Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 12 capitoli

Pubblicato: 19-01-19

Ultimo aggiornamento: 01-02-19

 

Commenti: 16 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: Kaori se réveille un matin : vit-elle un rêve ou un cauchemar?

 

Disclaimer: Les personnages de "Cette nuit" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Cette nuit

 

Capitolo 8 :: chapitre 8

Pubblicato: 28-01-19 - Ultimo aggiornamento: 28-01-19

Commenti: Bonjour, la suite. Bonne lecture et merci encore pour vos commentaires^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12


 

Chapitre 8  

 

Deux jours plus tard, les choses étaient rentrées dans l’ordre. Kaori et Ryo avaient décidé de dévoiler à leurs autres amis les derniers évènements et nul doute que ceux-ci seraient surpris. Mais avant cela ils avaient une autre priorité…  

 

Ryo avait donné rendez-vous à Mick dans le parc. Kaori et lui l’attendaient profitant du soleil. Ils étaient tous deux un peu nerveux puisque c’était la première fois qu’ils se revoyaient depuis la bagarre.  

 

- Tu es sure que tu veux rester ? Je peux lui parler seul si tu veux. Tu n’es pas obligée de subir cela., dit Ryo à Kaori en lui prenant la main.  

 

- Non, je reste. C’est une discussion qu’on doit avoir ensemble. Ca ira., le rassura-t-elle.  

 

- Tu sais, je suis capable de ne pas le tuer., l’informa-t-il en souriant légèrement.  

 

- Je sais. Tiens, le voilà., murmura Kaori en se levant.  

 

Mick arriva près d’elle et ne sut comment agir. Après tout ce qui s’était passé, il ne s’attendait pas à un accueil des plus chaleureux. Kaori lui tendit les bras en signe de réconciliation. Il la prit dans ses bras, soulagé et reconnaissant, et déposa un baiser sur sa tempe. Puis il se tourna vers Ryo et lui tendit la main, hésitant. Ryo ne se fit pas prier et lui serra la main.  

 

- Je suis désolé pour ce que je t’ai dit avant-hier., dit Mick. Ryo lui sourit légèrement.  

 

- On oublie. Ca arrive les disputes en famille.  

 

Kaori sourit : elle savait que Ryo pouvait avoir la rancune tenace sur certains sujets, et leur relation en était un, mais, là, il avait pris sur lui pour passer outre leurs divergences.  

 

- Kaori, je sais qu’elle a été très dure mais Kazue s’en veut pour ce qu’elle t’a dit. Elle te présente ses excuses.  

 

- Dis-lui qu’il n’y a pas de problème. Si on en venait au fait, je voudrai rentrer me reposer un peu avant d’aller au Cat’s.  

 

Kaori se tut un moment, ne sachant comment aborder la question sans le froisser. Mick s’assit à côté d’elle attendant qu’elle prit la parole. Ce fut finalement Ryo qui se lança :  

 

- Mick, Kaori souhaiterait annoncer aux autres sa grossesse. Seulement tu connais Miki, elle va poser des questions et il faut qu’on se mette d’accord sur ce qu’on va dire, sans mentir.  

 

- On sait que la situation est délicate pour toi et Kazue donc si tu préfères qu’on passe sous silence les détails te concernant, on peut le faire., poursuivit la jeune femme.  

 

- Attendez, il est hors de question que je n’assume pas la paternité si j’en suis responsable.  

 

- Mick, intervint Kaori en posant sa main sur la sienne, ce n’est pas ce qu’on veut. Si tu es le père, on ne te privera pas de l’enfant et on trouvera un arrangement à ce moment-là. En attendant, on peut vous ménager, le temps que Kazue et toi, vous soyez mis d’accord et qu’on ait fait les tests.  

 

- Ok. Mais non, vous pouvez dire la vérité à tout le monde. On assumera. Et puis, s’il y avait une personne à ménager, ce serait plutôt toi. Il y a un autre point à aborder, Ryo, et je pense que tu y as déjà réfléchi : la sécurité de Kaori.  

 

- Oui. Surtout que ça commence à se voir. Donc ça ne tardera pas à se savoir et tu vas devenir une cible, Kao, encore plus qu’avant.  

 

- Je sais, dit-elle, résignée. Je n’ai pas envie de partir d’ici pour de longs mois et d’accoucher seule. Ca m’effraie plus que d’être la cible du milieu.  

 

Ryo passa son bras autour d’elle pour la rassurer. Mick posa sa main sur son genou et lui dit :  

 

- Alors tu as de la chance d’être entourée par une grande famille de nettoyeurs et mercenaires parmi les meilleurs au monde…  

 

- Les meilleurs au monde, tu veux dire, Mick., le corrigea Ryo, faussement vexé.  

