Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Lune

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 11 capitoli

Pubblicato: 09-12-04

Ultimo aggiornamento: 14-04-06

 

Commenti: 73 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Un avion pour changer les choses....

 

Disclaimer: Les personnages de "L'amour prend son envol" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: L'amour prend son envol

 

Capitolo 11 :: C'est ici que tout commence...

Pubblicato: 14-04-06 - Ultimo aggiornamento: 14-04-06

Commenti: Oui, c'est le dernier. C'est pas trop tôt me dirons certains. Appréciez-le et ne me jugez pas trop durement, ok ? Si je devais exprimer ce que je ressens, je dirais ceci : je n'ai qu'une hâte, recommencer une nouvelle fic ! Love !!!

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11


 

Une fois entré dans l’appartement, Ryô enleva le sac des mains de Kaori et fit taire ses protestations par un baiser.  

 

- Enfin, Ryô, arrêtes !  

- Ah, non ! Déjà qu’il a fallut que je me retiennes tout ce temps !  

- Mais rien ne t’empêchait de m’embrasser là-bas, mon chéri…  

- Kaori, c’est déjà pas évident pour moi devant les amis, alors à l’extérieur avec tout ce que ça pourrait avoir comme conséquence…  

- Ah, bon ? C’est bizarre, je t’ai trouvé plutôt à l’aise au Cat’s.  

- Oui, bon c’était au café, c’est pas pareil qu’à la fête.  

- Et si un homme m’avait abordé ? demanda-t-elle à brûle pourpoint.  

- Je lui aurait démolit sa face, déclara Ryô avec sérieux.  

 

Kaori sourit. Elle avait découvert la jalousie de Ryô, une jalousie maladive, lors de l’incident avec Mick ; et elle avait profité de leurs vacances pour jouer sur cette corde sensible, sans en abuser, bien sûr.  

 

Ils avaient passé chaque jour là-bas 24h\24 l’un avec l’autre, et c’est vrai qu’il lui manquait à elle aussi. Il fallait combler ce manque au plus vite !  

 

- Ryô ?  

- Oui ?  

- Je me sens un peu fatiguée, je vais me faire couler un bain. J’en ai pour un moment, alors, est-ce que tu peux t’occuper du dîner ?  

- Oui, je pense.  

- Tu penseras à faire couler un peu de café aussi, on en aura besoin, et n’oublie pas de venir me frotter le dos quand tu auras un temps !  

- Ouais, répondit Ryô machinalement.  

 

Sur ces mots Kaori monta et fila dans la salle de bain en prenant bien soin de se prendre pour le petit poucet et oublia volontairement de fermer la porte.  

 

Pendant ce temps, Ryô décida de faire le café avant de s’atteler à la cuisine proprement dite. Il se remémora les paroles de Kaori et stoppa net en plein milieu de la pièce. Sa phrase était incompréhensible ! Pourquoi auraient-ils besoin de café ?  

 

- Lui frotter le dos ? murmura-t-il alors incrédule.  

 

Un grand sourire se fit alors sur son visage. Elle lui avait fait une invitation et il avait faillit passer à côté. Laissant tomber la cuisine, le café et tout le reste, il monta à son tour les escaliers et butta sur… les chaussures de Kaori ! Quelques marches plus haut, il trouva sa jupe, puis son chemisier, dans le couloir il vit un soutien-gorge en dentelle blanche et devant la porte de la salle de bain…  

 

- Oh, Kaori….  

 

Devant la porte de la salle de bain, donc, il y avait une délicate petite culotte blanche, en dentelle que Ryô connaissait bien, puisque c’est lui qui avait acheté cet ensemble pour sa partenaire, enfin, plutôt pour sa femme. A côté, il vit un petit bout de papier. Cela lui parut curieux et il se pencha, essayant par la même occasion de chasser l’image d’une Kaori nue dans son bain, lui tendant un gant. Lisant le mot, il ne put s’empêcher de sursauter.  

