Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: reimsroller

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 11 capitoli

Pubblicato: 22-05-06

Ultimo aggiornamento: 09-07-06

 

Commenti: 85 reviews

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General

 

Riassunto: Kaori après une grande révélation voit sa vie chamboulée. Tout va changer... On retrouvera nos héros 10 ans plus tard.

 

Disclaimer: Les personnages de "10 ans plus tard" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

Some pieces of advices to authors

 

- Check the grammar and spelling of your stories. - Read your story at least once. - Try to write chapters of at least 2 pages and of a maximum of 6-7 pages. - Try to update your story regularly.

 

 

   Fanfiction :: 10 ans plus tard

 

Capitolo 4 :: Qui sont les pigeons?

Pubblicato: 30-05-06 - Ultimo aggiornamento: 31-05-06

Commenti: ça y est, tout est en place. ça va commencer. Vous allez découvrir que Ryo n'a pas totalement perdu la main. NB: je n'ai pas fait corriger, alors si vous trouvez des fautes, mail svp, je corrige directement. NB2 : J'ai modifié le passage tant décrié dans les reviews, concernant l'acces aux armes du petit Téo...Voilà, j'ai pondéré l'affaire. C'est mieux?

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11


 

La nuit est douce pour Kaori et son fils, mais Ryo a du mal à trouver le sommeil. Et lorsque enfin il s’endort, ses rêves le tourmentent à leur tour :  

Dans la brume un visage se détache lentement, émerge vaguement. Cette lueur blesse les yeux. Il faut se protéger, mettre son bras devant. On ne voit qu’une ombre, une silhouette pourtant familière. C’est un homme, élancé, chevelure ébouriffée. Ryo ne distingue que les contours, et cependant cette vision le saisit d’effroi. Il pointe une arme, il va tirer. Ryo n’arrive pas à répliquer, l’ombre est trop rapide…  

Ryo se redresse d’un coup dans son lit. Il est torse nu, suintant de sueur. Un coup d’œil sur le radio réveil : déjà 5h00. Il a l’impression de ne pas s’être reposé une seule minute.  

Il est inutile de se recoucher. Il fait trop chaud de toute façon. C’est sans doute l’origine de ce cauchemar…  

Ryo se lève doucement, Kaori ne semble s’être aperçue de rien. Il prend place dans le petit hamac deux places, installé sous la minuscule véranda bien aérée qui donne sur le jardin. Il y fait bien meilleur, la fraîcheur du matin aidant.  

Kaori le regarde. Non, elle ne dormait pas. Le bond de son mari dans le lit l’a réveillée évidemment. Mais elle sait qu’il est inutile de lui parler, là, tout de suite. Cette vision il l’a déjà eue bien des fois. Elle sait bien que ce combat contre Maruku, que lui considère comme perdu, l’a perturbé, et plus qu’il ne veut bien l’admettre même. Il doit faire face à ses démons, seul. Elle a compris que l’issue en serait inéluctable, dès qu’il lui a montré sa cicatrice . Mais elle ne peut se douter un seul instant de ce qui va leur arriver…  

 

Il est maintenant 8h00, le petit est bien sûr déjà levé. Les dessins animés du matin, c’est sacré.  

-Kaori, ce matin j’emmène Téo faire les courses.  

-Ben on n’a besoin de rien, on a les a faites il y a deux jours.  

Sans même levé la tête de son bol de café Ryo répond froidement. :  

-Moi j’ai besoin de trucs.  

-Et quel genre de trucs ???  

-Ecoute, si toi tu as besoin de tampons, est-ce que je te pose des questions quand tu me dis que tu as besoin de « trucs » ????  

-Ah, excuse moi, je savais pas que tu avais tes règles mon chéri.  

Ryo ne s’attendait pas à cela. Il arbore une mine dépitée. Il n’a même pas le temps de répliquer que Kaori le reprend en plein vol :  

-Je me disais bien que t’étais de bien mauvaise humeur : tu les as !!!! C’est véridique !!!  

