Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: phoenix2048

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 9 capitoli

Pubblicato: 08-03-10

Ultimo aggiornamento: 27-04-10

 

Commenti: 93 reviews

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RomanceRomance

 

Riassunto: Au cours d'une banale soirée, Ryô joue avec le feu, et la situation, qu'il pensait jusque-là maîtriser, lui échappe. Pour le plus grand bonheur du duo City Hunter...

 

Disclaimer: Les personnages de "Tel est pris qui croyait prendre..." sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Tel est pris qui croyait prendre...

 

Capitolo 3 :: chapitre 3

Pubblicato: 16-03-10 - Ultimo aggiornamento: 16-03-10

Commenti: Hello à tous et à toutes! Je voulais vous remercier pour vos reviews, vos encouragements... Ravie que cette fic vous plaise! bref, il y aura des montées et des baisses de température lors des prochains chapitres ^_^ J'attends vos commentaires avec impatience! En attendant, enjoy...

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9


 

Alors que sa partenaire effectuait sa tâche, le nettoyeur arrêta le DVD le temps que Kaori redescende. Il avait été mufle sur ce coup-là, mais c’était trop drôle de voir la tête qu’elle lui a fait. Il aurait pu en profiter un peu, c’est vrai, mais il était encore tôt, et il pouvait peut-être se le permettre plus tard.  

Dans la salle de bain, Kaori ruminait sa vengeance !  

« Attends que je redescende, et tu vas voir ! »  

Elle accrocha le jean sur la corde à linge situé au dessus de la baignoire.  

Afin de se calmer, elle se passa un peu d’eau froide sur le visage.  

Puis, ayant une idée tordue, elle se rendit dans la chambre de son partenaire et lui confisqua un autre objet qu’il idolâtrait.  

Ça, c’était une monnaie d’échange au cas où il trouverait encore un coup foireux à lui faire.  

Elle rejoignit ensuite son partenaire dans le salon.  

Ryô la vit arriver, le sourire aux lèvres.  

Ceci l’intrigua :  

« Je peux savoir ce qui tu réjouis de la sorte ?  

_ Déjà, le fait que tu ne m’embêteras plus avec ce fichu pantalon qui est en train de sécher là-haut…  

_ Et… ?  

_ Et le fait que moi aussi je peux m’amuser à tes dépends…  

_ Voyez-vous ça…»  

Kaori sonda ses yeux noirs et put y déceler une lueur d’interrogation. Ryô était en train de se demander ce qu’elle avait bien pu mijoter.  

Elle s’assit et remit le DVD en marche.  

Elle s’adressa à son partenaire sans quitter l’écran des yeux.  

« Il n’y a pas que toi qui sais piquer des trucs qui m’appartiennent… Moi aussi, je t’ai pris quelque chose…  

_ Quoi ? Et quand ça ?  

_ Quand tu es parti t’habiller… ça t’intéresse de savoir ce que je t’ai pris ? » fit-elle, malicieuse.  

Ryô réfléchissait : ça ne pouvait pas être son briquet, puisqu’il l’avait dans sa poche arrière de pantalon.  

Elle n’avait pu lui prendre que quelque chose qui se trouvait en bas.  

Soudain, il se leva et alla jusqu’au porte-manteau où il attrapa sa veste. Il en fouilla les poches : non, son portefeuille était bien là…  

Que lui avait-elle pris ?  

Il fouilla l’autre poche : damnation !  

Ses doigts ne rencontrèrent que le tissu.  

Il se retourna vers Kaori qui se tenait déjà debout, prête à fuir.  

« C’est ça que tu cherches ? » lui dit-elle, d’un air taquin.  

Elle tenait entre ses doigts le Saint Graal du chevalier Saeba : un petit carnet de cuir noir, où il avait noté les dettes de Saeko, ainsi que l’adresse et le numéro de téléphone de charmantes créatures qui avaient eu pitié de lui et qui avaient bien voulu lui donner leurs coordonnées dans l’espoir d’un rendez-vous.  

 

Elle avait osé ! Elle avait osé lui voler son carnet !  

Ryô vit rouge :  

« Kaori, rends-moi ce carnet immédiatement !  

_ Alors là, tu peux courir mon vieux ! ça, c’est pour m’avoir volé ma télécommande !  

_ Tu ne peux pas comparer une vulgaire télécommande à ce merveilleux petit bijou, prometteur de charmants rendez-vous !  

_ On ne voit pas ça de la même façon… Bref, sache que moi aussi je peux t’embêter ! »  

Il se dirigeait déjà vers elle, mais cette fois-ci, Kaori fut plus rapide et esquiva l’attaque.  

