Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autori: stef50 , TOKRA

Beta-reader(s): Nodino

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 8 capitoli

Pubblicato: 08-09-10

Ultimo aggiornamento: 28-01-11

 

Commenti: 27 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Comment une simple chasse mokkorienne peut tourner au cauchemar...

 

Disclaimer: Les personnages de "Attirance fatale" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Attirance fatale

 

Capitolo 3 :: La café de la Passion !

Pubblicato: 22-09-10 - Ultimo aggiornamento: 22-09-10

Commenti: Merci à Tenshi, Phoenix2048, Saoria, HCity, Yael et ma milka d'amour. Vos reviews m'ont beaucoup touché. Merci à Hcity pour sa patience pour la correction. Et Toto, j'ai aimé faire cette fic avec toi, c'est vrai qu'on s'est un peu laché, mais pour ma part, je me suis bien marré. Et enfin, message à l'attention de ma Milka d'amour : Passe ton chemin ! Il est préférable que tu ne vois pas ton nounours d'amours dans cette état ! Ton idéale de l'homme viril va en prendre un coup (et moi je souhaiterais vivre plus longtemps). Mais si tu décide de lire quand même, rappelle toi que tu as été prévenu ! Bonne lecture à tous !

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8


 

Combien de temps allaient durer les effets de ce produit ? Ryo était plus qu'inquiet à ce sujet, mais il n’avait pas vraiment le temps d’approfondir la question, car déjà il entendait le Doc arriver derrière lui. Même épuisé, ce vieux débris continuait à le pourchasser ! Mais Ryo n’était pas l’Etalon pour rien. Il avait une forte aptitude à la course et, après quelques détours, il réussit finalement à lui fausser compagnie. Seulement, dans la précipitation, Ryo avait omis un détail de la plus haute importance vues les circonstances. En effet, afin de soigner au mieux le « précieux mokkori » de Monsieur, Kazue avait été obligée de le déshabiller entièrement et de lui mettre une blouse ouverte dans le dos. Et, là, à cet instant précis, Ryo se trouvait dans les rues blindées de Shinjuku, à une heure de grande affluence, seulement vêtu d’une blouse qui laissait apparaitre son popotin.  

 

 

 

 

 

Il se mit prudemment à l’écart de la foule qui envahissait les trottoirs. Jetant un coup d'œil aux piétons qui le regardaient fixement lorsqu'ils passaient devant lui, il se dit qu'il préférait de loin les gens qu’il côtoyait la nuit. Ils étaient plus détendus et les femmes ne lui jetaient pas ces regards à vous glacer les os. La nuit, les bunnies lui lançaient des œillades autrement plus langoureuses. Qu'il aimait ces œillades et qu'il aimait ces bunnies aux tenues affriolantes ! Les nuits de Shinjuku étaient vraiment très agréables pensa Ryo qui commençait déjà à afficher son air de pervers. Mais il se reprit rapidement quand il sentit qu’on le déshabillait du regard. Il tourna la tête et vit des hommes lui faire des clins d’œil suggestifs et d’autres lui envoyer des baisers. Apparemment, toute la gente masculine à portée de vue de Ryo avait subitement envie de lui sauter dessus et il le sentait bien. Fichu produit ! Soudain, il sentit quelque chose lui frôler le postérieur… Une main ! Et plutôt du genre entreprenante cette main puisqu’elle lui engloba une fesse et la malaxa longuement. Ryo en resta pétrifié. Ses fesses étaient à l’air et vue la façon dont elles étaient caressées, il y avait fort à parier que ce n’était pas par une femme. C’est à ce moment_là qu’il réalisa que la main posée sur son derrière était celle de Doc. Ce ne pouvait être qu’un cauchemar ! Mais cette sensation horrible sur son postérieur lui prouvait malheureusement le contraire.  

 

 

 

- Hé bien, Baby Face ! Tu veux jouer à cache-cache ? Il fallait le dire plus tôt ! Mais comme je t’ai trouvé, tu dois me donner une récompense ! dit Doc en déviant dangereusement la main vers ce qu’il convoitait.  

 

 

 

Pris de court, Ryo attrapa une poubelle qui se trouvait à proximité, la jeta sur le Doc qui en tomba à la renverse au milieu des détritus et reprit sa fuite éperdue. Il courait à en perdre haleine, mais, en tournant la tête, il s’aperçut qu’il était maintenant poursuivi par une horde d’hommes en chaleur. Ryo savait que cette vision le suivrait à jamais dans ses cauchemars, une image d’hommes aux regards lubriques et à la bouche grande ouverte, un filet de bave dégoulinant jusque sur le sol. Tous ces pervers à ses basques, quelle horreur !!  

