Chapitre 13 :: chapitre 13

Publiée: 11-07-08 - Mise à jour: 23-08-08

Commentaires: coucou les filles!!! je vous dédie un immense "merci" pour vos reviews pour les chapitres précédents et tiens aussi à dire que vous m'êtes d'un grand soutien {smile :-)}... l'histoire touchera bientot à sa fin...{sniff!!}. gros bisouilles @ ma béta Yuna... et je tiens aussi à dire aux auteurs du site que j'attends tous vos chapitres ... et aussi désolée pour le retard de mes reviews sur vos fics mais j'ai à peine le temps de souffler... énormes kissouilles @ vous

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CHAPITRE 13  

La soirée se déroula dans une ambiance des plus romantiques pour Ryo et Kaori.  

Après avoir dînés dans un restaurant très chic de la capitale, Kaori fit visiter à son homme tous les endroits, qu’elle avait eu l’habitude de côtoyer durant ces deux années passées loin de lui.  

Ils se sont promenés main dans la main sur les berges de la seine, ont regardés la Tour Eiffel qui scintillait de mille feux de l’esplanade du Trocadéro et se sont arrêtés devant toutes les boutiques qui longeaient l’avenue des Champs Elysées. D’ailleurs, le nettoyeur avait une attention plus particulière pour l’une d’entre elle, et, il se promit mentalement d’y revenir très vite.  

Et c’est pratiquement aux aurores, qu’ils regagnèrent l’antre de la jeune femme, totalement épuisés, mais heureux de la soirée qu’ils avaient passé tous les deux.  

Après être passés chacun leur tour dans la salle de bain, Kaori proposa à Ryo de se coucher près d’elle, ce qu’il ne refusa pas, bien au contraire. (NDB : Et je suis sure qu’il n’y a pas eu besoin de le supplier… lol) (NDA : comment tu as deviné ma puce ??mdr)  

Ils se glissèrent sous les draps, où, ils se blottir l’un contre l’autre. Ryo pris Kaori dans ses bras tout en encerclant sa taille pour la tenir prés de lui de peur qu’elle ne s’échappe.  

- Mon ange… murmura Ryo  

- Oui… répondit cette dernière qui s’était abandonnée à l’étreinte de son homme, en fermant les yeux.  

- Tu ne penses pas que c’est un peu dangereux, que je dorme avec toi ? Tu sais, je peux m’allonger sur le canapé. Demanda Ryo un peu gêné à cause de la promiscuité, car il avait peur de ne pas pouvoir résister à ses désirs d’elle.  

- Pourquoi, ça te gêne tellement de rester près de moi ? rétorqua Kaori avec une pointe de colère dans la voix, mais qui n’avait pas bougé de l’étreinte de Ryo.  

- Euh…c’est que… enfin… je… bafouillai Ryo, qui ne savait pas comment se justifier.  

- Oui, Ryo… je t’écoute…continua Kaori qui commençait à perdre patience face au comportement de son homme.  

Kaori se retourna vers son partenaire, accoudée sur un bras, elle le fixa droit dans les yeux pour essayer de sonder son regard pour y voir ses pensées.  

- Ryo, qu’est ce qui te préoccupe autant ? questionna Kaori qui commençait à comprendre ce qui tracassait autant son homme.  

- Ce qui me tracasse… c’est ça… répondit Ryo qui joignit les gestes à la parole et en ce précipitant sur les lèvres de son ange.  

Le nettoyeur pris possession des lèvres de son ange la faisant basculer en arrière. Par ce mouvement, il se positionna sur elle.  

Il s’éternisa longuement sur sa bouche délicieuse, puis descendit progressivement de son menton vers son cou, où il embrassa langoureusement chaque grain de peau que sa belle lui offrait.  

Sa langue se fraya un chemin sensuel en partant de l’épaule droite de son ange, jusqu’à revenir à la diagonale, pour explorer la naissance de la poitrine de sa belle.  

