Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur: TOKRA

Beta-reader(s): Paty

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 28 chapitres

Publiée: 18-01-09

Mise à jour: 26-05-09

 

Commentaires: 410 reviews

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RomanceHumour

 

Résumé: En un week end, tout a changé entre Ryo et Kaori. Cependant, ils en ignoraient encore les conséquences....

 

Disclaimer: Les personnages de "Les conséquences d'un week end" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Les conséquences d'un week end

 

Chapitre 4 :: Un chevalier servant ?

Publiée: 31-01-09 - Mise à jour: 31-01-09

Commentaires: Coucou !! Merci à Usakisa, Makimura, 1grisou, Kitty, Didinebis, Nanou, Fankaori, Kaori62, Kithawke, Tennad, Thalia, Eli, Grifter, Rkever, Kelele, Saoria et Bulma d'avoir laissé une review pour le chapitre précédent. merci à ma béta pour ses corrections. Bonne lecture à tous !

 


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Kaori était sous le choc, avait accordé sa confiance à Ryo, et voilà le résultat : il avait embrassé une femme sous ses yeux ! elle n'arrivait pas à y croire. Elle était tellement sonnée par ce qu'elle avait vu que les larmes n'arrivaient pas à couler. Elle voulait partir loin d'ici; il n'y avait qu'une seule solution : prendre un taxi. elle s'apprêtait à le héler quand une main se posa sur son épaule.  

 

Elle se retourna et fut surprise de voir son cavalier.  

 

- Ne prenez pas un taxi, je vais vous raccompagner.  

 

Kaori était tellement abasourdie, qu'elle accepta sa proposition sans réfléchir. Ce n'est une fois que l'homme eut démarré qu'elle se rendit compte de la bêtise qu'elle avait faite. Elle commença à paniquer. A cause de Ryo, elle se trouvait une nouvelle fois dans une situation périlleuse. Il fallait qu'elle trouve un moyen de s'enfuir.  

 

Hyuga comprit la signification de la peur dans les yeux de la jeune femme et la rassura. Il voulait juste la raccompagner chez elle, et il lui demanda où il devait la ramener. Pas beaucoup plus rassurée, Kaori ne chercha pas à s'enfuir car elle avait vu dans le rétroviseur la mini de Ryo les suivre. L'homme, s'il était un professionnel, ne semblait pas s'être rendu compte que la mini était derrière, ou tout au moins ne le montra pas.  

 

Arrivé devant l'immeuble, Kaori sortit rapidement de la voiture, à moitié rassurée de voir qu'elle était arrivée à bon port.  

 

Hyuga sortit à son tour de la voiture et s'approcha de la jeune femme.  

 

- J'ai passé de délicieux instants en votre compagnie. Me feriez-vous l'honneur de m'accorder une de vos soirées ?  

 

- Non, je suis désolée. Je crains que ça ne soit pas possible !  

 

- Et pourquoi ? Ne me dites pas que vous avez quelqu'un dans votre vie !  

 

Kaori ne souhaitait qu'une chose: qu'il disparaisse et qu'elle reste seule. Alors elle lui répondit :  

 

- Oui, j'ai quelqu'un ! Si vous voulez bien m'excuser, je suis fatiguée, je veux rentrer chez moi ! Au revoir !  

 

Avant que Kaori n'ait pu faire un seul geste, l'homme s'empara de ses lèvres. Kaori n'eut pas le temps de le repousser, qu'Hyuga avait disparu de son champ de vision. Elle le vit à quelques mètres d'elle sur le sol, puis elle vit deux mains attraper le malheureux et le poser violemment sur le siège conducteur, et leur propriétaire dire :  

 

- Ne t'avise plus de toucher, ne serait-ce qu'un cheveu de ma femme si tu tiens à la vie.  

 

Hyuga ne demanda pas son reste, et s'enfuit rapidement.  

 

Kaori regardait Ryo, et il se dit que rien de bon ne présageait ! Kaori avait un regard noir. Elle devait lui en vouloir pour ce qu'elle avait vu dans la boite de nuit. Brusquement, elle fit demi-tour et se dirigea en direction de l'immeuble. Ryo la suivit silencieusement.  

 

Arrivée dans l'appartement, elle prit la direction de sa chambre. Ryo prit la même direction. Il fallait qu'ils crèvent l'abcès tout de suite. Il avait bien compris que Kaori lui en voulait car il avait laissé la femme l'embrasser dans la boite. Alors violemment il ouvrit la porte qu'elle venait de refermer derrière elle.  

 

Kaori toujours en colère contre Ryo, lâcha :  

 

- Laisse-moi tranquille ! Et va retrouver cette fille !  

