Chapitre 7 :: Qui était City Hunter…

Publiée: 23-06-07 - Mise à jour: 23-06-07

Commentaires: Bonjour à tous ! Oyé oyé vlà le chapite 7 ! Chapitre avec de l'action (priez pour moi qui suis pas doué pour mettre de l'action et je prierai pour vous les lecteurs ^^... Arf vraiment je suis bien plus douée pour mettre le doute !). Bon bref un ti résumé du chapitre précédent : Sanaé la fille de Ryô et de Madame X (hihihi ! Vous saurez son nom qu'a la fin de la fic ^^) à quitté très discrètement le Cat's pour se rendre dans l'ancienne 'demeure' de Ryô et de Kaori espérant y trouver des réponses. mais voilà son père et sa partenaire l'on précédé de peu, et elle a faillit les voirs dans une situation bien gênante. A présent Sanaé tenter de trouver des 'réponses' via une photo qu'elle a trouvé dans une chambre. Résumé finit ^^. Sinon merci mille fois pour vos reviews y vous embrasse toussssss ! Puis un méga merci à ma choupette pour ses corrections. Sinon pour la prochaine maje je promet pas que ce soit la semaine prochaine mais je vais tenter de harceler ma bêta lol. Pour finir JE SOUHAITES UN MEGA ANNIVERSAIRE A 'NOTRE INFIRMIERE' NAKITE - Tous pleins de bonnes chose à toi ! Bises à tous, encore merci et bonne lecture !

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Sanaé se rapprocha encore et toujours et prit entre ses mains le cadre afin de tenter de distinguer qui était sur la photo, malheureusement sa ‘lampe’ s’éteignit, la laissant sur le qui vive.  

Tout ses sens étaient en alerte, elle sentait plusieurs personnes se diriger vers elle lorsque tout d’un coup la lumière s’enclencha dans tout l’immeuble.  

Elle n’en fut pas spécialement étonnée, toutefois elle fut aveuglée.  

Sanaé se doutait que la nouvelle équipe City Hunter devait la chercher, puis elle ne sentait aucune menaces, alors elle plongea sa prunelle sur ce cadre.  

Il était en argent et brillait comme si c’était la seule chose encore intacte, la seule trace de ce qu’avait été City Hunter.  

La photo était celle d’un homme et d’une femme aux cheveux courts.  

Ils riaient aux éclats, leurs gestes tendres étaient pleins d’insouciance.  

Ce n’était pas le genre de photo ou on voyait la naissance d’un amour non ici on voyait plus une complicité, deux êtres avec des blessures immenses mais deux êtres qui se complétaient. Et Sanaé sut alors ce qu’elle regardait ou plutôt qui elle regardait.  

« Papa et sa partenaire, Kaori.. »  

« Oui Ryô et Kaori… au tout début de leur partenariat. » S’exclama Miki qui venait d’entrer dans la pièce suivie de près par le doc.  

Elle fut émue d'entendre dans la bouche de Sanaé le mot papa prononcé avec de la tendresse.  

« Tu n’aurais pas dû venir ici ! Tu nous mets en danger en faisant ça ! » S’exclamma le doc.  

Etonnant de sa part une telle réaction, mais depuis la disparition de Ryô et de Kaori, il est devenu amer et presque fou de colère.  

« Elle ne pouvait pas savoir Doc ! Laissez-là… Maintenant c’est fait. Par contre je me demande comment tu es rentrée ici. Umi a posé des pièges partout et presque personne n’y a jamais réchappé auparavant. »  

Sanaé regardait toujours son père, ses cheveux bruns foncé, ses yeux noirs et ce visage, ce visage de bonté mais pourtant de mort. Enfin elle saisissait toute l’importance qu’ils avaient eu à leur époque.  

Lui le bras droit, l’arme de dieu et elle le cœur. Comment se tromper en voyant se visage, il ne pouvait en être autrement… City Hunter ce serait eux deux à jamais, mais grâce à elle surtout.  

« Grâce à Kaori… » S’exclama Sanaé sans même s’en rendre compte.  

« Pardon ? » Répliqua Miki.  

Elle reprit ses esprits, comme son père, un instant charmeur, l’autre nettoyeur.  

« Non rien… Je suis entrée sans difficultés, les portes étaient ouvertes… Je n’ai pas senti le moindre piège. »  

« Ouvertes dis-tu ?! C’est bizarre… il vaut mieux partir et sur-le-champ. »  

Sanaé put lire une terrible angoisse dans les yeux de Miki, elle ignora alors pourquoi mais elle tenta de la rassurer, alors que pourtant depuis toujours elle était plus du genre à agir qu’à ‘réfléchir’.  

« Rassurez-vous Miki, vu l’état du lit, j’ai dû déranger un couple et rien de plus, je ne pense pas qu’il y ai le moindre danger dans l’immédiat. »  

Miki baissa la tête, une perle roula sur sa joue, elle la laissa parcourir son chemin interminable sans même tenter de l’arrêter.  

« Tu te trompes… Nos informateurs nous ont appris que Abrantes te cherche, il est arrivé ce matin même en ville et déjà ses hommes ont fait de gros dégât pour te trouver, sans compter que nous savons de quoi il est capable quand il veut quelque chose. »  

La douce voix de la barmaid fut interrompu par une série de déflagration.  

