Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 12 capitoli

Pubblicato: 19-01-19

Ultimo aggiornamento: 01-02-19

 

Commenti: 16 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: Kaori se réveille un matin : vit-elle un rêve ou un cauchemar?

 

Disclaimer: Les personnages de "Cette nuit" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Cette nuit

 

Capitolo 5 :: chapitre 5

Pubblicato: 24-01-19 - Ultimo aggiornamento: 24-01-19

Commenti: Bonjour, chapitre 5. Merci pour vos commentaires qui me réchauffent le cœur. Bonne lecture^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12


 

Chapitre 5  

 

Les séances photo, qui avaient été décalées à la cinquième semaine, allaient tambour battant. Fumi passait sur chaque modèle, retouchait, ajustait… Le photographe – Ryo s’en était tenu à son rôle de garde du corps – donnait ses instructions et motivait ses cibles. Ryo, qui s’était bien rendu compte qu’il s’était fait berner au sujet des mannequins, surveillait les allées et venues. Kaori avait arrangé le planning pour qu’à chaque moment le nombre minimum de personnes soit présent. Cela facilitait leur travail. Et il fallait dire que, question organisation, elle était au top, il savait qu’il pouvait totalement se reposer sur elle.  

 

En cette fin de quatrième journée de shooting, il restait quatre modèles à photographier. Il faisait chaud dans l’atelier à cause des spots qui étaient allumés depuis le matin. Les enfants commençaient à s’énerver un peu et il devenait difficile de les canaliser. Ryo avait hâte que cette mission se termina. Non seulement cela faisait cinq longues semaines qu’il n’avait pu pratiquer son activité préférée, mais en plus il se sentait complètement transparent aux yeux de Fumi qui ne vivait que pour ses modèles. Quel gâchis ! Les deux avantages se résumeraient à un compte bancaire bien fourni et une nette baisse de la consommation de paracétamol allant de paire avec la baisse du nombre de massues reçues. Ryo se frotta la tête, ça faisait longtemps qu’il n’avait plus eu un crâne parfaitement lisse.  

 

Il croisa Kaori qui était entourée par deux gamins et portait un bébé dans les bras. Elle avait repris des couleurs et des forces. Ses humeurs étaient toujours aussi changeantes mais il s’en accommodait. Il avait décrété que Kaori resterait un mystère pour lui et ne chercherait plus à la comprendre jusqu’à ce qu’elle se décida à lui parler.  

 

- Tu as enfin des prétendants ?, lui lança-t-il un sourire en coin.  

 

- Tu es jaloux ?, lui répondit-elle du tac au tac, un sourire aux lèvres.  

 

- Moi, jaloux ? Quoi encore ?, fit-il faussement vexé.  

 

- La mère de celui-ci est dehors au téléphone. Elle prévient son mari qu’on a un peu de retard et ces deux-là, dit-elle en désignant un frère et sa sœur de 6 et 3 ans, ne me lâchent plus en attendant leur passage.  

 

- Leur mère a dû partir faire une course, c’est ça ?  

 

- Oui, elle devrait revenir d’ici dix minutes. Je te laisse : j’ai un appel à passer pour le salon. On a un imprévu. Vivement que cette journée se termine…  

 

Il lui fit un sourire d’encouragement et elle s’éloigna, les chérubins à sa suite. Deux minutes après, une épaisse fumée noire envahit l’atelier. Ryo ordonna au photographe et à Fumi de faire évacuer les personnes présentes pendant qu’il essayait d’éteindre le départ de feu. L’incendie avait pris dans le stock de tissu de la styliste. Ryo sentit une odeur qu’il aurait reconnue entre mille : de l’essence. Il trouva un extincteur mais le feu se répandait trop vite. Il fut forcé de sortir. Il retrouva les autres à l’extérieur. Fumi faisait le décompte des personnes présentes. Elle avait l’air désespéré et recomptait tout le monde. Elle vint vers lui en courant et l’attrapa par le bras.  

 

- Kaori n’est pas là. Il manque trois enfants.  

 

Ryo se sentit pâlir. Kaori… Il repartit vers l’atelier mais la chaleur fit exploser les vitres et il fut projeté par terre. Pas Kaori, pas les enfants… Il était bouleversé. Il ne pouvait pas rentrer. Il fallait trouver une autre solution. Il attrapa Fumi et l’emmena dans un endroit plus calme pour qu’elle lui fit un plan de l’atelier. Les pompiers arrivaient.  

