Chapter 18 :: Un passé innatendu mais un futur radieux...

Published: 01-08-08 - Last update: 01-08-08

Comments: Bonjour/Bonsoir tout le monde ! Pour ce dernier chapitre, ma très chère co-auteur et Bêta RKever m'a demandée, et m'a même plutôt ordonnée de poster le chapitre, pour que je laisse le commentaire que j'écris en ce moment même. RKever avait raison, terminer une fiction est vraiment émouvant :'( ! C'est qu'elle doit avoir un an, cette fanfiction ... Je suis très heureuse, j'ai pu partager de bons moments avec Nancy, en écrivant j'ai l'impression d'avoir quasiment vécue les moments des personnages... Que dire, ce partenariat avec ma jumelle Ever va me manquer, et pleins d'autres choses encore ! Nous remercions tout ceux qui ont suivi cette histoire dès le début ! HFC est vraiment un site remarquable, le meilleur en fanfiction Hojo ! Je ne sais plus quoi dire, c'est la dernière fois que je peux écrire quelque chose sur cette fic. C'est la fin. It is the end. Alors nous vous souhaitons une bonne lecture, nous éspérons de tout notre coeur que partager ces moments avec notre fic vous aurons plut ! Thank you very much ! :p Sayonara ^^

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Un passé inattendu mais un futur radieux…  

- Kaori ! Kaori ! Réveilles-toi Kaori !  

Cela faisait maintenant deux bonnes minutes que la jeune femme s'était évanouit et que notre héros essayait comme il peut de la réanimer. Alors que les cris d'incompréhension et de peur du public fusaient dans tous les coins du théâtre, Mick se dépêcha d'immobiliser une bonne fois pour toute sa victime.  

- Tu as voulu tuer ma Kaori et ca… ça se paie ! Prononça l'américain avant de balancer un bon crochet à Ken, qui sous l'effet, perdit connaissance.  

Umibozu et Miki, quant à eux, s'étaient dépêchés d'attraper les derniers importuns qui rodaient dans le public. La belle infirmière, quant à elle, avait appelé de suite la police.  

Alors que les réalisateurs ne savaient plus ou se mettre devant un tel état de panique de la part du public, les danseurs de la troupe, eux, se précipitèrent tous vers le nettoyeur.  

- Reculez bon sang ! Elle a besoin d'air ! S'énerva Ryo tout en enlevant le masque de la jeune femme pour que son nez puisse humer l'oxygène qui l'entoure. S'il te plaît… dis quelque chose… implora l'homme.  

- … Ryo… finit par dire sa partenaire en rouvrant gentiment les yeux.  

- Kaori…  

- Ryo… je suis désolée le médaillon… il est…  

- On s'en fiche du médaillon… c'est toi qui compte ! Si tu savais comme je suis heureux que tu n'es rien…  

Dès lors, on entendit une douce mélodie régnée dans toute la salle, les lumières se tamisèrent et le public se mit à applaudir, ému de la scène qui se déroulait devant lui.  

- Hiko qu'est-ce qui se passe ? demanda Sano.  

- Je crois… qu'ils croient que cela fait parti de la pièce…  

En effet, alors que la panique régnait dans toute la salle, il suffit que Kaori rouvre les yeux pour que les gens se concentrent à nouveau sur la scène. Les mots échangés par nos héros eurent raison des spectateurs qui s'étaient mis alors à applaudir.  

- Je crois qu'ils adorent ! s'exclama de joie Keitaro en regardant Maiko.  

- C'est clair qu'un final comme ça, on ne peut qu'aimer… continua la chorégraphe.  

Les spectateurs se levèrent dans la salle. Kazue, qui n'avait pas compris ce retournement de situation, sourit en voyant toutes ces personnes satisfaites du show. La police venait d'arriver sur les lieux et Umibozu et Miki se chargèrent de leur donner les malfrats qui avaient essayé de commettre l'inné parable. Pendant ce temps, alors que le public était en effervescence, Tomoyo essaya de s'enfuir de ce théâtre de malheur.  

- Où comptez-vous aller Mademoiselle Kasana ? demanda une personne en l'empêchant de passer la porte d'entrée pour sortir du bâtiment.  

La jeune femme releva alors la tête et vit une très belle femme pleine d'assurance devant elle.  

- Vous êtes en état d'arrestation pour tentative de meurtre et blessures graves ! s’exclama Saeko.  

Dès lors, elle mit directement les menottes aux mains de Tomoyo. Cette dernière, qui n’acceptait pas cela, avait déjà prévu ce qu’elle allait dire pour se sortir de ce pétrin.  

- Mais enfin ! Lieutenant ! Puis-je savoir de quoi suis-je accusée ?  

- Je viens de vous le dire il y a deux secondes. Et ne feignez pas l’innocence ! Cet homme m’a tout expliqué ainsi que vos soi-disant sbires. Expliqua l’inspectrice.  

