Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore/i: lynn

Traduttore/i: oceane28

Beta-reader(s): Eden

Status: Completa

Serie: City Hunter

Original story:

Rivale in amore

 

Total: 12 capitoli

Pubblicato: 19-01-06

Ultimo aggiornamento: 14-04-06

 

Commenti: 62 reviews

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RomanceAction

 

Riassunto: Ryo doit faire face à un rivale qui courtise Kaori

 

Disclaimer: Les personnages de "Rivalité en amour" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Traduzione :: Rivalité en amour

 

Capitolo 12 :: chapitre 12

Pubblicato: 14-04-06 - Ultimo aggiornamento: 14-04-06

Commenti: bonjour à tous. Voilà c'est le dernier chapitre et je suis sur qu'il vous plairas. j'étais mdr devant les reviews que vous avez posté pour le chapitre 11. Je remerci ma beta Eden qui à fait du bon travaille pour les corrections. je remerci aussi : Pitite, Saintoise, F-Kaorina, Kitawke, Myriam, Nanou, Grifter, Sabi, Sayaka et Laeti pour les reviews pour vos reviews et je vous remerci d'avance celles que vous allez mettre pour ce dernier chapitre. une dernière chose, vous avez remarqué que j'ai changer de rating, vous en saurez plus en lisant. Bonne lecture.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12


 

 

Chapitre 12  

 

- Kaori… commença Yusuke. Je sais que tu n’as pas eu le temps de beaucoup penser, à ma proposition, mais demain tu t’en iras et…  

 

- Oui, tu as raison. L’interrompit Kaori. Tu as le droit à une réponse.  

 

Entre temps, Ryô se trouvait dans un des bars du rez-de-chaussée. Assis au bar, il fixait totalement absorbé, le verre de whisky qui était devant lui, il n’en avait pas encore bu une goutte. Il pensait à Kaori, toute seule avec cet homme…que lui répondrait-elle ? Et si malgré ce qui s’était passé entre eux, elle avait ne décidé de le laisser ? S’il ne s’était pas trouvé dans une situation aussi tragique, il en aurait rigolé : lui, City Hunter, le nettoyeur le plus habile du Japon, l’étalon de Shinjuku, était en panique totale quand ça traitait de Kaori.  

 

Après un moment, un serveur s’approcha.  

 

- C’est vous monsieur Saeba ? Lui demanda-t-il avec une légère courbette.  

 

- Oui, c’est moi. Répondit Ryô perplexe.  

 

- Bien. Votre femme m’a demandé de vous dire qu’elle vous attendait dans votre chambre.  

 

- Merci  

 

- De rien monsieur. Et le serveur s’éloigna.  

 

Ryô laissa tomber sur le bar, quelques billets pour payer son whisky, encore intacte, laissant le bar, il se dirigea vers sa chambre. Pendant que l’ascenseur montait jusqu’à l’étage, et pendant qu’il traversait le couloir, le cœur du nettoyeur s’était serré d’un coup. Sans toquer, il entra dans la chambre. Elle était là, debout, au centre de la pièce, belle. Elle avait enlevé sa veste et l’avait mise sur le divan, restait seulement ses habits qui lui faisaient ressembler à un ange. Son ange. Ou du moins, il l’espérait que ce fut encore comme ça.  

 

- Toi et Yusuke, vous avez parlé ? Demanda stupidement Ryô, il ne savait pas quoi dire d’autre pour rompre le silence.  

 

- Oui. Répondit simplement Kaori avec un regard indéchiffrable.  

 

Le nettoyeur sentit un malaise. Il lui suffisait de la regarder dans les yeux pour comprendre ce qu’elle était entrain de penser ou de qu’elle humeur elle était, mais cette fois, non. Il ne réussit pas à déchiffrer son expression et elle ne semblait pas lui faciliter les choses. Il ne résista pas une minute de plus dans l’incertitude, il devait absolument lui demander.  

