Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 12 capitoli

Pubblicato: 19-01-19

Ultimo aggiornamento: 01-02-19

 

Commenti: 16 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: Kaori se réveille un matin : vit-elle un rêve ou un cauchemar?

 

Disclaimer: Les personnages de "Cette nuit" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Cette nuit

 

Capitolo 10 :: chapitre 10

Pubblicato: 30-01-19 - Ultimo aggiornamento: 30-01-19

Commenti: Bonjour, nouveau chapitre^^ Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12


 

Chapitre 10  

 

Noël était arrivé avec son voile de neige. Toute la bande était réunie chez Ryo et Kaori pour célébrer l’évènement. Les deux tourtereaux avaient bénéficié étrangement de deux mois de répit : aucune attaque à déplorer de la part de l’Union Teope. Ryo, malgré le calme, sentait le danger toujours présent mais essayait de ne rien laisser transparaître auprès de Kaori. Celle-ci, sans fausse naïveté, n’avait pas écarté le danger mais profitait au mieux de sa fin de grossesse et aspirait à accoucher. Arrivée à huit mois, elle se sentait énorme, devait demander de l’aide pour se lever, ramasser des choses et en avait ras la casquette de dépendre des autres. Même là, pour le repas de Noël, elle avait gentiment été priée d’aller se reposer alors qu’elle adorait préparer ce repas festif. Elle avait soupiré, protesté mais rien n’y avait fait.  

 

Frustrée, elle s’était retrouvée dans la salle à manger, seule, entendant ses amies rire à côté. Elle avait alors commencé à mettre la table. Tant bien que mal, elle avait sorti les assiettes de l’armoire, puis les verres. Elle ragea car, essoufflée, elle dut s’asseoir le temps de reprendre son souffle. Puis elle se releva et alla chercher les couverts, les serviettes, puis elle sortit des bougeoirs. Lorsqu’elle prit les bougies, elle les fit tomber. Elle pesta contre sa maladresse. Prudemment, elle s’agenouilla. Elle se dit qu’un éléphant avait vraiment du courage ou de très bonnes articulations et les mamans éléphant alors avec plus de vingt mois de gestation… Elle pouffa de rire et, observant son ventre distendu, se dit que, si l’être humain devait subir la même durée, il n’y aurait plus personne sur Terre depuis longtemps… Elle-même aurait sûrement tué les deux géniteurs potentiels…  

 

Elle avait rassemblé les bougies qui étaient tombées par terre et évaluait la meilleure façon de se relever. Elle commença par se rendre à quatre pattes vers le divan et posa sa cargaison sur la table basse. Elle était bien contente que personne ne fut dans les parages… Après il lui suffirait de s’appuyer sur le canapé pour se relever et, ni vu ni connu, personne ne s’apercevrait de son petit passage au sol qui lui vaudrait à coup sûr une remontrance. Mais ça c’était sans compter l’évènement inattendu, la contraction inopinée qui la plia en deux pendant une petite minute. Et c’est à ce moment-là que Mick rentra dans la pièce et la trouva grimaçant de douleur par terre :  

 

- Kao ! Ca va ? Respire, lui dit-il inquiet en posant une main sur son dos en soutien.  

 

- Respire ?! J’ai juste envie de vous tuer tous les deux pour le moment., ronchonna-t-elle en lui lançant un regard noir.  

 

- Nous aussi on t’aime., dit-il gardant le sens de l’humour.  

 

La contraction finit par passer et il aida la jeune femme à se relever et s’allonger sur le divan pour se remettre un peu.  

 

- Ca arrive souvent ?, demanda-t-il timidement.  

 

Kaori le dévisagea un instant : il se sentait concerné, honnêtement concerné, sans vouloir être intrusif. Kaori et Ryo lui en avaient été reconnaissants car gérer leur relation naissante en plus de la grossesse n’avait pas été de tout repos et, bien que ne voulant pas l’évincer, ils avaient eu besoin d’intimité.  

 

- Une dizaine de fois par jour. C’est normal., voulut-elle le rassurer.  

 

Mick observait son ventre et fut surpris lorsqu’il le vit se déformer de façon bizarre. Elle sourit à son expression effarée : elle se rappela Ryo la première fois. Ils étaient dans le lit et ils discutaient quand l’un des bébés avait bougé. Il avait été inquiet et subjugué. Après, quand il fut rassuré sur le fait qu’elle ne souffrait pas, il s’en était amusé, posant sa main et attendant le contact. Elle en avait été émue : son visage resplendissait quand il arrivait. Elle qui pensait que ça l’indifférerait ou l’effraierait, elle avait découvert un homme serein et très… paternel...  

 

- Ils bougent. Tiens pose ta main là si tu veux.  

