Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur: kitty80

Beta-reader(s): Yunalescaminnie

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 14 chapitres

Publiée: 04-05-08

Mise à jour: 23-08-08

 

Commentaires: 134 reviews

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DrameRomance

 

Résumé: Une dispute,un drame et tout autour de vous s'effondre mais la vie peut réserver quelques fois des surprises.

 

Disclaimer: Les personnages de "PARDONNES-MOI" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: PARDONNES-MOI

 

Chapitre 2 :: chapitre 2

Publiée: 06-05-08 - Mise à jour: 06-05-08

Commentaires: allez un tit chapitre en plus! j'espère qu'il vous plaira tout autant que le premier (lol), je remercie beaucoup beaucoup toutes les reviews car ça fait énormément plaisir de savoir que mon cerveau n'est pas encore à la dérive (mdr) gros bisous à toutes et tous! clin d'oeil particulier à Yuna dsl pour les fautes d'ortho mais tu es partie en vac's, RK et Sheena (je garde Ryo pres de mon coeur...vous permettez) et merci encore pour vos encouragements. bonne lecture et dsl d'avance si j'ai fait des oublis ou fautes

 


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Quand à Ryo, il n’eut pas le temps d’empoigner Kaori pour éviter sa fuite, elle était partie si soudainement, ne lui laissant pas le choix de la retenir, il l’avait blessé, il le sentait, elle ne lui faisait pas montrer mais le regard de la jeune femme plongé dans les siens lors de leur affrontement verbal trahissait une tristesse profonde, les larmes n’étaient pas encore apparues mais elle n’allaient pas tarder à couler.  

Et c’est avec le cœur lourd qu’il ouvrit la portière, démarra sa mini et s’engouffra dans la nuitée de la ville.  

 

 

Le bras ensanglanté, il roula une bonne heure avant d’arriver vers le lieu qui apaiserait ses tourments, il gara son auto près du port, en descendit. Il prit soin auparavant de se faire un garrot de fortune avec l’écharpe de Kaori laissé sur le siège passager, il l’enroula sur son épaule et tira fortement dessus à l’aide de sa mâchoire, stoppant instantanément l’hémorragie.  

 

Il marcha une dizaine de mètre et s’adossa à la rambarde, regardant ainsi la mer s’agitait, les bateaux quittaient leur point de départ pour vaguer sur une nouvelle destination.  

Le vent balayait ses cheveux noirs, le froid prenait place petit à petit, vêtu simplement d’un pantalon noir, d’un tee-shirt rouge et d’une veste bleu clair qui n’était pas du tout fait pour le climat qui s’opérait, le jeune homme s’en contrefichait, il aurait même pu pleuvoir et même neiger, rien ne pouvait le transpercer même un temps glacial.  

Il était à cent mille lieu du climat actuel, ses pensées volaient vers sa partenaire, il se posait des questions, la voir partir si précipitamment ne lui ressemblait pas et il sentait que quelque chose allait lui tomber dessus, mais tel un lâche, il préférait qu’elle fasse ce qu’elle avait à faire au lieu de s’interposer dans ses choix.  

 

« Kaori, pardonne-moi de mon manque de tact, j’ai eu tellement peur, que tu te trouves percée par une de ses balles, quand je t’ai vu t’interposer, mon sang était resté figé, je me voyais te perdre et te tenir dans mes bras dans un dernier souffle de ta part, et pour moi c’est inconcevable. Ne plus te voir me ruinera, tu as su apporter une âme à ma vie, une vie que je menais comme bon me semblait, n’aspirant à rien d’autre qu’à boire , tuer et coucher avec des femmes dont je ne connais à peine le prénom. Tu es mon étincelle d’espoir celle qui me remet sur le droit chemin quand je tombe à la dérive.  

Avec toi, je m’avoue vaincu, car tu es la seule personne en ce monde qui n’a pas peur de me défier, la seule qui sache me tenir tête, la seule qui fait battre mon cœur à un rythme digne d’une tachycardie, quand je pense à toi ce sont tous mes sens qui sont en alerte, le toucher quand tu m’effleures innocemment, l’ouie quand j’entends simplement ta voix, je suis fou de joie, l’odorat respirer ton parfum si frais et si délicat me chatouille le nez de désir pour toi, le goût les plats que tu me concoctes sont si délicieux que c’est toi que j’ai envie de manger et la vue, bon sang, quelle femme sublime que tu es, chaque matin c’est une torture de ne pouvoir t’entourer de mes bras et te faire basculer sous moi quand tu viens me tirer du lit et le soir sous ton pyjama ample, je m’imagine l’ôter pour te faire mienne. Ah ! Tu m’obsèdes à un point que tu ne peux l’imaginer, je t’aime tellement !  

Merde, j’ai besoin de toi ! »  

 

Et c’est sur cette dernière pensée que le nettoyeur se décida de rejoindre sa maison.  

 

Il mis son véhicule au garage, en sortit, pris les escaliers qu’il monta tel un automate et se trouva après quelques allées traversées devant la porte de son appartement, il l’ouvrit et la claqua violemment, il s’avança dans son salon, alla vers le bar, s’apprêta à se servir une bonne rasade de son whisky favori quand il entendit des bruits provenant de la chambre de sa partenaire.  

Il se dirigea vers l’antre de sa belle, il l’entendit hurler des choses incohérentes, casser des objets et surtout elle frapper les murs, ce n’est pas vrai se dit il, elle va se faire très mal, n’en pouvant plus de la savoir tout détruire mais se détruire, il entra dans la pièce et là il la vit complètement anéantie, les yeux rougis et hagards, elle semblait chercher quelque chose mais quoi.  

Ryo s’approcha lentement d’elle, Kaori quand à elle avait saisit son sac à main, posé tantôt sur son lit, elle en sortie de sa sacoche une arme, le revolver de son frère disparu Hideyuki, elle le pris et le pointa sur l’homme qui faisait des pas vers elle.  

Le jeune homme la fixa de stupeur que comptait elle faire se dit il, elle voulait le tuer, après tout pourquoi pas se dit il, sans doute la souffrance qu’elle doit subir en ce moment doit être telle qu’elle a envie de l’abattre froidement, mais avant qu’elle fasse une bêtise qu’elle allait sans doute regretter, il voulait la résonner même si il savait que cela serait peine perdue, car la cause de ses tourments, c’était lui, sa cible.  

 

-Kaori baisse ton arme  

 

-non Ryo, je n’en peux plus  

 

-je t’en prie, je sais que mes mots ont été cinglants mais ne fait pas un geste qui te portera préjudice  

 

-cette arme, sert à ôter la vie  

 

-j’en connais quelque chose Kaori, je suis le mieux placer pour le savoir  

 

-alors que penses tu si je fais ça  

 

-NNNNNNNNNOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNNN !!!!  

 

BAMMMMMMBAMMMBAMMMMMMMMMMMMMMMM  

 

 

 

 

 


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