 

- Quand on en parlera aux autres, on mettra tout cela en place.  

 

Tous trois regardèrent un moment les promeneurs passer dans le parc. Puis Mick se tourna vers eux :  

 

- Alors vous deux, vous en êtes où ?  

 

- J’ai dépassé mes peurs et on s’ajuste.  

 

- Façon Ryo, ça veut dire qu’on est un jeune couple…, expliqua Kaori, souriante. Messieurs, mon dos implore ma pitié. J’aimerai rentrer. On se retrouve au Cat’s ce soir, Mick ?  

 

- Oui, va te reposer. On sera là vers 18h.  

 

- Ca marche.  

 

Ils se levèrent et rentrèrent chacun chez eux. Lorsqu’il fut sûr que Kaori s’était endormie, Ryo ressortit et se dirigea à l’entrée de l’allée en face de leur immeuble, où il avait remarqué l’un de ses indics qui visiblement l’attendait :  

 

- Je t’écoute, Kenji.  

 

- Il y a une rumeur qui circule, Ryo. L’union Teope serait de retour sur le sol japonais et ils te cherchent.  

 

Ryo observait l’entrée de leur immeuble. Depuis tout ce temps, il fallait qu’ils revinrent maintenant… Kaori et lui étaient toujours des cibles.  

 

- Il y a plusieurs tueurs qui sont arrivés ici à Tokyo depuis deux jours. Ca tremble dans les bas-fonds. Fais attention, Ryo.  

 

- Merci Kenji, toi aussi.  

 

Ils se quittèrent sans un signe et Ryo rentra chez lui. Par prudence, il vérifia toutes ses installations. Leurs amis avaient les clefs et tout ce qu’il fallait pour entrer en sécurité. Il se dit en même temps qu’avec deux enfants dans la place, il y aurait des aménagements à effectuer et pourquoi ne pas s’y mettre tout de suite ? Il déplaça tout ce qui pourrait s’avérer dangereux pour un enfant. Il sourit à cette pensée : il aurait dû jeter tout ce qu’il y avait dans la pièce pour un bien… Il faudrait tout mettre sous clef : vu leurs gènes à tous les trois, ils se retrouveraient avec des pros de la gâchette et du maniement des armes et il n’avait pas vraiment envie de voir les petits avec une grenade ou une arme à la main… S’ils voulaient leur donner une enfance la plus normale possible, ils devraient les tenir éloignés le plus possible de leur métier…  

 

- Ryo, que fais-tu ? Il est bientôt 18h.  

 

Kaori était à l’entrée de la pièce, stupéfaite. Il avait tout réaménagé…  

 

- Un peu de ménage… en prévision de leur arrivée., dit-il en posant la main sur son ventre.  

 

Elle fut touchée. Il la prit par la main et l’emmena dans le salon. Kaori protesta qu’ils devaient y aller, qu’ils étaient déjà en retard… Mais Ryo ne l’écouta pas. Il la fit s’asseoir et lui expliqua ce que Kenji lui avait remonté. Il la vit pâlir puis se ressaisir.  

 

- On les affrontera, on fera face, Ryo.  

 

- Kaori, dans ton état, tu n’affronteras personne. Tu dois les protéger eux., dit-il en pointant un doigt vers son ventre.  

 

- Ce sera à moi de te protéger, toi.  

 

- Je sais me défendre ! Je ne suis pas une petite chose faible qu’on doit protéger, je suis ta partenaire !, lui répondit-elle, énervée.  

 

Elle se leva et se mit à arpenter la pièce. Soudain, elle sentit un bras la saisir et le froid du métal sur son ventre.  

 

- Et là, tu fais quoi ?, lui dit Ryo dans le creux de l’oreille.  

 

- Essaie de me soulever, de me frapper.  

 

Elle essaya de bouger mais, quoi qu’elle fit, elle sentait le métal glisser sur sa peau.  

 

- Si c’était le tranchant, tu aurais déjà plusieurs entailles, voir le couteau enfoncé dans le ventre. Tu comprends ?, lui dit-il doucement sachant dans quel état elle devait être.  

 

Elle cessa de se débattre. Il ne voulait pas lui faire peur, elle le savait, juste lui faire comprendre pourquoi elle ne pourrait assurer sa propre protection. Elle penserait toujours aux bébés avant tout. Elle se mit à pleurer et il la prit dans ses bras.  

 

- Ils cherchent toujours à attaquer le point faible. Si tu veux qu’on soit fort, sois consciente de tes faiblesses.  

 

- Mon état…  

 

- Oui et, en ce qui me concerne, tu es ma faiblesse. Mais tu es aussi ce qui me rend plus fort parce que tu me donnes envie de vivre, plus seulement de survivre comme avant, vivre, tu m’entends ?  

