Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: TOKRA

Beta-reader(s): Paty

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 9 capitoli

Pubblicato: 19-07-10

Ultimo aggiornamento: 01-07-11

 

Commenti: 44 reviews

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RomanceGeneral

 

Riassunto: Il suffit parfois d'un rien pour faire avancer les choses...

 

Disclaimer: Les personnages de "Dans la chaleur d'une nuit d'été" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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- G: General Audience. All ages admitted. This signifies that the fanfiction rated contains nothing most parents will consider offensive for even their youngest children to see or hear. Nudity, sex scenes, and scenes of drug use are absent; violence is minimal; snippets of dialogue may go beyond polite conversation but do not go beyond common everyday expressions. - PG: Parental G ...

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   Fanfiction :: Dans la chaleur d'une nuit d'été

 

Capitolo 3 :: Un réveil inattendu...

Pubblicato: 30-08-10 - Ultimo aggiornamento: 30-08-10

Commenti: Hello ! Merci à Grisou pour sa review ! Merci à Paty pour ses corrections ! Bonne lecture à tous !

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9


 

Quand Ryo se réveilla le lendemain, la tête encore ensommeillée, il fut au départ un peu étonné de ne pas se trouver dans sa chambre. Mais rapidement il reconnut l’antre de sa partenaire, et fut totalement réveillé quand il se rappela comment il était arrivé là et surtout ce qui s’était passé cette nuit.  

 

Ayant recouvert entièrement ses esprits, il tata le matelas à la recherche de Kaori. Mais il ne rencontra que le vide. Il était un peu attristé que sa belle ait quitté le lit car il aurait bien entamé un nouveau round avec la jeune femme, là, à la lueur du jour. Soupirant sur le fait que ça ne soit pas réalisable pour le moment, il s’allongea sur le dos et il referma les yeux.  

 

Il repensa à la nuit merveilleuse qu’il venait de vivre. Il ressentait encore le corps de Kaori vibrer sous ses caresses et ses baisers… Un délice…Une merveille… Un enchantement… Jamais il n’aurait cru ressentir cela un jour… Il ne regrettait en rien avoir céder à sa pulsion la veille. Au contraire maintenant qu’il avait retrouvé ses esprits, il trouvait que c’était une chance que ça se soit passé.  

 

Il savait maintenant qu’il ne pourrait plus faire marche arrière, et d’ailleurs il n’en avait pas l’intention. Il savait que leur vie ne serait pas facile mais pour Kaori il était prêt à tous les sacrifices. Kaori le méritait ! Elle avait été si merveilleuse avec lui, et ce depuis de nombreuses années. Elle avait le droit au bonheur et il allait faire tout pour la rendre heureuse. Et ce bonheur il ne voulait pas qu’elle le vive avec un autre. Elle était sa moitié… son âme sœur… elle était sa raison de vivre. Plus que jamais il avait prit conscience de l’importance de la jeune femme dans sa vie. Sans elle, jamais il ne serait entier. Elle faisait partie de lui, elle lui avait prit son cœur et ça pour le reste de sa vie. Désormais ils ne seraient plus de simples partenaires, plus un duo, mais un couple au sens propre du terme.  

 

Fort de sa nouvelle résolution, il attendait patiemment dans le lit que Kaori vienne le réveiller pour le petit déjeuner. Il l’imaginait déjà entrer dans la chambre pour le réveiller et lui, profiter d’un réveil sans massue qui serait à coup sûr très agréable. Il la pousserait alors sur le lit et lui ferait regretter le fait de ne pas être resté avec lui, pour profiter d’un tendre réveil matinal. A cette pensée, il se mit à saliver, pensant déjà à la façon dont il allait occuper sa matinée. Mais les minutes passèrent sans que la jeune femme ne fasse son apparition.  