DOUBLE CASSE.  

Pas eu besoin de massue sur ce coup. L’effet est le même Ryo est avachi sur son tabouret.  

Il fait craquer ses vertèbres et reprend son flegme…  

-Mouais, très drôle. Bon, il faut que je passe au Cat’s et j’emmène Téo.  

-Tu es sûr que c’est raisonnable ? Tu ne devais pas attendre des nouvelles de Saeko ?  

-Tiens donc, et depuis quand tu écoutes ce qu’elle dit ?  

-Depuis qu’elle tient notre sécurité entre ses mains, répond Kaori visiblement irritée.  

-Justement, faut que ça change…  

Sur ses mots, Ryo se lève et va chercher son fils. Le gamin est trop content d’aller voir Tonton Umi : il profite que lui est aveugle pour tester ses autres sens. Il essaie sans cesse de se cacher pour le surprendre. Mais ce n’est pas à un vieux pro qu’on apprend à faire la grimace et il le capte tout le temps.  

-Allez, dépêche toi un peu, mets tes Nike.  

-Mais je veux mettre les sandales.  

-Pas aujourd’hui, on ne sait jamais…  

 

A peine la mini quitte t-elle le garage (et oui toujours fidèle la mini…) que Ryo remarque une berline noire quitter son stationnement du coin de la rue. Le gamin a eu le droit de se mettre devant, de toute façon il n’y a de ceinture qu’au deux places de devant, alors c’est bien là qu’il est le plus en sécurité.  

-Bon on fait la course Téo, comme les voitures à la télé ???  

Ryo va essayer de semer ses poursuivants, mais il ne veut pas effrayer son fils. Il lui présente donc ça comme un jeu.  

-Tu vas voir, ça va secouer comme dans les montagnes russes…  

-OUAIS !!!!!  

C’est parti pour une accélération foudroyante. La mini n’a l’air de rien, mais elle est surgonflée : alimentation modifiée, moteur suralimenté (ça s’appelle un turbo mesdames !), culasse modifiée, amortisseur Koni, barre stabilisatrice, pneus typés sport... aucune frime, que de l’efficace.  

Le premier virage à gauche au frein à main colle le gamin contre la vitre de la portière. Les poursuivants ont du mal à suivre le rythme, et dès le 3ème tournants tirent tout droit.  

Ryo pense bien leur avoir échappé. Pour en être sûr il fait quelques tours et détours histoire de brouiller les pistes.  

-Alors c’était cool…Et merde ! A peine avait il commencé sa phrase que la berline a réapparu dans ses rétros.  

Et c’est reparti…rétrogradations, talon pointe, dérapage contrôlé…aie, un dos d’âne…ça décolle, grave ! le petit est aux anges.  

Encore une fois Ryo arrive à les semer, à l’occasion d’un énième virage pris tambours battants. Mais cette fois, il pile au premier endroit un peu à l’abri, au pied d’un arbre centenaire.  

-Pourquoi tu t’arrêtes papa ???  

-Un truc à vérifier...Viens, je te montre.  

Ryo sort et se dirige directement vers l’arrière de son véhicule. Téo fait le tour et rejoint son père.  

-Tu vois mon petit, quand tu veux suivre quelqu’un tu peux mettre un petit appareil sur la voiture et ainsi…  

-Oui je sais, un mouchard, j’ai vu ça dans Spiderman, il fait ça pour retrouver les méchants.  

Mouais, les références ne sont pas top culture, mais bon ça ira bien…  

-Bon ben cherche avec moi si tu en vois alors…  

-Ben oui, y en a un là, dans le passage de roue…  

Allez savoir pourquoi mais c’est toujours là qu’ils sont !! Un petit appareil sophistiqué, pas plus grand qu’une pièce de 10 centimes d’euros, avec une led qui clignote lentement.  

Le petit le décroche de suite, le place à terre et d’un coup de talon…  

-NON, attend !!!  