 

 

 

Après quelques minutes de cette poursuite infernale dans les rues de Shinjuku, Ryo aperçut enfin l’enseigne du Cat’s Eyes. Il vit là un refuge inespéré. Avec un peu de chance, Miki serait là pour le secourir de tous ces dépravés du mokkori ! Ne voyant aucun satyre à l’horizon, il se précipita à grandes enjambées à l’intérieur du café et claqua la porte derrière lui. Il s’appuya contre la porte et, enfin sûr d’être à l’abri, en souffla de soulagement.  

 

 

- Bonjour Ryo ! dit Falcon qui essuyait une assiette.  

 

 

 

- Umi ? ! Miki n’est pas là ? demanda Ryo qui commençait à se dire que cette ville comptait vraiment trop d’hommes à son goût.  

 

 

 

-Elle est sortie faire des courses ! Mais toi, pourquoi t’es dans mon café dans cette tenue ?  

 

 

 

- Tu vas bien Umi ? demanda un Ryo sur ses gardes et prêt à s’enfuir au premier mot ou geste déplacé.  

 

 

 

- Oui, je vais bien ! Pourquoi tu me poses la question ? répondit un Falcon qui semblait fidèle à lui-même, au grand soulagement de Ryo.  

 

 

 

 

- Pour rien, pour rien, laisse tomber, tu me croirais pas de toute façon !  

 

 

Il reprenait courage. Le produit que Doc lui avait injecté semblait ne plus faire effet, Falcon ne lui ferait pas du rentre dedans. Cependant, il se demanda quand même, l'espace d'une seconde, ce que pourrait donner un Falcon entreprenant en amour. Un Falcon entreprenant ?! Ryo se donna une claque. Mais à quoi pensait-il donc ?  

 

 

 

 

- C’est qui tous ces gars qui te pourchassent ? T’as dragué leurs petites amies ?  

 

 

 

 

- On peut dire ça comme ça ! Dis, ça te dérange pas si je squatte un moment ici…le temps qu’ils se calment ?  

 

 

 

 

- Non Ryo ! D’ailleurs je vais fermer le café pour qu’ils ne viennent pas le détruire !  

 

 

 

 

- Bonne idée Umi Chou, fais donc ça !!!  

 

 

 

Falcon versa un café à Ryo puis se dirigea vers la porte. Il mit le panneau « Fermé », verrouilla à double tour et rangea la clé dans sa poche tout en souriant à pleines dents.  

 

 

 

 

- Il est bon mon café ? demanda Falcon.  

 

 

 

 

- Oui, excellent !  

 

 

 

 

- J’en suis ravi ! Tu n’as pas trop chaud après cette course ? Je peux baisser le chauffage si nécessaire... ou tu peux enlever ta blouse si tu veux…  

 

 

 

 

- Ca va très…QUOI ???? s’étrangla Ryo après avoir recraché son café.  

 

 

 

 

- Il faut te mettre à l’aise mon Ryo !  

 

 

 

 

- Mon Ryo ? Mais je croyais que tu allais bien ?! dit Ryo qui commençait à pâlir d’effroi.  

 

 

 

 

 

 

 

- Mais depuis que tu es là, je vais bien, très bien même ! Je dirais même que je suis dans une forme olympique !  

 

 

 

 

Tout en parlant, Falcon, qui avait pris une jolie teinte rouge jusqu'au sommet du crane, s'était dangereusement rapproché de Ryo. Et c’est en mettant un doigt sur sa bouche qu’il lui susurra :  

 

 

 

 

- Je suis même prêt à faire des folies de mon corps avec toi !  

 

 

 

 

Ryo eu soudain envie de vomir. Falcon se transformait en amoureux, en amoureux collant en plus ! Danger !! Alors, tout en faisant attention à rester à bonne distance de lui, il commença à se diriger vers la porte pour tenter de s’échapper, mais il se rappela, à son grand désespoir, qu’elle était fermée à clé.  

 

 

 

- C’est ça que tu cherches Ryo ? minauda Falcon en lui montrant les clés.  

 

 

 

 

 

- Pitié Umi ! Je ne veux pas !  

 

 

 

 

 

- Tu ne veux pas me montrer ce que vaut la réputation de l’étalon de Shinjuku ? Pourtant je serais heureux d’en faire l’expérience ! murmura Falcon d'une voix sensuelle.  

 

 

 

 

Ryo se dit alors qu'en jouant son jeu il gagnerait peut-être un peu de temps pour élaborer un plan. Alors il lui rétorqua :  

 

 

 

 

-Mais je ne veux pas faire de l’ombre à Miki !  

 

 

 

 

-Je ne pense pas que ma Milka d’amour serait jalouse de toi Ryo chou !  

 

 

 

 

Et voilà ! Le cauchemar continuait ! Mais pourquoi avait-il fallu qu’il vienne ici ? Kazue l’avait pourtant prévenu que les hommes seraient attirés par lui. Mais pourquoi n’était-ce pas plutôt les femmes qui lui sautaient dessus ? Il fallait qu’il trouve un moyen de se sortir de cette embrouille et le plus rapidement possible, avant que l'impensable ne se produise !  

