Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Author: Lovely

Beta-reader(s): Myriam

Status: To be continued

Series: City Hunter

 

Total: 22 chapters

Published: 16-02-05

Last update: 21-04-06

 

Comments: 93 reviews

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GeneralRomance

 

Summary: Qu'est-ce que je peux vous dire ? En fait j'ai fait un mélange avec l'ancien amour de Ryô, un peu avec l'organisation de Kaibara et...Non stop si je continue vous saurez tout donc...à vous de voir...

 

Disclaimer: Les personnages de "Vieille connaissance" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Vieille connaissance.

 

Chapter 5 :: Qui cuisine mieux ?

Published: 11-03-05 - Last update: 15-04-05

Comments: Ah mais je vous gâte aujourd'hui ! J'avais une envie folle de majer et comme j'avais congé ben...ça tombe bien. J'espère que ça vous plaira en tout cas je me suis bien amusée en écrivant ce chapitre. Kissou et n'oublier pas mes reviews. Merci pour mes reviewveuses ( je en sais pas si ça s'écris comme ça ?!? ^^) Bonne lecture

 


Chapter: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22


 

En descendant les escaliers, Ryô repensait à ce qu’il venait de dire à Kaori. Il venait de tout lui révéler, il ne lui avait caché aucun détail… Il n’aurait jamais cru que sur cette terre pouvait exister une femme telle que Kaori … Une jeune femme douce, courageuse, gentille, généreuse, belle…Toutes ces qualités étaient rassemblées en une seule personne : Kaori Makimura. Qu’avait-il fait pour avoir la chance d’avoir un ange à ses côtés ? Lui qui avait tué on ne sait combien de personnes, qui avait était égoïste, froid, sans sentiment et cela pendant des années. Dieu lui avait donné la chance d’effacer tout le mal qu’il avait fait à l’aide de ce petit bout de femme. Elle l’avait transformé en un homme qui protégeait les faibles et punissait les méchants. Un homme avec un cœur en or. Et lui il a attendu 7 ans avant de déclarer sa flamme.  

 

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Kaori, elle, de son coté, était restée un moment immobile. Elle se sentait, à ce moment-là, la femme la plus heureuse au monde: l’homme qu’elle aimait et qu’elle attendait depuis 7ans, venait de l’inviter à entrer entièrement dans sa vie. Il pouvait à présent compter sur elle aussi longtemps qu’il voudra, elle sera toujours là pour lui. Ils étaient maintenant unis comme jamais. Instinctivement, elle passa ses doigts sur son front, là où il lui avait déposait un baiser. La douce chaleur des lèvres de Ryô était encore présente malgré le vent qui soufflait. Douce chaleur qui prouvait à Kaori que ce n’était pas un rêve …  

 

-« Allez réveille toi ma vieille ! Tu ne vas tout de même pas rester ici jusqu’à la fin de ta vie … Et n’oublie pas qu’il y a Shuriko maintenant dans cet appartement et que tu devras redoubler de surveillance ! Bon faut que je descende d’ici sinon je vais attraper un rhume. »  

 

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Quand Ryô ouvrit la porte du salon, Shuriko accoura sans plus attendre vers lui en pleurant.  

 

-« Oh Ryô, j’ai eu si peur… Regarde sur le mur…. » Prononça Shuriko en tremblant de tous ses membres.  

 

Sur le mur du salon, un poignard était accroché avec une lettre. Ryô avança et prit la lettre. Il la lut alors à haute voix :  

 

-« Fais ce qu’on te dit sinon tu finiras comme ta chère petite baraque. Tu viendras avec 1000 000 de yens au port, quai n°13. Viens seule. Je t’attendrai à 23 h dans 2 jours. »  

-« Il n’avait pas besoin d’écrire une lettre pour dire cela, il suffisait simplement de téléphoner ! » Intervint Kaori qui venait d’arriver dans la pièce.  

