Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Lune

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 11 capitoli

Pubblicato: 09-12-04

Ultimo aggiornamento: 14-04-06

 

Commenti: 73 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Un avion pour changer les choses....

 

Disclaimer: Les personnages de "L'amour prend son envol" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: L'amour prend son envol

 

Capitolo 4 :: Le supplice de Ryô

Pubblicato: 19-12-04 - Ultimo aggiornamento: 19-12-04

Commenti: Voilà mon chap 4 que j'avais annoncé. Je suis contente de pouvoir le poster... parce qu'en principe, je n'aurai plus internet d'ici la fin du mois. Je vais donc faire mon maximum pour écrire la suite très très vite. merci pour les reviews, j'en veux encore, c'est un réel bonheur! Je fais une dédicace spéciale à mon homme que j'm...s'appelle Alex. (^.^) J'espère que ce chapitre vous plaira, bonne lecture, et des reviews pour me dire ce que vous en pensez! Merci!!!

 


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- Fais moi confiance, personne ne viendra ici.  

 

Ryô paraissait maîtriser la situation tant il y avait de l’assurance dans sa voix. Tactique ou non, cela eu pour effet de calmer instantanément Kaori, sérieusement gagnée par l’affolement.  

Comme pour confirmer les craintes de cette dernière, les voix de deux hommes se firent entendre tout près d’eux.  

 

- Faut tout passer au peine fin, ordre du chef. Commençons par ces toilettes…  

- A vos ordres, camarade.  

 

Deux paires d’yeux se fixèrent sur la poignée d la porte. Immanquablement, on allait les découvrir…  

 

- Hé ! Tu sais pas lire, camarade ? « En dérangement », ça veut dire vide, pas besoin de perdre du temps à fouiller. Reste ici en faction, moi je passe aux suivants.  

 

Dans les toilettes, Kaori fut assommée par des nuées de corbeaux à massues où trônait l’inscription « Imbécillité fait loi » Hébété, elle ne put que répéter :  

 

- Mais je rêve, ils sont cons, ou quoi ???  

- C’est bien possible, lui répondit alors Ryô avec un sourire.  

- Je ne comprends plus rien du tout… Les toilettes fonctionne parfaitement, on a pu y entrer sans problème…  

 

Fier de lui Ryô lui donna l’explication qui lui manquait :  

 

- J’ai installé la pancarte juste avant de nous enfermer. Brillant, non ?  

- Ah d’accord, ce sont des idiots de première alors… Attends une minute ! Tu as bien dit qu’on étaient enfermés, c’est ça ?!  

- Ben, oui, pour le moment. Le temps que je réfléchisse à un plan d’action.  

- Attends, Ryô. Tu veux dire que toi et moi, on est enfermé dans cet espace minuscule avec absolument personne pour venir nous déranger ?!?!  

- Oui, c’est ça…Hein ??? Quoi ??? Nous… déranger ???  

 

(Petite précision : je ne sais pas qui, mais alors vraiment pas qui, mais il y a une personne drôlement maligne qui a soudainement eu la bonne idée d’éteindre la lumière, voilà donc nos prisonniers dans le noir… Si vous pensez que c’est Kaori, je dirais pas que vous avez raison, mais je dirais plutôt que vous n’avez pas tord, (^.^)  

 

- Kaori…Qu’est-ce que tu fais !?!  

 

Profitant de l’obscurité, Kaori prodiguait à Ryô de tendre caresses le long de son dos. Le sang de notre nettoyeur ne fit qu’un tour. Son dos s’enflammait ; il n’y avait pas que son dos, d’ailleurs…  

 

- Bon sang, Kaori… A quoi tu joues ?  

 

Il avait tenté de prendre un ton incisif, mais à la place, il avait prononcé son prénom d’une voix rauque de désir. La réplique fut immédiate.  

 

- Qui te dis que je joue, Ryô ?  

- …(il a du mal à parler, il est sous le choc de cette réponse)  

- Tu sais, je profite juste de l’opportunité. Tu devrais en faire autant.  

- Quoi ?…Mais…  

 

Il ne put prononcer un mot de plus. Non pas qu’il ai perdu sa voix, mais disons qu’il n’est pas aisé pour lui de parler avec les lèvres de Kaori qui retiennent les siennes prisonnières. Rien à voir avec le premier baiser auquel il avait eu droit, comme si l’obscurité procurait de l’audace à sa partenaire. Il avait la sensation de se retrouver à nouveau dans son rêve, à la différence près que c’était à un niveau de sensation plus intense, et que cette fois-ci c’était bien réel.  

 

- Euh, Ryô ?  

- Oui…  

- C’est bien mon chemisier que tu déboutonnes, là ?  

- Euh, ben, c’est à dire que…  

- Ne t’arrête pas en si bon chemin, Ryô.  

 

Ryô déglutit difficilement. Déjà que son souffle était plus court, si en plus elle se mettait à l’encourager…il allait mourir !!!  

Kaori de son côté était ravie de son petit jeu avec lui, même si s’en était pas vraiment un. Elle sentait qu’il cédait à son désir, mais elle savait aussi qu’il pouvait se défiler dans la seconde suivante, trouvant n’importe quel prétexte pour stopper ce moment magique… Mais aujourd’hui, elle ne lui en laisserai pas le temps. Elle ralluma la lumière.  

Ryô aurait voulut pouvoir se cacher dans un minuscule trou de souris… Le geste de Kaori l’avait surpris, et il n’avait pas pu l’empêcher de rallumer, de même qu’il n’avait pas eu le temps de masquer son désir pour elle.  

 

- Et ben dis donc… Pour quelqu’un qui est sensé être incapable de te faire bander, je trouve que je m’en sors plutôt bien, non ?  

 

Rouge de confusion, il tenta de justifier le monumental mokkori qui s’offrait à leurs yeux.  

 

- Attends ; je vais t’expliquer… c’est pas ce que tu crois…  

- Ah, oui ? Dans ce cas, ose me dire que je ne te plais pas comme ça…  

 

Volontairement, Kaori remonta sa jupe jusqu’à mi-cuisse et acheva l’œuvre de Ryô en déboutonnant les deux malheureux boutons qui restaient à son chemisier.  

De toutes ses forces, Ryô essaya de détourner les yeux, mais rien n’y fit… sa sorcière de partenaire l’avait comme hypnotisé, et paralysé. Même dans ses rêves les plus secrets, jamais une telle situation ne s’était présentée.  

 

- Laisse toi aller, mon beau ténébreux…  

 

Elle se lova contre son torse, lui mordillant le lobe de l’oreille et déposant sur son cou une myriade de petits baisers.  

 

- Kaori, je t’en prie… arrête…  

 

Son mokkori devenait incontrôlable malgré tous les efforts fournis pour le calmer. Kaori lui faisait subir un véritable torture.  

Obéissant à sa dernière phrase, elle s’écarta de lui autant que le permettait la cabine.  

 

- C’est vraiment ce que tu veux, Ryô ? Au plus profond de toi ?  

 

 

 


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