Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: nanou

Status: In corso

Serie: Style Hojo

 

Total: 43 capitoli

Pubblicato: 29-04-05

Ultimo aggiornamento: 30-10-09

 

Commenti: 181 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: il n'y a rien à résumer, il faut lire pour le croire!

 

Disclaimer: Les personnages de "Petit délire du matin!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Petit délire du matin!

 

Capitolo 15 :: Quand les choses ne sont pas simples...

Pubblicato: 19-04-07 - Ultimo aggiornamento: 19-04-07

Commenti: Hello tout le monde! Je suis bien inspirée en ce moment alors je vous poste ce chapitre. Je remercie ma Bougnate et Didinebis pour leurs doubles reviews et ma Sabi. Petit message à Shan : mais non, je n'ai rien contre les Bougnats, je trouve simplement qu'ils font d'excellents personnages de fics! lol Biz et bonne lecture.

 


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Tigrou regarda l’hélico s’éloigner rapidement, les larmes aux yeux. Comment avait-il pu se faire berner comme ça ?  

Ce Maruku avait l’air d’inspirer confiance, on lui donnerait presque le Bon Dieu sans confession !  

 

L’interrogatoire était particulièrement éprouvant aucun des gardiens ne voulait le croire. Les coups pleuvaient pour lui faire cracher le morceau. Mais quel morceau ? Tigrou ne savait rien.  

Le directeur de la maison d’arrêt avait fait venir le GIGN pour retrouver Maruku, des hélicoptères avaient été utilisés mais en vain. Le Druide était introuvable…  

 

Tigrou avait deux gros cocards et pouvait à peine ouvrir les yeux. Il souffrait mais ce qui lui faisait le plus mal, c’est de se faire tabasser pour quelque chose qu’il n’avait pas fait. Certes, il voulait s’évader mais ça n’avait pas marché. Et puis il n’était pas le complice de Maruku, ce dernier avait juste profité de sa naïveté.  

 

Heureusement que dans son malheur, il avait le soutien de l’ami d’enfance de sa sœur, François. Tigrou fut ramené dans sa cellule tandis que François demandait un entretien avec le Directeur.  

 

- Vous savez monsieur le Directeur, je ne pense pas que Tigrou soit un complice du Druide.  

- Et qu’est ce qui vous fait dire ça ? Vous avez vu ce tunnel comme moi, non ?  

- Je sais, mais je le connais depuis longtemps ; certes il voulait s’évader mais le Druide s’est servi de lui, il lui a servi de diversion en quelque sorte.  

- Ah bon ?  

- Enfin monsieur le Directeur, c’est Tigrou, vous le connaissez maintenant, vous le croyez coupable de terrorisme ?  

- Vous savez François, de nos jours on ne peut pas se fier aux apparences…  

- J’ai confiance en Tigrou, c’est juste un crétin en mal de sensations fortes mais pas un terroriste ! dit François en frappant du poing sur le bureau du Directeur.  

 

Ce dernier fut surpris par ce geste, car François était d’un naturel calme.  

 

- Désolé monsieur le Directeur mais je ne peux pas supporter de voir un innocent se faire torturer de la sorte !  

- Soit François, j’avoue que moi-même j’ai un doute sur sa complicité. Mais je ne peux pas le laisser sortir dans deux jours comme prévu ; il s’agit d’une tentative d’évasion, donc je vais rallonger sa peine de 6 mois !  

- Très bien monsieur le Directeur, vous êtes seul juge mais je vous en prie, dites aux gardiens d’arrêter de le tabasser. Il ne va pas tenir le coup à ce rythme là !  

- Vous avez raison, je vais le faire transférer dans une autre cellule…  

- Merci pour lui monsieur le Directeur, des nouvelles du Druide ?  

- Non, complètement volatilisé. Le GIGN a perdu sa trace, aucun hélico n’a été signalé dans le secteur après son décollage. Un avis de recherche a été lancé. En même temps on a évité de prévenir les journalistes, ça serait de la mauvaise publicité pour notre établissement !  

- Vous avez eu raison…allez vous retirer la plainte contre Tigrou ?  

- Hmm, je pense que oui, vous êtes très convaincant François !  

- Merci…dites, je peux aller le voir ? Il a des blessures sérieuses, ça risque de gangrener si on ne le soigne pas rapidement.  

- Vous tenez beaucoup à lui, n’est ce pas ?  