 

Shuriko lança alors un regard rempli de haine à Kaori ce qui n’échappa pas à notre nettoyeur.  

 

-« Shuriko, est-ce que c’est la première fois que tu reçois ainsi des menaces ? » Demanda Ryô sans même la regarder. Il s’était installé sur le salon et avait invité Kaori à prendre place à côté de lui. Il faut dire que ces derniers jours, Ryô devenait un vrai gentleman. Shuriko sentait la jalousie monter en elle mais se ravisa à faire quelque chose maintenant, il fallait qu’elle connaisse Kaori pour mieux la cerner.  

 

-« Non, je n’ai jamais reçu de menace mais depuis que ma maison a été détruite, je crois que quelqu’un m’observe ou me suit. » Répondit-elle.  

-« Et elle remonte à quand la destruction de ta maison ? » Questionna le nettoyeur.  

-« Ca s’est passé il y a 2 jours. C’était après le travail, j’avais pris le chemin du retour le même que d’habitude. Il me faut 30 minutes pour arriver chez moi. Et quand je suis arrivée, j’ai cru que je m’étais trompée de chemin mais non la pancarte indiquait bien le nom de ma rue…Ma maison avait été détruite, comment ? Je ne sais pas …ni pourquoi ! Il était tard, et j’ai donc décidé d’aller chez une amie mais sur le trajet je pense qu’il y avait une voiture qui me suivait… Je l’ai senti ! Et le lendemain je suis allée au poste de police… »  

-« Eh bien …. Bon moi je vais faire à manger ! » lança joyeusement Kaori en se dirigeant vers la cuisine quand Shuriko l’interpella.  

-« Kaori, voulez-vous que je vous aide ? »  

-« Non, ça va merci quand même. Et je vous en pris tutoyons-nous ! Vous voulez bien ? »  

-« D’accord ! » Répondit Shuriko avec un sourire quelque peu forcé.  

 

Et Kaori disparut dans la cuisine laissant nos deux compères seuls sans surveillance. Shuriko était pensive. Normalement après la scène que je lui ai joué quand je suis arrivée, elle aurait dû être en colère contre moi ! Alors pourquoi est-elle si gentille ? Je ne comprends plus rien… Ca crève les yeux qu’elle aime Ryô alors elle devrait être jalouse et non sympathique. Ou peut-être qu’elle l’aime pas ? Non, ce n’est pas possible ! Ah je m’en mêle les pinceaux !  

 

-« Euh…Ryô, tu travailles avec Kaori depuis longtemps ? » Osa demander Shuriko.  

-« Assez longtemps pour la connaître par cœur. Pourquoi tu me demandes ça ? » Répondit Ryô en lisant un de ses magazines préférés.  

-« Oh, comme ça, parce que je vous trouve très proche ! C’est tout ! » Sourit Shuriko.  

-« Mêle-toi de tes oignons ! »  

 

Après ces quelques mots échangés, Shuriko se dirigea alors vers la cuisine. Ryô la suivait des yeux en réfléchissant. Qu’est-ce que tu nous manigances encore ? Mais je te promets que si tu touches à un seul cheveu de Kaori, je te tue.  

 

-« Ah te voilà Shuriko ! Tu tombes bien ! Tu peux dire à Ryô que le repas est prêt ? » Demanda Kaori en voyant Shuriko entrer.  

-« Oui, bien sûr pas de problème ! »  

-« Pas besoin, je suis déjà là ! La bonne odeur de ta cuisine m’a amené ici… » Ryô se tenait dans l’encadrement de la porte adossé au mur avec un sourire charmeur.  

 

C’était bien la première fois que Ryô complimentait les talents culinaires de Kaori. Les joues de Kaori commencèrent à rosir. Shuriko qui ne supportait plus de voir ça, passa à l’action. Elle recula de quelques pas et fit exprès de tomber en arrière, elle se retrouva sur Kaori qui laissa tomber le plat à terre.  

