr qu’elle y gagnerait tellement en changeant. Il n’y en a pas un pour rattraper l’autre ».  

-« Oses me comparer à cette brute épaisse », pleurnicha Mick.  

-« Il a pas envie de se taire le décoloré, ou Kazue sera au courant de tout », rétorqua Ryo.  

 

C’est alors que s’en suivi une véritable bataille entre les deux hommes. Kaori vint se réfugier derrière le bar avec Miki, pour ne pas se faire assommer par des objets volants dans tout les sens. Ce fut dans ce chahut que Falcon arriva. Il sépara les deux anciens partenaires, en les prenant par le col un pour chaque bras.  

 

-« Et c’est qui maintenant qui va nettoyer tout ce remue-ménage ? », interrogea Falcon de sa voix bourrue, alors que les deux jeune femmes osèrent enfin relever la tête hors du bar.  

 

Elles ne purent s’empêcher de rire face aux têtes que tiraient Ryo et Mick. On aurait dit deux enfants pleurnichant après s’être fait grondé.  

 

 

Après avoir pris leur café, le couple City Hunter partit pour le lieu de rendez-vous. Dans la voiture, ni Ryo, ni Kaori n’osaient ouvrir la bouche de peur de dire des paroles qui pourraient être mal interprétées. Pourtant, chacun savait que tôt ou tard il leur faudrait s’exprimer ouvertement sur le pourquoi de la scène de ce matin. En attendant ce moment, les seules paroles qu’ils avaient échangées été les quelques informations que Kaori avait réussi à avoir sur leur nouvelle cliente.  

 

Quelques minutes plus tard, Ryo se gara devant un restaurant chinois portant le nom de « Xiàng Shàn », signifiant Collines Parfumées.  

Dans le restaurant, il n’y avait pas beaucoup de client. Quelques couples par ci par là qui déjeuner avant le grand rush de midi. En parcourant des yeux la salle, Ryo et Kaori découvrirent une jeune femme seule à une table semblant attendre quelqu’un. Elle avait de longs cheveux noirs, et était vêtue de façon assez élégante. D’après la forme de son visage et de ses trais, elle ne semblait pas être japonaise de naissance.  

 

-« Ce doit être elle notre cliente, intervint Kaori. Puis regardant son partenaire elle rajouta, j’espère que tu sauras te tenir tranquille ».  

 

Le visage fermé, et le regard noir, Ryo ne quittait pas des yeux la jeune femme, ce qui étonna quelque peu Kaori. Sans plus un mot ils se dirigèrent vers cette table située au fond de la salle à l’abri des regards et des oreilles indiscrets.  

 

-« Vous avez demandé un XYZ ? », demanda Kaori en s’approchant de la jeune femme.  

-« Oh vous devez être… »  

-« Kaori Makimura. C’est moi que vous avez eu au téléphone ce matin. Et voici mon partenaire… »  

-« Vous devez être le célèbre Ryo Saeba », termina la jeune femme.  

-« C’est exact », acquiesça Ryo d’un air sérieux.  

-« Merci d’avoir accepté de me rencontrer. Je m’appelle Qi Feng Zhang ».  

-« Au téléphone vous m’avez brièvement parlé d’une affaire concernant votre frère. », continua Kaori alors qu’un serveur venait leur apporter du thé.  

-« C’est exact. Mais laissez-moi vous expliquer toute l’histoire. Comme vous pouvez le voir, je suis d’origine chinoise. Mais je vis depuis ma plus tendre enfance au Japon ».  

-« Ce qui explique pourquoi vous n’avez pas d’accent », constata Kaori.  

-« Oui mon père travaillait dans une entreprise d’exportation, et pour raison professionnelle, toute la famille a immigré au Japon. Il y a de cela maintenant 22 ans. Mon père est mort il y a 8 ans et c’est mon frère Jian qui a repris les affaires. Tout se passait pour le mieux jusqu’à il y a 3 jours… »  

-« Que s’est-il passé il y a 3 jours ? », questionna Kaori.  

