Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur: thalia

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 13 chapitres

Publiée: 23-01-09

Mise à jour: 13-12-09

 

Commentaires: 153 reviews

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GeneralRomance

 

Résumé: Coucou !! Je viens d 'avoir envie de faire une nouvelle petite histoire ! rassurez-vous je ne pense pas qu'elle soit longue mais comme j'aime beaucoup kyôto, j'ai eu envie de faire une petite fic dessus. Je n'abandonne pas "le retour de City Hunter", non mais je me sens inspirée grave à toutes les histoires que j'ai lu donc voilà.

 

Disclaimer: Les personnages de "Kyôto"sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Kyôto

 

Chapitre 7 :: Ensembles

Publiée: 16-03-09 - Mise à jour: 16-03-09

Commentaires: Coucou me revoilà :) et bien voici un petit chapitre qui va vous plaire je pense lol enfin j'espère !! soyons romantiques un peu, je reprendrais les décriptions de Kyoto après ^^ chaque chose en son temps non ? alors bonne lecture et faites moi pleins de reviewssssss !!

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13


 

Pénétrant dans leur chambre, le couple de nettoyeurs n’osait plus se regarder. Ils avaient passé plus d’une heure en haut de la colline Inari à s’embrasser comme des adolescents et ils avaient décidé ensuite de rentrer à leur Ryokan quand Kaori avait été prise de frissons à cause du froid. Le chemin en vélo avait été silencieux, aucun des deux ne savait quoi dire à l’autre. Cette situation était si nouvelle pour eux et si embarrassante aussi, qu’il y avait une pression sourde et pesante entre eux. Kaori avait peur que Ryô change d’avis et lui ne savait pas s’il pourrait se retenir de lui sauter dessus alors qu’ils étaient dans cette si petite chambre mais il avait aussi très peur de la brusquer.  

 

La pièce était dans la semi pénombre, seule la lueur de la lune éclairait les tatamis lançant des reflets argent dans les cheveux du nettoyeur. Kaori lui tournait le dos, elle regardait par la fenêtre les étoiles qui s’allumaient dans le ciel. Son cœur battait à tout rompre et ses doigts s’entremêlaient les uns dans les autres, gênée la jeune femme n’osait pas faire face à Ryô. Elle avait encore le goût de ses lèvres sur les siennes et la chaleur de ses doigts sur sa peau. Des picotements au bas des reins, lui remontaient le long de la colonne vertébrale en repensant au souffle chaud de son partenaire. Sa respiration augmenta quand elle senti l’homme derrière elle, s’approcher. Puis la voix roque de Ryô surgie dans la chambre, la faisait trembler de tous ses membres :  

 

-Kaori…ça va ?  

 

Il ne savait pas quoi lui dire mais il sentait son trouble et il voulait la rassurer un peu.  

Ne bougeant pas d’un pousse, Kaori reprit une bouffée d’air.  

 

-Oui…  

 

Ryô savait qu’elle n’allait pas bien car elle ne le regardait pas. Il avait envie de la prendre dans ses bras et de la bercer tendrement mais il se sentait gêné lui aussi comme si prendre une femme dans ses bras l’embarrassait. A cette pensée, il se surprit à sourire. Lui l’étalon de Shinjuku, l’homme qui drague tout ce qui bouge, avait peur ! Peur de s’approcher de la seule femme qui avait de l’emprise sur lui. Peur de lui faire peur à elle, peur de la brusquer, peur qu’elle se refuse à lui… Tous ces sentiments se mélangeaient dans l’esprit du nettoyeur et ses mains se mirent elles aussi à trembler quand il les tendit vers sa partenaire. Ses gestes étaient hésitants voir débutants, jamais il ne s’était senti si peu sur de lui en face d’une femme. Mais il faut dire que ce n’était pas n’importe quelle femme non plus. Il était avec son ange. Et leur relation n’avait jamais atteint ce degré d’intimité. Leurs baisers avaient été brulants quelques heures auparavant et ils savaient tous les deux pourquoi. Leur désir si longtemps contenu entre les non-dits et les regards, pouvait enfin s’exprimer au grand jour. Eux qui s’étaient cherchés si longtemps, s’étaient enfin trouvés. Pourtant être là, seuls dans cette pièce, sans aucun échappatoire possible, stressait Ryô. Il avait envie de regoûter encore aux doux baisers sucrés de son ange mais il avait l’impression d’être redevenu un ado, ne sachant que faire et que dire.  