 

Il mit sa main à l’endroit indiqué et se sentit ému : il sentait un mouvement sous sa paume, quelque chose de dur.  

 

- C’est un bébé ?  

 

- Oui.  

 

- Wouah, c’est… indescriptible., murmura-t-il. Il retira sa main ne voulant pas abuser de la situation.  

 

- Vous avez déjà réfléchi à des prénoms ?, demanda-t-il, hésitant.  

 

Kaori le regarda avec tendresse.  

 

- Un peu mais on ne décidera pas avant de savoir qui est le père. Au final, ce sera une décision des deux parents. J’aurai juste une requête que j’ai déjà faite à Ryo et je te la fais à toi aussi. J’aimerai que le garçon porte le prénom de mon frère. Pour la petite fille, je n’ai pas d’idée arrêtée. Réfléchis et dis-moi ce que tu en penses., lui dit-elle.  

 

Ils avaient appris plusieurs semaines avant qu’elle attendait un garçon et une fille. Kaori avait été ravie. Les filles s’étaient lâchées sur les achats de vêtements en bleu et rose et, même si ce n’était pas son style, elle n’avait rien dit et s’était réjouie de leur air joyeux. Elles l’abreuvaient d’idées de prénom.  

 

- Ca me va aussi, Kaori. Je ne l’ai pas connu mais, pour avoir élevé aussi bien sa sœur, ce devait être un homme bien., lui répondit-il.  

 

Il essuya la larme qui coula sur sa joue. Ryo, qui écoutait depuis cinq minutes la conversation mais avait voulu les laisser un peu seuls, entra dans la pièce.  

 

- Tu fais pleurer ma femme, Mick., lui lança-t-il, taquin.  

 

- C’est parce qu’elle vient enfin de s’apercevoir qu’elle serait mieux avec moi., lui répondit l’américain sans se démonter.  

 

- Elle pleure de joie.  

 

- Ca suffit, vous deux., fit Kaori, amusée.  

 

- Aidez-moi à me relever plutôt. La table ne va pas se mettre toute seule.  

 

- D’ailleurs, dis-moi, comment les couverts et bougeoirs sont arrivés sur la table ?, demanda Ryo, suspicieux.  

 

Kaori détourna le regard, prise en faute. Il s’avança et trouva une bougie oubliée par terre et vit les autres bougies sur la table basse.  

 

- Kao, rassure-moi. Les bougies se sont ramassées toutes seules ?, fit-il en la regardant d’un air narquois.  

 

- Non, j’ai fait appel à mes dons de télépathe., répondit-elle d’un ton effronté, les yeux brillant de malice.  

 

- Bien sûr. Tu ne dois pas te baisser, lui dit-il doucement. Il savait qu’elle était susceptible en ce moment, détestant dépendre des autres.  

 

- Oui, je sais… Vous m’aidez à me lever maintenant ou je dois me rouler comme le tonneau que je suis devenue ?, soupira-t-elle.  

 

Ryo et Mick l’aidèrent et ils finirent de mettre la table. Bientôt, les filles annoncèrent que le repas était prêt et ils passèrent tous à table. La soirée se déroula dans la joie et la bonne humeur. Un peu plus tard, ils échangèrent les cadeaux. Soudain, Kaori se sentit oppressée et éprouva le besoin de s’isoler un moment. Elle sortit de la pièce et se réfugia dans leur chambre, regardant par la fenêtre la neige tomber. Elle essaya de réprimer la sourde angoisse qui lui étreignait le coeur. Verrait-elle le prochain Noël ? Aurait-elle le bonheur de voir ses enfants grandir et fêter tous ces évènements joyeux ? Les vivraient-ils ensemble avec Ryo ? Elle sentit les larmes couler sur ses joues.  

 

- Kao ?, entendit-elle derrière elle. Deux bras vinrent l’enlacer et la chaleur qui l’entoura soudain lui fit le plus grand bien pour apaiser ses craintes.  

 

- Tout le monde se demande ce que tu fais., lui dit Ryo, d’une voix tendre.  

 

- Rien, j’avais juste besoin d’être un peu seule…, murmura-t-elle, essayant de réprimer le tremblement de sa voix. Son étreinte se resserra sur elle.  

 

- A quoi tu penses ? Parle-moi.  

 

- A Noël prochain… Je me demandais si on le verrait…  

 

Elle pleura de plus belle. Elle se retourna dans ses bras et nicha tant bien que mal son visage dans son cou.  

 

- On s’en est toujours sorti, Sugar. On s’en sortira une nouvelle fois, tu verras., lui répondit-il, plus confiant qu’il ne l’était réellement.  

