Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Authors: RKever , Kaori4ever

Beta-reader(s): RKever

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 18 chapters

Published: 26-08-07

Last update: 01-08-08

 

Comments: 111 reviews

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General

 

Summary: Ryo et Kaori ont un client, celui-ci faisant parti du passé de Kaori, révèle beaucoup de choses à son encontre. Keitaro est danseur, et à cause d'un accident, propose à Ryo de prendre sa place, c'est à dire de danser avec Kaori ! Acceptera-t-il sa requête ? Si oui, dansera-t-il avec Kaori lors de la première ?

 

Disclaimer: Les personnages de "Un passé inattendu" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Un passé inattendu

 

Chapter 16 :: En avant vers le show !

Published: 25-05-08 - Last update: 25-05-08

Comments: Bonjour tout le monde ! Nous voilà avec la suite ! Enfin... excusez nous et surtout moi... car mes examens approchent et je ne peux donc pas écrire comme je le voudrais mais la bonne chose c'est qu'une fois ceci fait j'aurais tout le temps pour vous écrire des fics !!! Alors voilà perso je me suis lachée sur ce chapitre et ma mini puce aussi alors on espère que cela vous plaira ! Normalement le prochain chap devrait venir plus vite et il sera important vu que ce sera LA PREMIERE ! Allez en attendant je vous souhaite une bonne lecture et remercie toutes celles qui nous laissent des reviews à moi et Kao... vous êtes toutes des amours et on vous adore ! Gros bisous et à bientôt RKever et Kaori4ever

 


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Partie à RKever  

 

Le reste de la journée s'était très bien passé. Entre rire et enfantillage de Ryo, Kaori avait du user de sa massue mais elle devait reconnaître que cela lui fit un bien fou depuis presqu'un mois sans pratiquer son activité favorite. Elle s'était même demandé si son partenaire n'avait pas fait exprès de l'embêter pour la détendre ? Il faut dire la première et dans une semaine et notre nettoyeuse commençait sérieusement à angoisser.  

 

Après avoir pris congé de leurs amis, Ryo et Kaori rentrèrent gentiment chez eux. Faut dire qu'ils avaient passé l'après-midi au café. Mais bon, c'était toujours amusant de voir Ryo et Umibozu se lancer des piques. Et puis, la barmaid et la nettoyeuse en avaient fortement profité pour se raconter toutes les choses qu'elles avaient faites pendant ces trois semaines. Kaori le lui avait déjà raconté en gros au téléphone mais là, elle s'était permise de lui raconter correctement les choses. Cela avait prit du temps. Falcon s'était même mis à rire quand Kaori avait expliqué que sur un nouveau pas, le nettoyeur n'arrêtait pas de sa casser la figure. En gros, leur après-midi les avait vraiment détendus.  

 

Avant de gagner l'appartement, Kaori passa à la banque, en traînant son partenaire derrière elle. Ce dernier s'était mis à baver et à sauter sur toutes les jolies femmes une fois sorti du café. C'est donc avec insistance qu'elle avait du le conduire jusqu'à la banque. Elle était contente de constater que leur compte bancaire était dans le vert depuis leur travail de danseurs. Faut dire que Keitaro avait insisté pour leur payer chaque semaine de travail en tant que remplaçants. Le compte en banque avait donc vite grimpé en flèche car cet homme était loin de ne pas être généreux. La jeune femme retira donc la somme qu'il lui fallait pour payer ses futures courses. Tout en s'exécutant, elle rechercha du coin de l'œil son équipier qui était entrain de jouer le joli cœur avec la réceptionniste.  

 

- RYYYYYOOOOOO ! hurla la nettoyeuse tout en se mettant à courir derrière son partenaire, massue en main.  

 

Ils ne regagnèrent leur maison que plus tard, lorsque Kaori avait enfin pu finir ses courses en ayant Ryo en laisse à côté d'elle. Tout en passant la porte, elle s'exclama haut et fort…  

 

- Ce n'est pas possible… où qu'on aille tu ne peux pas t'empêcher de faire l'imbécile !  

- Ben comme ça au moins, ça fait rire la galerie ! répondit le nettoyeur.  

- Ah bon ? Tu nous fais honte je te signale ! répliqua Kaori.  

- On s'en fiche après tout ces gens, on les reverra pas ! Comme ça, ils auront quelque chose de drôle à raconter en rentrant chez eux le soir… ! Un taré se balade dans les rues de Shinjuku ! conclut-il en se lançant sur le canapé pour saisir un de ses magazines de charme.  

 

Devant cette réplique, la jeune femme lâcha un soupir et décida de laisser tomber. Au fond, il avait raison. C'est certain que le soir, une fois que les gens rencontrés auront raconté leur journée, il en fera rire du monde. Dès lors, elle se dirigea à la cuisine pour préparer son met ou une heure plus tard, ce dernier fut engloutit par son partenaire.  