 

Kaori, elle, avait envie de se jeter dans les bras puissants de Ryô mais elle attendait qu’il fasse le premier pas. Elle ne voulait pas qu’il la rejette encore si c’était elle qui s’avançait vers lui. Elle ne le supporterait pas. Peut-être qu’il avait changé d’avis en rentrant. Le trajet jusqu’au Ryokan avait été si silencieux que la jeune femme se demandait s’il n’avait pas prit le temps de réfléchir et de se défiler encore une fois. Même si elle avait senti tout le désir qu’il éprouvait pour elle, elle avait encore du mal à le réaliser. Il fallait que son partenaire la rassure car autrement elle allait devenir folle. Tremblante, elle senti deux bras s’entourer autour de sa taille puis le menton de Ryô vint se poser sur son épaule. Le souffle chaud de l’homme la fit frissonner. Tournant légèrement les yeux vers lui, elle aperçu son sourire et se sentie tout de suite rassurée. Aucun mot n’était nécessaire. Elle pouvait ressentir tout l’amour de Ryô pour elle dans ses yeux à cet instant.  

Il la serra doucement contre lui et lui murmura tendrement :  

 

-N’es pas peur… je ne changerais plus jamais d’avis.  

 

Le cœur battant, Kaori se tourna pour le regarder dans les yeux.  

 

-Plus jamais ? Même quand on va rentrer ?  

 

Ryô appuya son front contre le sien et son sourire s’agrandit.  

 

-Jamais plus.  

 

Et il captura ses lèvres. Il scellait ainsi sa promesse. Les deux êtres, enlacés face à la lumière de la lune, goûtaient pour la première fois au bonheur d’être vraiment ensembles.  

 

 

Les mains de Ryô se firent plus baladeuses au bout de quelques minutes. Caressant le corps voluptueux de sa douce. Il ne pouvait pas s’en empêcher car après avoir tant attendu ce moment magique entre eux, il ne pouvait pas se refreiner encore plus. Les baisers étaient déjà très passionnés et les mains du nettoyeur ne pouvaient pas rester inactives. Courant dans le dos de la jeune femme, passant sous son pull pour toucher sa peau laiteuse, il cherchait encore plus de contact. Kaori, elle, passait ses doigts dans la chevelure noire de son partenaire et gémissait sous ses caresses. Alors que la pression de leurs corps s’accentua, la nettoyeuse sentie un changement physique se manifester près de sa cuisse. Rougissant, elle se détacha des lèvres de Ryô et ses yeux brulants de désirs descendirent vers la direction de la pression. Le mokkori de son partenaire était réveillé. Et il l’était pour elle. Surprise et déboussolée, elle se recula un peu comme si elle prenait enfin conscience de la situation. De simples baisers, ils étaient passés au désir charnel. Peu habituée à ça, Kaori paniquait. Que devait-elle faire ? Elle avait attendu si longtemps que Ryô se déclara à elle mais maintenant elle avait l’impression qu’ils allaient trop vite. N’ayant connu aucun homme avant, elle se sentait perdue. Qu’est ce qu’elle imaginait ? Que l’étalon de Shinjuku allait se suffire de petits bisous innocents ? Ils n’étaient plus des ados, elle devait savoir ce qui l’attendait alors pourquoi paniquait-elle maintenant ?  

 

Ryô senti le changement d’humeur de sa partenaire. Elle paraissait hésitante. Elle voyait bien l’effet qu’elle lui faisait et il avait l’impression qu’elle en avait peur. Quoi de plus normal ? Il se traita d’être stupide mentalement et adressa le même reproche à son mokkori. Mais ce dernier n’en avait rien à faire et continuait à pointer vers la splendide femme devant lui. Après lui avoir si longtemps interdit de se montrer à Kaori, ce n’était pas maintenant qu’il allait se cacher ! Ryô soupira, non il ne pouvait plus lui cacher mais il pouvait la rassurer.  