 

« Tu es lent mon amour. Je rêve de t’avoir à mes côtés maintenant. Et en plus, on ne connaît pas très bien cette pièce. Oui, ma proposition est sérieuse. Si tu as un doute, jettes donc un coup d’œil par la porte… ».  

 

Il ne releva pas la tête tout de suite, sachant très bien ce qu’il allait voir. Tout n’avait été qu’évocations, mais cela avait suffit à réchauffer tout son être. Il ne l’avait pas encore vue, mais il la désirait déjà comme un fou.  

 

- Ryô ?  

- Kaori…  

- Tu n’entres pas ?  

- …  

- Attend, je viens te chercher.  

 

Ryô eut à peine le temps d’ouvrir la bouche que Kaori sortait de l’eau. Le temps s’arrêta… Ses yeux tentaient de suivre chacune des gouttelettes d’eau qui coulaient le long de ce corps qu’il avait appris à découvrir pendant toute une semaine. De celle qui perlait à une mèche de ses cheveux pour s’écraser sur son épaule à celle qui s’étalait par terre depuis ses doigts fins, en passant par celles qui suivaient la courbe harmonieuse de ses seins. Il voulait toutes les suivre, pour ne rien manquer de ce spectacle magnifique qu’elle lui offrait.  

 

- Viens… lui dit-elle simplement en lui tendant la main.  

 

Ryô garda le silence et prit cette main offerte. De toute façon, il n’aurait pas pu prononcer un seul mot. Tout au plus, ce qu’il pouvait faire, c’était de l’attirer contre lui en se moquant de mouiller ses propres vêtements et de l’embrasser comme il mourait d’envie de le faire. Et comme notre cher Ryô n’avait pas du tout l’intention de mourir, c’est donc ce qu’il fit. Plongé dans un univers de délices et de parfums, Ryô passa à côté de plusieurs détails comme le fait que Kaori lui ôtait ses vêtements un à un. Il ne réagit que lorsqu’elle s’attaqua à son caleçon.  

 

- Kaori… Tu es sûre que…  

- Que je veux faire l’amour avec toi dans notre salle de bain ? Non. Je veux juste qu’on se fasse des petites gâteries, et ensuite, on retourne chacun tranquillement dans son lit, fit-elle taquine.  

- Mais non, c’est pas ça que je voulais dire… Quoi ?! Seulement des gâteries ? Mais c’est pas juste !  

- Et qu’est-ce que tu voulais dire, alors ? Poursuivit Kaori en ignorant la protestation du nettoyeur.  

- Hein ? Euh…, oui. On était en vacance, c’était une situation particulière, et maintenant on est rentré…  

- Tu peux préciser ta pensée ?  

 

Kaori avait pris un ton plus froid. Elle sentait chez son partenaire une habitude qu’elle ne connaissait que trop bien : l’échappatoire. Il ne s’imaginait tout de même pas qu’après lui avoir donné une semaine de bonheur et avoir fait d’elle une femme, il allait pouvoir s’en sortir comme ça !  

 

- Quand on est rentré hier, on était tellement fatigué que… euh, on n’a pas… enfin…  

- Oui, je sais. On n’a pas fait l’amour. Et ALORS ?  

- Euh, ne crie pas… Y’a pas de raison pour que tu te mettes en colère…  

- AH, NON ?  

- Mais non, je t’assure, fit-il avec peu de conviction.  

- Ben voyons ! Tu es en train de me dire que les vacances c’étaient les vacances et que maintenant c’est fini ! Que tu veux bien à la limite qu’on joue un petit rôle de flirt de temps en temps devant nos amis, mais que dans la réalité ça reste limité à… à quoi ? hein ?  

- Kaori…  

- Ah, non ! Il n’y a pas de Kaori qui tienne ! Parce que si tu t’avises de me faire ça, je te jure que je te le ferai regretter !  

- Ah, oui ? fit soudain Ryô piqué par la curiosité. Et comment tu t’y prendrais ?  

- C’est simple, je ferais comme toi. Je partirai à la recherche d’un mec craquant, sauf que moi je réussirai à le ramener, et je terminerais ça dans un lit. Et si ça ne suffit pas, je renouvellerais l’expérience. Et si c’est pas encore assez je…  

- C’est fou ce que tu es délicieuse à croquer quand tu t’énerves… dans cette tenue, coupa malicieusement Ryô.  