 

Kaori s’était mise à l’écart avec les enfants pour passer son appel. Lorsqu’elle avait voulu sortir, elle avait senti l’essence et, juste après, le feu s’était déclaré et les avait presque encerclés. Elle n’avait pu que rebrousser chemin et s’enfermer dans la pièce où elle était. Après avoir installé les enfants aussi loin du danger que possible, elle avait trouvé un point d’eau et des chiffons et elle avait colmaté la porte avec les tissus mouillés pour éviter que la fumée pénètra. Elle avait ensuite mouillé des tissus qu’elle avait noués sur chacun de leur visage. Les petits étaient apeurés, elle les rassembla autour d’elle, essayant de les réconforter par des paroles et des gestes tendres.  

 

Lorsque l’explosion résonna dans l’atelier, Kaori se jeta sur les petits pour les protéger. Puis elle examina la pièce et vit deux choses : un tuyau d’eau passait au-dessus de leur tête et une fenêtre était située en hauteur, pas très haute mais suffisamment pour faire passer les enfants. Elle sentait la chaleur qui émanait de la porte monter et elle savait qu’il ne lui restait plus beaucoup de temps avant qu’elle s’enflamma. Elle laissa les enfants qui ne voulurent pas la lâcher dans le coin où ils étaient et essaya de trouver quelque chose pour casser le tuyau. Elle pensait qu’en faisant baisser la température de la porte, le feu arriverait moins vite dans la pièce.  

 

La canalisation n’avait pas l’air en bon état, c’était bien pour elle. Elle trouva un balai et frappa dessus mais ça ne marcha pas. Elle ne trouva rien d’autre et de désespoir, elle s’accrocha au tuyau. Elle tira dessus. Elle ressentit une douleur dans le bas-ventre mais continua tout de même et soudain, elle se retrouva par terre, arrosée. Elle avait réussi. L’eau coulait sur la porte et de la vapeur d’eau apparut. Elle reprit le balai et cassa la vitre. Elle prit soin de le passer plusieurs fois le long du bâti pour enlever les morceaux de verre. Elle entendait les petits tousser derrière elle. La fumée commençait à rentrer dans la pièce. Il fallait faire vite.  

 

- Kaori ?, entendit-elle soudain. Ryo…  

 

- Ryo, je suis là. Je vais pouvoir faire sortir les enfants par la fenêtre. Tu peux les récupérer ?  

 

- Oui. Vas-y.  

 

- Attends.  

 

Elle trouva d’autres morceaux de tissu qu’elle plaça sur l’appui de fenêtre, puis prit le bébé dans ses bras. Elle le passa délicatement par la fenêtre. Elle entendit le cri de soulagement de la mère. Puis vint le tour de la petite fille qui s’exécuta docilement. La fumée s’épaississait dans la pièce et s’évacuait par la fenêtre. Elle toussait, suffocant sous la chaleur. Elle aida ensuite le grand frère à sortir. Les trois enfants étaient dehors. Elle avait réussi.  

 

- A ton tour, Kaori., lui dit Ryo en lui tendant la main.  

 

- Non, Ryo, je ne passe pas., soupira-t-elle, réalisant soudain ce qui l’attendait.  

 

- Ryo, prends soin de toi.  

 

- Tais-toi ! Ne dis pas de bêtise.  

 

Elle vit son visage au travers de la fumée. Il la regardait intensément. Il ne pouvait pas croire qu’il allait la perdre. Ce n’était pas possible. Ils n’en avaient pas fini tous les deux. Elle attrapa sa main et y déposa un baiser, puis le lâcha.  

 

- Kaori !, l’entendit-elle hurler.  

 

Elle s’allongea par terre, là où l’air était respirable. Elle ressentit une violente douleur dans le bas du ventre et se mit à pleurer car ce fut à ce moment-là qu’elle comprit qu’elle voulait vivre avec son enfant à ses côtés. Tous ses doutes étaient balayés. Elle se mit à prier jusqu’à ce que le noir eut raison d’elle.  

 

Ryo resta de l’autre côté du mur jusqu’à ce qu’il entendit le fracas d’une porte défoncée. Il entendit les pompiers crier qu’ils avaient trouvé la victime et il fonça à l’avant du bâtiment. Plus de flammes, juste de la fumée. Il vit les pompiers sortir avec Kaori. Elle était inconsciente. Il n’arrivait à voir si elle respirait. Mais soudain, il l’entendit tousser et l’appeler. Il courut la rejoindre. Elle n’était pas brûlée.  

 

- Comment va-t-elle ?, demanda-t-il au médecin qui l’auscultait.  

 

- Elle va bien. Un peu intoxiquée par la fumée mais elle a eu les bons réflexes.  

 

- Les enfants ?, demanda Kaori, somnolente.  

 

- Ils vont bien., l’informa le médecin.  

 

Kaori sourit, soulagée. Il lui remit le masque à oxygène et la laissa. Ryo alla chercher Fumi et, dès qu’une opportunité se présenta, il emmena Kaori chez le Doc accompagné de Fumi, à l’insu de tous.  