 

Se demandant ce qui la retenait, Ryo se leva et enfila un caleçon. Tant pis pour le réveil coquin dans le lit, il se rattraperait dans la cuisine, et tout joyeux à l’idée de ce qui l’attendait, il se dirigea vers la cuisine. Mais à sa grande surprise, la pièce était vide. Tout guilleret qu’il était à l’idée de retrouver sa belle, il ne s’était même pas rendu compte qu’il ne ressentait pas l’aura de Kaori dans l’appartement, et il en fut grandement étonné. Où avait-elle pu bien passer ? Qu’est-ce qui avait bien pu la pousser à quitter leur chez-soi ?  

 

Sur la table de la cuisine se trouvaient de nombreux plats plus alléchants les uns que les autres. Elle n’était donc pas partie faire des courses… Alors, où était-elle ? C’est alors qu’il remarqua, posé sur la table, entre les différents plats, un mot qu’il s’empressa de lire.  

 

Ryo  

 

Je passe toute la journée avec Eriko. Elle a besoin de moi. Désolée de ne pas t’avoir prévenu plus tôt ça m’était carrément sortit de la tête. Ton repas de ce midi est dans le réfrigérateur, tu n’as plus qu’à le réchauffer. Je serais de retour à temps pour le souper.  

 

Kaori  

 

Ryo lut et relut le mot comme s’il pouvait trouver un sens caché aux mots qu’il venait de lire. Mais rien, pas même un indice. C’était à croire que pour Kaori cette nuit n’avait même pas existé. C’était à ne plus rien y comprendre. Il y avait certainement une bonne explication à cela, mais il devrait patienter un peu avant de le savoir, plus exactement il devra attendre jusqu’à ce soir pour le savoir. Après tout Kaori était sûrement comme lui, trop intimidée pour évoquer leur nuit d’amour sur un morceau de papier.  

 

Il pourrait très bien aller rejoindre Kaori chez Eriko, pour avoir une réponse rapide à ses questions, mais il n’en avait pas envie. Il ne voulait pas qu’un tiers se mêle de leur discussion; sûr que si Eriko le voyait là bas, elle n’arrêterait pas de questionner Kaori, et ça il ne le souhaitait pas. Il allait donc prendre son mal en patience et discuterait plus tard avec Kaori dans la chaleur de leur appartement.  

 

Il alla s’habiller, se raser et se coiffer, remarquant au passage le suçon qu’il avait dans le cou. Il sourit en pensant qu’elle n’y avait pas été de main morte. Douce et délicate ? Il n’en était plus vraiment sûr avec leur nuit endiablée qu’ils avaient vécu.  

 

De retour dans le salon, il enfila sa veste malgré la chaleur étouffante qui devait régner dehors, car c’était la seule façon pour lui de dissimuler son holster. Et puis la chaleur il en avait l’habitude, il l’avait bien supporté dans la jungle durant son enfance, alors ce n’était pas des températures encore supportables qui allaient lui faire peur. Il ne pouvait pas rester dans cet appartement à tourner en rond comme un lion en cage, et attendre le retour de Kaori. Il avait besoin de prendre l’air ! De se changer les esprits ! Et c’est ce qu’il fit.  

 

Il déambula dans les rues sans aucune destination précise, sans prêter attention à la foule dense qui se trouvait autour de lui. Il ne remarqua même pas les jolies filles pourtant assez nombreuses et habillées très légèrement qui grouillaient dans les rues animées de Tokyo.  

 

Il n’avait aucun but de sortie, pourtant instinctivement, il se retrouva devant les portes du cimetière. Un peu surpris de se retrouver à cet endroit précis, il en franchit le seuil sans même réfléchir. Il avança machinalement dans les allées, sachant très bien où ses pas allaient le conduire. Il s’arrêta alors devant une tombe qu’il ne connaissait que trop bien : celle de son ami… celle du frère de Kaori... La tombe d’Hideyuki Makimura, trop vite disparu.  