« C’est pas vrai déjà, ils sont rapides !!! Vite il faut partir. » S’écria Saeko qui était rentrée et avait au passage attrapé le bras du Doc.  

Ryô et Kaori eux qui étaient sur le toit redescendirent aussi vite qu’ils le purent à l’armurerie prendre des armes, leurs armes.  

Sur leur chemins ils ne croisèrent personne, leur ‘famille’ avait trouvé refuge dans le garage, lieu où divers passages étaient à disposition via les égouts.  

Toutefois il était trop tard, juste le temps de prendre leurs armes et des munitions que les hommes de Abrantes était devant la porte menant au garage.  

Umibozu arme au point aidé de Saeko, de Miki et même de Sanaé faisait feu pour riposter et surtout tenter de trouver une solution pour se sortir de ce traquenard.  

Bientôt il n’y eu plus de porte, et le mur s’effondra en partie, laissant une barrière pour protéger Sanaé et les autres.  

Mais cela n’empêcha pas l’escadron envoyé par Abrantes de tenir bon.  

Impossible de bouger, ils étaient trop loin des sorties de ‘secours’ aménagées par Ryô. Au bout de 10 mètres l’armada ne manquerait pas de leur tomber dessus.  

Qui plus est ils étaient presque en manque de munition.  

Sanaé eut alors une idée.  

« C’est moi qu’ils veulent ! Partez, je les tiendrai à l’écrat le temps que vous soyer hors de danger ! »  

Bien qu’Umibozu fut en ‘première ligne’ avec sa mitraillette, il avait entendu.  

« Si tu crois qu’on va te laisser ici ! Toi la fille de Ryô ! C’est hors de question ! Puis ça règlerait pas le problème ! »  

En effet, le problème n’était pas réglé étant donné que d’autres hommes venait de faire leur entrée par les portes extérieures du garage.  

A présent ils étaient pris entre deux feux.  

Par providence, le 4X4 d’Umibozu faisait rempart et les protégeait un temps soit peu.  

Sanaé réalisa que c’était très certainement fini pour eux, alors elle se dit autant ne pas mourir idiote, pas après tout ça.  

Et tout en continuant a tirer, elle interrogea Miki qui était a sa droite, protégeant autant que possible le Doc.  

« Miki… Je veux savoir… Si on doit mourir, je veux savoir qui est ma mère… »  

Elle en fut sous le choc, quelle détermination dans sa voix, quelle certitude, quel renoncement surtout.  

« Mais enfin, je ne sais pas qui c’est… Seul ton père le sait ou le savait ! Souviens toi des paroles de Saeko… Puis on va pas mourir ici ça tu peux en être sûre !!!!! On a encore pas mal de munitions dans la voiture ! »  

Elle lui fit un clin d’œil comme pour la rassurer, mais Sanaé n’était pas véritablement inquiète, elle avait toujours su qu’un jour elle mourrait arme au poing.  

« Bon ok ! Mais explique-moi pourquoi ton mari disait que si je le livrais ça réglerait pas le problème ! »  

‘Qu’elle drôle d’enfant’ Pensa la barmaid.  

« Très bien mais pour ça je dois remonter dans le temps, presque 10 ans en arrière ! »  

Pendant ce temps, Ryô et Kaori avait eux réussi à sortir de l’immeuble, ils connaissaient les lieux ainsi que les moindres sorties cachées comme personne et n’avait presque pas rencontrés d’obstacles.  

Ils savaient fort bien ce qui se déroulait à l’intérieur mais ne pouvaient intervenir directement, la seule chose qu’ils pouvaient faire c’était offrir une opportunité pour Sanaé et les autres de s’enfuir.  

Le couple de nettoyeurs se cachait contre le mur de leur immeuble, étant ainsi loin des yeux de leurs ennemis.  

« Kaori, tu es prête ?! »  

« Oui, il le faut pour elle surtout, elle doit vivre Ryô, il le faut. » S’exclama Kaori avec une note d’angoisse dans sa voix.  

Son mari, s’aprocha d’elle et l’embrassa fougueusement, sa main sur sa nuque l’appaisa sur le champ.  

« Elle vivra Kaori, je vais tout faire pour ! Maintenant c’est à toi »  

Elle enleva son imper qu’elle laissa là sur le sol, mitraillette à l’épaule, grenades en ceintures puis respira un bon coup et attrapa son arme favorite (NDA : non c’est pas la massue !) son bazooka.  

Sans même se retourner elle se mit à courrir, passa devant l’entrée principale de l’immeuble, mais ne s’attarda pas, déjà Ryô avait attiré leur attentions en leur tirant dessus.  

Le moindre larbin qui tentait de s’approcher d’elle se retrouvait bien vite sur le sol, Ryô y veillait, tout un bataillon ne lui faisait pas peur, il n’avait vraiment rien à craindre.  

Kaori toujours aussi vive bien qu’encombrée de son bazooka se fit une joie de débalayer le chemin à coup de grenades pour finaliser leur stratégie.  

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