 

- Kaori, que lui as-tu répondu ?  

 

Sa partenaire mit ses mains sur ses hanches et le regarda entre amusement et colère. C’était un spectacle hors du commun : l’étalon de Shinjuku, pervers, était devant elle, avec une expression incertaine. Comme c’était mignon ! Mais, il avait vraiment peur, qu’elle ait dit oui à Yusuke. Ca n’était pas croyable.  

 

- Ryô, tu penses vraiment que j’ai dit oui, ça veut dire que tu es vraiment un idiot et en huit ans de vie commune tu ne comprends rien de moi.  

 

Comprenant, ce qu’elle était entrain de dire, il la rejoignit en deux pas, l’attira à ses lèvres avec un baiser exigent.  

 

Kaori s’agrippa à lui, faisant adhérer son propre corps contre le sien, elle était au paradis. Une flamme de désire s’alluma en elle. Elle voulait mieux connaître son partenaire, intensément et complètement. Elle s’étonna elle-même de ses pensées, mais elle aurait bientôt 28 ans et était encore vierge. Quand leurs bouches se séparèrent, ils respiraient difficilement.  

 

- Ryô, cette fois-ci je ne suis pas saoule. Dit elle malicieusement.  

 

- Alors tu te rappelles. Répliqua-t-il avec un sourire.  

 

- Oui, vaguement. Dit elle en le faisant marcher.  

 

- Ah oui ? Tu verras que celui-là tu ne l’oublieras pas facilement.  

 

Ryô reprit de nouveau possession de sa bouche, l’embrassant à lui couper le souffle. Sa langue commença une douce et sensuelle danse avec celle de sa partenaire.  

 

Kaori fit glisser ses mains sur son torse et commença à détacher les boutons de la chemise. Son partenaire se détacha d’elle et la regarda.  

 

-Kaori, tu es sûre ? Lui demanda-t-il.  

 

- J’en suis sûre. Seulement…promet moi une chose. Dit elle avec sérieux.  

 

- Quoi ?  

 

- Promet moi qu’après cette nuit, tout changera entre nous.  

 

Sur le visage de Ryô se fit un sourire séducteur.  

 

- Entre nous, tout a déjà changé, Kaori. Tu ne t’en es pas aperçu que ces deux derniers jours, je n’ai eu d’yeux que pour toi ?  

 

Son partenaire se dirigea vers la stéréo, prit un cd, le mit et le fit partir. Des douces notes de musique envahirent la pièce, la même chanson que le soir où il l’avait choisi pour elle.  

 

- Pourquoi, tu crois que je t’ai dédicacé cette chanson ? Je ne désire que toi, Kaori. Et je ne te demande pas mieux de te donner à moi même  

 

Emue, Kaori, lui fit cadeau d’un de ses plus beau sourire. Puis s’approcha de lui, se mit sur la pointe des pieds mettant ses bras autour de son cou et l’embrassa.  

 

- Je veux faire l’amour avec toi Ryô. Lui dit elle en le regardant intensément.  

 

- Tes désires sont des ordres. Répliqua-t-il sur un ton de séducteur, la soulevant de ses bras forts et la déposa doucement sur le lit.  

 

Il s’éloigna un peu, pour éteindre la lumière, laissant uniquement la lumière de la lune illuminer la splendide figure de Kaori. Ryô retourna vers le lit et se mit sur elle, allant chercher de nouveau ses douces lèvres. Pendant ce temps, ses mains glissèrent sur son corset, commençant à le déboutonner.  

 

- Mon dieu, mais combien y en a ?! Dit il au bout d’un moment.  

 

Riant, Kaori l’aida et peu après son vêtement finit par terre près du lit. Ryo croyait devenir fou, quand il vit qu’elle ne portait pas de soutient gorge.  

 

- Tu es belle. Murmura-t-il, avant de descendre avec sa bouche vers un de ses seins, lui faisant des bisous, titillant avec la langue.  