 

- Et toi alors !?  

 

Kaori se retourna brusquement, et se mit à hurler :  

 

- Quoi moi ?  

 

- Tu as vu comment tu dansais avec ce freluquet ! T'étais complètement collée à lui !  

 

- Et bien moi je n'ai pas embrassé à pleine bouche une inconnue !  

 

- Pourquoi ? Tu le connaissais cet avorton pour l'embrasser ?  

 

- Je ne l'ai pas embrassé ! C'est lui qui m'a embrassé !  

 

- Et qu'est-ce que tu crois ! Moi aussi c'est elle qui m'a embrassé ! Alors tu vois on est à égalité !  

 

Ils ne surent jamais lequel des deux avait fait le premier pas, mais ils se retrouvèrent enlacés, et s'embrassant de façon fiévreuse. Puis rapidement ils basculèrent sur le lit où ils s'aimèrent avec passion. Le Ryo doux et tendre avait disparu et avait laissé la place à un Ryo conquérant. Il n'y avait aucune douceur dans leur étreinte. C'était comme s'ils voulaient assouvir leurs besoins de façon bestiale. Comme s'ils voulaient faire montrer leur colère respective à l'autre. Mais peu à peu leur étreinte se fit plus tendre, leurs baisers moins sauvages : leur colère était retombée. Et après un cri de jouissance poussé en même temps, Ryo retomba sur Kaori, le souffle court. Et leurs deux corps luisant de sueur, ils restaient là, immobiles dans le lit.  

 

Puis Ryo ne voulant pas écraser la jeune femme par son poids, se défit d'elle, et roula sur le côté pour s'allonger. Malheureusement pour lui, il avait oublié la taille du lit de Kaori, et il se retrouva sur le plancher de la chambre.  

 

Il se releva frottant ses fesses, et bien vite retourna dans le lit se collant à sa belle. Il voulait à tout prix reprendre la conversation qu'ils avaient abandonné avant leurs ébats. Alors tout en caressant le corps alangui de Kaori, il lui dit :  

 

- Tu sais Kaori, je t'ai dit la vérité ce n'est pas moi qui ai embrassé cette femme. Tu vois quand je t'ai vu avec cet avorton, j'étais tellement jaloux que j'en ai brisé mon verre, et cette femme est venue me soigner. J'étais tellement obnubilé par ce que je voyais que je n'ai même pas fait attention à elle. Je ne voyais que toi ! Toi dans les bras d'un autre que moi ! Et quand elle m'a embrassé, je n'ai pas réagi, je ne pensais qu'à toi ! Quand je m'en suis rendu compte, immédiatement je l'ai repoussé ! Alors tu me crois ?  

 

Kaori, qui s'était mise à caresser le torse de son amant, se rapprocha encore plus de lui.  

 

- Je te crois Ryo ! Mais je ne sais pas si je vais te pardonner !  

 

Ryo jeta un regard inquiet à son ange, mais une lueur malicieuse au fond de ses yeux, lui fit comprendre qu'elle le faisait marcher. Alors il se fit séducteur et la plaquant sur le lit, il se colla à elle et sussura à son oreille :  

 

- Je vais faire tout pour me faire pardonner. Tu vas voir ! Mais chez moi, les gestes sont plus faciles que les mots, alors, je vais plutôt te le montrer.  

 

Kaori comprit ce qu'il voulait faire, et heureuse qu'ils aient surmonté leur première dispute de couple, elle savoura pleinement les excuses de Ryo, et lui prodigua aussi les siennes.  

 

Après avoir passé une bonne partie de la nuit à s'excuser mutuellement, c'est aux premières lueurs de l'aube que finalement ils s'endormirent.  

 

 

 

Quelques heures plus tard, un client entra au Cat's Eye. Miki l'accueillit :  

 

- Tiens bonjour Hyuga, un café ?  

 

- Oui merci Miki.  

 

- C'est moi qui te remercie pour hier ! Tu as été parfait dans ton rôle !  

 

- Oui, mais c'est la dernière fois que je t'aide ! J'ai bien cru que j'allais mourir !  

 

- Tu n'as quand même pas fini sous une des massues de Kaori ?  

 

- Des massues ? Non, mais la prochaine fois que tu veux que je drague une de tes amies, préviens-moi qu'elle est mariée !  

 

- Mais Kaori n'est pas mariée.  

 

- Alors c'est qui cette grande brute qui m'a dit que je ne devais pas toucher à sa femme.  

 

Miki, songeuse, se dit que finalement Kaori et Ryo étaient peut être ensemble et que son week-end n'avait pas été vain ! D'ailleurs quand Kaori avait quitté la boite la veille, Ryo avait également disparu. Alors ravie elle lui demanda :  

 

- Dis-moi Hyuga... il était comment le mari de Kaori ?  