- Je… hein ?  

 

Profitant de la stupéfaction de Kaori, Ryô put enfin en placer une.  

 

- Je tiens d’abord à te dire que je n’avais aucune des intentions que tu me prêtes. Je ne veux pas jouer un rôle, ce serait beaucoup trop dur de te résister et je n’en ai aucune envie. Ensuite, je voulais seulement être sûr que tu voulais et que tu acceptais tout ce que va impliquer cette relation entre nous. Y compris que je ne te tienne pas toujours compagnie dans notre lit, rajouta-t-il pour faire taire la protestation qu’elle allait lui faire. Et pour terminer, tu ne pourras jamais mettre tes menaces en exécutions.  

- Pourquoi ça ? demanda Kaori sur le ton de la provocation.  

- Parce que tu ne voudrais pas avoir la mort de ces pauvres malheureux sur la conscience.  

- Ah. Je vois, tu es jaloux à ce point ?  

- Oui.  

- Tu l’admets ? fit-elle surprise.  

- Oui. Je suis jaloux et même très possessif. Tu dois comprendre Kaori, que tu es à moi, que tu m’appartiens. En fait nous nous appartenons, corrigea-t-il en voyant ses yeux flamboyants.  

- Je suis d’accord. Sur tout. J’accepte les risques et les contraintes de notre vie un peu spéciale. Mais dis-moi, pourquoi tu dis que tu ne pourras pas…  

- …toujours passer mes nuits avec toi ?  

- Oui.  

- Comment veux-tu que je protège efficacement une cliente si mon cœur, mon âme et tous mes sens sont à milles lieues au-dessus de la terre avec toi ?  

 

Kaori rougit. Elle avait du mal à s’habituer au Ryô qui faisait face à ses sentiments, qui s’exprimait à ce sujet, mais elle appréciait beaucoup également.  

 

- Dis-moi quelque chose à ton tour, Kaori.  

- Oui, quoi ?  

- Qu’est-ce que tu vois dans mes yeux quand je te regarde ?  

- Oh, ça, je ne peux pas te répondre !  

- Pourquoi ? fit Ryô avec la mine triste d’un enfant que l’on aurait privé de dessert.  

- Parce que ce genre de choses ne se dit pas, Ryô, il faut les vivre…  

- Et bien, c’est le moment où jamais. Vivons !  

 

Le mot d’attaque était donné. Ryô se débarrassa de son dernier vêtement et souleva Kaori. Il la conduisit à nouveau dans le bain qu’elle avait quitté quelques minutes auparavant et l’y rejoignit. S’en suivit une délicieuse bataille de mousse, puis un délectable massage. Ce genre d’activité émoustillant parfaitement les sens, notre tout jeune couple décida sagement de se sécher pour gagner un espace de jeu plus habituel : leur chambre. La chambre où Ryô avait bien l’intention de faire vibrer chaque parcelle de peau de Kaori sur la partition de l’amour. Là où il voulait vivre l’amour, la tendresse, la passion et le désir engendré par un seul être au monde : Kaori. Il partagerai désormais tout cela avec elle et lui ferai oublier les années qu’ils avaient perdues.  

 

 

 

 

Voilà, c’est la fin. Pour ceux qui suivaient cette fic depuis le début, un grand merci, car il vous en a fallut de la patience. Merci à tous ceux qui lirons un jour cette fic, à tous ceux qui m’ont encouragé et qui m’ont laissé des reviews. Je n’avais pas espéré en recevoir autant. J’ai fait du mieux que j’ai pu, et j’espère que la fin ne vous décevra pas trop, j’ai un peu de mal à écrire slurp, loool ! Enfin, voilà. J’ai encore quelques idées de fic, alors quand j’aurai un peu de temps, je m’y mettrais, et c’est sûr, on se reverra ! Plein de bisouxxx !!!! Lune ^.^  

 

 


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