 

- T'es qu'un porc ! reprocha Kaori.  

 

Elle eut droit pour simple mais étonnante réponse, un grognement de cochon de la part de Ryo. (NDRK: Petite anecdote, je n'ai pas pu m'empêcher de mettre ça, car à chaque fois qu'on se traite de cochon avec mon père, on se met à grogner tous les deux ^^ enfin petite parenthèse ^^'… comme quoi, il y a des tarés partout !) (NDKao4ever : Mdr, j’imagine trop la scène ^^ Pas de Ryo qui fait ça, mais de toi qui le fait à ton père lol ^^ Je te taquine ^^) La jeune femme se mit donc à rire mais s'interrompit lorsqu'elle entendit le téléphone du salon sonner. Elle se dirigea donc vers le téléphone et le prit.  

 

- Allô !  

- KAORI ! MY LOOOOVVEEEEEEE ! s'exclama Mick à l'autre bout du combiné.  

- Bonjour Mick ! Ca va ?  

- Oui ma douce ! J’ai l’impression que ça fait des semaines que je n’ai pas entendu ta magnifique voix… et…  

- Mick abrèges ! ordonna la nettoyeuse.  

- Oui tu peux me passer Ryo s’il te plaît !  

 

Dès lors, Kaori s’exécuta et donna l’appareil à son partenaire, qui l’avait rejoint dans la pièce. Ce dernier le saisit avant de répondre par un simple « ouais ».  

 

- TOI ! Sale lâcheur ! Ca va faire bientôt un mois que nous nous ne sommes pas fait de verrées !  

- Salut Mick ! Oui je sais mais je suis sur une épuisante affaire là ! répondit le nettoyeur.  

- Ouais je sais… Ma belle Miki m’a raconté quand je suis allé la voir avec Kazue ! Dis-moi voir… demanda d’une petite voix l’américain.  

- Quoi ?  

- Les collants… ca ne te gratte pas l’entre-jambe ? Balança sans vergogne Mick, ce qui fit presque tomber à la renverse son jumeau japonais.  

- HORRIBLE ! Finit par répondre Ryo.  

- Bon si jamais que tu saches… my nurse and me viendront vous voir toi et Kaori le 1er mai au théâtre.  

- QUOI ? Pas question tête de poulpe y vient déjà avec sa femme !  

- Great ! Comme ça je ne serai pas seul à me moquer de City Hunter en collants ! Allez good bye my friend !  

- Bye petit con ! conclut Ryo en rangeant violemment le combiné.  

- Qu’est-ce qui se passe ? demanda la jeune femme qui s’était posé sur le sofa en regardant un animé du nom de Vandread. (NDRK : Tu m’excuseras ma puce mais je n’ai pas pu m’empêcher de le mettre… c’est mon MANGA du moment… franchement essayez le car il est magnifique !)(NDKao4ever : Tu m’as donnée une de ces idées pour ma partie ! ^^ )  

- Et bien… non seulement Falcon et Miki viendront nous voir dans une semaine mais Mick et Kazue également ! lui expliqua le garde du corps.  

 

Devant les paroles de son équipier, la nettoyeuse se mit à angoisser. Danser devant des inconnus était déjà chose difficile mais si en plus, des amis à eux venaient les voir… Ca n’irait plus du tout pour son self-control. En voyant sa partenaire légèrement paniquée, Ryo prit place à côté d’elle et lui posa une main rassurante sur ses petites mains. Surprise, la jeune femme leva la tête et croisa le regard du nettoyeur qui lui lança un sourire.  

 

- Et ne t’inquiètes pas ! Après tout tu as déjà dansé non ?  

- Oui mais c’était des cours… on était tous débutants… on ne se regardait pas… là ça va être différent devant toute cette foule ! Comment peux-tu rester aussi calme ? demanda excédée Kaori par le sang-froid dont Ryo faisait preuve.  

- Parce que je me dis que tout va bien se passer !  

- Mais tu oublies Tomoyo aussi ! Elle va surement tenter quelque chose pendant le spectacle.  

- Mick et Falcon seront là… ils savent pour cette femme et puis… je serai là moi… au première loge pour tout surveiller !  

- C’est vrai… tu as raison…  

 

Rassurée, la jeune femme se laissa aller et posa gentiment sa tête sur l’épaule de son partenaire, qui avait su garder le contact de leurs mains. Ryo se sentit alors mal à l’aise devant cette atmosphère toute romantique et essaya de trouver une échappatoire à cet embarras même si au fond, il désirait rester ainsi. Son regard se posa alors sur l’animé que la jeune femme était entrain de regarder. Voyant de magnifiques femmes peu vêtues, le nettoyeur se précipita sur la télé et commença à embrasser l’écran.  