 

 

 

 

- Pour l’instant, il m’est impossible de te satisfaire ma Luciole des mers ! Mon mokkori est défectueux, supplia Ryo en grimaçant..  

 

 

 

Il remonta sa blouse et Falcon découvrit un mokkori empaqueté dans un énorme bandage. « Le fidèle ami » de Ryo, qui sentait qu’on parlait de lui, tenta de faire bonne figure mais faire mokkori pour un homme et surtout dans son état se révélait être mission impossible. Mais le valeureux mokkori ne voulait pas s'avouer vaincu. Il était question de lui et donc d'honneur de mokkori !Il y mit tout son courage, se dressa une seconde et fit un petit « pouf » pitoyable pour retomber tout penaud, sous les yeux médusés de Falcon.  

 

 

 

 

- Ne fais pas le timide mon étalon ! Tu pourrais faire un marathon du mokkori ! dit Falcon, peu enclin à croire à son histoire et qui semblait de plus en plus excité par la présence irrésistible de Ryo.  

 

 

 

 

 

- Mais noooon ! Kaori me l’a cassé ! Je ne peux pas l’utiliser, sinon ils devront me l’amputer ! s'écria-t-il en désespoir de cause, tu ne me souhaites pas ça mon chauve luisant ?  

 

 

 

 

Falcon était sceptique... et un peu vexé surtout. Pourquoi Ryo semblait-il être contre une folle partie de mokkori ? Il se savait pourtant très doué, et Miki avait l’air heureuse de son enthousiasme et de sa fougue au lit… Mais Ryo devait être du genre à se laisser désirer, c’est pour cela qu’il ne cédait pas à ses avances. Il fallait qu’il soit encore plus entreprenant… Falcon se rapprocha donc encore un peu plus de Ryo et commença à lui caresser les cheveux.  

 

 

 

 

 

 

- Allez mon Ryo, ne me fais pas attendre, supplia-t-il tout en tentant de l'embrasser à pleine bouche.  

 

 

 

Ryo était complètement paniqué, il n'allait pas s'en sortir cette fois ! Il regardait désespérément autour de lui à la recherche d'une sortie de secours ou d'un objet contondant pour se débarrasser du chauve passionné. Et soudain il la vit ! Falcon, subjugué par son charme, n’avait pas remarqué, derrière lui, cette petite fenêtre restée ouverte. Elle était trop petite pour permettre à Ryo de sortir du café, mais elle était assez grande pour qu’un petit chat soit entré et, intrigué par cette scène des plus « torride », s’installe derrière Falcon. Et ce petit chat venait de décider que leur petit jeu avait assez duré. Il se mit alors à miauler pour réclamer leur attention et un peu de lait, puis vint se frotter à la jambe de Falcon.  

 

 

 

 

 

- MIAOUUUUUUUUU !!!  

 

 

 

 

 

- OHHHH NON ! UN CHAAAAATT !!!! AIDE-MOI RYO !!!!! supplia Falcon, pétrifié de sentir le chat se coller de plus en plus à lui.  

 

 

 

- Donne-moi les clés sinon je ne pourrai jamais faire sortir ce chat ! dit Ryo qui voyait-là l’occasion rêvée de sortir du café.  

 

 

 

 

 

- Tiens, mais dépêêêêche-toi !  

 

 

 

 

 

Ryo prit le trousseau, sortit en quatrième vitesse et referma à clé derrière lui. Il regarda Falcon qui commençait à tourner de l’œil à l’intérieur, puis se dirigea vers la ville. Il fallait vraiment qu’il rentre vite fait chez lui ! Mais dans cette tenue ce ne serait pas facile. Déjà, quelques passants commençaient à le regarder, certains avec envie et d’autres faisant visiblement un gros effort pour ne pas craquer et se jeter sur lui. Ryo arracha alors les fleurs qui ornaient la vitrine du Cat’s pour couvrir son postérieur tant convoité et courut sans s'arrêter jusque chez lui.  

 

 

 

 

 

- Enfin arrivé ! s’écria Ryo en passant le pas de la porte. Kaori, t’es là ?  

 

 

 

 

 

Mais Kaori ne semblait pas être rentrée et, vue la crise qu’elle lui avait faite à la clinique, c’était sans doute mieux ainsi. Pour l’heure il devait trouver des vêtements. Il partit donc dans sa chambre, sans remarquer que la porte d’entrée s’ouvrait doucement.  

 

 

 

Mick, qui avait assisté à la scène de « l’accident » de la voiture décapotable voulait connaitre l’état de santé de son ami. Inquiet, il monta jusqu'à la chambre de Ryo et se figea en le découvrant, complètement nu, au milieu de la pièce.  

 

 

 

 

- Bonjour Darling !  

 

 


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