Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autori: stef50 , TOKRA

Beta-reader(s): Nodino

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 08-09-10

Ultimo aggiornamento: 28-01-11

 

Commenti: 27 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Comment une simple chasse mokkorienne peut tourner au cauchemar...

 

Disclaimer: Les personnages de "Attirance fatale" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 1500 words per chapter, so you can see that the minimum we're asking for is quite less.

 

 

   Fanfiction :: Attirance fatale

 

Capitolo 2 :: Où les choses dérapent...

Pubblicato: 15-09-10 - Ultimo aggiornamento: 22-09-10

Commenti: Coucou !!! Cette semaine c'est moi qui s'y colle ! Merci à vous pour vos reviews ! Bonne lecture à tous ! Tokra

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8


 

Kaori se frotta les yeux plusieurs fois, mais non la vision d’horreur qu’elle avait devant elle était bien toujours présente.  

 

Pantalon et caleçon baissés, Ryo était allongé sur le dos et Doc était en train de le chevaucher pour tenter de l’embrasser tout en le caressant, tandis que Kazue essayait désespérément de faire bouger le vieil homme de son « perchoir ».  

 

Ni une, ni deux, Kaori envoya la plus grande de ses massues et propulsa Doc au loin. Ryo, pourtant libéré ne bougeait pas. Inquiète, Kaori se précipita sur lui, s’installa à califourchon sur son partenaire et se mit à le secouer.  

 

- Ryo ! Réponds-moi ! Qu’est-ce qui t’arrive ?  

 

Kazue arriva à son tour et prit le pouls du nettoyeur.  

 

- Ne t’en fais pas ! Je pense que le Doc lui a administré un paralysant. Je vais lui donner un antidote ! Je pense qu’il va vite agir.  

 

Kazue farfouilla dans la pharmacie et trouva rapidement ce qu’elle cherchait. Elle emplit une seringue du liquide et fit une piqure dans le bras de Ryo.  

 

- Maintenant il ne reste plus qu’à attendre !  

 

Un gémissement lointain rappela la présence du Doc aux deux jeunes femmes.  

 

- Va t’occuper de lui ! Je me charge de Ryo ! affirma la nettoyeuse.  

 

Kazue se mit à soigner le vieil homme encore à moitié dans les vapes, et Kaori se concentra sur son partenaire. Kazue avait dit que le produit agissait rapidement, pourtant Ryo ne semblait toujours pas bouger.  

 

- Ryo… Réponds-moi !  

 

Doucement la jeune femme se mit à le secouer, espérant un mouvement de ce dernier, quand soudain, elle sentit quelque chose de dur contre sa cuisse et réalisa enfin où elle se trouvait.  

 

Rouge écarlate, elle se releva et s’éloigna de Ryo qui se mit à pousser un hurlement en posant ses mains en coquille sur ses attributs.  

 

- Kyahhhhhhhhh… Couché toi ! Couché ! Papa a bobo alors fais dodo !  

 

Comme s’il était muni d’un cerveau le Mokkori de Ryo retomba comme un soufflé, et le nettoyeur poussa un soupir de soulagement. Sans faire attention à sa tenue, ou plutôt à l’absence de cette dernière, Ryo se tourna en direction de l’ancêtre et hurla :  

 

- On peut savoir ce qui t’a pris ? Tu as changé de bord ou quoi papy ?  

 

- Hummm ce que je vois me parait très appétissant ! saliva le vieil homme en se dirigeant vers le nettoyeur.  

 

Suivant le regard du Doc, Ryo comprit ce qu’il trouvait à son goût et, à la vitesse grand V, remonta son caleçon et son pantalon dans la foulée.  

 

Kazue, comprenant qu’il allait falloir employer les grands moyens, partit à la recherche d’un remède dans l’armoire, priant pour le trouver rapidement.  

 

La bave aux lèvres, le Doc s’approchait dangereusement de Ryo, qui n’avait pas encore recouvré toutes ses capacités physiques.  

