Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Lune

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 11 capitoli

Pubblicato: 09-12-04

Ultimo aggiornamento: 14-04-06

 

Commenti: 73 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Un avion pour changer les choses....

 

Disclaimer: Les personnages de "L'amour prend son envol" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: L'amour prend son envol

 

Capitolo 7 :: A l'action

Pubblicato: 12-06-05 - Ultimo aggiornamento: 12-06-05

Commenti: Pardon!!! Mille fois pardon!!! J'ai pris bcp de temps pour poster ce chapitre... près de 6 mois... ce qui veut dire aussi que j'en suis à 6 mois... de grossesse! Et oui ! Je vous remercie tous de votre patience et j'espère que le chapitre vous plaira, l'action n'étant pas mon domaine favori en écriture. C'est un chapitre spécialement dédié à Cindy, Mathilde, à tous les gens que j'aime qui ont passé leur BTS avec moi (j'espère qu'on l'aura), sans oublier tous ceux qui attendait cette suite avec impatience. Promis je serai moins longue pour les chapitres suivants!

 


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- Alors, de quelle façon allons nous nous y prendre pour stopper ces débiles ambulants ?  

- Je te demande pardon ?  

- Ma parole, mais tu es sourd ! Je te demande ce que nous allons…  

- Il n’y a pas de « nous » qui tienne ! coupa vivement Ryô. Je m’occupe d’eux et toi, tu restes sagement ici jusqu’à ce que je revienne.  

 

Kaori commença à protester mais Ryô réagit plus vite qu’elle en la réduisant au silence à l’aide d’un de ses fameux baisers.  

 

- Il est hors de question que tu m’accompagnes. Je viens de trouver mon trésor dans cette vie misérable, je ne permettrai pas qu’il lui arrive quoi que ce soit.  

 

Peu habituée à ce genre de déclaration de la part de Ryô, Kaori en fut émue et touchée, mais elle ne se résignait pas pour autant à le laisser agir seul.  

 

- Je viens avec toi. Car au cas où tu l’aurais oublié, nous sommes en plein vol, loin au-dessus du plancher des vaches, bref, dans un avion quoi ! déclara-t-elle précipitamment en voyant son partenaire sur le point de répliquer.  

 

Effet immédiat sur notre nettoyeur préféré qui devint instantanément blême. Néanmoins, il reprit assez rapidement contenance et entreprit de défendre son point de vue contre celui de sa chère et tendre.  

 

- Ecoute, Kaori. Avion ou pas, je ne veux pas que tu prennes le plus petit risque. Tu es ce qui m’est de plus cher au monde, alors, si tu veux vraiment m’aider, s’il te plaît, ne bouge pas d’ici !  

 

Le ton qu’il avait employé pour s’exprimer était plus proche de celui de la supplication que de la simple requête, et Kaori décida de se ranger à sa volonté, du moins momentanément.  

 

- Bon, si c’est vraiment ce que tu veux, je resterai tranquille. Mais à la condition que tu fasses très attention à ta petite et insignifiante personne… parce que je mourrai s’il t’arrivait quelque chose !  

 

Ryô lui sourit tendrement. Il savait bien qu’elle s’était toujours inquiétée pour lui, à l’excès. Mais il lui montrerai plus tard pourquoi il n’avait nulle intention de prendre le moindre risque, il lui montrerai l’homme nouveau, fou amoureux d’elle qu’il était entrain de se laisser devenir et qui le poussait à prendre soin de lui pour qu’il puisse ensuite prendre soin d’elle.  

 

- Je n’ai pas l’intention de me faire tuer, Kaori, parce que si je me rappelle bien… tu m’as promis un coup, non ? lança-t-il malicieusement.  

- Qu… Quoi ? Moi j’ai… ??? Mais…  

- On verra ça plus tard, mon Ange. Je règle d’abord le compte de ces gugus, et je m’occupe de nous juste après.  