La jeune femme jeta alors un rapide coup d’œil par-dessus l’épaule de Saeko. Elle put voir Mick lui faire un grand sourire en la saluant d’une main énergique, ainsi que ces hommes baissant la tête honteusement.  

- Je vous préviens que cela ne se passera pas comme ça ! J’ai un très bon avocat ainsi qu’un magnifique compte en banque si cela vous intéresse ! déclara Tomoyo avec un sourire mauvais.  

- Vous raconterez tout votre baratin devant le tribunal ! conclut l’inspectrice avant de pousser la jeune femme vers deux de ses agents.  

Alors que la jeune femme se faisait amener vers une voiture de police, Ryo et Kaori ainsi que toute la troupe avait rejoint l’estrade pour saluer son public heureux de leurs prestations. Apparemment les gens présents n’avaient en aucun cas remarqué la présence des officiers à l’arrière de la salle. Sur la scène, on pouvait voir Sano, Hiko, Maiko, Keitaro ainsi que tous les danseurs sourirent à pleine dents. La nettoyeuse était radieuse mais malheureuse quand elle vit son médaillon brisé. C’est un serrement de main qui la fit tourner le regard et elle vit Ryo lui faire un clin d’œil avec un sourire rempli de promesses futures…  

***  

Le lendemain, Ryo et Kaori furent convoqué par Monsieur Kiyuro en personne, dans leur salle de répétition, pour parler de leurs prouesses au grand théâtre de Shinjuku mais aussi pour parler d’autres choses…  

- Je tiens à vous remercier ! Sans vous pour remplacer Mme Clarkson et Monsieur McWane, je crois qu’on ne s’en serait pas tiré ! s’exclame Sanosuké.  

- Oui franchement Kaori et vous Monsieur Saeba je ne sais comment vous remercier ! Vous avez rendu mes chorégraphies éblouissantes. Avoua Maiko.  

- Cependant… continua Hiko Higya.  

A ce moment-là, Ryo et Kaori se regardèrent et prièrent pour se qu’il allait suivre.  

- Je dois quand même avouer quand nous avons fini par apprendre, par le lieutenant Nogami, que vous étiez des gardes du corps au service de la police… Nous sommes tombés des nus ! expliqua le metteur en scène.  

- Ceci est de ma faute ! J’aurai du vous prévenir que j’avais demandé à la police de me fournir des gardes du corps ! Mais je ne voulais pas paniquer la troupe. D’autant plus que je connaissais déjà Kaori et quand plus, elle avait déjà dansé ! Je suis navré ! S’excusa Keitaro lui aussi présent dans la salle.  

- C’est tout à votre honneur d’avoir pensé à notre bien être ! Le défendit Mademoiselle Clarkson.  

- Elle a raison ! Je ne me doutais pas que cette Tomoyo Kasana tenait à ce point à se venger de ne pas avoir été prise… Nous vous devons une fière chandelle ! conclut Sanosuké.  

C’est ainsi que tout le monde se serra d’une forte poignée de main et que les gens s’embrassèrent pour se remercier de toute l’aide apportée. Finalement la première avait été un véritable succès et durant un mois, le spectacle se déroulerait au théâtre mais cette fois avec Keitaro et Nancy, qui avaient pleinement retrouvé l’usage de leurs membres. Le réalisateur se dirigea vers nos héros, qui avaient fini d’embrasser les danseurs eux aussi présents, pour leur donner une enveloppe.  

- Je tiens à vous remettre ceci ! Je sais bien que vous avez dansé qu’une soirée mais c’est déjà beaucoup de nous avoir protégés ! dit-il en tendant l’enveloppe vers Ryo.  

- Ahhh… se contenta-t-il de répondre devant la somme d’argent qui venait d’apparaître sous ses yeux.  

- Il ne fallait pas vraiment Monsieur Kiyuro ! s’exclama Kaori.  

- Je vous en prie… dorénavant appelez-moi Sanosuké ! Et puis avec tout ce que vous avez fait… c’est la moindre des choses que je puisse faire !  

Encore une fois toute la troupe du théâtre remercia nos deux nettoyeurs qui ne savaient plus ou se mettre. Puis vint le moment des adieux, Magalie, la fille de Hiko avait demandé un autographe à Ryo et Kaori. Elle fut encore plus heureuse quand ces derniers lui firent chacun leur tour un baiser sur la joue.  

- J’étais vraiment ravie de vous revoir et de vivre à nouveau quelque chose avec vous ! J’espère qu’on pourra se revoir très bientôt. Avoua Maiko qui avait les larmes aux yeux en serrant dans ses bras Kaori, qui elle aussi, se retenait de pleurer.  