Le petit n’a pas eu le temps d’achever son geste, mais reste interloqué de l’intervention de son père :  

-Mais dans le dessin animé, ils font toujours ça et après on arrive plus à les retrouver…  

-Oui, mais c’est trop bateau, trop habituel…regarde plutôt autour de toi si il n’y a pas mieux à faire.  

Le gamin scrute les alentours. Un parc, un arbre, des pigeons, une ruelle vide, des maisonnettes qui bordent ce fameux parc, des boites aux lettres dans chaque jardin, des poubelles bien rangées…  

-mais que veut il que je remarque se demande le gamin…Qu’est ce qui pourrait être mieux que de l’écraser là ? Dans une poubelle ? et après ? non…  

-je ne vois pas papa. !  

-Cherche encore, c’est là, sous ton nez.  

-Sous mon nez, sous mon nez…A part ses corniauds de pigeons ? les pigeons ???  

-J’ai trouvé : les pigeons, pérore le gamin, tout fier de sa trouvaille.  

-Excellent !!! C’est nous qui allons nous marrer maintenant. Attrapes en un.  

- ??? Hein hein …pas question…  

-Mais allez trouillard tu ne risques rien.  

Le petit s’exécute mais sans trop de convictions. Après deux ou trois échecs où les pigeons s’envolent pour se reposer trois mètres plus loin Ryo interpelle son fils.  

-Pas comme ça Téo. Fais toi chat, fais toi félin. Anticipe son envol, avance à pas de velours. Fonds toi dans le décor.  

Cette fois le petit se concentre. Anticiper … c’est comme une grosse mouche…partir du bon coté. Etre patient…avancer lentement…comme un tigre en chasse. Il bondit…et le chope délicatement. Le pigeon n’a même pas eu le temps de déployer ses ailes.  

-je l’ai eu, je l’ai eu !!!!  

-C’est bien… tiens le bien maintenant.  

Ryo attrape le bec de l’animal et y fourre le pisteur. Allez avale !!! Voilà.  

-Ok, on peut y aller maintenant, on est tranquille.  

En effet, rien ne viendra troubler le reste du trajet jusqu’au Cat’s.  

Pendant ce temps, nos amis en berline noire n’ont pas fini de faire le tour de la ville… ils vont découvrir des quartiers qu’ils n’auraient même jamais imaginés, des terrasses d’immeubles toutes aussi sordides les unes que les autres, et des parcs, des parcs…  

Ryo gare sa bombinette à deux rues du Cat’s. Ils vont essayer de le surprendre cette fois encore.  

C’est à pas de loups que le père et son fils s’approchent.  

Lorsqu’on ouvre la porte du Cat’s, le tintement d’une clochette se fait entendre : la porte heurte la clochette qui est suspendue au plafond, à quelques centimètres du seuil.  

Ryo entrouvre la porte, juste assez pour pouvoir glisser sa main, mais pas assez pour que celle-ci heurte le grelot. Ce dernier neutralisé les deux compères se glissent à l’intérieur à pas feutrés, dans un silence total. Falcon est de dos, à son comptoir, encore en train de laver des verres de la veille.  

-Asseyez-vous à la table juste devant, je viens de la laver. Chocolat pour tout le monde ?  

-Mais comment il a fait papa ??? On n’a pas fait de bruit, j’ai même pas respiré, et il ne peut pas nous voir !!!  

Ryo le regarde, l’air tout aussi étonné que lui et hausse seulement les épaules.  

-Il doit avoir de pouvoirs magiques. J’ai toujours dit qu’il avait du faire un pacte avec le diable.  

-Espèce d’idiot ! rétorque Falcon. Le courant d’air. Tu crois que je ne l’ai pas senti ???  

Après un petit quart d’heure à rigoler et à jouer avec le petit, le patron du bar remet un peu les choses sur les rails :  

-Bon alors, t’es venu pour quoi au juste ?  

-Je suis venu LE chercher.  

-Ecoute Ryo, on était d’accord, tu ne peux le récupérer qu’à une seule condition.  

-Justement, ça y est.  

