Chapitre 5 :: chapitre 5

Publiée: 21-05-08 - Mise à jour: 21-05-08

Commentaires: hello, le soleil brille haut dans le ciel, les oiseaux chantent et le climat est doux que du bonheur en perspective...kwa!!! comme je suis de bonne humeur, j'ai voulu faire plaisir à vous...oui ...vous...les Lectrices et lecteurs avec ce nouveau chapitre tapé par ki???et ben...mwa (lol)...j'avoue j'avais la fainéantise pour la mettre en ligne mais je me suis fais HARCELER par msn Par ma corrigeuse et Tyran d'amour qui se reconnaitra par ces surnoms (mdr)...enfin le mal est fait et bien je vous laisse découvrir la suite. je dédicaces et Kissouilles ma tite puce RKever (courage ma belle), ma mini puce Kaori4ever (oh hé sa suffit de m'agresser RHOOO!!! sinon...sinon..euh...), Nanou merci pour tes reviews qui font plaisir à mon tit coeur tu es la seule ici qui me traite encore bien (lol),Stella (j'attends..j'attends...et depeche toi), Sheena qui m'a oublié (Michante),Saoria (qui ferme les yeux sur la suite de l'un à l'autre) et Kaori62 (tu crois que je t'avais oublié...continue de majer majer et majer et demain tu majeras),Bulma (idem aussi), makimura, martichounette,Eden et etc.........je vais pas citer tout le site car j'ai assez raconter ma life ici (mdr) désolée mais ce chap est plus court que les précédents mais le prochain sera plus long (eh oui je compense...profitez) allez je file et encore merci pour tous vos commentaires agréables à lire et bisous fortiches à toutes

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CHAPITRE 5  

Assis autour d’une table ronde, un groupe composé de six personnes riaient à gorge déployée, Mick comme à son habitude avait fait des siennes en voulant approcher Miki mais il fut vite stoppé par Umi qui l’attrapa par le col de la chemise et le fit tourner en l’air pour l’éjecter tel un javelot.  

Au même moment, la porte du restaurant s’ouvrit, une jeune femme fit son entrée, les personnes qui étaient présentes purent constater le silence que cette jeune fille fit lorsqu’elle est apparue surtout la bande d’amis qui ne cesser de rire aux éclats depuis le début de leur repas et soudain plus un bruit, on pouvait entendre le bourdonnement d’une mouche si on y prêtait l’oreille.  

Elle se dirigea lentement près de la table ou les six comparses avaient pris place et se posta devant eux avec un sourire forcé.  

Elle se tenait là devant leurs yeux ébahis, elle portait une robe en mousseline blanche qui mettait son teint en valeur, un léger décolleté en forme de V, un châle autour du cou du même coloris que sa robe, des escarpins blancs qui scintillaient grâce à la lumière et un petit accessoire pendu à son poignet qui ressemblait à une bourse de couleur blanche aussi.  

La jeune femme était radicalement sublime et ce n’est pas les hommes du restaurant qui en diraient le contraire mais seulement voilà, un énergumène vint stopper ce tableau féerique pour venir la saluer à sa manière.  

C’est la bave pratiquement dégoulinante et les mouvements digne d’un nageur professionnel que Mick bondit sur la malheureuse qui poussa un cri de terreur face à ce clown dégradant.  

Mais au moment ou le jeune homme allait atteindre sa cible, il fut stoppé dans son élan par les remarques de ses amis qui se souciaient de ce qui se passé à l’extérieur.  

Le barman était entrain d’agiter ses bras dans tous les sens, beuglant à qui veut l’entendre qu’il avait besoin qu’on vienne le secourir.  

Saeko vit le jeune homme dans la rue qui faisait des signes de détresse, l’inspectrice interpella par la même occasion ses compagnons d’attablée pour leur dire que le garçon qui se tenait les bras en mouvement à l’extérieur devait sûrement avoir des problèmes pour crier à pleins poumons en pleine nuit.  