Kaori émis des gémissements de plaisance face aux caresses de Ryo. Il était tellement doux, qu’elle se sentait défaillir face à ses assauts. Mais, quand il commença à passer sa main sous sa nuisette, la jeune femme le stoppa.  

- Ryo je suis désolée… je… je… je ne me sens pas prête… je suis vraiment désolée… s’excusa Kaori, confuse de ne pas pouvoir aller plus loin.  

- Je peux attendre… je ne voulais pas te bousculer… pardonne moi… répondit Ryo, confus de ne pas avoir réussi à se contrôler. Il avait tellement besoin d’elle, que son désir s’était réveillé.  

- Non, c’est moi… continua Kaori en lui offrant un sourire et un regard rempli d’amour pour lui faire comprendre qu’elle ne lui en voulait pas.  

- Je t’aime tellement Kaori… Mais, j’attendrai que tu sois prête mon Amour… pour aller plus loin… Car je te respecte trop pour ça… répondit Ryo en lui rendant son sourire et en l’embrassant sur le bout du nez.  

- Je t’aime mon amour et je te promets de ne pas te faire trop attendre… répondit Kaori, complètement heureuse par la déclaration que venait de lui faire l’homme de sa vie.  

Ryo embrassa tendrement sa belle, avant de la reprendre dans ses bras. Les deux partenaires se serrèrent plus l’un contre l’autre et trouvèrent refuge dans les bras de Morphée rapidement.  

Au petit matin  

Ryo ouvrit difficilement les yeux, car il ressentait les effets du décalage horaire. Il regarda la femme qui avait fait chavirer son cœur, qui était toujours endormi. Le nettoyeur ne cessa pas de contempler son ange, il eut un sourire joyeux qui apparut sur ses lèvres. Il était tout simplement heureux, car il avait réussi à récupérer la femme qu’il aimait. Malgré qu’il l’ait encore faite souffrir, il y a de ça deux jours. Mais il avait réussi à se faire pardonner et il n’était pas prêt à laisser de nouveau passer sa chance.  

Il embrassa avec douceur Kaori sur le front, ce qui la fit remuer légèrement. Puis, il se leva doucement pour ne pas la réveiller et se dirigea vers la salle de bain, où il prit une bonne douche.  

Il s’habilla et quitta l’appartement, non sans avoir regardé tendrement son ange, une dernière fois.  

Le nettoyeur parcourra les rues de Paris, où, il faisait un peu frais à cette époque de l’année, mais cela lui était égal. Hier soir, une idée lui était venu dans la tête et il voulait concrétiser ce rêve.  

Après avoir marché de longues minutes, Ryo reconnu la boutique qui avait attiré son attention la veille. Il y entra et en sorti quelques minutes plus tard avec un petit paquet. Satisfait de son achat, il reprit le chemin inverse le sourire aux lèvres.  

Quand Ryo pénétra dans le studio, il trouva son ange toujours dans les bras de Morphée. Il posa ses paquets à la cuisine où il entreprit de préparer un copieux petit déjeuner à sa dulcinée.  

Malgré la forte odeur de café, Kaori n’ouvrit pas un œil, sans doute que la fatigue du voyage et le décalage horaire avait eu raison d’elle. (NDB : Surtout que son voyage a été riche en émotion… lol)(NDA : je veux bien le croire)  

Ryo était fier de la table, qu’il avait dressée. Il avait entreposé toutes les viennoiseries qu’il avait acheté, mis les couverts et surtout avait posé une rose sur l’assiette de son ange.  

« Tout est parfait se dit il. »  

Et c’est à pas de velours, qu’il alla dans la pièce voisine, où, il avança lentement vers la femme de ses pensées, toujours endormie. Il s’assit au bord du lit et se pencha vers l’oreille de sa douce, où, il lui murmura qu’il était l’heure de se lever. Kaori émis des grognements de mécontentement face à ce réveil.  

- Non, pas maintenant… murmura-t-elle toujours endormi  

- Mon ange, le café va refroidir. Lui murmura Ryo d’une voix douce.  

