Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: nanou

Status: In corso

Serie: Style Hojo

 

Total: 43 capitoli

Pubblicato: 29-04-05

Ultimo aggiornamento: 30-10-09

 

Commenti: 181 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: il n'y a rien à résumer, il faut lire pour le croire!

 

Disclaimer: Les personnages de "Petit délire du matin!" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Petit délire du matin!

 

Capitolo 42 :: Le bonheur des uns, la soufrances des autres

Pubblicato: 25-08-09 - Ultimo aggiornamento: 25-08-09

Commenti: Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien. Voici un nouveau chapitre que je dédicace à ma Bougnate, bon anniversaire ma belle! Merci à toi et à Didinebis pour vos reviews sur le chapitre précédent. Biz et bonne lecture. Votre star intergalactique.

 


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Quelque part en Auvergne…  

 

François Faucher put enfin regagner son domicile après quelques jours pénibles passés à l’hôpital. Les médecins eurent du mal à le laisser partir car ils voulaient encore pratiquer des examens sur lui, afin de constater sa bonne santé.  

 

A part une belle bosse sur la tête qui s’estomperait avec le temps, il n’avait rien de grave. La police lui fit promettre de ne pas quitter la France sans l’en avertir, au cas où il y aurait des questions à lui poser sur l’enquête « Maruku ».  

 

Après une matinée à essayer de dormir, il se leva et se décida à se préparer quelque chose à manger. C’est alors qu’il entendit la sonnette de la porte d’entrée.  

« Tiens, qui ça peut être ? J’espère que ce ne sont pas ces fouineurs de la police ! »  

 

Mais son regard s’illumina quand il vit que c’était Shan in XYZ à la porte.  

 

- Ah Shan, je suis content que tu sois venue !  

 

Il la serra dans ses bras en guise de bienvenue. Rougissante, la jeune femme se dégagea de son étreinte.  

 

- Comment vas-tu François ? Je voulais venir te chercher mais j’avais un entretien pour un boulot ce matin.  

- C’est pas grave, alors, en quoi concerne ce boulot ?  

- Agent au service social de la mairie.  

- C’est chouette ça !  

- Oui mais tu aurais vu le nombre de candidats sur le poste…enfin, ils ont dit qu’ils me rappellerait mais j’y crois pas trop.  

- Moi je trouve ça plutôt positif, allez te décourage pas !  

- Bon, je suis venue t’apporter à manger, je me suis dit que tu ne devais pas avoir grand-chose dans ton frigo.  

- C’est sympa, qu’est-ce que t’as préparé de bon ?  

- Oh rien de très élaboré, une quiche lorraine, de la salade et un clafoutis aux abricots en dessert.  

- Miam, tout ce que j’aime, merci Shan !  

 

Il l’embrassa sur la joue pour la remercier.  

 

- Tu ne veux pas te joindre à moi ?  

- Non merci, je n’ai pas très faim…  

- Qu’est-ce qui ne va pas Shan ?  

- Oh rien…  

- Tu sais, je te connais depuis très longtemps et je vois bien que quelque chose te tracasse.  

- En fait, je m’inquiète pour Tigrou. Il s’est mis en tête d’aller arrêter Maruku.  

- Oui, je suis au courant, il m’en a parlé à l’hôpital, j’ai essayé de l’en dissuader mais autant se cogner la tête contre un mur ! Une vraie mule ton frangin !  

- Je ne sais plus quoi faire pour le raisonner.  

 

Il lui caressa le dos de la main tendrement.  

 

- T’en fais pas, il se calmera tout seul, avec toutes les blessures qu’il a, il ne risque pas de courir après Maruku avant longtemps !  

- Tu as raison ! Ça me fait du bien de parler avec toi…  

- Moi aussi…comment va ta mère ?  

- Toujours pareil, c’est surtout le moral qui ne va pas.  

- Pas étonnant, elle ne tombe que sur des toubibs incompétents.  

- J’espère qu’elle va guérir.  

- Je sais que c’est dur mais seul ton soutien peut lui permettre d’aller mieux.  

- Je l’espère…  

- J’aime pas te voir triste….  

- François…  

 

Il se leva et la prit dans ses bras. Shan In se sentait bien auprès de François, elle se laissa aller quand il lui caressa le dos en de longs mouvements de bas en haut.  

