Chapitre 6 :: chapitre 6

Publiée: 26-05-08 - Mise à jour: 26-05-08

Commentaires: je ne voulais pas majer aujourd'hui mais j'ai été menacé (Yuna chérie...heureusement que tu vis très loin car je donnerai pas chère de ma peau...LOL°...yé t'adore), bon à qui le tour??? ah oui j'ai trouvé beaucoup de furies sur la nouvelle fic que j'ai posté (AIMEZ TOTO SVP°) == Stella et Cristina entre autres (LES filles allez y mollo...car j'ai besoin de lui pour construire mon histoire) (mdr), je vous kissouilles très très fort ... pensées extremes pour ma tite puce RKever qui croule sous ses cahiers (je pense très fort à toi et tu nous manque); gros gros kissouilles de la mort à ma mini puce Kaori4ever et ma puce adorée Kaori62 (MAJE ET MAJE encore...et tues moi Ce Brian et l'autre PSycho); je retiens une fille là qui m'a promis une suite (sniff...Saoria...OUINNNN!! ELLE EST OU LA SUITE DE L'UN A L'AUTRE?...je veux que tu MAJE DE SUITE...ou JE FAIS UN MALHEUR...kissouille bien fort ); gros clin d'œil tendre à Kaori-Maki, Tennad, Milkaly, Martichounette, Moon47, Clo, Sheena (adieu le FFR!!...LOL°), Bulma (j'adore ton blog ), Nanou (toujours aussi tendre avec mwa), Makimura (mici de continuer de me lire) et les autres qui me lisent et super méga big up au fofo MH que j'adore... il faut que j'arrete d'étaler mes comm's... ================================ voilà les réponses à vos questions...bonne lecture, je souhaite que ce chapitre vous plaira tout autant que les précédents... bisous à tous et merci et même si je me répète de m'encourager et de me lire!

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Elle se réveilla péniblement, cela faisait deux ans, qu’elle l’avait quitter, mais ce soir leur vie prendra s’en doute un tournant.  

Elle est rentrée du Japon il y a 5 jours, retrouvant peu à peu ses repères dans sa grande ville de Tokyo, à première vue on croirait que la jeune femme n’avait pas changé, et pourtant, elle n’est plus cette jeune fille de 28 ans qui prise d’une soudaine pulsion mis fin à son existence et sa seule raison de vivre Ryo Saeba.  

La jeune femme se leva avec beaucoup de paresse, les 12 h00 de vol pour regagner le pays de son amour eurent raison d’elle. Elle prit son courage à deux mains, alla dans la salle de bain où elle fit couler l’eau de la douche, s’y glissa, se savonna, se rinça et se sécha avec la serviette mise à sa disposition.  

Elle s’installa devant la coiffeuse, se mira un moment, puis empoigna la brosse posée à ses cotés, elle se coiffa avec beaucoup de difficulté ses cheveux qui étaient devenus long jusqu’aux épaules et bouclé mettant en valeur son beau visage fin.  

Elle plaqua ses cheveux à l’aide d’un élastique en les relevant comme une queue de cheval.  

Une fois sa coupe terminée et en place, elle se leva, se posta devant le canapé, elle se pencha et attrapa l’anse de sa valise, qu’elle plaça sur son lit défait, elle dézippa le sac de chaque coté, et déballa le contenu, elle pris possession de plusieurs vêtements, un jean de couleur brut, un pull à col V de couleur blanc, un top à mettre en dessous.  

Elle s’habilla, enfila ses bottes à talon noires et se retourna une dernière fois devant le miroir, ce qu’elle vit dans le reflet de celui-ci, lui plaisait, elle ramassa son sac à main sur la commode puis se dirigea vers la porte.  

Elle pris une grande inspiration avant de franchir la sortie de son antre puis claqua la porte.  

Elle franchi l’entrée de l’hôtel, hala un taxi et s’engouffra dedans.  

Dans un café au nord du quartier de Shinjuku, une jeune femme brune et de taille moyenne faisait les cent pas. Cela faisait deux années qu’elle l’attendait, elles s’appelaient régulièrement pour prendre des nouvelles de l’une et de l’autre mais aussi du reste de leurs amis.  

Elle comprenait la réaction de son amie de disparaître soudainement du Japon pour aller vivre sa vie loin de ses tourments, elle ne l’avait jamais jugé au contraire, elle savait comme tout ce de la bande qu’elle avait besoin de souffler loin de lui, de se retrouver ou tout simplement vivre sa vie comme une femme normal.  

Kaori l’avait prévenue de son arrivée sur le sol Japonais, son amie lui a fixé le rendez vous au lieu habituel c'est-à-dire au café qu’elle tenait avec son mari.  

La jeune femme comprit que son amie avait besoin de temps avant de se montrer à eux, elle savait qu’elle avait pris une chambre d’hôtel car elle s’était proposée de la loger le temps de son séjour mais Kaori avait refusé de peur de croiser l’homme qui le hante depuis ses seize ans.  

-Miki  

-oui chéri  

-cesses de faire des va et vient  

-oh, je suis nerveuse, j’ai tellement hâte de la voir, elle m’a manqué  

-oui, je sais, elle nous a tous manqué  

-tu penses que Ryo viendra à la soirée ?  