Après ces instants forts en émotions, il fut convenu que Keitaro viendrait dans deux jours à l’appartement de City Hunter pour faire ses adieux privés ainsi que remettre quelque chose à nos deux nettoyeurs. En passant l’entrée, Kaori se dit qu’elle était impatiente de retrouver son ami dans deux jours… mais elle était aussi impatience de voir ce que Ryo allait faire après tout ce qui s’était passé… car depuis hier… le duo City Hunter n’avait pas vraiment eu la chance de se retrouver seul…  

***  

Deux jours passèrent… dans l’appartement de City Hunter, tout était calme.  

Ryo et Kaori, après s’être retrouvés seuls, recommençaient leur routine habituelle. Les massues, miss mokkori, bave devant l’écran téléviseur… Mais il y avait quelque chose en plus, une ambiance heureuse et joyeuse régnait dans l’appartement.  

City Hunter se sentait bien. Quelques sourires en coin, des petits clins d’œil, … Tout était dit sans être dit. Ryo et Kaori étaient assis sur les canapés, l’un en face de l’autre, entrain de lire un magasine ou le journal. Ils attendaient la visite de quelqu’un de très particulier…  

C’est là que se fit entendre un bruit de pneu sur le gravier en bas de l’immeuble. La jeune femme se leva de son siège précipitamment et se dirigea vers la fenêtre du salon pour observer au dehors.  

Son ami d’enfance était là, certes, mais pas seul. Il était accompagné d’une jolie demoiselle.  

- Mais... mais... C’est Nancy Clarkson ! pensa Kaori à voix haute. (NDRK : Purée tu me fais quoi ? Tu m’impliques de force là !)  

Ryo la dévisagea puis se leva à son tour et alla se poster près de sa partenaire.  

- Ouaip… On dirait bien qu’il y a du flirt dans l’air ! Chuchota le nettoyeur.  

Kaori partit à toute vitesse ouvrir la porte à ses invités. Elle descendit les marches quatre à quatre, puis sauta dans les bras de son très cher ami d’enfance, Keitaro.  

- Aoutch ! Kaori, n’oublie pas que je suis quand même encore légèrement en convalescence ! Rigola le danseur.  

- Oups oui pardon, excuse moi. Répondit-elle les joues rosies par la honte.  

La jeune nettoyeuse partit accueillir l’autre personne présente, Nancy. Elle lui donna une main ferme. (NDRK : Oh j’ai serré la main de Kaori, je me la lave plus jamais ^^)  

- Heureuse de vous revoir… déclara la jeune nettoyeuse à sa future « belle sœur ». (NDRK : Non sérieux Magalie… tu veux me fiancer ?!)  

Parce que Keitaro avait toujours été comme un frère pour notre nettoyeuse… (NdKao4ever : Hum … ma petite Nancy, quand j’écris ces lignes avec ce prénom, Nancy Clarkson, je ne peux pas m’empêcher de lui coller ton visage à ce personnage ^^ ça me fait rire ^^ [rho que je suis méchante : p]).  

Kaori les dirigea vers les escaliers puis ils regagnèrent l’appartement dans lequel le nettoyeur les attendait. Les quatre jeunes gens discutèrent un peu de tout et de rien pendant à peu près une bonne heure, dans la rigolade et la bonne humeur, jusqu’à ce que Keitaro ne finisse par déclarer…  

- Ryo… Kaori… Nancy et moi allons devoir partir. Un avion nous attend.  

- Ah bon ? L’avion ?  

- Oui. Il y a de cela seulement hier nous avons reçu un coup de téléphone pour nous produire à New York. Nous ne rentrerons que dans un mois ou deux. La représentation au Japon a donc été repoussée.  

Sur ce, Ryo se leva et prit à part Keitaro et lui donna des petits coups de coudes tout en se mettant à lui chuchoter :  

- Ouais, ce ne serait pas plutôt une excuse bidon pour rester avec ta coéquipière Nancy, hein ? Gros malin, va !  

Keitaro se mit à rougir brusquement et essaya de s’échapper de l’emprise du nettoyeur.  

- Mais non voyons ! C’est purement professionnel.  

- Ouais c’est ça, et moi je suis la reine d’Angleterre ! répondit Ryo en se mettant à siffler.  

Pendant que les garçons faisaient leur messe basse, les filles discutaient :  

- Vous prenez l’avion ? Mais ce n’est pas un peu trop tôt ? Comme vous sortez tout juste de vos blessures…  

- Non pas du tout ! J’ai toujours repris la forme en un rien de temps ! Rigola Nancy. (NDRK : et en plus c’est vrai ^^)  

- Et avec Keitaro, comment ça va ? Chuchota Kaori à l’encontre de la jeune femme, surveillant bien qu’aucun des deux grands nigauds ne les écoutent. Vous l’aimez, n’est-ce pas ? C’est inscrit sur votre front !  