 

- Shan…  

 

D’un doigt, il releva son visage et apposa ses lèvres sur les siennes, un baiser doux et tendre à la fois. La jeune femme y répondit avec ferveur, se collant à lui. Il s’enhardit à glisser une main sous son pull mais Shan se raidit, coupant l’élan de François.  

 

- Dé…désolé…  

- C’est moi qui m’excuse…mais ça va un peu vite François…  

- Pardon, je ne voulais pas te brusquer mais j’ai…j’ai des sentiments forts pour toi depuis toujours….  

- Moi aussi…  

 

Il l’embrassa à nouveau.  

 

- Dis-moi Shan, est-ce que tu serais capable de…de t’unir à un pauvre gardien de prison, sans fortune mais avec tout plein d’amour à te donner ?  

 

Cette déclaration maladroite déclencha un fou rire à Shan.  

 

- C’est pas gentil de te moquer de moi…  

- T’es trop drôle !  

- Alors…tu en penses quoi ?  

- J’en pense que ça pourrait se faire…  

- Alors c’est oui ?  

- Mais oui gros beta !  

 

Poussant un cri de joie, il souleva Shan et la fit tournoyer dans les airs.  

 

- Tu viens de faire de moi l’homme le plus heureux de toute l’Auvergne !  

- Rien que ça ?  

 

Loin de ce tableau idyllique, un jeune homme faisait les cent pas dans sa chambre d’hôpital.  

 

- J’espère que François a pensé à ce que je lui ai demandé, je tourne comme un lion en cage depuis que je ici, on m’accompagne même aux toilettes ! Vivement que je puisse sortir…  

 

En fin de journée, il reçut la visite de François qui venait prendre de ses nouvelles et surtout lui apporter les fameux billets d’avion pour le Japon !  

Après un contrôle à l’entrée de la chambre, un policier en faction lui permit de rentrer non savoir au préalable demandé l’autorisation de son supérieur.  

 

- Merci vieux, je te revaudrais ça !  

- Sois très prudent, je ne veux pas me fâcher avec ta sœur à cause de toi !  

- T’inquiète, je t’ai déjà promis de ne rien lui dire.  

- J’espère bien. Je me demande si j’ai bien fait de t’aider.  

- Mais oui, imagine que je parvienne à faire arrêter Maruku, tu auras les retombées de l’affaire, ça se trouve tu auras une promotion.  

- Ou des années de taule pour complicité d’évasion !  

- Arrête de penser négativement et souhaite-moi bonne chance !  

- Je ne préfère pas, ça porte malheur ! Je te demande juste de faire attention à toi.  

- Oui papa !  

- Au fait, comment vas-tu prendre l’avion ? Tu risques d’être arrêté avant d’avoir embarqué !  

- Figure-toi que j’ai caché dans la grotte où j’étais, des fringues à mon père et une perruque, j’ai bien fait non ?  

- Ah bon ?  

- Oui, et j’ai subtilisé son passeport en le bidouillant pour mettre ma photo !  

- T’es grave toi !  

- Non je suis juste plus malin que la moyenne !  

- Bon sang, je ne suis pas rassuré…  

- Tranquillise-toi, je suis le roi de la débrouille !  

- Oui mais pas le roi de l’évasion…  

- C’est pas parce que j’ai échoué auparavant que ça va être le cas maintenant.  

 

Le garde en faction devant la porte frappa trois coups, signe que François devait quitter la chambre de Tigrou.  

 

- Encore une fois, fais bien attention à toi et ne donne pas de soucis supplémentaires à ta mère et à ta sœur, quoique…si elles apprennent ce que tu vas faire…  

- Je compte sur toi pour ne pas leur dire justement…  

- Si tu te fais attraper, tu risques d’être dans les journaux et ta sœur risque de les lire !  

- Il faut déjà que les flics m’attrapent, c’est pas gagné !  

- Te vante pas à l’avance, je dois te laisser, réfléchis bien à tout ce que je t’ai dit…  

- Oui, oui, prends bien soin de Shan et de ma mère en mon absence.  

- Compte sur moi !  

 

François prit congé de Tigrou avec un nœud à l’estomac, il se demandait s’il avait eu raison de laisser le jeune homme commettre un acte si insensé.  

 

« Seigneur, faites qu’il ne lui arrive rien ! Je risque gros moi aussi dans cette affaire…» pria le gardien de prison.  

 

Hôtel de police de Tokyo…  

 

- Un appel pour vous inspecteur…  

- C’est bon, passez le moi…  

- Salut inspectrice de mon cœur !  

