Capitolo 3 :: chapitre 3

Pubblicato: 01-02-06 - Ultimo aggiornamento: 01-02-06

Commenti: boujour a tous voici le troisième chapitre de cette fic traduit. vous aurez connaissance de l'affaire qu'il devrons rsoudre. des reviews, please !

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Chapitre 3  

- Vous avez certainement entendu parler de celui qu’on appelle « le killer énigmatique »…commença Saeko quand elle, Ryô et Kaori s’assirent sur le canapé.  

- Bien sûr, c’est sur la première page de tous les journaux. C’est un serial killer, qui avant chaque meurtre laisse un indice sur chaque visage des victimes. Jusqu’à maintenant ses victimes étaient des jeunes femmes, qu’il violait avant de les tuer. Dit sérieusement Ryô.  

- Exacte. Jusqu’à maintenant, nous la police nous n’avons jamais réussit à déchiffrer les messages qu’il nous envoyait à temps pour sauver une de ses victimes et le capturer. Les femmes qu’il a tuées sont au nombre de huit. Hier soir, au commissariat, est arrivé une autre lettre, seulement cette fois le message à changé : Il nous a dit clairement indiqué le lieu de son prochain homicide et veut défier une seule personne et la capturer : City Hunter  

- Quoi ? Il veut un défi avec Ryô ? S’exclama bêtement Kaori  

- Tout à fait. City Hunter et sa renommée sont connut de tous maintenant et pour devenir le numéro un, il doit battre Ryô. C’est pour cette raison que je me retourne vers vous, vous êtes les seuls capables de l’arrêter.  

- Où aura lieu le prochain meurtre ? Demanda Ryô fixant un point imprécis devant lui.  

- Au « Princess Hôtel ». Le directeur, Yusuke Shiro, est très inquiet, il craint beaucoup pour la sécurité des clients de son hôtel et pour la mauvaise publicité que tout ça pourrait lui causer. C’est pour ça, que je voudrai que vous y alliez sous couverture, pour ne pas faire peur aux clients.  

- Quel type de couverture, intervint Kaori.  

- Ben, le « Princess Hôtel » accueille surtout des touristes et des couples en lune de miel…c’est pourquoi, vous devrez vous faire passer pour un couple de jeunes mariés, répondit Saeko sur un ton malicieux.  

Ryô et Kaori ouvrirent grand leurs yeux.  

- Je savais bien qu’il y avait quelque chose en dessous. Dit le nettoyeur.  

- C’est l’unique solution. Vous ne pouvez pas vous faire passer pour des touristes, voilà pourquoi c’est la seule solution. Détendez-vous, c’est seulement pour quelques jours. En plus vous vivez ensemble depuis huit ans, vous n’aurez aucun problème pour jouer les mari et femme  

Il n’avait pas d’autre argument à répliquer à la policière, Ryô et Kaori durent céder et accepter. Toutefois, cela les préoccupèrent beaucoup.  

Kaori savait déjà qu’elle souffrirait d’être la femme de Ryô. Combien de fois elle avait imaginé elle et son partenaire devant un autel à s’échanger une promesse d’amour éternel ? Mais elle savait bien que c’était des rêves stupides, et maintenant… elle devrait se comporter comme n’importe quel couple de mariés, et cela comprenait de s’embrasser en publique, d’être tendre, dormir dans la même chambre. Son visage devint alors rouge. D’un autre côté, peut-être que c’était son unique occasion de passer quelques jours toute seule avec Ryô, sans qu’il l’insulte et la fasse tourner en bourrique, donc il la traiterait comme une vraie femme… sa femme. Elle aurait conservé ces quelques jours dans son cœur, puis, une fois la comédie terminée, elle serait partit.  

A côté d’elle Ryô, se demandait comment il devrait faire pour sortir saint et sauf de cette comédie. Jouer le mari de Kaori, pouvoir la serrer, la toucher, l’embrasser…tout ça lui semblait un rêve, mais saurait-il garder son sang froid, tenter d’oublier les bonnes intentions et la laisser partir ? Il la désirait, il avait envie d’elle à chaque instant. C’était déjà difficile de se contrôler à la maison, alors dans un luxueux hôtel où devant les autres, elle sera sa femme…sa femme… et pourquoi se contrôler ? Elle n’attendait que ça, des mots, des gestes pour lui prouver son amour. Encore la petite voix dans sa tête, mais pourquoi elle ne voulait pas le laisser tranquille. Et puis elle avait raison, Kaori n’attendait qu’un seul mot, qu’un seul geste, quelque chose qui lui prouvait son amour pour elle. Ryô n’avait pas peur de faire ce geste.  