- C’est qu’il est le frère de ma meilleure amie, c’est un peu comme ma deuxième famille…  

- Je vois…permission accordée François !  

- Merci monsieur le Directeur…  

 

Muni d’une trousse de premier secours, François se rendit à la cellule de Tigrou. Quand il y entra, il fut peiné de voir l’état physique de Tigrou. Ce dernier avait le visage boursouflé, des hématomes un peu partout sur le corps. Il était allongé sur le lit et se redressa en entendant le cliquetis de la clé dans la serrure.  

 

Il essaya de parler mais grimaça car le simple fait d’entrouvrir les lèvres était très douloureux. D’un geste, François le dissuada de parler.  

 

- Mon pov’ vieux, je crois qu’un masque d’Halloween ferait moins peur !  

- Sympa ! réussit à articuler Tigrou.  

- Désolé Tigrou, je voulais juste te faire rire…  

 

D’un geste rageur, Tigrou essuya les larmes qui coulaient sur ses joues. François s’en voulut.  

 

- Ça va aller mon grand, ressaisis-toi…, dit François en posant une main sur son épaule.  

- Aïe !  

- Désolée, je t’ai apporté de quoi te soulager…  

 

François appliqua de la pommade sur les bleus, désinfecta les plaies et essaya de ne pas transformer Tigrou en momie avec les bandages et les sparadraps !  

 

- Merci François, c’est gentil, dit Tigrou.  

- De rien mon vieux, pour me faire pardonner, j’ai une bonne nouvelle à t’annoncer !  

- Ah bon ? répondit Tigrou qui ne croyait plus aux miracles depuis longtemps.  

- Oui, j’ai parlé pour toi au Directeur, il m’a dit qu’il te changeait de cellule et qu’il va retirer les charges qui pèsent sur toi en tant que complice de Maruku !  

- Youpi ! Aïe !dit Tigrou en posant une main sur ses lèvres.  

- Par contre…  

- Oui, dis-moi…  

- Heu, tu vas rester 6 mois de plus ici !  

- Je m’en doutais, dit Tigrou en levant les yeux au ciel.  

- Mais ne t’inquiète pas, les gardiens ne te frapperont plus, le Directeur l’a promis.  

- Merci François, je te dois une fière chandelle !  

- Remercie plutôt ta sœur ; elle a toujours été là quand j’avais des pépins, c’est la moindre des choses que j’aide son frère…  

- François, en parlant de Shan, tu pourrais me rendre un service ?  

- Tu veux que je ne lui parle pas de ta tentative d’évasion c’est ça ?  

- Oui mais il n’y a pas que ça…il faut que je l’appelle, ses amis sont en grand danger au Japon…tu peux demander au Directeur si je peux téléphoner ?  

- Tu en demandes trop là, déjà qu’il t’a fait une faveur en retirant les charges contre toi ! Mais c’est quoi cette histoire de danger au Japon ?  

- Ce serait trop long à t’expliquer, tu peux me rendre ce service…s’il te plaît…après je ne t’embêterais plus, c’est une question de vie ou de mort !  

- Ok ok, c’est bon, je vais lui demander…  

- T’es un chic type, je te le revaudrais ! dit Tigrou en lui serrant main tout en grimaçant de douleur.  

- Ouais, je te crois !  

 

Quelques minutes plus tard, Tigrou put enfin téléphoner à Shan In…  

 

- Shan, c’est moi !  

- Tigrou ? Qu’est ce qui se passe ? T’as encore fait des bêtises ?  

- Mais non, par contre j’en connais un qui va en faire !  

- Attends, je ne comprends rien à ce que tu racontes !  

- Laisse-moi finir s’il te plaît, tu te souviens du Druide ?  

- Le terroriste ?  

- Oui, hé bien il était en prison avec moi !  

- T’es sérieux ??  

- Comme jamais !  

- Attends une seconde que je m’assoie, qu’est ce qu’il a à voir avec toi ?  

- J’ai discuté avec lui quand il était là…  

- Tu veux dire qu’il a été transféré ?  

- Mais arrête de me couper tout le temps Shan ! Il vient de s’évader, en hélico en plus !  

- Quoi ?!!!  

-Et c’est pas fini…j’espère que t’as le cœur bien accroché parce que j’ai eu l’occasion de discuter avec lui et je crois qu’il a l’intention de s’en prendre à City Hunter, tes amis sont en danger aussi !  