 

Dès qu’il les vit arriver, Doc prit Kaori en charge et chargea Kazue de s’occuper de Fumi qui était bouleversée. Kazue aurait préféré s’occuper de Kaori mais elle obéit et emmena la styliste dans une autre pièce. Ryo resta auprès de Kaori avec le Doc qui limita son examen aux constantes, examen des voies aériennes et recherche de brûlures. Puis il lui demanda de sortir pour permettre à Kaori de mettre une blouse. Elle le poussa à ramener Fumi chez eux et aller se changer ou même se reposer et revenir le lendemain.  

 

- Ok pour me changer mais je serai de retour dans une heure., lui dit-il d’un ton qui ne supporterait aucune contradiction.  

 

- D’accord, je t’attendrai., lui répondit-elle avec un sourire.  

 

Il les laissa et Doc aida Kaori à se changer. Remarquant sa grimace, il la força à se rallonger et lui tendit un masque à oxygène. Elle comprit le message et le plaça devant sa bouche, l’enlevant pour parler.  

 

- Cette douleur ?  

 

- J’ai ressenti comme une déchirure en cassant un tuyau d’eau et, depuis, la douleur revient régulièrement.  

 

- Ok, on va regarder tout cela., lui dit-il en remontant la blouse au-dessus de son ventre. Il remarqua le sang sur sa culotte, mauvais signe.  

 

- Kaori, avant d’aller plus loin, tu as pris une décision pour le bébé ?  

 

- Oui. Je veux le garder. Fais le maximum, Doc.  

 

- Ok. Je vais te demander d’essayer de rester le plus calme possible.  

 

Il lui enleva le sous-vêtement et lui fit un examen. Ce qu’il sentit ne lui plut pas. Il l’aida à enfiler un sous-vêtement propre. Puis il approcha un échographe. Quelqu’un frappa à la porte. Ils se regardèrent. Kaori baissa sa blouse et remonta la couverture en un clin d’oeil et Doc éloigna l’appareil.  

 

- Oui ?  

 

Kazue passa la porte.  

 

- Je venais voir si vous aviez besoin de moi ?  

 

- Ca va aller Kazue. Tu peux rentrer chez toi. Je vais m’occuper de Kaori.  

 

- Comment ça va ?  

 

- Kaori va bien, Kazue. Ne t’inquiète pas.  

 

- Très bien, bonne nuit à vous deux.  

 

Ils la saluèrent et elle se retira. Elle éprouvait un sentiment bizarre. Depuis trois mois, le Doc avait pris en charge Kaori personnellement.  

 

Doc rapprocha l’appareil. Après quelques minutes, il appliqua un gel sur le ventre de Kaori et plaça la sonde sur son ventre.  

 

- Prête ?  

 

- Oui, dit-elle d’une voix nouée. Elle allait voir son enfant.  

 

- Je te préviens : il est possible que les nouvelles soient mauvaises.  

 

- D’accord, vas-y. J’ai mis trop longtemps à me décider.  

 

Il fit descendre la sonde et, pendant un long moment, ne dit rien, regardant avec attention l’écran, prenant par moments ce qui semblait être des mesures. Kaori voyait de temps à autre des choses plus ou moins distinctes et son coeur s’emballait, se serrait… Elle avait du mal à contenir son anxiété. Finalement, il se tourna vers elle.  

 

- Je vais commencer par la mauvaise nouvelle. Tu as un décollement placentaire assez important. Je ne peux pas te donner de pronostic pour la suite. Je peux te dire que c’est du repos forcé au lit. Le bon côté, c’est que le placenta va encore grossir, ce qui devrait l’aider à se recoller à l’utérus. En espérant que les flux ne soient pas trop restreints et que les saignements s’arrêtent.  

 

- Ok, il faut juste attendre et croiser les doigts., dit-elle en essayant de rester stoïque.  

 

- La bonne nouvelle maintenant.  

 

Il replaça la sonde et appuya sur un bouton. Un boum boum fort et régulier se fit entendre qui fit battre très fort le coeur de la jeune femme.  

- Le bébé va bien. Kaori, je dois même dire : les bébés vont bien. Ce sont les battements de leur coeur.  

 

Elle le regarda d’un air abasourdi, laissant les mots pénétrer son esprit. Des jumeaux… Pouvait-elle faire pire ? Décidément rien ne lui serait épargné…  

 

- Des jumeaux ? Magnifique, deux petites têtes identiques pour me rappeler ma bêtise.  

 

- Je vais te détromper : ils ne seront pas identiques. C’est une grossesse bichoriale, bi-placentaire.  

 

- Explique-moi, c’est du charabia pour moi.  

 

- Ce sont deux enfants qui ont été conçus en même temps : deux gamètes mâles s’accouplant à deux gamètes femelles.  

