Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prose

 

Auteur: Fauve

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 11 chapitres

Publiée: 22-03-07

Mise à jour: 07-06-10

 

Commentaires: 107 reviews

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GeneralAction

 

Résumé: J'ai toujours pensé qu'il y avait bien des blancs dans la vie commune de Ryô ET de Kaori. Ici un aperçu de ce que Maître Hojo a très bien pu nous cacher ! Mais attention c'est un jeu de piste ou la vérité ne sera dévoilé qu'au moment propice ^^

 

Disclaimer: Les personnages de "Aux frontières de la vérité" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Aux frontières de la vérité

 

Chapitre 5 :: Le destin de la descendance

Publiée: 07-06-07 - Mise à jour: 03-05-20

Commentaires: Coucou à vous ! Oui c'est moi avec la suite comme promis ^^. Bon allez je commence par vous faire un ti résumé histoire que vous soyez pas trop perdu. Alors la fic commence avec la réapparition de City Hunter apres pas mal d'années 'd'absences'. Le même soir une jeune femme traquée par des hommes arrive au Cat's demandant à parler à City hunter qui pour elle est Ryô Saeba et Saeko Nogami. Sanaé c'est son nom dit être leur fille. Finalement on apprend de la bouche de Saeko que ce n'est pas sa fille, mais que c'est bien la fille de Ryô et d'une autre femme qui est soit disant morte et dont Ryô n'a jamais donné le nom. Il avait confié dès sa naissance sa fille à Saeko lui demandant de faire le nécéssaire pour qu'elle soit adopté loin du Japon. Avec son accord et même à sa demande elle la fit passer pour sa fille. Par ailleurs bien que Kaori et Ryo soient revenus, ils n'en disent rien a personne et restent à l'écart tout en observant ce qui se passe, a la fin du précédant chapitre, on apprend que Sanaé à des soucis et qu'elle venait voir ses parents entre autres pour cette raison. Et le chapitre se finit avec un aveu, Ryô et kaori se sont 'mariés' et ont un fils Ryô Junior ! Voilà ^^ j'espère avoir été claire. Maintenant je remercie tous mes revieweurs même celle que j'ai déplumé lol. Je vous promets de tenter d'être plus régulière dans mes majes. Allez cette fois je vous dis bonne lecture ! Et aussi ne me tuez pas et ne vous fiez pas trop à ce que vous lirez ! Vous comprendrez bonne journée moi vais enfin faire dodo (bah vi il est 5h quand même lol) KISS !

 


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Miki voyant les deux êtres tenter de s’évaluer, voire même de marquer leurs territoires, décida qu’il était temps d’expliquer la situation enfin une partie de la situation à Sanaé.  

 

Mais tout d’abord elle constata leur ressemblance. Tous les deux avait des cheveux noirs de geais légèrement rebelle, des facultés exceptionnelles au vu de ce qu’elle avait constaté et surtout un regard capable de vous glacer les sangs, un regard ou on pouvait voir la mort… chez deux enfants ce fait était comme une douche froide.  

 

« Et si on se regroupait un peu hein que je t’explique Sanaé. »  

 

Ils s’assirent tous aux tables et Miki commença elle aussi un long résumé.  

 

« Ryô a 8 ans. Et comme Mick te l’a expliqué vous avez le même père, mais sa mère est Kaori. C’était notre amie… Une merveilleuse amie… »  

 

La voix de Miki se remplissait d’émotions et surtout d’un tremolo dû à la difficulté de parler de ce que son esprit avait tenté d’outrepasser. Maintenant plus que tout elle réalisait qu’elle n’avait finalement pas accepté.  

 

« Vous êtes donc la descendance de SAEBA ! » S’exclama Umibozu qui voulut donner le temps à son épouse de se reprendre.  

 

« Apparemment ! » Répondirent en cœur mais pas avec joie Sanaé et Ryô.  

 

« Ne dites pas ça comme ça ! Vous êtes… » Commença Kazue.  

 

« Je veux savoir où est mon père ! » Décréta Sanaé la rage au ventre.  