 

Il ne dit rien, pas un mot, pourtant il resta là des heures, immobile devant la sépulture. Intérieurement il confia à son ami ses peurs et ses craintes, mais également sa joie et son bonheur encore naissant. Il fit à nouveau à son ami la promesse de protéger Kaori, mais également celle de la rendre heureuse. Il ne savait pas si son ami savait à quel point les choses allaient évoluer entre lui et Kaori quand il l’avait confié à lui, mais il espérait secrètement que son ami l’approuve.  

 

Pris dans ses pensées, il ne vit même pas le temps se couvrir, les températures baisser rapidement, et ce ne fut que lorsque de fines gouttes s’écrasèrent sur son visage qu’il se rendit compte qu’il pleuvait. Bien qu’il soit très cartésien il prit cela comme un signe : celui que son ami donnait son accord quant à la relation entre lui et sa sœur. Levant les yeux au ciel, il fit un signe à son ami, disant qu’il avait bien reçu son message. A cet instant son cœur se gonfla de joie sûr d’avoir l’approbation de Maki.  

 

C’est alors que son estomac se manifesta. Il comprit alors qu’il avait passé de nombreuses heures dans cet endroit de recueillement. Il était maintenant beaucoup plus serein concernant son avenir, comme si le fait de se confier à un ami avaient fait disparaître ses craintes. C’est donc l’esprit en paix qu’il retourna chez lui.  

 

Sur le chemin du retour, il songea un instant passer dire bonjour à ses amis au Cat’s Eye, mais il savait Falcon fin psychologue et que ce dernier remarquerait tout de suite que quelque chose avait changé en lui. Il se sentirait alors obligé de lui en donner les raisons et il ne se sentait pas encore prêt à révéler à ses amis ce qui s’était passé la nuit précédente. En tout cas il ne voulait pas en parler avec quelqu’un avant d’en avoir discuté avec Kaori, pas avant d’avoir clarifié les choses avec elle.  

 

Il serait bien allé rendre visite à Mick pour passer le temps, mais il savait que son ami repérait tout de suite la marque d’amour que Kaori lui avait faite dans son cou. Machinalement il caressa l’endroit où il savait où elle se trouvait, frissonnant même en se rappelant comment elle avait été réalisée.  

 

Il retourna donc dans son appartement, seul mais pas pour très longtemps il l’espérait. A peine chez lui, Ryo fila sous la douche, l’averse qui l’avait surpris l’avait totalement trempé et il ne s’en était même pas rendu compte.  

 

Une fois sous la douche, il remarqua alors que son cou n’avait pas été la seule « victime » de la fougue de sa partenaire. De nombreuses griffures ornaient son corps, il les caressa avec amour et en pensant au fait que le corps de sa belle devait porter également de nombreuses empreintes et traces, conséquences de leur corps à corps torride et passionné. Il savonna son corps, et fit couler de l’eau brûlante afin de se réchauffer un peu. Il imagina alors un tendre corps à corps entre lui et Kaori sous cette douche, et ses pensées chaudes l’amenèrent à prendre une douche froide limite glaciale afin de faire baisser la fièvre qui avait envahi son corps. Jugeant que ce n’était pas le moment opportun pour lui de tomber malade, il sortit de la douche et frictionna son corps vigoureusement, avant de revêtir un pantalon et un tee-shirt.  

 

Puis il se dirigea vers la cuisine et ouvrit le réfrigérateur pour y prendre le repas que Kaori lui avait préparé. Il le mit à réchauffer pour le déguster sans en laisser une seule miette. Bien qu’il lui disait toujours le contraire, Kaori était vraiment un cordon bleu, et s’il ne faisait pas autant d’exercices physiques chaque jour, il serait maintenant assez empâté, tant ses repas étaient copieux et consistants en plus d’être délicieux. Et puis, il devait reprendre des forces après cette merveilleuse nuit et en prévision de la prochaine qui serait certainement encore plus torride, enfin il allait tout faire pour que ça soit le cas… A cette évocation d’une nouvelle nuit de passion, le faciès de l’homme prit une allure perverse et son « meilleur ami », se réveilla. Ryo secoua la tête, essayant de remettre ses esprits en place. Ce n’était pas le moment de penser à cela ! Il était encore trop tôt pour que Kaori rentre et il n’avait pas envie de prendre une nouvelle douche froide. Il calma alors sa frustration sur tout ce qui restait dans le frigo et mangea à une vitesse étonnante. Il ne resta plus dans le réfrigérateur après son passage qu’un citron et un peu de beurre.  