Elle se mit à courir dans l’appartement, poursuivie par Ryô.  

« Rends-moi ce carnet !  

_ Cause toujours ! Viens le chercher !  

_ Gare à toi ! Si je t’attrape…  

_ Essaie déjà de m’attraper, vieil étalon ! »  

Là, elle exagérait ! Il n’était pas si vieux que ça quand même !  

« Vieil étalon ? Tu vas voir ce que le vieil étalon va te faire ! »  

Encore un effort et elle était à lui…  

Ryô voyait que sa partenaire commençait à fatiguer.  

Il lui suffisait de la pousser à aller dans la cuisine et elle était piégée…  

C’est ce qu’il fit : Kaori, bien trop prise par le jeu, et voulant à tout prix le narguer en l’effleurant, tout en l’évitant, ne vit pas que son partenaire réduisait petit à petit la distance qui les séparait et lorsqu’elle s’en aperçut, la seule possibilité de fuite, c’était la cuisine.  

Il suffisait qu’elle y entre, en restant près de la porte et dès que Ryô serait rentré, elle se rapprocherait discrètement de la sortie et zou !  

Elle s’enfuirait…  

Rien de plus facile, du moins le croyait-elle…  

Car Ryô avait très vite vu clair dans son jeu : il la laissa faire, mais au moment où elle voulut passer pour sortir, il l’attrapa par le bras et l’attira vers lui.  

La jeune femme avait pris trop de vitesse et lorsqu’elle fut freinée par Ryô, elle vint s’écraser contre le torse de son partenaire qui l’immobilisa en l’attrapant par la taille.  

 

Kaori tentait de se défaire de son emprise, mais Ryô resserra son étreinte et l’entraîna vers le plan de travail.  

Il l’agrippa fermement par la taille et la souleva.  

Elle se retrouva assise sur le dit plan de travail, bloquée par Ryô qui se tenait devant elle.  

Il se pencha vers elle, réduisant ainsi l’espace entre eux.  

Il posa ses mains sur ses cuisses qu’il effleura et les fit glisser de manière à les poser de chaque côté de son bassin. Kaori était vraiment bloquée.  

Ryô la fixait droit dans les yeux : son regard était plus que jamais envoûtant et la nettoyeuse ne savait plus quoi faire.  

Il avait ressenti son trouble quand il l’avait touchée.  

Il lui dit d’un air séducteur :  

« Où tu croyais aller comme ça, ma jolie ? Alors, je suis si vieux que ça ?  

_ Peut-être pas tant que ça tout compte fait… »  

Ryô lui sourit, mais avec un de ces sourires qui ferait fondre le plus solide des icebergs (^_^ hein les filles ? Vous voyez ce que je veux dire ?)  

« Donne-moi le carnet…  

_ Je ne l’ai plus, je l’ai caché quelque part ici…  

_ Petite renarde ! Moi, je sais que ce n’est pas vrai… Tu n’as pas pu, car tu n’es pas restée plus de quelques secondes seule dans cette pièce avant que je ne t’attrape… Donc, par conséquent, tu n’as pas eu le temps de le cacher et j’en déduis que tu l’as sur toi…  

_ Non… »  

Elle le fixait à son tour.  

« Kaori… »  

Elle ne quitta pas son regard. Elle le défiait.  

« En admettant qu’il soit toujours sur moi, tu ne pourras pas aller le chercher…  

_ Ah oui ? Et pourquoi ça ?  

_ Parce qu’il est dans un endroit où tu n’oseras pas fouiller…  

_ Et qui te dit que je n’oserai pas ? Qu’est-ce qui te fait croire ça ?  

_ Parce que je te connais…  

_ Ah oui… Et moi, si je te disais que je meurs d’envie justement de fouiller le seul endroit où tu as pu cacher ce foutu carnet… »  

Kaori, écarlate, resta bouche-bée.  

Mais qu’est-ce qu’il raconte ? Non… Il ne peut pas… Il n’oserait pas…  

Avait-il deviné sa cachette ou le lui faisait-il croire ?  

La nettoyeuse était pétrifiée : les yeux sombres de Ryô ne la quittaient pas. Une lueur bizarre y dansait et l’hypnotisait.  

Ryô se rapprocha encore : il pouvait sentir la poitrine de Kaori contre son torse.  