- C’est une promesse ou une menace ? fit-elle mi-figue mi-raisin.  

- Peut-être bien les deux ma douce ! répondit-il avec un clin d’œil. Bon maintenant, les terroristes. Bien sûr, se serai plus facile de m’en débarrasser avec un peu plus de matériel, mais je n’ai emmené que mon arme…  

- Tu as réussi à la faire passer sans encombre aux détecteurs de métaux ?  

- Bien sûr ! N’oubli pas que je suis un pro, et sans doute le meilleur au monde !  

- Moui, j’oubliai. Mais je suppose que le pro que tu es sera quand même ravi d’avoir à disposition ce genre de gadgets, non ?  

 

Sous les yeux ébahis de Ryô, Kaori sortit peu à peu de son sac à main une multitude d’armes. Il y en avait pour tous les goûts : mitrailleuses, cordes, bazookas, armes blanches, fusils, bombes de gaz, grenades, sans oublier les incontournables massues ! La tête de Ryô était des plus éloquentes, en clair il était scotché.  

 

- Comment as-tu pu faire entrer tout ça dans ton minuscule sac à main ? Et surtout comment toi tu as pu passer les détecteurs ??? Et puis pourquoi emmener ça en vacances ?  

- Ryô, fit-elle avec un grand sourire innocent, tu oublis que je suis la partenaire du meilleur pro au monde, comme il le dit lui-même. Et puis, tu n’as jamais vu de magicien révéler ses secrets, alors ne compte pas sur moi pour te dire comment je l’ai fait, c’est fait et c’est tout ce qui compte ! Et si j’ai emmené tout ce matériel, c’est en cas d’urgence, et tu ne devrais pas t’en plaindre puisque justement c’est une urgence. Alors de quoi as-tu besoin ?  

 

Ryô, bien qu’encore sous le choc, rassembla ce qui lui semblait nécessaire, puis après un dernier baiser et une dernière recommandation à la prudence, il s’extirpa des toilettes et se lança à l’assaut des malfrats. D’après les bruits qu’il avait perçut, il évaluait leur nombre à un maximum de cinq personnes, relativement peu équipés.  

Afin d’éviter toutes mauvaises surprises, il choisit de se consacrer d’abord aux deux idiots relégués tout au bout de l’avion. Le premier qu’il trouva fut mis hors course avec son habituelle facilité, et il en fut de même pour le second.  

Remontant vers l’avant de l’appareil, il eut une subite envie de vérifier que tout allait bien pour sa partenaire, de la pure conscience professionnelle bien sûr, et rien avoir avec l’immense désir de la voir et de l’embrasser à nouveau.  

Son sang ne fit donc qu’un tour lorsqu’il s’aperçut que la porte des toilettes était entrouverte, et que Kaori s’était envolée. La première pensée qui lui vint fut de maudire sa partenaire butée, têtue et téméraire, mais à la vue du sac à main de Kaori laissé à l’abandon par terre, il fut pris de vertige.  

 

- Et merde !  

 

Connaissant Kaori comme il la connaissait, jamais elle n’aurait laissé ainsi ses affaires à la portée de n’importe qui, encore moins s’il s’agissait d’armes. Une seule explication s’imposait, et il n’aimait absolument pas.  

D’un pas rageur, il continua sa progression le long des allées de l’appareil, expédiant au tapis les deux autres malfrats qui croisèrent son chemin. Il s’arrêta devant l’entrée de la cabine de pilotage. Il avait fait le ménage partout et aucune trace de Kaori nulle part. Un seul endroit lui restait à vérifier, et c’est devant cet endroit qu’il se trouvait.  

 

- Monsieur ?  

 

Ryô se tourna vers l’hôtesse qui s’adressait à lui. Il remarqua qu’elle tremblait encore de peur malgré tous les efforts qu’elle fournissait pour se maîtriser. Son regard s’arrêta sur le foulard blanc qu’elle tenait à la main… celui de Kaori, l’un des rares cadeaux qu’il lui avait fait.  