 

Elle commença à gémir et s’arqua devant lui pour lui donner plus d’accès. Pendant que sa bouche était sur ses seins la faisant devenir folle, une des mains de l’homme parcourait le corps, arrivant sur son ventre et puis plus bas, faisant descendre sa culotte sur ses jambes et trouvant le centre de sa féminité. Avec un gémissement étranglé, Kaori ferma les yeux, sentant comme une flamme. La main de Ryô trouva son point sensible et le caressa.  

 

- Ryô…réussit elle à articuler.  

 

- Chut, laisse toi aller Kaori, concentre toi seulement sur ce que tu ressens.  

 

Une vague de plaisir arriva, jusqu’à l’orgasme, aussi intense à couper le souffle. Ryô prit possession de ses lèvres, pendant que sa main remontait sur son sein, ravivant en elle la flamme du désire pas encore éteinte. S’apercevant qu’elle était nue, pendant que lui était encore pratiquement habillé, la jeune femme lui déboutonna la chemise et la fit descendre de ses épaules. Elle voulait sentir sa peau chaude contre la sienne. Avec de lente caresse, dessinant les contours de ses muscles, elle le sentait se raidir sous ses doigts. Descendant encore plus bas, caressant le ventre, jusqu’à arriver à son pantalon. Ryô, qui était déjà à la limite, bloqua les instruments de torture et enleva rapidement son pantalon et son boxer. Au contacte de leurs cops privés d’aucune barrière, il émit un gémissement rauque. Ses lèvres à lui parcouraient son corps entièrement, arrivant là où ses mains, l’avait fait devenir folle juste avant.  

 

Kaori s’agrippa aux draps, pendant que le plaisir la submerger. Ryô l’embrassa, la lécha, caressant de ses lèvres le centre de sa féminité, jusqu’à une seconde, un orgasme encore plus incroyable la submergea.  

 

Ryô, refit le parcourt inverse avec sa bouche, remontant vers ses seins. Puis, il se positionna entre ses jambes et la regarda dans les yeux.  

 

- Je promets, que je chercherai à ne pas te faire de mal.  

 

- Je te fais confiance. Lui dit elle.  

 

Délicatement il glissa en elle. Kaori avait une légère douleur, qui se transforma vite en un plaisir jamais connu. Ryô commença à se mouvoir en elle et à chaque poussée, l’excitation la submergea avec des vagues toujours plus intenses. Bientôt ils rejoignirent l’extase.  

 

Ryô se laissa tomber sur le dos, emportant Kaori avec lui et la serra contre son corps.  

 

- Je t’aime, Kaori. Murmura-t-il après quelques minutes de silence.  

 

La jeune femme leva la tête surprise.  

 

- Dis-le encore.  

 

- Je t’aime Kaori Makimura et j’ai été idiot de ne pas te l’avoir dit avant. Répéta-t-il en la regardant intensément.  

 

- Ah ben, sur ça il n’y a aucun doute, mon chéri. Dit elle en plaisantant.  

 

Ryo se prit au jeu.  

 

- La mienne était une phrase rhétorique.  

 

- Moi aussi je t’aime. dit Kaori avec un joyeux sourire.  

 

- Et non, ma chérie, tu ne t’en tireras pas comme ça. Maintenant tu vas me le payer. Répliqua Ryo, la plaquant contre son corps et prenant possession de ses lèvres…  

 

 

I can only give you country walks in springtime  

And a hand to hold when leaves begin to fall ;  

And a love whose burning light  

Will warm the winter’s night  

That’s all  

That’s all  

 

There are those I am sure who have told you,  

They would give you the world for a toy.  

All I have are these arms to enfold you,  

And a love even time can’t destroy.  

 

If you’re wondering what I’m asking in return, dear,  

You’ll be glad to know that my demands are small.  

Say it’s me that you’ll adore,  

For now and evermore  

That’s all  

That’s all.  

 

 


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