 

Il vit la lumière se faire dans son regard et, soudain, elle se mit à rire, mais un rire nerveux, sans aucune gaieté, aucune joie. Au bout de quelques minutes, elle s’arrêta, essoufflée.  

 

- Donc je peux techniquement attendre un enfant de mes deux amants présumés ?, lui demanda-t-elle en le regardant droit dans les yeux.  

 

- Oui.  

 

- Moi qui pensais que ça ne pouvait pas être pire. J’ai touché le fond là, je pense. Non ?  

 

- Je crois que ça peut difficilement être plus compliqué. Ca va aller, Kaori ?  

 

- Oui, ça va aller. A partir du moment où j’ai décidé de le garder… de les garder, je vais de l’avant. Ca ne sert à rien de s’appesantir sur le sujet. Dès que la mission sera finie, je leur dirai.  

 

- Sage décision. En attendant, tu te reposes, allongée, interdiction de te lever plus de cinq minutes., lui indiqua-t-il, en baissant la tête du lit.  

 

- Doc, ça ne se voit pas ?, lui demanda-t-elle en posant une main sur son ventre. Elle était consciente que son ventre n’était plus plat. Ryo allait revenir et elle ne voulait pas lui dire avant la fin de la mission pour ne pas le perturber.  

 

- Attends.  

 

Il prit un coussin qu’il posa contre elle et légèrement sur son ventre et posa sa main où avait été inséré un cathéter avec une perfusion.  

 

- Là ça devrait aller. Tu peux te mettre sur le côté si tu veux. Le tout c’est que tu restes allongée et ne mette pas trop de pression sur le col. Et tu gardes le masque à oxygène pour cette nuit.  

 

- D’accord. Merci Doc.  

 

Il la laissa et, peu de temps après, Ryo revint. Il prit une chaise et s’assit à côté d’elle. Ils restèrent longtemps à se regarder en silence. Puis Ryo prit sa main dans la sienne.  

 

- Décidément, si même la mort te fait des avances… murmura-t-il d’un air narquois.  

 

- Toujours pas jaloux ?, lui demanda-t-elle.  

 

- Tu parles, pas moyen de me débarrasser de toi, tu reviens toujours me coller comme une sang-sue, lui répondit-il, un petit sourire qui démentait sa réplique.  

 

- Si j’étais sure que tu puisses te débrouiller comme un grand, sans faire de bêtise…  

 

Ils se sourirent, soulagés d’avoir encore l’occasion de pouvoir échanger de la sorte.  

 

- Où est Fumi ?  

 

- Mick est restée avec elle. Kazue l’avait rejoint, tu n’as rien à craindre pour elle.  

 

- La collection ?  

 

- On n’a perdu que quatre modèles grâce à une personne de ma connaissance qui s’évertuait à les ranger dans la voiture dès qu’ils étaient shootés., lui répondit-il en souriant. Elle rougit face au compliment.  

 

- Comment va-t-elle ?  

 

- Elle s’inquiète pour toi. Elle s’en veut.  

 

- L’incendie n’était pas accidentel, Ryo. J’ai senti l’essence juste avant que ça s’enflamme. Ca a été trop vite pour que l’on puisse sortir.  

 

- Oui, je sais. Mais tu as eu les bons réflexes, Kaori. Tu as su gagner du temps et vous tirer d’affaire.  

 

- Je vais devoir rester alitée un moment. Je ne pourrai pas être là au salon., l’informa-t-elle, le regard baissé.  

 

- Mick m’assistera. Il dit qu’il a un compte à régler avec le salop qui à oser porter la main sur toi par deux fois. On est deux comme ça., répondit-il, une lueur menaçante dans le regard.  

 

- Le plus important, c’est que tu te remettes, partenaire.  

 

- Promis. Si Fumi a besoin de faire un point sur le salon, venez me voir., dit Kaori en étouffant un bâillement.  

 

- Oui, je lui dirai. Repose-toi et remets ce masque.  

 

Il la regarda s’endormir tenant toujours sa main. Il ne comprenait pas vraiment pourquoi elle devait rester alitée pendant plusieurs jours pour une simple intoxication au monoxyde mais se dit qu’au moins elle pourrait enfin se reposer. Il éclaircirait cela avec le Doc plus tard. En attendant, il la saurait à l’abri et pourrait finir leur mission tranquillement.  

 

Il l’observa pendant un long moment, chose qu’il ne pouvait faire que clandestinement la nuit d’habitude. Elle rêvait. Il voyait ses yeux se plisser, ses traits se raidir puis se détendre. Que pouvait-il lui passer par la tête ? Il remit en place une mèche de ses cheveux qui était tombée devant ses yeux et elle se tourna vers lui, soudain plus calme. Il aimait cette femme. Si seulement il pouvait se donner la permission de le faire ouvertement… 

 


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