 

- La jeune femme… qui se trouve à l’intérieur avec… avec …  

- Oui ? l’encouragea-t-il.  

- J’ai eu le temps d’échanger quelques mots avec elle avant… avant qu’il ne l’emmène.  

- …  

- Elle m’a dit qu’un homme viendrai… Vous, je crois… Et de vous donner ça.  

 

L’hôtesse lui tendit alors le foulard de Kaori que Ryô enroula autour de son cou. Il ressentait sa présence à travers cet objet, ce talisman ; elle était avec lui par le cœur et il se promis de la ramener saine et sauve.  

Juste avant de disparaître derrière la porte du cockpit, il entendit une petite voix murmurer :  

 

- Bonne chance, monsieur.  

 

……………………..  

 

Comme il s’y attendait, il se trouva face à face avec celui qu’il devinait être le chef et l’organisateur du détournement d’avion. Comme il s’y attendait, il s’agissait d’un homme dont le regard indiquait qu’il se sentait supérieur, plein de puissance et de suffisance. Et comme il s’y attendait, cet homme répugnant retenait Kaori en otage, prisonnière de ses bras. Une image intolérable à ses yeux. Il avança d’un pas.  

 

- Holà, mon ami ! Arrête-toi vite ou dit adieu tout de suite à ta belle. Un pas de plus et je lui tranche la gorge !  

- D’abord, je ne suis pas ton ami, ensuite, si tu veux espérer sortir en vie de cet avion, je te conseille de la libérer immédiatement.  

 

Un long ricanement fit suite à l’ultimatum de Ryô.  

 

- Ah tiens donc, tu espères pouvoir me tuer ? Vraiment très drôle. Et qui es-tu donc pour avoir ce genre de prétention, hein ? Rambo ? Zorro ? Ou peut-être bien lucky lucke ? Ah ah ah….  

- Non, répondit Kaori. C’est seulement City Hunter…  

- Ah ah ah ! City Hunt…  

 

Le terroriste s’arrêta brusquement de rire et regarda tour à tour Ryô et Kaori, incrédule.  

 

- Tu es City Hunter ?  

- Pas exactement. Elle et moi, nous sommes City Hunter. Et toi tu es le plus grand crétin du monde d’avoir osé t’en prendre à elle. Tu vas le payer.  

- Ah oui ? Et bien tu ne me fais pas peur ! Je n’ai peur ni de toi, ni de la mort ! Essai donc de m’empêcher de la tuer si tu es aussi fort que ta réputation le dit !  

 

Comprenant qu’il avait affaire à un demeuré et sa réelle intention d’exécuter Kaori, Ryô se précipita sur lui. Tout se passa alors très vite : la brusque zone de turbulence qui les déstabilisa tous les trois, la tentative du terroriste de porter un coup fatal à Kaori, l’interposition du nettoyeur et le coup de feu.  

Ryô attira Kaori contre lui pour stopper les tremblements nerveux qui la secouaient et tenta de la rassurer.  

 

- Ca va aller maintenant mon Ange. C’est fini, calme toi.  

- Oh, Ryô…si seulement s’était vrai…  

- Mais c’est vrai !  

 

Elle leva vers lui un regard doux et triste à la fois, et il sentit que quelque chose dont il n’avait pas connaissance lui échappait. La peur n’avait pas quittée son Ange alors que son geôlier était mort, et ce n’était pas normal.  

 

- Qu’y a-t-il, Kaori ? Pourquoi penses-tu que ce n’est pas fini ?  

- Tu crois qu’il y a un pilote d’avion parmi les passagers ? Parce que je ne crois pas que ces deux-là (elle désigna les corps des pilotes, abattus très certainement par les terroristes) soient en état de diriger cet appareil…  

 

 

 


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