 

Son repas terminé, il se chargea de la vaisselle, il avait décidé de changer avec Kaori, et cela commençait déjà par les tâches ménagères. A partir d’aujourd’hui, il l’épaulerait un peu plus. Il n’allait pas se transformer en fée du logis du jour au lendemain, mais si au moins il pouvait la décharger de quelques tâches comme faire la vaisselle ou même descendre les poubelles, il était sûr que cela lui ferait plaisir.  

 

Constatant que l’après-midi n’était pas encore prêt d’être fini, il décida d’aller faire quelques courses, car si Kaori n’en faisait pas avant de rentrer, il n’y aurait plus rien à manger dans l’appartement.  

 

Il revint une demi-heure plus tard les bras chargés de paquets. Il y avait de quoi tenir un siège, car il n’avait pas l’intention de quitter l’appartement ces prochains jours, il allait avoir des choses beaucoup plus intéressantes à faire que de remplir un réfrigérateur.  

 

Une fois les courses rangées, il monta sur le toit pour fumer. Il constata avec plaisir qu’il avait cessé de pleuvoir et que le soleil avait fait son retour. Cependant la chaleur était beaucoup plus supportable, rendant inutile pour le moment l’achat d’un nouveau ventilateur. Ryo en fut satisfait car leur budget était assez serré ces derniers temps et avec l’argent qu’il avait dépensé la veille dans le cabaret, supprimer une dépense était la bienvenue. Trouver un travail devenait presque une urgence, mais actuellement c’était le cadet de ses soucis… Ils n’étaient pas encore dans le rouge, et s’ils l’étaient, ça ne serait pas la première fois…  

 

Après avoir fumé sa cigarette, il jeta le mégot par-dessus la rambarde puis décida d’aller un peu s’entrainer au sous-sol. Il vida plusieurs barillets mais ses balles n’atteignirent pas toutes le centre de la cible. Il repensait une fois de plus à Kaori et à cette nuit merveilleuse qu’ils avaient passé. Dire que tout cela c’était produit grâce à une nuisette qui avait bougé. Comme quoi, il avait suffit d’un simple bout de tissu glissant pour dévoiler un trésor, pour faire bouger les choses entre Kaori et lui. Le sourire aux lèvres, il décida que Kaori ne devrait plus porter que ces petites choses affriolantes pour dormir, quoique si elle ne portait rien ça serait encore mieux…  

 

Il redescendit dans le salon et s’installa sur le canapé. Il bava un instant sur des filles se trémoussant en body sur une musique rythmée, mais rapidement son esprit fut accaparé par le souvenir d’un corps qui était parfait à ses yeux. Rien à faire ! Il n’arrivait pas à penser à autre chose qu’à Kaori ! N’en pouvant plus de comparer ces filles avec sa partenaire, il zappa sur une chaine info où le présentateur, petit bedonnant et chauve ne pourrait en rien lui rappeler sa belle.  

 

Rapidement il s’assoupit devant le petit écran, épuisé par sa journée et la nuit courte qu’il avait eu.  

 

Quelques minutes plus tard, il s’éveilla en sursaut. Il avait ressenti l’aura de sa partenaire toute proche, et un sourire illumina son visage : elle était enfin de retour ! Néanmoins, il ne bougea pas du canapé pour autant, feignant même le sommeil. Il était sûr que Kaori allait s’approcher de lui et… il sentit le désir monter en lui quand des images osées remplirent son esprit. Il se frappa alors intérieurement. Il fallait qu’il se calme s’il voulait parvenir à son but. Finalement il y parvint quand il entendit la clef tourner dans la serrure.  