Il lui murmura dans un souffle :  

« Alors tu me le donnes où je dois te torturer pour l’avoir… »  

Elle s’entendit répondre :  

« Torture-moi… »  

Il n’en fallut pas plus à Ryô : il s’empara de ses lèvres pour un baiser sauvage. Ses mains glissèrent le long du dos de Kaori, qui à son tour, agrippa la chemise de Ryô. Elle lui rendit son baiser qui devint beaucoup plus intense : leurs langues se caressaient et entamaient un long ballet langoureux. Leurs mains se firent plus impatientes. Kaori ouvrit la chemise de Ryô si violemment, que les boutons sautèrent, et noua ses jambes autour de ses hanches. Le nettoyeur souleva sa compagne et la soutint au niveau des fesses pour l’emmener vers la table, où il l’allongea. Leurs souffles se mêlaient. Le désir devint plus fort et…  

 

Des échos lointains parvenaient aux oreilles de la jeune femme. Que disaient-ils ? Elle ne comprenait pas bien… Les sons se faisaient un peu plus clairs et tout à coup, Kaori réagit et comprit ce qui se disait.  

« Alors tu me le donnes où je dois te torturer pour l’avoir… »  

Mais, qu’est-ce que ça voulait dire ?  

Ryô et elle, il y a à peine deux minutes… Ils étaient bien en train de…  

Oh, My God ! La voilà qui s’imaginait faire l’amour avec son partenaire !  

Mais qu’est-ce qui lui arrivait ?  

Elle secoua la tête de façon à chasser ces images de son esprit, mais rougit de plus belle…  

Ryô continuait à la fixer.  

« Non… Tu ne veux pas… Alors donne-le moi… Sinon je vais devoir aller le chercher moi-même… »  

Kaori continuait à observer Ryô. La même lueur qu’elle avait cru apercevoir, il y a quelques minutes, brillait toujours dans ses yeux.  

Ryô se rapprocha encore.  

Il allait devoir le récupérer tout seul son carnet, mais il ne pouvait décemment pas le lui reprendre comme ça, surtout qu’il savait que Kaori n’avait pu le cacher qu’au niveau de son bassin, plus précisément entre sa peau et le fin tissu de ses dessous.  

Il l’avait senti tout à l’heure, quand ses mains l’avaient effleurée.  

Ryô fixait toujours Kaori droit dans les yeux.  

« Kaori… Donne-moi le carnet… »  

La jeune femme se perdait dans les yeux sombres de son partenaire. Elle semblait ailleurs.  

« Embrasse-moi… »  

Quoi ? Qu’avait-elle dit ? Elle s’entendait redire cette phrase.  

Ryô la regarda, surpris.  

« Quoi ? Tu veux quoi ? »  

Réalisant soudain ce qu’elle venait de lui demander, Kaori détourna le regard, honteuse.  

Pourquoi avait-elle dit ça ?  

Parce qu’elle en avait envie… Elle désirait sentir ses lèvres contre les siennes.  

Ryô, bien plus décontenancé qu’il voulait bien le laisser paraître, entra dans son jeu.  

« Je vois, petite coquine… C’est ton prix pour que je récupère mon bien… Alors, soit… Je vais te payer ce que je te dois… »  

Le cœur de Kaori se mit à battre la chamade. Ryô allait l’embrasser !  

« Prête ?  

_ Oui…  

_ Ferme les yeux… »  

Elle avait dit être prête, mais pouvait-on réellement l’être quand c’était Ryô Saeba, alias l’Etalon de Shinjuku, qui allait vous embrasser ?  

La réponse était simple : on ne le pouvait pas, même si on avait beau s’y préparer mentalement.  

Elle obéit, le corps tremblant légèrement.  

Son partenaire le remarqua.  

« Si tu savais Sugar l’effet que tu me fais… Mais je vais tenter de rester sage… »  

Ryô se pencha vers elle et déposa, très lentement, quelques baisers le long de son cou, tout en lui caressant le dos. Ses mains remontèrent délicatement le t-shirt de la jeune femme.  

Kaori, frissonnant, pencha la tête en arrière, s’abandonnant aux baisers de notre étalon et fit glisser ses mains dans les poches arrières du jean de Ryô.  

Celui-ci fut surpris de cette initiative qui n’était pas pour lui déplaire. Il sentait les frissons qu’elle faisait naître en lui...  

Il remonta doucement vers ses lèvres pour finir par en effleurer la commissure.  

« Merci pour le carnet Sugar… » lui dit-il à l’oreille, tandis qu’il lui montrait l’objet en question.  

Il le lui avait piqué pendant qu’il « l’embrassait » et elle n’avait rien senti !  

Normal… Qui n’aurait pas été perturbée à sa place ?  

Mais ce qu’il ne savait pas, c’était qu’elle lui avait piqué son briquet quand elle avait osé lui caresser les fesses.  

 

 


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