 

-Kaori…désolé mais je ne peux plus te mentir… tu me fais de l’effet et…  

-Ne dis rien, c’est de ma faute…  

-Ta faute ? Mais pourquoi ?  

-Je n’ai pas…enfin tu vois tu es le premier…je ne sais pas quoi…  

 

Kaori baissa les yeux et les joues rougissantes, elle essayait d’expliquer à Ryô pourquoi elle réagissait comme cela mais elle n’arrivait pas à mettre ses idées dans l’ordre.  

 

-C’est moi l’idiot, commença Ryô pour l’aider. Je mets des années à faire le premier pas vers toi et pourtant en quelques heures, je suis près de te sauter dessus. Je suis désolé, je ne peux plus me contenir. J’ai beaucoup de désir pour toi et ça se manifeste…mais je te promets que je me ferais rien de déplacé…  

 

Caressant sa joue de sa main, il lui fit le plus beau sourire de la terre. Elle l’avait attendu toutes ces années, lui pouvait aussi attendre pour faire d’elle sa femme. Le plus important, maintenant, c’était qu’elle se sente bien. Levant légèrement son menton, il déposa un baiser aérien sur les lèvres de son ange. Puis il s’éloigna un peu d’elle. Il était presque minuit et Ryô avait faim ! Ils n’avaient rien avalé depuis Inari et comme il devait penser à autre chose qu’au corps de Kaori, il se dit que la nourriture était le meilleur des compromis.  

 

-Tu as faim ? lui demanda-t-il en reprenant contrôle de lui-même.  

 

Kaori qui se sentait un peu ridicule de sa soudaine peur, lui fit seulement un petit signe positif de la tête.  

 

-Très bien, je vais aller chercher quelque chose au combini.  

 

Attrapant sa veste, il se dirigea vers la porte quand Kaori sortie de sa léthargie.  

 

-Mais tu as vu l’heure ? La porte va être fermée, tu ne pourras pas revenir !  

 

Ryô esquissa un sourire.  

 

-Ne t’en fais pas, je reviendrais vers toi, lança-t-il d’une voix chaude.  

 

Puis il passa la porte non sans faire un bisou à sa partenaire.  

 

 

Kaori tournait en rond depuis que Ryô était parti. Elle ne savait pas quoi faire. A chaque fois qu’elle repensait aux étreintes de son partenaire, elle virait au rouge cramoisi. Elle sentait encore ses mains sur elle et la douceur avec laquelle il la touchait. Allant discrètement dans la salle de bain, elle se passa un gant humide sur le visage. Ses joues avaient toujours une teinte rosée et elle avait un air idiot inscrit sur sa face comme tous les amoureux qui ne pensaient qu’à leur moitié.  

 

« Ma vieille tu es stupide ! Ryô est aux petits soins pour toi, tu as enfin tout ce que tu rêves et tu paniques dès que ça devient plus sérieux entre vous ! »  

 

Fronçant les sourcils, elle se détailla et se mit à rire. Elle avait ses habits complètement dérangés, ainsi que ses cheveux. Ryô n’y était pas allé de main morte. Se recoiffant un peu, puis arrangeant son maquillage, la jeune femme se dit qu’elle devrait aussi passer des affaires plus « confortables ». Rougissant à nouveau, elle retourna dans la chambre pour jeter un œil dans son sac. Elle n’avait rien amené de très sexy mais une deuxième chemise de nuit plus moulante. Hésitant quelques secondes, elle se décida et l’enfila. La vêtement lui collait au corps laissant voir toutes ses formes. Pourtant quelque chose gênait la jeune femme. C’était bien trop court ! Elle avait l’impression qu’on lui voyait tout et elle n’aimait pas ça. Cherchant à nouveau dans ses affaires, elle soupira d’exaspération car elle ne trouvait pas son bonheur. Elle allait à nouveau se changer quand elle eu une idée.  

 

« Pourquoi pas…je ne pense pas que cela le gêne… ».  