 

Elle venait de réaliser qu’elle avait un demi frère, mais surtout que lui avait vécu avec eux, lui avait été élevé par ses parents tandis que pour elle son père avait fait un choix très différent. Elle rageait au plus au point. Quelle circonstance avait fait que lui il l’avait gardé, et elle non ? Où était donc la différence…  

 

Personne ne parlait et Ryô junior était reparti près de Kazue le regard terne. Il s’accrocha timidement à elle, cherchant un réconfort vu que les réponses à la question de sa demi-sœur ils n’en existaient pas de correcte.  

 

C’est là qu’elle vit que c’était un enfant. Pour la première fois depuis qu’elle avait vu cet être naître, elle le voyait vraiment, avec sa fragilité et ses peurs d’enfants, pour la première fois elle le voyait comme il était.  

 

Imaginer un enfant qui ne pleure jamais, qui ne se plaint jamais et qui en dépit de sa forte tête est obéissant mais surtout casse coup, voilà le portrait de Ryô junior… auparavant. Mais enfin il montrait qu’il avait mal, mal de n’avoir jamais vraiment connu ses parents.  

 

Sanaé réitéra sa question avec une colère décuplée.  

 

N’obtenant toujours pas de réponse, elle décida qu’elle se débrouillerait seule pour trouver le lieu ou se cachait son père et ainsi donc elle se dirigea vers la porte du Cat’s Eye pour en sortir à jamais.  

 

Du genre entière et résolue voilà comment se montrait systématiquement la fille aînée de Ryô SAEBA, et encore une fois elle n’hésita pas.  

 

‘Ils ne veulent pas m’aider…’ Pensa-t-elle. ‘Très bien alors, je n’ai pas à rester ici !’  

 

Elle venait de tourner la clé se trouvant dans la serrure de la porte pour lui permettre de sortir et s’apprêtait à abaisser la poignée lorsqu’elle entendit un vague murmure.  

 

Ce qu’elle avait entendu… Non ça ne pouvait être vrai ! C’était impossible !  

 

‘Encore des mensonges !’  

 

Mais son cerveau avait réagi trop lentement par rapport à sa bouche qui de suite avait laissé s’échapper un ‘Menteurs’.  

 

 

« Je ne te mens pas ! » Décréta Mick. « La réponse à ta question est belle et bien que nous ignorons où ils sont et même s’ils sont… »  

 

« Non et non !!!!!!! Ce n’est pas possible ! Comment pourriez-vous ignorez où il est !!!!!!! City Hunter est encore actif !!!! Sa réputation le prouve !!!! »  

 

Miki s’approcha de l’aînée des enfants SAEBA et nul doute qu’elle devait ressentir une sacrée colère pour gifler la jeune fille.  

 

« Nous ne sommes pas des menteurs et prends garde à tes paroles ! Tu ignores tout de ce qui s‘est passé ! Comme nous ignorons tout de toi, sauf que… tu as Ryô ici présent pour unique famille biologique !!! »  

 

Sanaé ne dit rien ni ne réagit à la gifle, son comportement laissait penser qu’elle avait totalement anticipé et ce geste et la douleur qu’il en résulterait.  

 

Miki jeta sur elle un regard d’effroi, qu’avait donc pu vivre cette enfant pour être si froide si distante et lointaine ? Même le comportement de son père n’avait pas atteint ce summum, la différence devait certainement se nommer Kaori. C’est grâce à elle qu’il n’était plus l’ange de la mort, du moins à une époque.  

Sanaé n’avait probablement pas connu la chance d’avoir quelqu’un auprès d’elle qui lui aurait montré ce que pouvait être le bonheur et l’amour.  

 

Sur son visage on pouvait lire une détermination sans bornes, elle attendait, non elle voulait une réponse, LA réponse à sa question.  

 

Umibozu comprenait ce qu’elle attendait, une aura de fureur émergeait d’elle. Elle devait savoir et elle avait le droit de savoir mais avant il fallait qu’eux-mêmes sachent ce qu’avait vécu Sanaé, ce qui l’amenait à la recherche de son passé et de ses parents.  

 

« Avant, si tu nous expliquais ce que tu as vécu. Ce qui fait que tu as besoin d’aide aujourd’hui. » Dit le géant.  

 

Elle vit bien qu’il ne lâcherait pas prise, et pour une fois elle était trop en manque d’aide pour continuer à imposer ses décisions. Alors elle céda mal gré bon gré.  