La jeune détective se leva et quitta la table suivis de ses amis, ils poussèrent la porte de l’établissement et restèrent un instant sur le perron avant de rejoindre le jeune barman qui n’arrêtait pas de hurler des « aidez-moi », il est « mort », « je vous en prie ». Mick qui avait suivi la scène de ce perturbateur nocturne vint à son encontre et lui demanda ce qui se passe pour qu’il se mette à crier « à l’assassin »  

Le gérant lui expliqua qu’un de ses clients s’est effondré devant ses yeux soudainement, il leur indiqua son café où gisait le corps de Ryo, Kazué franchit la porte du bar la première suivi des autres, et elle vit le nettoyeur à terre, pale comme un linge.  

Elle s’accroupit près de lui, pris son poignet et pressa dessus pour prendre son pouls  

Aidée de sa montre, elle constata qu’il était toujours en vie, ce qui rassura le reste de la bande, seulement voilà, le garde du corps ne semblait pas reprendre ses esprits après plusieurs claques et hurlements.  

La jeune femme qui était entrée au restaurant et avait causé tout l’étonnement de la bande était restée en retrait par les conseils de ses amis qui ne voulaient pas qu’elle assiste à ce spectacle, mais c’est sans compter son caractère bien trempé et la détermination de savoir pourquoi ils leur cacher quelque chose qu’elle se dirigea vers l’objet de sa curiosité et là elle resta stupéfaite face à ce qu’elle voyait.  

Un jeune homme aux cheveux noirs allongeait au sol, semblait dormir paisiblement, il avait perçu un ange tantôt avant que ses jambes se dérobent sous lui et que le noir vienne embrumer sa vue, il s’était senti si léger à cet instant qu’il tomba lourdement sur la moquette du bar, il n’entendit plus rien autour de lui seulement les battements irraisonnés de son cœur qu’il lui parvenaient comme une douce mélodie.  

La jeune femme venait de bousculer l’infirmière qui se tenait à coté du nettoyeur, à son tour elle tapota la joue de Ryo qui ne bougea pas, elle se mit près de son oreille et lui souffla des mots que seul lui pouvait entendre et dont elle seule pouvait lui accorder.  

Ce parfum, cette voix, non, ce n’est qu’un rêve se dit le garde du corps, elle ne peut pas être là, ce n’est pas possible, le souffle chaud sur son oreille l’avait légèrement sortie de son malaise, il ouvrit péniblement un œil, un ange, c’est un ange ce dit le nettoyeur, pour lui , il était au paradis, la jeune femme éblouissait à ses yeux, le vêtements blanc qu’elle portait ne fit pas de doute à Ryo, il était bien au jardin d’Eden.  

La jeune femme caressa la joue de Ryo et lui susurra une énième fois à l’oreille des mots réconfortants quand elle sentie son regard se poser sur elle, il semblait être ailleurs, il souriait et murmurait un « ange », « vous êtes un ange », la jeune femme frissonna quand la main de Ryo vint frôler sa bouche.  

Le nettoyeur tendit son bras vers ce halot de lumière qui semblait l’appeler au plus profond des ténèbres, il voyait de son image flouée, cet ange qui remuait les lèvres, est-ce réel se dit-il, il passa un doigt sur la partie inférieure de la bouche de la jeune femme, la toucher lui fit un électrochoc, elle était bien réelle et ses lèvres étaient très soyeuses.  

La jeune femme lui cria doucement son prénom et lui demanda de la regarder, de ne pas fermer les yeux et lui pris sa main tendue pour l’amener dans sa main pour les sceller.  

Il senti que sa main qui touchait les lèvres de son ange se détachait pour être entremêlées à des doigts si fins et délicats, il pu ressentir une chaleur lors de ce contact, un tourbillon sans égal et il sorti une phrase qui fit tomber des nues la jeune femme « je peux mourir en paix ».  

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