 

Trouvant ce qu’elle cherchait, elle l’enfila et resta donc avec sa chemise de nuit. Puis elle descendit les futons. Tamisant les lumières de la chambre en posant un linge sur l’ampoule, elle attendit ensuite son homme sous la couette, se dressant légèrement pour admirer la nuit à travers la fenêtre.  

 

 

Ryô marchait d’un pas vif pour rejoindre sa partenaire. Il avait acheté des bricoles pour se caler un peu le ventre mais cette sortie lui avait permis aussi de se calmer un peu. Il y avait tellement de tension sexuelle entre lui et Kaori comme dans le restaurant de sushis mais puissance 100, qu’il avait eu du mal à se retenir. Prendre l’air, lui avait remis les idées en place et il se sentait près à affronter à nouveau la situation. Même si cela devait être frustrant pour lui, il ne devait pas le laisser paraitre. Pour elle, il en était capable. Il attendrait qu’elle soit prête et cela ne serait que plus merveilleux. Un sourire idiot sur les lèvres, le nettoyeur passa la porte d’entrée sans grande difficulté. En partant il l’avait bloqué avec un bout de papier contre la serrure, ainsi elle n’était pas fermée à chef. Il pu donc retourner dans sa chambre sans problème. Passant le seuil de la pièce, il habitua ses yeux à la lumière qui éclairait faiblement les murs. Il aperçu les futons sur le sol et Kaori couchée dans le sien. S’approchant doucement de peur de la réveiller, il vit qu’elle ne dormait pas mais qu’elle contemplait la lune. Il vit aussi qu’elle s’était changée et qu’elle portait une chemise de nuit tout à fait affriolante. Il dégluti face à ce spectacle et se maudissait intérieurement en sentant son mokkori réagir. Alors qu’il se raclait la gorge, Kaori se retourna et lui fit un magnifique sourire. Elle était si belle qu’il ne pouvait pas la quitter des yeux.  

 

-Qu’est ce que tu as acheté ?  

-Quoi ?  

-La nourriture…qu’est ce que tu as pris ?  

-Ah…oui des bricoles.  

 

Il lui tendit le sac et s’installa sur son futon. Il ne pouvait pas détacher ses yeux d’elle. Elle était si belle et elle ne s’en rendait pas compte. Il faut dire qu’il avait passé tant d’années à lui dire le contraire qu’il n’y avait rien d’étonnant à ça. Mais il devait lui montrer le contraire maintenant. Réparer ses erreurs.  

 

-Tu ne manges pas ? demanda la jeune femme le sortant de ses réflexions.  

-Si si…  

 

Kaori était loin de se douter que son partenaire luttait pour ne pas lui sauter dessus. Innocemment, elle ne voyait pas l’effet qu’elle avait sur lui. Pourtant chacun de ses gestes étaient analysés par l’homme. A chaque fois qu’elle amenait de la nourriture à sa bouche, Ryô déglutissait. Tout lui paraissait sexy et appétissant. Il devait se contenir pour ne pas craquer. Il détourna les yeux et se concentra sur la nourriture posée sur le tatami. Comment avait-il fait pour tenir si longtemps alors qu’il voulait tant lui sauter dessus maintenant ? Peut-être qu’avant il ne connaissait pas le goût de ses lèvres alors c’était plus facile. Non, il devait tenir et bien se comporter, il lui avait promis.  

 

-Ryô ? Ca va ?  

 

Alors qu’il posait ses yeux sur elle, il fut attiré par la bretelle de sa chemise de nuit qui descendait dangereusement le long de son épaule. Non, là, elle le torturait, ce n’était pas possible !  

 

-Oui…oui… je vais aller faire un tour dans la salle de bain…  

 

Il se leva précipitamment et quitta la chambre le souffle court. Finalement il ne savait pas s’il arriverait à se retenir. Rester toute la nuit près d’elle sans rien faire, allait le tuer. Regardant son reflet dans le miroir de la salle de bain, il vit ses tourments se dessiner sur ses traits.  