 

- Miss Mokkori !!!  

- RYO ! Arrête je ne vois plus rien ! Mon dieu la télé est couvert de bave et puis il a failli l’embrasser ! Se mit à réaliser la jeune femme.  

- Qui a failli embrasser qui ? Questionna le nettoyeur en détachant son visage de la télévision pour voir sa partenaire…  

- Hibiki… a failli embrasser Dita… et à cause de TOI ! J’AI LOUPE CA ! hurla la jeune femme en envoyant une massue de 1000 tonnes au nettoyeur qui se retrouva propulser dans le mur d’en face. (NDKaori4ever : MDR !!!!)  

 

Ce dernier se laissa tomber au sol en d’excrétant que pour ne pas énerver une femme, il ne faut pas la priver d’un moment de romantisme… même virtuel.  

 

***  

 

Le lendemain, le réveil fut dur pour Ryo malgré le fait qu’il se soit couché tôt pour ne pas être en retard à la répétition. Cette fois-ci, changement de décor, d’environnement et de tenue. Cependant, notre nettoyeuse était très excitée et son angoisse d’hier avait fait place à une réelle joie d’être enfin au théâtre. Après avoir déjeuné rapidement, nos héros prirent la mini et admirèrent en ce début de matinée, le brouhaha qu’y régnait déjà à 7h00 dans Tokyo.  

 

- Tu es prête partenaire ? C’est la dernière ligne droite pour conclure notre mission !  

- Oui je suis prête. Répondit sincèrement Kaori.  

- Alors… en avant vers le show ! déclara haut et fort Ryo en appuyant sur les gazes.  

 

***  

 

Partie de Kaori4ever  

 

Dans un léger bruit, la mini se gara sur le parking du théâtre. Nos deux comparses en sortirent et se dirigèrent vers l’entrée du « lieu sacré ».  

 

C’est comme ça que l’appelait Kaori. Déjà à l’époque, quand elle prenait des cours de danse, tout le monde l’appelait le lieu sacré, car il représentait tout pour un danseur. C’est la salle du prestige, celle où quand tu y entres, c’est la gloire assurée. Parmi son école de danse, étaient très rares ceux qui parvenaient à pouvoir danser dans le Théâtre de Shinjuku. Et elle, par un pur hasard, elle y parvenait. Et tout ça, grâce à son ami de toujours, Keitaro. Elle en était sûre, sans lui jamais elle ne serait parvenue à le pénétrer.  

 

Rien que de l’extérieur, le bâtiment semblait immense. Il avait un style de vieille église, mais pourtant ce n’en était pas une. Les portes devaient bien faire dix mètres de haut.  

 

Kaori se posta devant celles-ci, puis de ses deux mains les poussa. Elle eut l’impression de rentrer dans un univers totalement différent du sien.  

 

C’était un théâtre ancien, pas un nouveau comme tout le monde en connaît. Mais un théâtre avec un toit immensément haut, des petites décorations anciennes comme on les connaît si bien. Des sortes de balustrades de chaque côté, pour ceux qui sont plus « aisés » en argent. La salle pouvait bien accueillir minimum 3000 personnes (NDKao4ever : Euh … j’exagère peut-être pas un peu ? ^^) (NDRK : Mais non ma belle… laisse ton imagination débordée car c’est comme ça qu’on t’aime.)  

 

Au fur et à mesure que Kaori avançait, le centre de la pièce s’approchait. De ses mains, elle touchait tout ce qui tombait sur son chemin, doucement, suivit derrière par Ryo.  

 

Pour Ryo, ce théâtre n’était qu’un théâtre comme les autres. Mais de voir sa partenaire si heureuse de se retrouver en ce lieu lui fit un baume au cœur. Apparemment, ce théâtre prenait de l’importance dans ses yeux, et ça lui faisait plaisir de la voir ainsi.  

 

Kaori grimpa sur la scène, puis se tourna vers Ryo. Elle avait l’impression d’être au centre du monde, d’avoir la gloire sous ses pieds. Loin de là, Kaori ne cherchait pas à se rendre célèbre en dansant, mais elle dansait tout simplement parce que ça lui faisait plaisir et qu’elle aimait ça.  

 

Pour on ne sait quelle raison, Kaori était heureuse. Inclinant la tête en arrière, elle se mit à tournoyer sur elle-même.  

 

Puis tout à coup, à l’arrière, elle remarqua comme un balcon, installé récemment pour la pièce de théâtre « Roméo et Juliette ».  

Kaori se sentait d’humeur joueuse, c’est pourquoi elle disparue dans les coulisses, pour réapparaître soudainement en haut du balcon.  