 

- Heu... attends que je m'en souvienne !  

 

Hyuga se mit à réfléchir. A quoi pouvait bien ressembler ce type ? Il n'en avait pas la moindre idée ! La veille, il n'avait pensé qu'à une chose : sa survie ! Il n'allait quand même pas dire à Miki qu'il n'avait aucun souvenir de cet homme, tellement il avait eu peur, et que son pantalon qui était dans sa machine à laver en était la preuve. Alors très vite il répondit :  

 

- Grand très grand, un peu comme ton mari, et des cheveux blonds, et puis barbu.  

 

- Tu es sûr ?, demanda Miki surprise par la description de l'homme.  

 

- Oui, sûr et certain. Un homme comme celui-là, ça ne s'oublie pas facilement. Bon moi il faut que j'y aille, à bientôt Miki,..... Falcon !  

 

Hyuga quitta rapidement le café, des fois que Kaori et son mari fassent leur apparition dans le café... Il tenait à la vie, alors il se dit qu'il se passerait de ce merveilleux café durant quelques temps, le temps pour lui de se faire oublier par ce colosse qu'il ne voulait pas à nouveau rencontrer. Dommage que la jeune femme n'était pas célibataire, car elle lui avait vraiment plu et si elle n'avait eu quelqu'un dans sa vie, il se serait empressé de la courtiser.  

 

Miki regarda l'homme s'éloigner avec étonnement. Kaori avec un autre homme que Ryo ? Non, il devait se tromper. Il n'y avait pas d'autre solution ! Mais il fallait qu'elle en ait le coeur net. Alors se saisissant de son sac à main, elle dit à son mari :  

 

- Je vais faire un tour !  

 

Puis elle quitta le café. Un sourire se matérialisa sur les lèvres de Falcon. Il savait exactement où se rendait Miki. Elle voulait savoir si ce que Hyuga disait était vrai.  

 

 

 

Kaori s'éveilla. Un bras l'empêchait de bouger. Alors délicatement, pour ne pas réveiller son propriétaire, elle l'ôta. Elle s'habilla rapidement avec les affaires qu'elle avait préparé la veille, avant de partir à la soirée, puis descendit préparer le petit déjeuné.  

 

Elle était en pleins préparatifs quand on frappa à la porte. Kaori alla ouvrir : c'était Miki. Kaori lui proposa un café. Et elles commencèrent à boire. Quand elle versa une deuxième tasse à son amie, du bruit se fit entendre à l'étage. Kaori sursauta et sans le vouloir renversa du café sur la jupe de Miki. Heureusement pour elle, il n'était pas bouillant.  

 

Kaori accompagna rapidement Miki à l'étage, afin qu'elle puisse nettoyer sa jupe dans la salle de bain. Pendant ce temps-là, elle chercherait dans son armoire une jupe pour permettre à Miki de se changer.  

 

Arrivées en haut elles se séparèrent, Kaori allait pénétrer dans sa chambre quand Miki poussa un cri strident. Kaori se précipita dans la salle de bain et vit Ryo au sol, nu comme un ver, maugréant :  

 

- Pourquoi ma Miki d'amour a elle aussi des massues maintenant ?  

 

Rouge de colère, Kaori lui balança une serviette.  

 

- Couvre-toi, pervers !  

 

Ne faisant pas pas attention au bout de tissu, Ryo se releva et se dirigea toujours en tenue d'Adam vers Miki.  

 

- Tu viens prendre une douche avec moi Miki ? On pourra se frotter le dos mutuellement !  

 

Miki ne put s'empêcher de répondre :  

 

- Tu n'as qu'à demander à Kaori !  

 

- Désolé ! Moi je ne prend pas ma douche avec un travelo !  

 

- Tu sais ce qu'il te dit le travelo !  

 

Et Ryo finit une nouvelle fois sous une massue tandis que Kaori, attrapant Miki par la main, se dirigea vers sa chambre.  

 

Quand elle s'apprétait à ouvrir la porte, elle se rappela trop tard, dans quel état était sa chambre. Quand elle l'avait quitté quelques minutes plus tôt, vêtements et emballages de préservatifs jonchaient au sol. Miki allait savoir pour eux !  

 

- Kaori, tu rêves ?, demanda Miki surprise de voir son amie rester immobile devant sa chambre.  

 

Kaori, ayant lâché la poignée, Miki s'en saisit et ouvrit la porte. Le coeur de Kaori se mit à battre à tout rompre.  

 

 

 

 

 


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