-je ne sais pas, il s’est tellement renfermé qu’il risque de rester cloîtré chez lui  

-c’est ce qui me fait peur, j’aimerai qu’il vienne et qu’il l’a revoie  

-moi aussi mais je crains aussi le pire avec deux la  

-c’est vrai qu’ils sont tellement imprévisibles, j’aurai quand même du le mettre au courant de sa venue  

-non, c’est mieux comme ça  

-tu penses ?  

-si Ryo aurait été mis au courant sans doute qu’il ne serait pas déplacé  

-tu as raison, espérons toutefois que cette soirée se passera bien  

-…  

La cloche du café annonça l’arrivée d’un client  

-KAORRRRRRRRRRIIIIIIIIIIIIIIII !!!  

Kaori avait franchi la porte du Cat’s eyes, elle apparue rayonnante aux yeux de son amie, elle avait à peine changé, deux ans d’absence ne transforme que très peu les personnes, elle avait juste les cheveux plus long, sa beauté naturel d’autrefois avait résisté aux temps, elle était restée simplement la même.  

-Kaori, je suis contente de te revoir  

-moi aussi Miki, bonjour Umi  

-salut Kaori  

-tu veux boire un café ? Manger ? T’asseoir  

-Miki, laisse la un peu respirer  

-oups désolée mais je suis trop émue  

-ce n’est pas grave, mais je veux quand même répondre à toutes tes questions. Je veux bien un café, si tu as une part de gâteau au chocolat que tu avais l’habitude de préparer j’en prendrai bien et pour m’assoire, je suis d’accord.  

Kaori avait répondu sur la pointe de l’humour, car elle sentait que son amie allait fondre en larmes, l’impatience de la revoir, de la toucher et de lui parler était trop de pression pour la jeune femme.  

Les deux jeunes femmes prirent place au fond de la salle, Umi leur apportèrent deux tasses de café et deux part de gâteaux au chocolat que Kaori apprécié, il les déposa sur la table et s’en alla, ce que les deux femmes avaient à se dire ne le regarder pas ou du moins, il n’aimait pas se mêler de la vie d’autrui.  

Miki et Kaori se dévisageaient, on palpait un léger malaise entre elle, rien à voir avec une rancune mais plutôt trop de question à se poser et surtout des réponses à se donner.  

C’est Miki qui prit la parole la première ne pouvant pas attendre trop longtemps, elle voulait savoir ce que son amie avait pu faire durant toutes ces années même si le téléphone était leur seul lien de contact et qu’elle connaissait un peu la vie que celle-ci menait loin d’eux, ceci n’était pas pareil.  

-Alors ma chérie ? Raconte-moi tout, c’est comment Paris ?  

-c’est une ville magnifique, les gens sont accueillants et polis  

-je vois comme je t’envie d’avoir pu visiter la ville la plus belle du monde  

-c’est vrai mais je n’ai pas eu le temps de voir cette ville, une fois là bas , il m’a fallu trouver un endroit ou dormir et surtout un travail car l’argent que j’avais pu mettre de coté, fondait à vue d’œil car la vie est chère en France. J’ai du loger au début chez une amie de ma sœur Sayuri, puis celle-ci m’a conseillé de postuler pour un emploi de serveuse dans une brasserie non loin de notre domicile, je travaillais pratiquement nuit et jour ce qui me donnait très peu de temps aux divertissements mais j’ai pu venir subvenir à mes besoins et louer un studio.  

-je suis heureuse que tu t’y plaises…mais qu’as-tu Kaori ?  

-non rien, je vais bien  

-ne me mens pas… je vois bien qu’il a quelque chose qui te tracasses  

-…  

-comment va-t-il c’est ce que tu veux savoir ?  

-…oui…  

-je le savais, tu mourrais d’envie de poser cette question depuis le début  

-…Miki  

-comme je te l’ai souvent dis au téléphone Ryo n’est plus pareil depuis ton départ, il est comment dire méconnaissable, il s’enfonce dans un monde qu’il s’est crée, sans parfum, sans couleur et sans émotion. Il t’en a beaucoup voulu d’être partie sans lui donner de nouvelles mais surtout il s’en est voulu de n’avoir pas su te combler, tu sais qu’il n’exprime jamais ses sentiments, et pourtant, à le voir on ressent son désespoir.  

-je m’en veux terriblement  

-non Kaori, tu as pris la bonne décision de partir loin de lui, vous étiez trop sur vous, à force d’être trop ensemble, on s’étouffe mais il est vrai que deux ans c’est long pour faire une mise au point, je ne te juges pas, tu le sais mais je penses simplement que tu aurais pu lui donner de tes nouvelles, une lettre, une carte ou un appel, ça aurait pu lui remonter le moral.  

-c’est vrai Miki, j’aurai du.  

-Kaori, Ryo n’est pas au courant de ta venue, personne n’a voulu l’en informer  

-donc, il ne viendra pas ce soir ?  

-j’ai eu Mick tout à l’heure au téléphone, il m’a dit que Ryo ne sera sûrement pas de la partie  

-ah  

-ne sois pas déçue, pourquoi n’irais tu pas chez lui, le prévenir  

-je n’ai pas encore le courage de l’affronter  

-que racontes tu ? Tu tenais absolument qu’il soit là ce soir, cela veut dire que tu étais prête à le revoir, donc ou est le problème que tu le vois 10h00 avant, d’ailleurs je pense même qu’il vaut mieux que tu te rendes chez lui pour régler votre conflit et amertumes que le faire devant tout une foule, tu ne crois pas ?  

-…je n’y ai pas pensé, je vais suivre ton conseil  

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