Le silence se fait alors pesant, durant cinq bonnes minutes. Même le gamin semble avoir compris que l’heure est grave.  

Falcon se lève, en s’aidant de ses deux mains sur la table. « OK j’y vais ».  

Sans tâtonner le moins du monde, d’un pas sûr et alerte, Falcon traverse la salle et s’en va dans la réserve. Deux minutes plus tard il réapparaît avec un coffret en bois précieux.  

-Le voici.  

Téo est captivé par ce suspens…mais qu’y a-t-il dedans ? En plus il est curieux comme pas deux, alors toute cette scène le pique au plus haut point.  

Ryo ouvre le coffret avec une solennité digne d’un cérémonial funéraire.  

La tension est palpable.  

A l’intérieur, un objet est recouvert d’un linge de soie rouge. Ryo ouvre lentement le foulard pourpre, coin après coin laissant découvrir…son magnum, son compagnon.  

Il est encore éclatant, dans un état parfait, comme neuf. Seule l’usure de la crosse montre qu’il a servi, (et bien servi…).  

Le petit a les yeux écarquillés, émerveillés.  

-Ouah…Il est super beau…encore plus gros que celui de tata Saeko !  

-parce qu’il connaît celui de Saeko s’étonne Falcon ???  

Ryo ne répond pas, il est comme hypnotisé. Il reprend son arme en main, malaxant la crosse comme pour y retrouver ses marques. Le barillet tourne dans un bruissement à peine audible.  

-Toi tu l’as graissé !  

-Je pouvais pas le laisser comme ça, sans soin, toutes ces années. Alors de temps à autres, histoire de ne pas perdre la main je m’en suis occupé.  

-En tout cas bravo falcon, il est parfait.  

Le petit est toujours bouche bée, un long fil de bave coulant du coin de ses lèvres. Il a la tête de son père devant une belle fille. La magie opère, c’est certain.  

-Papa…  

Pas besoin d’en dire plus, Ryo comprend.  

-Tiens, prends le. Mais fais attention il est lourd.  

Même à deux mains il est difficile pour lui de le soutenir. Il essaye de viser avec, mais il n’arrive pas du tout à garder le cap.  

-Ce n’est pas grave, tu y arriveras bien assez tôt.  

Ryo se tourne vers Falcon :  

-Tu as un endroit où je peux l’essayer ???  

-Dans la cours, derrière les poubelles. Mais fais vite, les voisins n’aiment pas ça !  

-Donne moi cinq bouteilles.  

-Sers toi toi-même, dans le casier, dans l’arrière cuisine.  

 

Ryo installe les bouteilles de 33cl du soda bien connu sur le petit muret du fond.  

Il s’installe et sous les yeux de son fils dégaine aussi vif que l’éclair et tire 5 balles de suite.  

-pang.pling, pang.pling, pang,pling, pang.pling, pang,stong!  

-Raté, tu as raté la dernière. Falcon est ébahi. Il n’a jamais vu (oui ben c’est vrai que maintenant le terme est mal choisi) Ryo manquer une cible.  

Ryo arbore un rictus non pas de dépit mais de satisfaction :  

-hein, hein, va vérifier !  

-Pas la peine, j’ai très bien entendu le « stong » à la fin.  

-Espèce de balourd : la dernière, elle est pleine, je l’ai juste décapsulée ! Vas y Téo, c’est Tonton qui offre !  

-Merci Papa.  

La balle a simplement frôlé la capsule de la bouteille et sans casser le goulot elle l’a fait sauter ! Une prouesse inégalable. Ryo n’a rien perdu de son talent.  

-Alors toi t’es le roi ! Ryo a beau être son rival il n’en demeure pas moins admiratif.  

 

-Bon, à part ça tu as besoin d’autres choses ?  

-Hé bien, des balles et un ou deux trucs discrets.  

-ok suis moi. Falcon attrape une chaîne qui se trouve sur le mur et s’enfoui sous les pieds de Ryo. Il tire d’un coup sec, de toutes ses forces. Dans un nuage de poussière, Ryo est projeté contre le mur du fond de la cour, au milieu des poubelles malodorantes.  