Maladroitement la danseuse passa ses mains sur son front comme pour cacher une marque inexistante.  

- Mais…mais…ce n’est pas ce que vous croyez … !  

- Je ne suis pas aveugle, ça se voit comme le nez au milieu de la figure que vous êtes amoureux l’un de l’autre !  

- Peut-être bien …  

Elles n’eurent pas le temps d’approfondir leur conversation que les deux hommes revenaient vers elles.  

Ils se firent les embrassades, et juste avant de partir, Keitaro leur remit ce qu’il voulait leur donner.  

- J’ai failli oublier ! Tenez, c’est pour vous.  

Il tendit une enveloppe qu’il tenait dans sa main droite vers Kaori. Celle-ci commença à l’ouvrir, et en lut le contenu, avec Ryo au dessus de son épaule. Leurs yeux s’écarquillèrent quand ils virent le nombre de zéro après le 1, sur le chèque.  

- Chouette ! S’écria Ryo. À moi les cabarets !  

- Chouette ! S’écria Kaori. À nous les paiements de factures et de loyer !  

La nettoyeuse lança un regard noir à Ryo après avoir compris ce qu’il comptait faire de cet argent. Elle ne le laissera pas faire ! Keitaro prit Kaori à part, prétextant vouloir lui dire au revoir en privé avant son départ.  

Il sortit de sa poche une petite boite qu’il tendit à Kaori. Celle-ci la prit et l’ouvrit. Elle y découvrit un porte clé, avec une étoile jaune-dorée accrochée à côté.  

- Qu’est-ce que c’est ?  

- C’est mon porte bonheur. C’était à ma mère, elle me l’a donné il y a très longtemps quand j’étais jeune. Je voudrais te le confier, jusqu’à mon retour… Qui sait, peut-être fera-t-il des miracles … ?  

La nettoyeuse sourit, avec les larmes presque au bord des yeux.  

- C’est juste un porte clé ! Ne fais pas cette tête ! Se moqua son ami d’enfance.  

- Oui mais…  

- Tiens, j’ai aussi autre chose pour toi.  

Il sortit de sa poche un autre objet que Kaori aurait reconnu entre mille…  

- Mon médaillon !  

- Oui… Après que le spectacle soit fini, je suis allé le ramasser…  

La jeune femme rougit. Ça voulait dire qu’il avait surement lu les deux inscriptions inscrites à son intention.  

- Merci… je pensais qu’il avait du être mis à la poubelle par quelqu’un.  

La nettoyeuse sourit. Ce médaillon était la preuve des sentiments que Ryo et elle éprouvaient l’un l’autre. Ces deux phrases inscrites sur ce médaillon… C’était dit sans être dit, mais au moins, elle le comprenait. Il lui exprimait ses sentiments avec le cœur, c’est tout ce qui compte. Elle tourna le regard vers son idiot de partenaire, qui pendant ce temps essayait de draguer Nancy. (NDRK : Oh ben qu’il me drague ça ne me gêne pas !) Un sourire apparut sur ses lèvres, juste avant de faire apparaître une énorme massue made in Kaori.  

Le nouveau « couple » s’en alla donc enfin, la nettoyeuse faisait des signes de la main jusqu’à ce que la voiture disparaisse, au loin. La jeune femme croisa ses mains derrières son dos, et se retourna vers son partenaire.  

- Alors ?  

Celui-ci se gratta la tête.  

- Alors quoi ? Questionna l’autre idiot.  

Kaori s’approcha de lui et sortit le médaillon de sa poche. Elle lui pointa du doigt la gravure qui y avait été faite, qu’elle n’avait découvert que trois jours plus tôt.  

« La meilleure Miss Mokkori … »  

Cette phrase voulait tout dire. Elle voulait dire que Ryo la trouvait magnifique, qu’elle était la plus belle à ses yeux, que rien au monde ne pourrait la remplacer… Cette phrase révélait des choses qui en révélaient d’autres… C’était la preuve que le duo City Hunter resterait pour toujours et à jamais Ryo et Kaori.  

Le nettoyeur continuait de se gratter la tête, l’air mal à l’aise.  

- Ça veut dire ce que ça veut dire, tu ne crois pas ?  

La nettoyeuse sourit. Pour cette fois, elle laisserait passer. Il avait fait déjà beaucoup d’efforts pour en arriver là, elle allait le laisser souffler un peu…  

- Mouais … Je laisse passer pour une fois. Mais tu n’y échapperas pas !  

Cette phrase était remplie de sous-entendus. C’était une promesse. Elle prit alors soudainement de l’élan et sauta sur le dos de son partenaire. Elle rigolait d’un rire heureux, enfantin. Ryo la taquina comme d’habitude, il se reçut un coup de massue, et la vie continuait…  

C’était City Hunter et rien d’autre…  

FIN  

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