 

- Je ne vais faire qu’une seule bouchée de toi mon mignon ! promit le vieillard.  

 

- Yep ! Temps mort le vieux ! Je suis un homme ! Et toi tu préfères les femmes !  

 

Empoignant Kaori par le bras, il la mit entre le Doc et lui.  

 

- Regarde ! Une femme ! Tu aimes les femmes ! Alors prends-la ! s’exclama Ryo en poussant sa partenaire dans les bras du vieil homme.  

 

- C’est toi que je veux ! répondit le Doc en repoussant violemment la jeune femme. Pas elle ! Elle ne m’intéresse pas !  

 

Ryo se précipita sur Kaori et la releva.  

 

- ça va ? lui demanda-t-il visiblement inquiet.  

 

- Oui mais qu’est-ce qui lui prend ?  

 

- Un mauvais choc peut-être ! Excuse-moi partenaire !  

 

- Mais ce n’est pas de ta faute… tu…  

 

Kaori n’eut pas le temps de terminer sa phrase que son chemisier volait dans les airs et elle se retrouva face à Ryo en soutien-gorge.  

 

Celui-ci ne s’attendait pas à voir une telle pièce de dentelle sur sa partenaire, et se dit qu’il devrait aller refaire un tour dans sa penderie. Mais il ne s’attarda pas sur Kaori et la remit devant lui en affirmant :  

 

- Regarde ! Tu aimes voir des courbes comme cela ! C’est une femme ! Tu aimes les femmes l’ancêtre ! Tu les as toujours aimées !  

 

- Mais c’est pas vrai vous avez tous perdu la tête ou quoi ? hurla Kaori avant d’assommer les deux hommes d’une gigantesque massue.  

 

Puis, rougissante, elle se précipita vers son chemisier pour le remettre. Un cri résonna dans la pièce brusquement silencieuse :  

 

- Je l’ai !  

 

Kazue s’empressa de mettre le liquide dans une seringue et se précipita vers le Doc qui s’apprêtait à sauter une nouvelle fois sur Ryo, et elle planta l’aiguille dans le postérieur du vieil homme, à travers son pantalon. Celui-ci s’écroula rapidement comme une masse, et Kazue souffla.  

 

- Bon quelqu’un peut m’expliquer ce qui se passe ici ? C’est pire que dans un asile ! s’emporta Kaori.  

 

- Eh bien… bredouilla Kazue. Doc a voulu faire une anesthésie mais il s’est trompé de produit et a injecté un produit que nous avons mis au point pour Erika…  

 

- Oh mon dieu je vais devenir une femme ! hurla Ryo. Pitié pitié pas ça !  

 

Ryo, à genoux devant Kazue, l’implorait, des larmes plein les yeux.  

 

- Pitié, pitié ! Je veux que mon objet de plaisir parte encore à la conquête de centaines de femmes ! Je ne veux pas devenir un eunuque ! Je veux rester un homme fort et viril ! Je veux rester l’étalon de Shinjuku !  

 

- Calme-toi Ryo ! Tu vas rester le même ! C’est juste…  

 

- Juste quoi ?  

 

- Eh bien… Comme tu peux le voir… Le Doc t’as sauté dessus… C’est tout simplement parce que l’injection qu’il t’a faite est à base principalement d’œstrogènes… Ce qui veut dire que les hommes vont te courir après… tels des chiens en rut. Mais rassure-toi…  

 

- Il y a un antidote ! C’est ça, dis-moi qu’il y a un antidote ! s’exclama Ryo en serrant les mains de Kazue dans les siennes.  

 

- Non malheureusement, il n’y a pas d’antidote… vu qu’Erika n’en avait pas besoin… Mais rassure-toi, j’ai quand même une bonne nouvelle pour toi ! Les effets de cette injection vont s’estomper peu à peu jusqu’à disparaitre totalement.  