 

-« Oh je suis désolée Kaori, je ne savais pas que tu étais derrière moi » S’excusa-t-elle en se massant le cou.  

-« C’est pas grave, j’aurais dû voir venir. » Dit-elle en regardant son plat fait avec amour éparpillé au sol. Elle savait que cette Shuriko l’avait fait exprès mais il ne fallait pas qu’elle rentre dans son jeu. Il fallait qu’elle fasse « confiance » à Ryô.  

-« Kaori ça va ? Rien de casser à part ton plat. » Accoura Ryô vers sa bien aimée. « Lève-toi Shuriko tu vois bien que tu l’écrase ! » Shuriko obéit tout de suite car le regard de Ryô n’admettait à ce moment-là aucune objection. Il aida Kaori à se lever.  

-« Non, non ça va. De toute façon j’ai l’habitude » Sourit Kaori en voyant l’attention que lui portait Ryô.  

-« Tu as mis combien de temps pour cuisiner ce plat ? » Demanda Ryô.  

-« Oh … environ 1 h 30 mais c’est pas grave je vais faire un autre plat plus rapide que celui-là. T’inquiète pas ton gros ventre ne mourra pas de faim ! » Taquina Kaori.  

-« Non laisse-moi faire Kaori. C’est à cause de moi tout ça ! » Intervint alors la cause de ces ennuies.  

-« Mais non ça va je te dis, tu es notre invitée. Allez va t’asseoir et… » Protesta Kaori.  

-« Non, laisse la faire Kaori. Comme ça je pourrai savoir laquelle d’entre vous deux cuisine la mieux » Ryô avait clôturé la conversation en laissant donc la tâche de cuisiner à Shuriko.  

 

 

Une demie heure plus tard, Shuriko avait terminé de préparer le repas. A table, ils parlèrent de tout et de rien en rigolant. Leurs rires sonnaient complètement faux ;enfin sauf quand il s’agissait pour Kaori de rire des bêtises de Ryô ou bien le contraire mais dès qu’il s’agit de Shuriko, ils étaient forcés.  

 

-« Alors Ryô, qui cuisine le mieux ? J’ai fais exprès de faire ton plat préféré en plus » demanda Shuriko.  

-« C’est Kaori. Peut-être que tu as fait mon plat préféré mais il manque ce petit quelque chose que Kaori a. » (il a vraiment une dent contre Shuriko, et il le cache pas…. Pourvu que ça dure ^^ ! ( c’est ma béta qui a dit ça !) )  

-« Ryô ! Mais non Shuriko, tu cuisines beaucoup mieux que moi et je t’assure que je ne sais pas de quoi parle Ryô quand il dit que j’ai quelque chose de plus que toi. Alors Ryô justifie ta réponse, c’est quoi le petit plus ? » Protesta Kaori, très mal à l’aise.  

-« Si je te le dis Shuriko le fera et elle deviendra peut-être alors meilleure que toi, enfin ça m’étonnerait ! Bon vous mangez ou pas parce que sinon moi je débarrasse la table ! »  

-« Tu te sens bien ? » Kaori entra alors dans son jeu et posa la main sur son front pour voir sa température. Quelques secondes après des rires résonnaient dans l’appartement…  

 

Le repas terminé, ils regardèrent un moment la télévision puis, comme il était déjà assez tard, ils allèrent dormir. Kaori avait proposé son lit à Shuriko en cachette mais elle refusa catégoriquement en trouvant de fausses excuses ; Kaori n’insista pas.  

Au milieu de la nuit, Shuriko se leva et sortit hors de l’appartement. Elle marcha en direction du parc. Deux voyous lui barrèrent le chemin, et avancèrent dangereusement vers elle. Shuriko ne fut pas impressionnée et les mit en deux temps trois mouvements à terre. En entrant dans le parc, une silhouette l’attendait sur un banc…  

 

 


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