 

- On va leur botter les fesses et leur faire comprendre que City Hunter est et sera toujours plus fort que tous.  

 

- Ryo, s’il m’arrivait quelque chose et qu’on peut sauver les enfants, promets-moi de faire le maximum pour eux…  

 

- Tais-toi, lui murmura-t-il choqué. Comment pouvait-elle imaginer mourir en laissant leurs enfants ?  

 

- Promets-le moi. Je ne supporterai pas de les perdre.  

 

Il la serra à l’étouffer : dire qu’elle lui faisait peur à ce moment-là était un bas mot. Mais si c’était ce qu’elle avait besoin d’entendre,...  

 

- Je te le promets., souffla-t-il.  

 

Il sentit qu’elle acquiesçait et se calmait peu à peu. Il lui laissa le temps de se reprendre puis ils rejoignirent les autres. Kazue et Mick avaient un présent un peu particulier pour Kaori. Ils lui tendirent une enveloppe avec un nœud scotché dessus. Lorsqu’elle l’ouvrit, elle découvrit un dessin fait pour elle par les enfants de l’orphelinat.  

 

- Nous y sommes allés hier après-midi pour distribuer les cadeaux de ta part. Les enfants ont été déçus de ne pas te voir mais on leur a dit que tu irais bientôt leur rendre visite. Ils nous ont donné cela pour toi.  

 

Kaori les remercia chaleureusement. Ils passèrent encore quelques heures ensemble puis se séparèrent. Les deux amoureux partirent se coucher et s’endormir dans les bras l’un de l’autre paisiblement.  

 

Kaori se réveilla en sursaut le lendemain matin vers 6h. Elle avait fait un cauchemar dans lequel Ryo était tué. Elle le regarda dormir un moment, apaisant son coeur qui battait à tout rompre, puis, le sommeil ne revenant pas, se leva. Elle se rendit en cuisine et fit un peu de rangement. Puis elle enfila une veste et monta sur le toit avec une tasse de thé. Il faisait encore nuit mais la ville était calme en ce jour de Noël. Elle observa les tours illuminées, les rues désertes recouvertes d’un manteau de neige. Au loin, l’aube se profilait commençant à teinter l’obscurité. Elle se sentait en paix.  

 

Soudain, elle sentit une présence malveillante. Elle se retourna et ne vit rien. Malgré tout, elle tenta de regagner la cage d’escalier où, une fois la porte refermée, elle serait en sécurité mais n’y arriva pas. Un mouchoir fut placé devant sa bouche et elle s’enfonça dans le noir, ayant une dernière pensée pour ses enfants et son homme.  

 

Ryo se réveilla en sursaut sentant l’aura noire qui était dans les parages. Il se leva et prit son arme. Il savait que Kaori n’était plus dans le lit et la chercha. Il entendit soudain le vrombissement d’un hélicoptère au-dessus de l’immeuble et le vit qui s’éloigner. Montant en courant jusqu’au toit, il ne put rien faire. Le toit était vide, seuls restaient les débris de la tasse de thé fumant de Kaori. Son regard se glaça de fureur : il savait qu’ils ne lui feraient rien jusqu’à ce qu’ils les aient tous les deux. Il les retrouverait et les tuerait tous pour avoir osé toucher à sa famille. Les hostilités étaient lancées.  

 

Il redescendit et prévint tout le monde. Il prit une douche rapide pour bien se réveiller et s’habilla. Il prépara ensuite du café sachant que les autres allaient arriver, puis descendit à l’armurerie et prépara l’artillerie qu’il comptait emporter. Ces gestes étaient froids et calculés. Il n’y avait pas de place pour l’émotion pour le moment. S’il laissait une brèche, il ne sauverait pas sa femme. Il entendit Mick et Kazue rentrer, suivis de peu par Umibozu et Miki et enfin Saeko. Il remonta.  

 

- Ryo, comment ça va ?, demanda Kazue, la voix tendue. Elle recula devant son regard froid et sans pitié.  

 

- Ca va. On va la sortir de là. Kazue, je voudrai que tu ailles à la clinique et que tu préviennes le Doc. Tenez-vous prêts, d’accord ?  

 

- D’accord, j’y vais.  

 

- Préviens-moi quand tu y es, lui demanda Mick en la voyant partir. Elle acquiesça et disparut.  

 

- Que fait-on, Ryo ?  

 

- On attend. Ils me veulent. A priori, ils veulent nous tuer tous les deux ensemble.  

 

- Pourquoi attaquent-ils maintenant ?, s’interrogea Miki.  

 

Ryo regarda Mick puis les autres. C’était une intuition, détestable, qu’il avait depuis quelques temps.  