 

- Et dans combien de temps ? demanda Ryo qui croyait enfin à sa bonne étoile. Dans une heure, deux heures ?  

 

- Je suis désolée Ryo, mais je pense qu’il faut plutôt que tu comptes en jours voire en semaines… On n’avait pas encore fait les essais sur Erika, donc on ne sait pas encore exactement combien de temps durent les effets de cette injection.  

 

Abattu, Ryo s’effondra au sol et Kaori, réalisant ce que son partenaire subissait, se glissa à ses côtés et tenta de le rassurer :  

 

- Ne t’inquiète pas Ryo ! C’est juste un mauvais moment à passer ! Plus tard tu riras de cet incident !  

 

- Ta faute ! Tout ça c’est ta faute ! marmonna le nettoyeur. Si je n’avais pas fini dans cette voiture, je n’aurais pas eu à venir ici !  

 

La douceur de Kaori laissa la place à une colère immense.  

 

- Ma faute ! Ma faute ! Si tu ne sautais pas sur tout ce qui bouge jamais ça ne serait arrivé ! Je vais te dire Monsieur de Don Juan ! C’est de TA faute si tu es là ! Et je vais te laisser te débrouiller tout seul !  

 

Telle une furie, Kaori quitta la pièce en claquant violemment la porte derrière elle et en faisant trembler les murs sur son passage.  

 

- Et toi Kazue ? Tu as pitié d’un pauvre malheureux…  

 

- Viens ! Je vais te soigner !  

 

Tout content Ryo se précipita sur la jeune femme, avant de s’apercevoir trop tard qu’elle avait une seringue à la main et, après l’injection, il s’endormit rapidement.  

 

 

 

Quand il se réveilla un peu plus tard, il vit le regard bienveillant de Kazue posé sur lui et cette dernière lui dit :  

 

- C’est bon je me suis occupée de ton cas, mais attention, repos total si tu veux pouvoir récupérer tes capacités à 100%.  

 

Ryo soupira, et dire qu’il n’avait même pas pu voir Kazue s’occuper de son Mokkori ! C’était vraiment trop injuste ! C’est alors qu’il réalisa ! Un cauchemar ! C’était un cauchemar qu’il avait fait ! Il s’était évanoui en entrant dans la clinique et rien de ce qui s’était passé n’était la réalité. Il secoua la tête en se rappelant de l’absurdité de la situation. Franchement, le Doc, lui sauter dessus ! Comment avait-il pu croire que cela fusse possible ?  

 

- Je te laisse un instant, il faut que j’aille te chercher des antibiotiques, dit la jeune femme avant de quitter la pièce.  

 

- Alors ? Elle s’est bien occupée de toi et tu l’as remerciée j’espère ! demanda Ryo à son meilleur ami.  

 

Mais celui-ci n’était visiblement pas en forme et resta recroquevillé.  

 

- Ne t’en fais pas ! Je vais bien m’occuper de toi et on pourra chasser encore plus qu’avant ! Elles vont toutes succomber ! Crois-moi !  

 

- Alors on parle tout seul Babyface ?  

 

- Doc ! s’exclama Ryo en voyant son ami franchir le seuil de la porte.  

 

Oui, assurément, à voir son ami, il n’avait plus aucun doute ! Il avait fait un cauchemar, un simple cauchemar !  

 

- Laisse-moi voir si Kazue a fait du bon travail ! dit l’homme en s’approchant de Ryo.  

 

C’est alors que le nettoyeur aperçut dans le regard de son ami une lueur qui ne lui plut pas du tout. De la bave se mit à couler de la bouche du vieil homme et il susurra :  

 

- Allez-mon mignon ! Sois pas timide ! Fais plaisir à Doc… Montre-moi….  

 

Mais Ryo ne laissa pas à l’homme le loisir de finir sa phrase. Il se releva rapidement et quitta la clinique en courant, priant pour que le vieux n’arrive pas à le suivre. C’était un cauchemar, oui ! Mais dans la réalité !  

 

 

 


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