 

- Oui, Ryo. J’ai compris. Je t’écouterai. On annule pour ce soir ?  

 

- Non, il faut qu’on y aille. Pour l’instant, ils ne pensent pas qu’on est au courant. Et il faut que l’on puisse faire appel à notre réseau et nous préparer. Allez, viens, on y va.  

 

Elle le suivit. Soudain, cette sortie lui semblait beaucoup moins plaisante. Arrivé à la voiture, Ryo arrêta Kaori :  

 

- Eh Sugar, nos amis méritent mieux que ça. Ils méritent de voir ton visage illuminé, radieux de bonheur.  

 

- Je n’y arrive pas. Je pense à ces tueurs et je me demande de quoi demain sera fait.  

 

- Regarde-moi. On est bien placés pour savoir que demain reste un mystère. On peut mourir ou se retrouver en couple et bientôt parents… Il faut profiter du moment présent. Et maintenant, on va voir nos amis et leur annoncer les bonnes nouvelles.  

 

- Comment peux-tu rester optimiste ?  

 

- A cause de toi. C’est toi qui as mis de la joie et de l’espoir dans ma vie. Alors profite de cette soirée.  

 

- D’accord., lui répondit-elle en souriant faiblement.  

 

Ils partirent et se retrouvèrent devant le Cat’s en un rien de temps. Ryo se propulsa dans les airs, enlevant en un temps record ses vêtements, en direction de Miki, fut accueilli par le bazooka de Falcon, puis alla saluer comme il se doit Kasumi, Kazue, Saeko et Reika. Les filles se montrèrent aussi chaleureuses que lui et il revint bientôt édenté, éborgné, écharpé, égratigné, ém… non pas celui-là, elles furent sympas pour en finir…  

 

Kaori qui avait assisté à toute la scène soupira puis avança tranquillement et s’assit au bar. Miki la regarda, ébahie, puis s’approcha d’elle et fixa son ventre :  

 

- Tu… tu… tu…, bégaya-t-elle. Kaori sourit, amusée.  

 

- En général, c’est Ryo qui fixe et bégaye.  

 

- Mais euh, c’est une attaque basse, geignit celui-ci, s’approchant d’elle tout penaud.  

 

- Tu es enceinte ?!, finit par hurler Miki, rouge d’excitation. Elle trépignait sur place.  

 

- Oui de quatre mois passés maintenant.  

 

Kaori s’amusait de la situation. Tous s’étaient approchés pour constater de leurs propres yeux ce fait.  

 

- Mais comment ?, laissa-t-elle s’échapper.  

 

- Falcon, tu joues au domino avec ta femme ? Tu ne lui as pas expliqué les choses de la vie ?, nargua Ryo. Le géant l’envoya valser dans le mur de l’autre côté du café avec un grognement.  

 

- La question serait plutôt qui, je pense ?, reprit Saeko, posément. Miki acquiesça.  

 

- Tu m’avais caché que tu voyais quelqu’un. Où est-il ? Qui c’est ? Il est comment ? Raconte !, reprit Miki, enthousiaste.  

 

- Si tu veux que je raconte, il faut que tu me laisses en placer une. Et c’est un peu compliqué et embarrassant, donc il ne sera pas question de juger qui que ce soit, compris ?, intima Kaori.  

 

Reika s’était approchée de Ryo et tentait une nouvelle fois de le séduire.  

 

- Alors, fini le partenariat avec ce nouveau rebondissement. Finalement, elle aura préféré les couches au bazooka., susurra-t-elle en se frottant contre lui de manière aguicheuse.  

 

- Non, Reika, la place n’est pas à prendre. Kaori est et reste ma partenaire.  

 

- Et tu m’expliques comment elle va faire avec un moutard sur les bras ?, lui demanda-t-elle dédaigneuse.  

 

- On s’en arrangera, répondit-il en haussant les épaules et rejoignant le reste du groupe.  

 

Il se plaça à côté de Kaori, adossé au bar. Il vit que Mick n’était pas loin non plus. Comme il l’avait dit, il assumerait. La jeune femme inspira profondément et les interrogea tous deux du regard. Ils lui firent un petit signe de tête et elle se lança :  

 

- Je n’ai personne à vous présenter. J’attends des faux jumeaux dont le ou les pères sont déjà connus de tous.  

 

Tous les regards effarés convergèrent vers Mick et Ryo, étant bien entendu que Falcon marié à Miki était écarté de la liste des papas potentiels.  

 

- Pour une surprise, murmura Saeko qui eut une pensée pour Hideyuki, se demandant ce qu’il en aurait pensé.  

 

- Tu plaisantes ?, fit Miki, interloquée. Son regard allait de l’un à l’autre, cherchant lequel des trois balancerait la supercherie en premier.  