 

- Je pense qu’ils veulent les enfants. Vu les dégâts qu’on leur a infligés, je les soupçonne de vouloir nous faire du mal même après notre mort, en les enlevant… Kaori est au bout de sa grossesse ou tout du moins à un stade suffisamment avancé pour qu’ils naissent en bonne santé.  

 

- J’ai entendu parler de plusieurs cas de disparitions inquiétantes de femmes enceintes, intervint Saeko.  

 

- Tu crois que ce serait lié ?  

 

- Oui. Avec leur réseau, ils se diversifient. Le marché de l’adoption clandestine est très lucratif.  

 

Le téléphone sonna. C’était eux. Le rendez-vous était fixé six heures plus tard dans un entrepôt désaffecté à l’écart de la ville.  

 

- Je vous préviens : je n’aurai aucune pitié. Je ne compte pas laisser de survivants : ils nous ont fait assez de mal. Saeko, je ne veux pas que tu interviennes : tu fais partie de la police.  

 

- Je ferai en sorte d’être au poste et de prendre l’appel. J’interviendrai à ce moment-là. C’est non-négociable. C’est la sœur de Hide., dit-elle d’un ton ferme. Il accepta.  

 

- Umi, Miki, Mick, la décision vous appartient.  

 

- Ce sont peut-être mes enfants : je te suis., dit Mick, déterminé.  

 

- J’ai passé trop de temps à préparer la fête pour les bébés : ils ne me gâcheront pas cela. J’en suis., lança Miki, avec un clin d’oeil.  

 

- J’ai besoin de faire un peu d’exercice., répondit simplement Umi, les laissant pantois.  

 

Les décisions étaient prises. Ils se préparèrent.  

 

Dans ledit entrepôt, Kaori avait été enfermée dans une pièce éclairée et propre. Bizarre… Ce n’était pas l’hospitalité habituelle des truands. Elle n’était pas attachée. Elle était juste liée à une perfusion et ses yeux s’écarquillèrent lorsqu’elle vit le nom : ils voulaient provoquer son accouchement. Comme pour souligner sa découverte, une contraction s’invita. Elle s’allongea et respira comme le lui avait indiqué Kazue, laissant la douleur repartir. Elle retira précautionneusement l’aiguille de son bras mais glissa le tuyau sous le sparadrap au cas où quelqu’un viendrait l’examiner. Il fallait qu’elle réfléchit avant d’agir.  

 

Elle observa la pièce : pas de caméra. Elle se dirigea vers la porte et tourna la poignée : fermée à clef. Elle regarda par la grille. Il y avait un garde derrière la porte. Ils étaient a priori à l’étage parce qu’elle voyait un garde-corps à quelques mètres à gauche. Pourquoi était-elle montée sur le toit ? se morigéna-t-elle. Elle se reprit : ce n’était pas le moment de culpabiliser. Elle devait garder les idées claires. Elle pensa à Ryo et ça lui donna du courage. Une nouvelle contraction arriva. Elle se concentra et respira. Pour le moment, c’était gérable. Elle entendit des pas se diriger vers sa pièce et se rallongea sur le lit. Ils étaient plusieurs, ce n’était pas le moment pour attaquer. Elle laissa la douleur s’imprimer sur son visage.  

 

Lorsque les hommes entrèrent dans la pièce et virent la jeune femme dans la douleur, ils ricanèrent.  

 

- Mademoiselle Makimura, bienvenue en votre dernier lieu de vie., persifla l’un d’entre eux.  

 

Elle décida de leur faire baisser la garde et joua la jeune femme apeurée. Un homme en blouse blanche s’approcha d’elle et enfila des gants.  

 

- Allongez-vous, je vais vous examiner.  

 

Prenant sur elle, elle le laissa la toucher alors qu’elle lui aurait bien fichu un coup de genou dans la tête.  

 

- Trois centimètres. C’est en bonne voie.  

 

- Que… que voulez-vous ?, bégaya-t-elle, en les regardant.  

 

- Vos enfants et, quand ils seront nés, nous les vendrons et vous et City Hunter mourraient. Ce ne sera qu’un juste dédommagement des dégâts causés.  

 

- Non, pas ça !, hurla-t-elle, plus pour la forme.  

 

Elle avait eu la confirmation de ce qu’elle pensait. Elle s’agrippa au médecin et, avec une adresse et discrétion absolues, saisit la paire de ciseaux qu’elle avait vue dans sa poche. Il la repoussa sur le lit sans ménagement et ils ressortirent tous. Kaori sourit : maintenant elle avait au moins un outil ou une arme… Sans attendre, elle se remit en mode professionnel. Elle devait sortir de là avant la naissance et, comme pour lui faire comprendre qu’elle devait accélérer, une nouvelle contraction arriva... 

 


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