 

 

« Soit mais je serais brève, les grandes explications ce sera pour plus tard et après ça je veux savoir ce que vous me cachez et surtout où est mon père… »  

 

Ils acquiescèrent tous, de toute manière ils ne pouvaient taire ce qu’ils savaient, elle était en droit de savoir.  

 

« Et bien tout d’abord je crois que le mieux serait que je commence par le commencent, même si je ne le connais que depuis peu.  

 

J’ai vécu dans le Bronx dans un petit orphelinat je n’ai pas vraiment de souvenirs avant mon arrivée dans ce lieu de torture.  

Cependant j’ai appris en fouillant dans des papiers de l’administration que j’ai été élevée par un couple un mois après ma naissance ils m’ont adoptée.  

Leur nom Eléonor et Andrew FINTCH. J’ai découvert qu’après un accident de voiture qui avait rendu Madame Fintch veuve, ma garde lui avait été retirée.  

Apparemment on la jugeait dépressive et trop instable pour s’occuper convenablement de moi.  

 

J’ai donc été placée à l’orphelinat… Souvent je n'y restais pas, j'étais régulièrement bougé dans une autre ville, un autre état.  

À partir de ce moment mon nom et mon prénom changèrent souvent.  

L'orphelinat... Quand on y entre on n'en sort pas…  

 

Mais je ne m'en souviens que peu, je l'ai découvert grâce à des documents, trouvé dans ma dernière prison.  

 

Bref, Madame FINTCH n’a jamais réussi à récupérer ma garde. J’ai donc grandi dans ces lieux ou la violence quotidienne régnait. Je vous épargne le détail des bleus et autres hématomes que j’ai eus.  

 

À 5 ans l’orphelinat, mon dernier orphelinat à Brooklyn a été racheté et là ont commencé tous mes plu gros problèmes.  

L’homme qui l’avait racheté je ne sais par quel miracle, savait que la fille de City Hunter euh de Ryô Saeba y était.  

 

Fernand ABRANTES, 54 ans reconnu comme un des plus dangereux dirigeants de cartel au monde, avait choisi cette méthode pour surveiller la descendance directe de son ennemi.  

 

Mais ça on y reviendra plus tard.  

 

Ce rebut de la société avait un souci, il ignorait quelle enfant, était celle qu’il recherchait.  

 

Alors pendant près de 6 ans, il choisit de faire subir à toutes les petites filles le même traitement.  

 

Entraînement intensif aux armes, aux corps à corps et à l’utilisation des explosifs, sans compter les exercices psychologiques poussés et les tortures.  

 

Son but, faire de la fille de son pire ennemi une machine de guerre et aussi… la main de sa vengeance.  

 

Avec le temps il vit que seules deux fillettes pouvaient correspondre aux vus de nos exceptionnelles capacités. Il a à ce moment-là fait de nous des rats de laboratoires. Drogues, stimulants, mais aussi testeur d’armes on a tout vu tout connu ou presque…  

 

Il en produisait des nouvelles à un rythme effrayant, et pour les tester il y avait nous… entre autres…  

 

Son péché mignon les armes blanches…  

 

Discret et efficace selon lui. Mais les explosifs c’était pourtant l’une de ses armes préférées à une époque.  

 

Bizarre quand on sait que je n’ai jamais vu cet homme…  

 

Il envoyait toujours son sous fifre Fernando… Je n’ai connu que lui pendant des années. »  

 

Elle s’interrompit ce monologue l’épuisait…  

 

La blessure lui faisait mal, et surtout elle venait d’ouvrir les yeux un instant pour confirmer ce que son sixième sens lui indiquait, c’est-à-dire la présence de deux autres personnes dans l’enceinte du café.  

 

Mais non elle ne vit rien sauf des larmes sur le visage de Kazue et de Miki tandis que Saeko sous le choc était affalée sur le fauteuil les mains rejointes en une muette prière très probablement.  

 

Que se passait-il ? Pourquoi cette réaction ?  

 

Sanaé leur jeta un coup d’œil demandant une explication qui vint par Umibozu.  

 

« Nous connaissons ABRANTES… Il est responsable de la disparition de Ryô et de Kaori. »  

 

Au moment où le mot disparition se mit à résonner dans ses oreilles, elle tomba sur le sol comme morte.  

 

 

 

 

 

 


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