 

Ryo l’observait, les mains dans les poches. Elle resplendissait. Le naturel était sa beauté. Quand il la vit disparaître, il n’eut pas besoin de se poser la question pour savoir où allait-elle, qu’il savait déjà qu’elle allait sur ce petit balcon romantique.  

 

Le nettoyeur voulu jouer le jeu, et grimpa sur l’estrade, juste en face du balcon.  

 

Kaori, à qui des paroles revenaient dans l’esprit d’une pièce vu récemment en compagnie de Ryo, dit, d’une voix douce et timide à la fois :  

 

- « A quelle étoile, à quel Dieu,  

Je dois cet amour dans ses yeux  

Qui a voulu de là-haut  

Que Juliette aime Roméo  

A quelle étoile, à quel Dieu  

Je dois cet amour dans ses yeux  

Même si je dois payer le prix  

D'un amour interdit  

Pourquoi nos pères se haïssent  

Et que la fille aime le fils  

Ça doit bien faire rire, là-haut  

Que Juliette aime Roméo »  

 

Ryo s’en souvenait, ces paroles lui étaient aussi inscrites en mémoire. C’était il y a de cela trois mois au moins, qu’ils avaient tous les deux étaient invités par Eriko à voir une représentation de Roméo et Juliette dans un autre théâtre. Forcé, Ryo avait du suivre sa chère et tendre.  

 

C’est pourquoi il se mit à dire lui aussi, d’un ton charmeur :  

 

- « A quelle étoile, à quel Dieu  

Je dois cet amour dans ses yeux  

Que leur volonté soit faite  

Car Roméo aime Juliette  

S'il faut prier je prierais  

S'il faut se battre, je me battrais  

Mais pourquoi faut-il payer  

Le droit de nous aimer »  

 

Kaori éclata de rire. Oui… c’est vrai que comme ça, ils ressemblaient beaucoup à Roméo et Juliette. Et ça l’enchantait. Parce que pour elle, Ryo serait pour toujours et à jamais son Roméo ! (NDRK : Et après c’est moi la romantique et la fleur bleue ? Tu sais quoi ma puce, je crois que nous sommes toutes les deux des mordues d’amour !)  

Elle était heureuse que celui-ci ait retenu ces paroles, qu’il se souvienne de ce jour où ils sont sortis ensemble. C’était si rare, des jours comme ça …  

 

Ryo et Kaori se mirent à rire de bon cœur. Quelques minutes plus tard, Kaori s’apprêtait à sortir du balcon lorsqu’elle entendit :  

 

- Attends, ne bouge pas !  

 

Surprise elle s’arrêta net et se retourna vers Ryo. Quel ne fut pas son étonnement de voir celui-ci grimper à la corde pour venir jusqu’au balcon ! En deux temps trois mouvements il était déjà en haut, et enlaçait d’un bras la taille fine de Kaori. Celle-ci se mit à rougir violemment.  

 

- Alors, tu es prête pour le grand saut ?  

 

Kaori ne comprit pas tout de suite.  

 

- Le grand saut ? Que veux-tu dire par là ?  

 

De son autre main Ryo pointa le câble électrique accroché juste en face d’eux, mais à au moins trois mètres.  

 

- QUOI ?? Non non, attends Ryo je ne veux p…  

 

Trop tard, il avait déjà sauté, la tenant d’une main et de l’autre s’accrochant au câble. Mais soudainement le câble se détacha, et ils tombèrent tous les deux à terre !! Ryo avait protégé de son corps la chute de sa douce, ce qui fait qu’elle se retrouvait sur lui.  

 

- Aouch ! Ce n’est pas demain la veille que je vais recommencer un truc comme ça !  

 

Kaori était plié de rire.  

 

-AHAHAHAHAH !! C’est bien fait pour ta tronche ! J’ai rien demandé moi ! C’est toi qui l’as voulu !  

 

Ryo était satisfait de son coup. Kaori était plutôt stressée ces derniers temps. Et à son avis, ce petit jeu lui a remonté le moral. Et qu’il se soit fait mal au dos dans sa chute, il s’en fout. Du moment qu’il ait réussi à lui faire retrouver un vrai sourire, c’est ça qui comptait.  

 

Ryo sourit, puis se releva. Il proposa sa main à sa partenaire.  

 

- Bon, on rejoint les autres maintenant ? Lui demanda-t-il.  

 

Elle l’observa longuement, avant d’accepter la main qu’il lui tendait pour se relever.  

Elle baissa la tête, les joues légèrement rosies, puis répondit :  

 

- D’accord.  

 

Puis ils descendirent dans les coulisses du théâtre, bras dessus, bras dessous.  

 

 


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