- …………..  

- Shan ?  

- Tigrou ? C’est Chibi, Shan vient de s’évanouir ! Qu’est ce qui se passe ?  

- Elle s’est pas fait mal au moins ?  

- Non, ne t’inquiète pas, mais qu’est ce que tu lui as dit ?  

- Je dois regagner ma cellule Chibi, elle t’expliquera….prends bien soin d’elle…  

- Ok, à plus !  

- Bye !  

 

Chibi tapota les joues de Shan et lui fit boire un peu d’eau.  

 

- Shan, qu’est ce qu’il y a ? Que t’as raconté Tigrou ?  

- Oh mon Dieu, Chibi, il faut prévenir nos amis au Japon, ils sont en danger ! Vite !  

- Quoi ?  

- On n’a pas de temps à perdre, je t’expliquerais tout !  

 

Et toute tremblante, elle se dirigea vers le téléphone, suivie de Chibi qui ne comprenait pas grand-chose de toute cette agitation.  

 

 

Appartement de City Hunter…  

 

« J’y ai été un peu fort mais il le fallait…j’espère que maintenant Angel va comprendre que je ne suis pas du tout intéressé ! » se dit Ryô.  

 

Il remit son ordinateur en route et se connecta sur Mokkori Hunter qu’il avait mis en favori. Il cliqua directement sur « les lemons du Kabuki-cho » et reprit sa lecture assidue.  

Plus il lisait les fics, plus il avait envie d’en lire. Pratiquement toutes parlaient d’un rapprochement avec Kaori dans différentes situations, différents lieux. C’était souvent des retrouvailles torrides après une dispute ou une mission délicate.  

 

Ryô n’avait aucun mal à imaginer les scènes d’amour. Lui-même en avait rêvé maintes et maintes fois pendant plus de huit ans. Il avait l’impression que les membres avaient sondé son âme aux rayons X ! Il soupira. « Ah Kaori, pourquoi je n’arrive pas à te déclarer mes sentiments ? Ets-ce que je peux encore me cacher derrières des excuses bidons pour ne pas le faire ? »  

 

Il s’attaqua à une fic de Mojca qu’il trouva particulièrement chaude, « la Déesse de la chasse ». D’ailleurs, il commença à transpirer. Les scènes d’amour étaient d’un tel réalisme ! Son mokkori prenait de l’ampleur.  

 

« Bon sang, quelle coquine cette Mojca, je n’aurais pas imaginé la moitié des choses que je fais à Kaori dans sa fic ! Et après on ira dire que je suis un obsédé et un pervers ! Ça prouve bien que je suis un incompris ! Je crois que je vais m’arrêter là pour aujourd’hui, sinon je risque de sauter sur Kaori quand je vais la voir ! Tiens, je me demande si elle connaît ce forum, je lui en toucherais un mot, mais avant il faut que j’implore son pardon pour ma mauvaise conduite de tout à l’heure ! »  

 

Il descendit au salon et retrouva Méga entrain de manger une pomme devant la télé. Il ne sentait pas l’aura de Kaori ou des filles et pensa qu’elles étaient sorties.  

 

- Dis-moi Méga, tu ne sais pas où sont parties Kaori et les filles ?  

- Heu, Kaori a dit qu’elle les emmenait chez Eriko pour choisir des tenues pour ce soir.  

- Des tenues ? Mais c’est Mick l’invité pas le président !  

- Je sais mais les filles voulaient faire bonne impression devant lui !  

- Mouais….tiens, Black n’est pas là ?  

- Il est parti avec elles, Kaori avait besoin de renfort pour porter les courses.  

 

« Grrr, encore ce Black ! J’espère qu’il s’est tenu à carreau, sinon je lui troue la cervelle ! »  

Ryô oscillait entre colère et tristesse. D’un côté il n’aimait pas Black Jack et de l’autre il était peiné que Kaori ne lui ait pas dit qu’elle sortait.  

« Elle doit être très fâchée, je vais avoir du mal à me faire pardonner ! » soupira t-il.  

 

- Au fait Ryô, ton mokkori est sacrément en forme, tu t’es bien amusé au moins ?  

- Heu, ça ne te regarde pas ! Dit Ryô avant de se retourner et de gagner la salle de tir.  