Les trois discutèrent encore un peu de l’affaire, puis Saeko partit, disant qu’elle serait cette après midi au Cat’s Eye pour apporter le dossier de l’affaire et les informations de leur couverture.  

Ryô et Kaori parlèrent de tout et de rien durant le déjeuner évitant de parler de leur couverture. Dans l’après midi ils se rendirent de nouveau au café de Miki et Umibozu, où ils trouvèrent Saeko déjà assise devant une tasse de café. La policière leur expliqua que l’opération commencera deux jours après.  

- Monsieur Shiro, le directeur, est déjà au courant de votre arrivée et a assuré qu’il serait l’unique personne au courant de votre identité. De toute façon, dans cette lettre le tueur écrit qu’il frappera durant la fête qui aura lieu le 10 février, en l’honneur de l’anniversaire de l’ouverture de l’hôtel.  

- Bien comme ça on aura le temps de regarder autour, dit Ryô  

- Exacte, voilà pourquoi, avec votre couverture, vous serez monsieur et madame Saeba, ceci sont vos faux documents, dit Saeko en donnant une enveloppe et un petit coffret, Ryô le mis dans sa poche avec une fausse indifférence, sans regarder Kaori, qui avaitle visage légèrement rouge.  

Miki et Umibozu observèrent la scène en rigolant. Peut-être qu’avec cette affaire ils réussiront à débloquer la situation entre ses deux têtes de mule.  

- Peux-tu m’en dire plus sur les victimes ? Demanda Ryô.  

- Ce sont toutes des femmes entre 25 et 30 ans, répondit Saeko lui donnant le dossier, elle étaient toutes mariées, mais n’avaient pas d’enfants. Le tueur agresse la victime quand elles sont seules chez elles, probablement il les suit pendant des jours avant de trouver le bon moment pour agir.  

- Il n’y a pas d’autre point commun ?  

Saeko hésita. De toute façon elle savait que Ryo aurait découvert la vérité.  

- Non, il y en a deux autres : toutes les victimes avaient les cheveux acajou et les yeux noisettes.  

Un frisson parcourut le dos de Ryô. Il se retourna brusquement vers la policière, les yeux reluisant de colère.  

- Maintenant je comprends… tu veux que Kaori fasse l’appât, c’est ça ? Et peut-être même que l’histoire du défi n’est pas vrai… dit-il d’une voix qui cachait mal sa colère.  

- Non, tout est vrai. Ryô je ne t’ai pas menti.  

- Connerie ! l’interrompit-il, tu m’as raconté les choses comme tu voulais qu’elles soient  

- Ryô calmes-toi, la main de Kaori se posa avec douceur sur son bras, je savais déjà tout. Saeko m’a demandé mon avis avant de te proposer cette affaire. Et j’ai accepté.  

- Mais tu es folle ? Cria le nettoyeur la regardant, il n’en est pas question, c’est trop dangereux  

- Ryô je suis ta partenaire. Quand j’ai commencé à faire ce métier j’étais consiente des risques et je n’ai pas reculé. Et je n’ai pas l’intention de reculer maintenant. J’ai pris une décision et tu dois la respecter, tu ne peux pas décider pour moi.  

Le discours de Kaori avait touché Ryô. Elle avait raison, il n’avait pas le droit de décider pour elle, mais il était inquiet. S’il arrivait quelque chose…  

- Bon d’accord, capitula-t-il, mais sa détermination se lisait dans ses yeux, mais promets moi que tu feras attention  

- Je te le promets, répondit Kaori en souriant  

Ce sourire lui réchauffa le cœur. Ces derniers temps c’était devenu rare de la voir sourire. Il était conscient que c’était de sa faute et c’était à lui de changer les choses. Mais ce n’était pas le moment de penser à ces choses là, se dit-il, il devait se concentrer sur le travail. Il se retourna de nouveau vers Saeko pour lui laisser finir son discours, en cherchant à se concentrer et à ne pas penser combien sa partenaire était belle.  

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