 

« Je peux le faire, j’ai tenu 8 ans, je tiendrais encore une nuit ! »  

 

Bien décidé, il retourna dans sa chambre. Et là il eut un choc. Kaori s’était allongée sur le ventre sur la couette, ses jambes jouaient l’une avec l’autre. Elle tapait un texto sur son téléphone en fredonnant un air de musique douce. Elle balançait en rythme sa tête de gauche à droite, faisant voler ses cheveux. Elle avait l’air si fragile et en même temps si forte que le cœur de Ryô en était emporté. Elle ne se rendait pas compte du pouvoir qu’elle avait sur lui et maintenant qu’il avait baissé ses barrières, il ne pouvait plus se retenir. Son désir pour elle était si fort et si puissant, qu’il sentait qu’il risquait de devenir complètement fou aux moindres de ses gestes. Il s’approcha doucement et s’installa près d’elle. Il n’osait pas la regarder de peur de lui sauter littéralement dessus.  

 

-A qui écris-tu à cette heure si ? demanda-t-il comme si de rien n’était.  

-A Mick…je viens de recevoir un message de sa part pour savoir comment se passe notre week-end…  

-Et qu’est ce que tu lui dis ?  

 

Kaori leva les yeux vers Ryô et sourit. Il était tellement craquant qu’elle voulait le garder pour elle seule. Bien sûr, elle n’allait rien dire à Mick de l’évolution de sa relation avec son partenaire mais elle avait envie de taquiner le nettoyeur alors elle lança :  

 

-Qu’il embrasse mieux que toi… fit elle rajoutant une moue espiègle.  

 

Sa stratégie marcha car Ryô fut piqué au vif et se trouva en un instant sur sa partenaire, la dévorant des yeux.  

 

-Quoi ? Il embrasse mieux que moi ?  

 

Ryô savait que Kaori lui mentait mais il avait envie lui aussi de rentrer dans son jeu. La jeune femme se mit alors à rire et lâcha son téléphone qui tomba sur le tatami. Puis elle passa ses bras autour du cou de son partenaire et les yeux dans les yeux, elle continua ses taquineries :  

 

- Prouve-moi que je mens !  

 

Ryô sourit. Il était complètement sous son charme et toutes ses résolutions s’envolaient une par une. Alors il enlaça tendrement son ange et l’embrassa passionnément. Plus rien n’existait qu’eux. Kaori se laissait transporter dans cette passion naissante. Elle n’avait plus peur. Elle était dans les bras de l’homme qu’elle aimait le plus au monde, elle n’avait aucune raison d’avoir peur et elle s’en rendait compte. Lui, laissait simplement parler son amour pour elle. Il était tendre et délicat mais ses gestes étaient parfaits. Il savait ce qu’il devait faire quand le faire. Ses caresses devinrent plus chaudes, effleurant la poitrine de la jeune femme ou le bas de ses reins. Puis se furent ses lèvres qui partirent à la conquête de son corps. Il déposait des milliers de baisers sur chaque centimètre de peau qu’il découvrait. Il lui retira sa chemise de nuit puis resta en extase complète devant ce corps si parfait qu’il avait tant dénigré auparavant. Puis il regarda ce qui cachait l’intimité de sa compagne et éclata de rire.  

 

-Quoi ? demanda-t-elle vexée, pensant que c’était d’elle qu’il se moquait.  

-C’est un de mes calçons ça ?  

 

Kaori se mit à rougir. Oui elle lui en avait piqué un pour se sentir plus à l’aise dans sa chemise de nuit. Mais elle était tellement bien dedans qu’elle avait oublié qu’elle l’avait.  

 

-Oui…dit-elle timidement.  

 

Ryô attrapa son menton et l’embrassa doucement.  

 

-Tu es magnifique.  

 

Kaori avait chaud mais ce compliment fini de l’achever. Ses joues étaient pivoines.  

 

-Tu n’es pas mal non plus…  

-Tu es sûre de toi ? Je veux dire, je peux attendre…lui demanda-t-il alors qu’il sentait que son mokkori n’était pas d’accord du tout.  

-Oui…on a assez attendu.  

 

A ces mots, la nettoyeuse l’embrassa à son tour et lui retira son t-shirt. Cette nuit allait bouleverser leur vie à tout jamais et ils en avaient pris conscience tous les deux.  

 

 


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