- Ryô ?  

- Hé oui, ça te fait plaisir j’espère ?  

- Hum, ça dépend de ce que tu vas me dire.  

- Pourrais-tu mettre tes hommes en faction dans les différents lieux publics de la capitale ?  

- Qu’est-ce que tu mijotes encore toi ?  

- Rien…simplement je me suis dit que Maruku aime bien les explosions de grande envergure…  

- …et tu t’es dit qu’il allait programmer quelque chose dans un lieu public ?  

- Exactement ! Par contre je ne sais pas où et quand, c’est pourquoi je te demande cette faveur.  

- C’est comme si c’était fait !  

- Merci, mais dis à tes hommes d’être discret, il ne faudrait pas faire paniquer la population !  

- Dis donc, tu nous prends pour qui ?!  

- Ok, je te revaudrais ça ma belle.  

- Ça vaut au moins dix coups de moins sur ta liste, non ?  

- Quoi ?! Tu plaisantes ?  

- Alors 8 ?  

- C’est trop !  

- 7 et c’est mon dernier mot.  

- T’es dure en affaire !  

- C’est pas un petit service que je te rend !  

- Oui mais c’est pas un service personnel, tu es sensée protéger la population de Tokyo !  

- Ok , cinq coups mais ça s’arrêtera là.  

- Ça marche ! A plus !  

- Bye.  

 

De son côté le pauvre Jimbo se réveilla dans un entrepôt, dans le port de Tokyo. Il avait un œil en poché, la bouche en sang et de multiples contusions sur tout le corps suite aux coups reçus.  

 

« Aïe, je dois avoir quelques côtes cassés, j’ai le souffle coupé » pensa t-il.  

 

- Alors ma beauté, tu es prête à parler ?  

- Ça dépendra de ce que tu me donnes en échange…  

- Des coups, ça te va ?  

- Je suis partant mais trouve-moi un lit, ça serait plus confortable !  

 

Une nouvelle pluie de coups s’abattit sur Jimbo.  

 

- Bon ça suffit maintenant, tu vas parler le travelo ?! Combien ils sont chez Saeba ?  

- Je ne sais pas…  

 

Il reçut un coup à l’estomac qui le laissa sans voix pendant quelques secondes.  

 

- Ma patience a des limites…  

 

L’homme de main de Maruku, mit les pieds de Jimbo dans un seau rempli d’eau et brancha des fils électriques qu’il plongea dans le seau.  

Un hurlement retentit dans l’entrepôt, les veines du visage de Jimbo semblaient prêtes à exploser. Puis l’homme retira les fils.  

 

- Alors, tu ne veux toujours pas parler ?  

 

Jimbo secoua la tête.  

 

- C’est oui ou non ?  

- Oui !  

- Ah, voilà que tu deviens raisonnable ! Alors combien sont-ils ?  

- 50 !  

- Salaud !  

 

Une nouvelle décharge fit trembler le corps de Jimbo, mais il tint bon. La troisième fut plus forte et là il s’évanouit.  

 

- Il est mort ?  

- Non, il respire encore…  

- Qu’est-ce qu’on fait ?  

- Chais pas…téléphone au patron.  

- Patron, le gars est dans le coltard, il a pas parlé, on fait quoi ? Ok…  

- Alors il a dit quoi ?  

- De le laisser crever…on change de plan…  

 

Un fois que les hommes de main furent partis, Jimbo ouvrit un œil, puis l’autre, la tête lui tournait. Il eut la force de se hisser jusqu’à son sac à main et prit son portable. Le souffle court, il appuya sur le premier numéro en sa possession : Cat’s eye…  

 

Quelques minutes plus tard, la jeep de Falcon se gara près de l’entrepôt. Mick et Falcon ramenèrent Jimbo dans le véhicule avant de filer à toute allure vers la maison du Doc….  

 

Appartement de Ryô et Kaori…  

 

- Ryô, téléphone !  

- C’est qui Lex ?  

- Falcon…  

- Oui ma tête de poulpe, je te manque ?  

- Amène tes fesses en vitesse chez le Doc au lieu de dire des âneries, Jimbo a été agressé !  

- Quoi ?!! J’arrive…  

- Ryô, qu’est-ce qu’il y a ? lui demanda Kaori.  

- Jim a été agressé…  

- Mon Dieu…  

 

 

 

 


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