-« Et bien mon frère avait pour habitude de venir passer me prendre après mon travail. Il disait qu’il ne voulait pas me laisser rentrer seule. Que ce n’était pas prudent pour une jeune femme de traîner dans les rues le soir. Il a toujours été comme ça très protecteur avec moi ».  

 

A cette évocation du frère protecteur, Kaori eut un pincement au cœur. Elle savait, elle aussi, à quel point les liens fraternels peuvent être forts. Hideyuki aussi avait tendance à en faire trop avec elle. Comme tout cela lui manquait…  

 

-« Mais ce soir là, il n’était pas au rendez-vous. J’ai d’abord cru que ce n’était qu’un simple retard, alors j’ai attendu. Mais voyant qu’il ne venait toujours pas, je l’ai appelé sur son portable, mais rien à faire je tombais sans arrêt sur sa messagerie. Finalement une amie qui travaille avec moi, m’avait proposé de me raccompagner. Toute la soirée j’ai essayé de le joindre mais sans succès. Le lendemain matin, avant de partir pour mon travail, j’ai décidé de me rendre chez lui. Mais là encore personne ne répondit. Comme j’avais un double des clés, j’ai pu m’introduire dans son appartement, et c’est là j’ai découvert son appartement sans dessus dessous, comme si quelqu’un l’avait fouillé de fond en comble. En regardant de plus près j’ai aussi découvert ceci… »  

 

Joignant le geste à la parole, elle sortit de son sac à main une lettre. Ryo prit la lettre que la jeune chinoise lui tendit et commença à la lire.  

 

-« Comme vous pouvez le lire, il s’agit d’une lettre de menace où on lui réclame de terminer ce que mon père avait commencer, mais je n’ai aucune idée de ce que cela peut être. C’est donc suite à cette lettre que j’ai de forts soupçons que sa disparition est due à un enlèvement ».  

-« Mais pourquoi ne pas avoir prévenu la police ? », interrogea Kaori.  

-« C’est que… »  

-« C’est que la mafia chinoise est sur le coup. », termina froidement Ryo.  

 

Interloquée par sa réflexion, Kaori le regarda sans comprendre.  

 

-« C’est exact. Cette lettre provient bien de la mafia chinoise. Par conséquent, il m’était impossible d’en parler à la police. Le gouvernement refuse de se mêler d’affaire concernant des immigrés chinois. C’est pourquoi je dois essayé d’être la plus discrète possible sur cette affaire, et c’est pour cela que j’ai fais appelle à vos services. J’aimerais que vous m’aidiez à retrouver mon frère ».  

-« Comment pouvez-vous être certaine qu’il n’est pas déjà mort ? », questionna sans appel Ryo.  

-« Ryo comment peux-tu dire cela, elle est déjà assez malheureuse », réprimanda Kaori.  

-« Je le sais, je le sens il est toujours vivant. Il fait parti de moi. C’est sûrement ce lien mystérieux qui lie les jumeaux ».  

-« Vous voulez dire que vous êtes jumeaux ? », s’exclama Kaori.  

-« Oui nous sommes jumeaux, enfin ce qu’on appelle des faux jumeaux. Non vraiment, je ne peux pas imaginé qu’il soit mort. Je l’aurais senti si quelque chose de ce genre lui serait arrivée. Mais là je suis sûr qu’il est en vie. S’il vous plait acceptez-vous de m’aider ? »  

 

Kaori bouleversée par la détresse de la jeune femme supplia Ryo du regard d’accepter cette demande. Sans la regarder, il savait qu’il ne pourrait pas le lui refuser. D’autant plus que, dès qu’il s’agissait d’une histoire de fratrie il savait que Kaori se sentait encore plus concernée.  

 

-« Très bien, commença Ryo, on accepte de vous aider à rechercher votre frère. Mais pour nous aider, j’aurais besoin de garder cette lettre. Et avez-vous un photo récente de votre frère ».  

-« Oui bien sûr, mais il faut que j’aille la chercher chez moi, alors ne perdons pas de temps ».  

 

Après avoir payé les consommations, ils sortirent tous les trois du restaurant. Alors qu’ils se dirigeaient vers la voiture, Ryo s’arrêta d’un seul coup semblant scruter quelque chose au loin. Kaori surprise de l’arrêt brutal de celui-ci, lui fonça dedans.  