-Oups, j’ai oublié de te dire de te pousser.  

-Très drôle, vraiment très drôle.  

Et effet ça doit être très amusant puisque le petit Téo est écroulé de rire, devant la tête de son père couverte d’une peau de banane.  

La trappe donne sur une cache sombre et poussiéreuse qui n’a visiblement pas été visitée depuis des années. Falcon n’est pas gêné par l’obscurité de la tanière mais il prend tout de même soin d’allumer la seule petite ampoule électrique. Falcon est devant, Ryo l’a suivi de près, donnant la main au petit.  

-Mais qu’est ce que c’est que ça ? Tu as dévalisé une caserne ? Non attend, c’était carrément un arsenal !  

Mitrailleuses, bazookas, lance roquettes, lance missiles, fusils d’assauts, armes de poings…  

Incroyable…  

-Mais tu gardes ça pour quoi au juste ?? Tu veux faire une révolution ?  

-Je le garde pour un jour comme celui-ci. Prend ce que tu veux.  

-Je prends ce petit 9 mm, en polymère. Pas une pièce en métal, une vraie prouesse des services secrets israéliens. Léger, discret, résistant…et puissant. Le kevlar, c'est vraiment l'idéal. Parfait…et se tournant vers son fils : pour toi.  

-Ryo ! Tu es sûr de ce que tu fais là ?  

-J’ai pas le choix Falcon, j’ai pas le choix. Et puis pour l'instant je ne lui laisse que des balles à blanc. C'est juste histoire qu'il s'habitue. Et puis ça peut toujours impressionner.  

Le petit en a les larmes aux yeux : non seulement il a en main sa première arme, mais par ce geste son père vient de lui prouver sa confiance. Il n'a pas entendu ce que Ryo vient de chuchoter à Falcon, alors pour lui c'est mieux que Noêl.  

-N’oublie jamais : si tu le sors c’est pour tirer, pas pour frimer. Insiste l'ex nettoyeur, histoire de responsabiliser une dernière fois le fiston.  

Il n’y a rien à répondre.  

 

Ryo va se choisir encore un petit pistolet, pour mettre à la cheville, un autre Smith&Wesson de 9 mm, pour Kaori et des munitions à ne plus savoir qu’en faire.  

-Ah mon avis c’est toi qui pars à la guerre là.  

-Hum…  

 

-Allez, il faut y aller. En route. Je passe au commissariat voir si Saeko a des nouvelles et je te tiens au courant …Umi.  

-Je t’ai déjà dit de ne pas m’appeler comme ça hurle t-il en balançant la première chose qu’il avait sous la main…une grenade d’entraînement, au talc, qu’il avait remontée machinalement. Mais Ryo a déjà franchi le pas de la porte et tout en assénant une grimace Saebienne, lui tirant la langue en signe de défi, il claque la porte au moment où la grenade allait l’atteindre. Celle-ci ricoche sur la vitre blindée (à force de se faire vandaliser…) et vient rouler au pied de Falcon.  

-Oh non !!!!  

-BOOUUMM.  

Ryo et Téo assiste au spectacle par la vitrine : un épais nuage blanc rempli la pièce en un instant. Le temps que la poussière retombe, et on y voit plus clair. Falcon n’a pas bougé, toujours raide à coté de son comptoir. La pièce est comme saupoudrée de sucre glace.  

-Papa, il a neigé chez tonton Umi : regarde un bonhomme de neige…Oh oh, il devient tout rouge…  

-Cours Téo, Cours !!!  

 

Comme quoi, avoir mis les Nike ça aura au moins servi.  

 

Le commissariat est dans une excitation inhabituelle. Tout le monde court, crie, c’est un désordre sans nom, une cacophonie sans pareil.  

 

Que se passe t-il brigadier ? S’enquiert Ryo.  

 

Le commissaire Saeko, on lui a tiré dessus, hier soir…  

 

 


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