 

- Eh bien, c’est que finalement elle n’était pas si prude, notre petite Kaori… susurra Reika d’une voix venimeuse. Sa sœur et Ryo lui lancèrent un regard meurtrier et elle se recroquevilla sur elle-même.  

 

- Nous avions trop bu ce soir-là et c’est arrivé, point., reprit Kaori. Pour ce qui est de la paternité, il faudra attendre leur naissance.  

 

- Mais comment tu vas faire toute seule avec deux enfants ?, demanda Miki, sous le choc.  

 

- Elle n’est pas toute seule… enfin, elle n’est plus toute seule., indiqua Ryo, en se rapprochant de Kaori et la prenant par la taille.  

 

- Elle perd pas le nord, la Makimura., débita Reika, amèrement, ce qui lui valut un coup de coude de sa sœur.  

 

- Tu brises des coeurs, Ryo, lança Saeko, amusée mais heureuse pour ses amis.  

 

- Mais toi Mick ? Et Kazue ?, demanda Miki, inquiète.  

 

- Nous nous serons présents aussi. Selon les résultats des tests, on avisera, on s’adaptera. Mais dans une grande famille comme la notre, on fera tous partie de leurs vies.  

 

- D’ailleurs à ce sujet, intervint Ryo, nous allons avoir besoin de votre aide. D’une part, parce qu’en étant enceinte, Kao sera encore plus dans la ligne de mire qu’avant et, d’autre part, je viens d’apprendre que l’Union Teope remet les pieds au Japon et veut nous faire la peau. Ils se regardèrent tous inquiets. C’était une très mauvaise nouvelle.  

 

- On pourrait envoyer la petite finir sa grossesse au loin., proposa Falcon, posément.  

 

- Je sais que c’est la solution la plus raisonnable mais je n’ai pas envie de partir… J’ai peur d’accoucher seule de deux enfants qui peuvent arriver à n’importe quel moment., admit Kaori, péniblement. Falcon hocha la tête, comprenant la situation.  

 

- Alors, on s’organisera et te protégera. Mais il faudra que tu sois conciliante. Les sorties seront limitées au strict minimum, tu ne pourras pas être seule., intervint Mick, sérieux.  

 

- On a déjà évoqué cela en partie avec Ryo. Je sais que je ne peux pas me défendre seule ou très peu. Je l’ai compris.  

 

- En revanche, si tu ne peux sortir, c’est l’extérieur qui viendra à toi, lança Miki, d’un ton jovial. Elle voyait la mine sombre de son amie et ça ne lui plaisait pas. Elle continua sur sa lancée.  

 

- On va ramener des tonnes de catalogues chez toi, on prendra des photos dans les magasins. Tu feras tes emplettes de ton canapé. On va préparer l’arrivée de ces deux petits princes dignement. N’est-ce pas, les filles ?  

 

On entendit un « même pas en rêve » suivi d’un grognement de douleur suite à un deuxième coup de coude de Saeko à Reika. Sinon, toutes acquiescèrent, même Saeko à la grande surprise de Ryo.  

 

- Merci à tous., dit Kaori, les larmes au bord des yeux.  

 

- Bon, patron, c’est ma tournée !, lança Ryo, pour qui tant d’émotions était difficile à gérer. Falcon le regarda :  

 

- Tu payes cette fois-ci ?  

 

- Allez, mon Umi, t’inquiète. Je vais tout te payer. Je deviens un homme respectable.  

 

- Ah oui ? Et tu lui passes quand la bague au doigt alors ?, lui demanda-t-il, avec un léger sourire. Ryo le regarda très sérieusement et lui répondit simplement :  

 

- Chaque chose en son temps, Falcon. J’ai déjà trois choses à gérer : pour une petite tête comme moi, c’est déjà deux de trop., lança-t-il, à moitié sérieux. Kaori se tourna vers lui : elle avait entendu toute la conversation.  

 

- Trois choses à gérer : l’Union Teope, ma protection et….  

 

- Ma libido débordante, bien évidemment. Il en faut de la concentration pour ne pas te sauter dessus à tout va alors que tu es enceinte et diablement sexy., lui murmura-t-il avec un regard ardent.  

 

La jeune femme vira au rouge pivoine mais ses paroles lui firent un bien et plaisir fous. Il se pencha alors vers elle et l’embrassa, veillant à ne pas trop exciter son compagnon sous la ceinture.  

 

- Pour le mariage, on attendra un peu, non ?, lui dit-il en se séparant d’elle.  

 

- Tant que tu restes avec moi, je me fiche d’avoir un morceau de métal autour du doigt., lui répondit-elle. Et c’était vrai.  

 

- Etrangement moi pas. Mais on en reparlera.  

 

Ils passèrent une agréable soirée tous ensemble, essayant d’occulter la menace qui planait sur leurs vies.  

 


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