 

-« Dis donc Ryo, tu pourrais prévenir quand tu t’arrêtes en plein milieu de la rue ».  

 

A peine avait-elle fini de se plaindre que Ryo leur cria de se mettre tous à terre derrière une voiture qui était juste garée à leur hauteur. A peine eurent-ils le temps de se mettre à l’abri, qu’une rafale de coups de feu se firent sentir et entendre. Kaori et leur cliente se bouchèrent les oreilles sous l’étourdissant bruit, alors que Ryo arme à la main, essayait de repérer d’où étaient tirés ces coups de feu. Quelques secondes plus tard, l’attaque cessa sans que Ryo eut réussi à les repérer. Rangeant son arme, il aida Kaori et Qi Feng à se mettre debout.  

 

-« Il semblerait que se soit vous leur nouvelle cible et cette mise en scène est en quelque sorte un avertissement. », exprima Ryo.  

-« Alors la mafia est à mes trousses. Mais pourquoi ? », Qi Feng avait la voix qui chevrotée de peur.  

-« Sûrement pour récupérer se qu’ils n’ont pas pu obtenir de part votre frère. Nous savons maintenant que vous êtes vous aussi en danger ».  

-« Dans ce cas, il n’est pas question de vous laisser vivre seule. Vous allez venir chez nous », commenta Kaori.  

-« Oh mais non, je… Je ne peux pas accepter », bredouilla-t-elle.  

-« Mais vous serez plus en sécurité chez nous que toute seule », renchérit Kaori.  

-« Bien mais j’aimerais passé chez moi pour récupérer quelques affaires avant ».  

 

Après avoir déposé leur cliente chez elle, Ryo et Kaori rentrèrent chez eux. Kaori devait préparer la chambre d’ami pour héberger leur nouvelle occupante.  

 

 

Durant le trajet de retour, Ryo avait l’air très préoccupé. Il semblait que quelque chose le dérangeait, mais Kaori n’en connaissait malheureusement pas la cause. Cela avait-il un rapport avec leur nouvelle affaire, ou cela concernait-il directement leur vie privée, elle n’en savait strictement rien. Elle se sentait bien incapable de lui poser la question car quelque part, elle redoutait tout autant cette nouvelle confrontation. Même si elle le savait, mieux valait mettre au plus vite les choses au claire. En effet, elle préférait un Ryo se comportant comme un obsédé mais acceptant de lui adresser la parole, que ce mutisme et ce malaise semblant s’être installé entre eux.  

 

-« Merci d’avoir accepté cette affaire », dit-elle enfin.  

 

Esquissant un léger sourire, il lui répondit.  

 

-« Je savais qu’à l’issue de son histoire, cela ne te laisserait pas insensible. Même si tout cela semble bien obscur. »  

-« Tu parles de ça à cause de l’implication de la mafia chinoise ? », interrogea Kaori.  

 

Mais Ryo ne répondit pas à la question de la jeune femme et continua de rouler l’air toujours préoccupé. Arrivant au parking de l’immeuble, Ryo alla aider Kaori à descendre de voiture. Lorsque celle-ci en descendit, Ryo la regarda droit dans les yeux et la prenant dans ses bras, lui murmura au creux de l’oreille.  

 

-« Promets-moi de faire très attention à toi ? »  

 

Kaori troublée par cette soudaine marque d’affection, mais surtout par le ton employé de Ryo, se détacha quelque peu de ses bras pour le regarder sans vraiment comprendre.  

 

-« Mais… Qu’est-ce que… Tu racontes ?... »  

-« Promets-le moi Kaori », la voix du nettoyeur était sans appel.  

 

Voyant l’inquiétude dans le regard du nettoyeur, elle semblait être dans un autre monde.  

 

-« Oui… Oui, Ryo… Je te le promets… », bafouilla-t-elle  

 

Sans ajouter un mot de plus, Ryo tourna le dos à Kaori et partit monter dans leur appartement laissant une Kaori pleine de question.  

 

 


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