Chapitre 14 :: chapitre 14

Publiée: 23-08-08 - Mise à jour: 27-10-08

Commentaires: re coucou les filles!! je vais être bon seigneur et vous mettre deux chapitres dans la journée (mdr!!!) MAIS JE TIENS A PRÉCISER QUE CERTAINS PASSAGES PEUVENT HEURTER LA SENSIBILITÉ DES PLUS JEUNES NE PAS LIRE SI MOINS DE 18 ANS (surtout ma mini puce Kaori4ever)... énormes bisouilles à Yuna qui a modifié ce chapitre pour qu'il soit moins brulant aux n'yeux... BONNE LECTURE ET GROS BISOUS!!!

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CHAPITRE 14  

Ryo regarda sa douce dans les yeux et attendait sa réponse avec beaucoup d’impatience.  

- Je…je…je veux devenir ta femme Ryo et je désire partager ta vie pour toujours. Déclara Kaori avec les larmes aux yeux.  

- Permettez-moi Mme Saeba de vous mettre cet anneau à votre doigt. Demanda Ryo avec un large sourire.  

- Elle est sublime… répondit Kaori avec un p’tit sourire, et ses larmes de joie qui ne cessaient pas de couler.  

- Pas aussi sublime que vous, je vous aime mon ange. Continua Ryo sur un ton amoureux.  

- Je t’aime également mon amour. Répondit Kaori, qui a cet instant était la femme la plus heureuse du monde.  

Les deux amants s’embrassèrent.  

Kaori se détacha des lèvres de son amant et se mit à le fixer le rose aux joues, tout en triturant ses doigts nerveusement.  

- Qu’y a-t-il ma chérie ? demanda Ryo qui sentait que sa belle, voulait lui demander quelque chose.  

- C’est que c’est gênant à demander, c’est que… j’aimerai…euh…je voudrais…enfin…fais moi ta femme…oups !! Balbutia Kaori qui en reprenant courage réussi dans un murmure à finir sa phrase avec le rouge aux joues.  

Ryo fut surpris de la demande de sa partenaire, mais cependant fier de l’audace de sa requête. Il savait Kaori extrêmement timide et qu’elle a du prendre énormément sur elle pour lui dire une telle chose, il se devait de répondre à son attente. Il allait lui montrer l’art et la manière de faire l’amour, il avait envie de consumer son corps de lui seul, mais avant cela, il voulait vraiment qu’elle soit prête à l’accueillir.  

- Es tu certaine mon cœur ? je ne voudrais pas que tu te sentes obligée, on a tout le temps, tu sais ! demanda Ryo avec un ton rempli de douceur et d’amour.  

- Tais-toi !!! Je te désire ici et maintenant… je veux, que tu me montres ta façon d’aimer… répondit Kaori, sur un ton qui montrait bien ce qu’elle désirait. Et ce qu’elle désirait, c’était lui : Ryo Saeba, l’homme qu’elle aimait, son premier amour.  

A cette dernière réplique le nettoyeur captura la bouche de sa femme, il profita de son assaut pour l’allonger complètement sur le lit et se positionner sur elle.  

Tandis que sa langue vient jouer avec celle de sa partenaire, ses mains se mirent à explorer ce corps, si souvent désiré dans ses rêves les plus audacieux.  

Il passa sa main droite en dessous de la nuisette de Kaori, il frôla de son index le clitoris de son ange toujours emprisonné des filets de ce rempart de coton, il sentit cependant à chaque effleurement sur ce morceau de chair le gonflement de celui-ci, signe qu’elle était en excitation.  

Il laissa avec beaucoup de rancœur les lèvres savoureuses de son ange, pour baiser son cou, puis descendre plus bas jusqu’à la naissance de la poitrine de sa dulcinée. Il sentait son parfum enivrant l’appeler comme un supplice à l’abandon.  

La nettoyeuse ne put laisser échapper des soupirs, qui mettaient à rude épreuve le self control de Ryo.  

Le garde du corps abandonna ses caresses et souleva sa femme pour la faire légèrement asseoir pour qu’il puisse lui ôter sa robe de nuit, pour ainsi continuer sa découverte sur ce corps somptueux au touché.  

Il remonta le bout de tissu lentement tout en parcourant chaque parcelle de peau qui se découvrait à lui. Il passa la nuisette au dessus de la tête de Kaori puis envoya le dit vêtement sur le sol.  

Il recoucha avec une infinie tendresse son ange. Il la contempla avec beaucoup d’amour et de désir.  