- Hein ? Mais quelle heure est-il ? demanda Kaori, complètement réveillée  

- Euh, il est pratiquement 11 heures passé. Répondit Ryo amusé par le comportement de sa belle  

- QUOI ????? DEJA ??? hurla Kaori qui était à cet instant complètement réveillé.  

- Que t’arrive t-il ? Tu n’as pas besoin de te mettre dans cet état. Continua Ryo avec un sourire  

- Mais, j’aurais du me lever plus tôt, pour te préparer le petit déjeuner. Et, en plus, je t’avais promis… qu’on irait tôt au musée Grévin… Oh la ! Faut que je me lève et prenne ma douche. Rétorqua Kaori complètement paniqué d’avoir dormi si longtemps.  

Ryo observa la jeune femme d’un regard amusé. Elle s’était jetée hors du lit comme une furie, cherchant au sol ses chaussons qui ne semblaient pas vouloir se montrer, puis totalement désorientée se dirigea vers la porte d’entrée.  

- Mais où vas-tu ma belle ? questionna Ryo sur un ton amusé.  

- Tu ne comprends pas Ryo, on n’aura pas le temps de tout faire si tu dois quitter la France dans une semaine, je veux que tu vois tous les endroits magnifiques de cette ville et… essaya d’expliquer Kaori.  

- Chutttt !!! lui dit Ryo  

Le nettoyeur retourna la jeune femme, lui prit son visage en coupe et la regarda dans les yeux :  

- La seule chose magnifique qui est dans cette ville, c’est toi !!! répondit Ryo en plongeant de nouveau son regard sombre dans celui de la jeune femme.  

Kaori se mit à rougir face à cette déclaration, et Ryo en profita pour se pencher et prendre possession des lèvres de son ange, où, leurs langues se rencontrèrent sensuellement.  

C’est le manque d’air qui les fit se détacher à contre cœur, de l’un de l’autre.  

- Par contre mon ange, j’ai une chose importante à te dire… Viens t’asseoir… demanda Ryo d’une voix douce.  

- Ryo, qu’est ce qui se passe ? C’est une bonne ou mauvaise nouvelle ? Il est arrivé quelque chose au Japon ? Ta maîtresse t’a suivie ? questionna Kaori, qui était inquiète de se qu’allait lui dire l’homme de sa vie.  

Une libellule virevolta dans toute la pièce, avant de s’écraser lourdement contre le mur.  

Décidément avec Kaori, le nettoyeur ne pouvait rarement en placer une, surtout quand elle devenait hystérique ou angoissée.  

- Non, rien de tout cela, n’est crainte ! répondit Ryo avec un petit sourire amusé, face à la réaction de sa dulcinée.  

- Alors, dis Ryo !!! Je n’aime pas du tout cela… demanda Kaori, dont l’angoisse grandissait à une vitesse fulgurante. Car elle avait peur de ce que l’homme qu’elle aimait aller lui annoncer.  

- Petite impatiente ! répondit Ryo amusé, mais surtout avec un p’tit sourire moqueur. Il était heureux de la réaction de son ange et il savait, qu’il avait éveillé sa curiosité.  

Ryo mit un genou à terre.  

La jeune femme le regarda abasourdie et soudain sa vue se floua, car des larmes commencèrent à perler aux coins de ses magnifiques yeux noisettes.  

Le nettoyeur sortit un écrin de velours de la poche de son jean, il ouvrit la petite boite ou scintillait une bague simple sertie de diamant et commença son discours…  

- Euh… comment dire… Mlle Makimura, voulez vous devenir la femme du plus beau nettoyeur de tout le Japon… Enfin, ahahah !! Je voulais dire, veux tu devenir ma femme et partager à jamais mon existence ? demanda Ryo en la regardant avec amour.  

Kaori n’en revenait pas, heureusement que Ryo avait pris soin de la faire asseoir sur le lit, sinon elle serait tombée à la renverse à même le sol.  

- Alors que réponds-tu ???? osa demander Ryo, qui était un peu nerveux devant le silence de son ange.  

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