 

Toujours assit sur le canapé, les yeux fermés, Ryo attendait tranquillement que Kaori vienne le trouver. Il sentit bien qu’elle n’était pas loin de lui, mais brusquement elle se dirigea vers la cuisine, laissant Ryo complètement abruti sur le canapé.  

 

Ryo ne comprenait pas la réaction de sa partenaire. Etait-elle trop intimidée pour faire un geste envers lui maintenant que la passion de la nuit n’était plus là ? Il fallait qu’il en ait le cœur net…  

 

Il se dirigea alors vers la cuisine, et son cœur s’arrêta de battre quand il vit sa partenaire devant les fourneaux. Elle était si magnifique… Il mourrait d’envie de la prendre dans ses bras, pourtant il resta en retrait car il savait qu’il ne pourrait pas se contenter d’un seul baiser. Il fallait qu’il parle avec Kaori avant toute chose, et rester éloigné d’elle était la meilleure façon d’y parvenir.  

 

- Kaori… tenta-t-il d’une voix étonnement peu assurée.  

 

- C’est bientôt prêt. Je suis en retard c’est pour ça que je suis passée chez le traiteur. Je n’ai qu’à tout réchauffer et tu pourras manger.  

 

Ryo fut totalement sonné par les paroles de son ange. Il devait être en plein cauchemar… Kaori se comportait comme si rien ne s’était passé entre eux… C’était tout bonnement impensable ! Regrettait-elle ce qui s’était passé entre eux la nuit précédente ? Il devait savoir… C’est pourquoi il lui demanda :  

 

- Kaori… Tu te rappelles cette nuit ?... Je… Nous…  

 

Kaori sans se retourner fit un geste de la main l’incitant à se taire et déclara :  

 

- Ecoute Ryo. Tu en avais envie, j’en avais envie… Ne cherche pas plus loin ! …. Au fait je suis allée au tableau et nous avons une cliente… D’ailleurs elle ne devrait pas tarder à arriver.  

 

Le cœur de Ryo fit un bon. Mais qu’est-ce qui se passait avec Kaori ? Pourquoi était-elle si froide ? Cette nuit n’avait rien représenté pour elle ? Ce n’était qu’une histoire de coucherie ? Ce n’était plus un cauchemar, c’était encore pire… Il n’y avait même pas de mots pour décrire ce qu’il ressentait à l’instant ! Il avait l'impression que le sol cédait sous ses pieds et qu'il tombait dans un gouffre sans fin où l'on ne pouvait le sauver. Son indifférence le tuait. Tout son être s'était figé et ensuite s'était craquelé de part en part. C'était comme si on lui avait cassé quelque chose, comme si tout espoir venait de s'éteindre pour faire place au néant. Un vide sans possibilité de répit. Une douleur sortie de son cœur et qui ne trouvait de réponses à une guérison.  

 

Il fallait qu’il sache… Qu'il trouve un semblant d'espoir dans ce chaos qu'abrite à présent son coeur.  

 

- Kaori…  

 

Mais des coups à la porte l’interrompirent dans sa phrase.  

 

- Tu peux aller ouvrir Ryo, c’est notre cliente ! demanda Kaori toujours sans se retourner.  

 

Ryo l’aurait bien laissé à la porte pour avoir une discussion sérieuse avec sa partenaire, mais les coups persistants l’en dissuadèrent. Peu importe à quoi ressemblerait leur cliente, elle n’allait pas faire long feu dans l’appartement. Il voulait parler avec Kaori et rien ni personne ne pourraient se mettre en travers de son chemin.  

 

C’est donc à regret qu’il quitta la cuisine pour se rendre à l’entrée de leur appartement.  

 

 

 

 

 

 

 


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