- Te sens-tu prête, à aller plus loin ? la questionna Ryo avec un regardant ardant, où se reflétait beaucoup d’amour, mais surtout du désir.  

- Oui !!! Aime-moi, Ryo !!! répondit Kaori avec le même regard.  

Le garde du corps fondit sur la bouche de sa belle une nouvelle fois.  

Ses mains virent explorer ce corps à présent nu.  

Il plaça sa main gauche sur le sein droit de Kaori, qu’il se mit à malaxer délicieusement.  

Son index traça des petits cercles sur le bouton de chair légèrement durci de son ange. Il prit à l’aide de son pouce ce téton entre ses doigts, qu’il tritura et maltraita tendrement.  

Le nettoyeur se sépara de la bouche tentatrice de sa partenaire, pour venir goûter à l’autre dune de chair qui l’appelait inlassablement.  

Arrivé au sein gauche de Kaori, Ryo prit à pleine bouche cette colline, où il passa sa langue chaude sur le téton rose faisant pousser un gémissement de plaisir à la jeune femme, qui sous cette sensation nouvelle se cambra, appelant dans une brise de silence son amant à continuer son geste délicat.  

Ryo eut un sourire de satisfaction. Sa Kaori semblait se perdre dans les rivages du désir, qu’il lui inflige.  

Doucement, avec des gestes remplis de délicatesses, il procura un plaisir certain à sa belle.  

Kaori de son côté, sentait son corps se consumer totalement de l’intérieur pour cet homme. Elle n’en pouvait plus et elle souhaitait qu’une chose à ce moment, c’était de s’unir corps et âme cet homme.  

Quand à Ryô, il n’en pouvait plus, car lui aussi rêvait de la posséder, mais il voulait dans un premier temps lui faire ressentir tout l’amour qu’il avait pour elle, dans ses douces caresses.  

Il entendait sa belle gémir de plaisir, face à ses caresses sensuelles et cela le mettait au supplice. C’est pour cela, qu’il étouffa ce doux chant par un baiser incendiaire, car ses hurlements de supplice à ses oreilles le grisaient.  

Il bouillonnait complètement de l’intérieur, l’entendre geindre ne fit qu’attiser son désir d’elle. Mais, il continua cette douce torture, jusqu’à ce que Kaori se cambre de plus en plus en arrière, attrapant violemment la chevelure de jais de son partenaire, hurlant à plein poumon le nom de Ryo.  

La jeune femme venait d’atteindre son premier orgasme.  

Il eu un sourire de satisfaction, à cet instant, Kaori était prête à l’accueillir dans son jardin secret.  

Et c’est avec délicatesse que Ryô ôta le dernier rempart qui l’empêchait de s’unir à la femme qu’il aimait.  

Le nettoyeur contempla avec un regard fiévreux le corps et le visage rougit de son amante. Il l’a fixa intensément, le désir mêlé à de l’angoisse dansait dans ses prunelles sombres, pourtant habitué à satisfaire des milliers de femmes mais ce matin, tout est différent, il ne voulait pas la brusquer et lui faire du mal. Il voulait lui faire l’amour dans la douceur et surtout lui faire ressentir tout ce qu’elle lui inspirait. C'est-à-dire l’amour véritable, le pur et pas celui qui ne servait qu’à assouvir ses bas instincts avec des femmes frivoles.  

Il se positionna sur Kaori, captura ses lèvres car il voulait lui montrer que tout irait bien. Le garde du corps se sépara de la bouche de sa partenaire pour sonder une nouvelle fois son regard.  

Il avait besoin de la mirer pour être rassuré de ce qui allait changer leur vie à jamais.  

Ryo put déceler dans les yeux de Kaori de la peur, mais surtout beaucoup de passion. Il se pencha, prit possession de sa bouche dans une infinie douceur et c’est à ce moment que le bien le plus précieux de sa belle céda face à cette douce étreinte. Les mains de Kaori agrippèrent les bras de Ryo pour les pincer, ce qui fit mal au nettoyeur qui ne le montra pas, préférant jouer avec la langue de sa douce pour apaiser sa douleur.  

Mais, il dût laisser les lèvres douces de son ange, car il voulait la regarder tout en lui faisant l’amour, lui montrer à quel point, elle avait fait chavirer son cœur.  

Il voulait tout simplement la sentir, sentir son regard amoureux le parcourir.  

Et c’est dans un dernier cri, que cette danse si délicieuse pour les deux amants prit fin. Leur cœur battait irrégulièrement et fortement, leur souffle était saccadé et leur corps humide, ils se sourirent.  

Ils s’aimaient et une nouvelle vie s’offrait à eux en ce jour béni.  

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