 

Ryô avait besoin de s’oxygéner le cerveau et de refouler sa colère. En fait il s’en voulait aussi. En se comportant ainsi avec Kaori, il l’éloignait un peu plus de lui chaque jour et ça lui faisait mal. Il vida un chargeur entier et mit la balle dans le mille à chaque fois. Il recommença une fois, deux, puis trois…  

 

Les cartouches vides tombaient à ses pieds par dizaines. Parfois, à la place de la cible, il voyait la tête de Black et là, il enchaînait les tirs, comme s’il le visait entre les deux yeux.  

Finalement, il parvint à se calmer.  

« Il ne faudrait pas que mon côté obscur prenne le dessus ! »  

 

Pendant ce temps, Kaori, Black et les filles revinrent à l’appartement les bras chargés. C’est surtout Black qui portait !  

 

- Ça va ton dos Black ?  

- Oui oui Nanou, mais j’ai l’impression d’être un mulet ! se plaignit-il.  

- Ne t’inquiète pas, il y a juste quelques marches à monter ! pouffa Sabi.  

- T’es pas sympa de te moquer de moi Sabi !  

- Hé, c’est toi le garde du corps Black pas moi !  

- Et puis, on est chargé aussi ! rajouta Cat.  

- Ah oui ? C’est l’esquimau que tu tiens dans tes mains qui est trop lourd ? ironisa Black.  

- C’est pas de ma faute si tu as en englouti le tien en deux secondes, je le savoure moi monsieur ! répondit Cat tout en donnant un coup de langue sur sa crème glacée.  

- Arrêtez de vous disputer, on est arrivé, Black tu vas être débarrassé de ton fardeau ! dit Kaori.  

- Enfin, je suis sauvé ! souffla Black.  

- En tout cas, merci de ton aide Black, dit Kaori.  

- De rien Kao, tu sais que je ne peux rien te refuser ! dit-il en entrant dans l’appartement.  

 

Ryô remontait da la salle de tir. Il entendit les dernières paroles de Black et fronça les sourcils. Kaori sentit son aura négative à l’encontre du Brestois et frissonna.  

 

- Enfin vous êtes rentrés…Kaori, il faut que je te parle…dit-il d’une voix rauque.  

 

Elle garda la tête baissée et ne répondit pas.  

 

- S’il te plait…, murmura t-il.  

 

Elle leva alors la tête et rencontra son regard qui était redevenu tendre et chaleureux. Elle ne savait plus où elle était.  

 

- Heu Kaori, on va te laisser discuter avec Ryô, pendant ce temps on va monter les affaires dans nos chambres, ok ? dit Nanou.  

- Mais je croyais que je devais l’ignorer ? murmura Kaori à l’oreille de Cat.  

- Tu as vu sa tête ? Moi, j’aurais déjà craqué ! Allez, vas-y ! répondit Cat en lui faisant un clin d’œil.  

 

Kaori rougit et rejoignit son partenaire, puis tous deux se dirigèrent vers la chambre de Ryô…  

 

En se rendant dans leur chambres respectives, les filles et Black croisèrent Méga, affalé sur le canapé.  

 

- Alors Méga, bien reposé ? ironisa Black.  

- J’suis encore un peu fatigué, dit ce dernier.  

- N’en fais pas trop quand même ! dit Sabi.  

- Hé Sabi, je te signale que je suis blessé !grogna Méga.  

- Ouais, c’est juste une foulure de rien du tout, t’es pas mourrant quand même, rigola Nanou.  

- Venant de la part de Miss La Douillette, je trouve ça un peu fort ! répondit Méga.  

- Alors, ça veut dire que tu ne participeras pas à la soirée ave Mick ?demanda Cat.  

- Ben si, j’allais pas rater une occasion de voir la belle Kazue ! dit-il en bavant.  

- Ça m’aurait étonné ! dit Black en secouant la tête.  

- Ne me jette pas la pierre le Black, c’est pas moi qui ait dit que je ne pouvais rien refuser à Kaori ! répliqua Méga.  

- Bon du calme les garçons, je crois que chacun devrait retourner dans sa chambre, comme ça il n’y aura pas de dispute ! dit Nanou.  

- Tu as raison Nanou, dit Lex. Au fait, où est Angel ?  

- Elle est toujours dans sa chambre, je crois, répondit Méga.  

- Bon, je vais monter la voir…, dit Lex.  

 

Et chacun se dirigea vers sa chambre en attendant le dîner avec Mick et Kazue…  

 

 

 

 

 


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