Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur: kitty80

Beta-reader(s): Yunalescaminnie

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 14 chapitres

Publiée: 04-05-08

Mise à jour: 23-08-08

 

Commentaires: 134 reviews

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DrameRomance

 

Résumé: Une dispute,un drame et tout autour de vous s'effondre mais la vie peut réserver quelques fois des surprises.

 

Disclaimer: Les personnages de "PARDONNES-MOI" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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Qu'est-ce que les ratings veulent dire?

 

La classification des fanfictions repose sur le système américain utilisé pour le cinéma et par simplicité ce système est repris pour le classement des fanfictions. Les classifications les plus courantes sont: - G : pas de violence, pas de situation ou de référence à caractère sexuel (pas de nudité, pas de sexe, pas de drogue, ...) - Tout p ...

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   Fanfiction :: PARDONNES-MOI

 

Chapitre 3 :: chapitre 3

Publiée: 11-05-08 - Mise à jour: 11-05-08

Commentaires: j'arrête de vous tourmenter plus longtemps même si j'avoue que c'est fabuleux (mdr). gros bisous à tout le monde! merci beaucoup pour reviews menaçantes ça fait chaud au coeur et au derr...(lol). j'espere ne pa vous decevoir pour ce chap. bonne lecture et installez vous confortablement... je fais un flash spécial pour mes deux puces d'amour que j'adore (Yuna et RKever), (Stella,Kaori4ever et Sheena) qui savent harceler sagement et Saoria toi aussi tu es aussi sadique car j'attends la suite d'une de tes fics (de l'un à l'autre) alors maj vite. gros bisous à toutes les miss et merci encore de vos encouragements envers la débutante que je suis.

 


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Un jeune homme s’agenouilla comme chaque année devant son tombeau  

marbré, il venait ici, dés que son cœur se faisait trop lourd, quand la peine le broyait les entrailles, il avait envie de se confier pour alléger son trouble et c’est ce qu’il fit, il lui parla pendant des heures de son quotidien, de son mal être, du vide de son absence qu’il avait plongé dans l’abîme de l’alcool et des aventures sans lendemain, bref, il s’était replongé dans sa vie d’antan .  

Une fois son monologue terminé, il déposa une gerbe de fleurs et prit la direction de la sortie du cimetière ou la personne qu’il avait rendue visite reposerait à jamais.  

 

Ryo regagna son appartement qui était redevenu, un lieu de refuge qu’un lieu d’habitat.  

Il monta un à un les marches pour rejoindre son salon, il ouvrit la porte, le spectacle qu’offrait la pièce était désolante, au sol gisait des débris de bouteilles d’alcool de toutes sortes, vides, des mégots de cigarettes parsemaient la moquette, le ménage était à l’abandon depuis qu’elle s’en allée, le laissant en proie au désarroi.  

Le nettoyeur se fraya un chemin du mieux qu’il put car les déchets à terres ne faisaient que s’entasser inlassablement, les boites de pizza, les canettes de bière à l’abandon,les journaux, une déchetterie à domicile voila ce qu’était devenue son appartement, il traversa tant bien que mal son salon, se posta devant son bar, et pris un verre et la dernière bouteille qui s’offrait devant ses yeux, il la dégoupilla et se servi une franche rasade qu’il bu d’un trait, il allait réitéré son geste quand quelqu’un se mit à tambouriner sa porte, il l’eut mauvais, il n’avait envie de voir personne et ce depuis le soir ou elle l’a quitté pour toujours, dans un autre monde , une autre vie, enfin elle est partie définitivement de son existence, sans jamais pouvoir la toucher, l’entendre, la sentir,la goûter et la voir, ces cinq sens sont inertes depuis son absence, depuis ce fameux soir ou sa vie a basculé à jamais dans les flammes de l’enfer.  

 

Il sorti de sa léthargie quand les coups devinrent depuis en plus menaçant, il parti droit devant l’objectif qui l’importunait, il ouvrit la porte et que fut sa surprise de voir :  

 

-salut Ryo  

 

-vas y entre  

 

-je vois mon vieux qu’il te faut une femme de ménage  

 

-Mick si tu es venu me faire la morale, tu peux retraverser la rue et rejoindre ta demeure  

 

-écoutes mon pote, je me faisais du soucis pour toi, tu ne répondais pas à mes appels depuis 2 jours, donc par acquis de conscience, je suis venu te rendre visite et savoir comment tu te portais.  

 

-comme tu peux le constater, je vais très bien  

 

-non, tu mens très mal, je sens très bien que ça ne va pas  

 

-mais si tu crois que je ne vais pas si bien que ça, tu aurais du dire à Kazué de me faire des soins à domicile, je suis sur que ma forme aurait été olympique après.  

 

-très drôle !  

 

-bon ce n’est pas je m’ennuie avec toi mais je vais filer me reposer  

 

-attends Ryo, tu penses toujours à elle, depuis son absence tu es devenu mort, je ne t’ai jamais vu dans cet état, ça en devient inquiétant.  

 

-elle me manque terriblement  

 

-je sais vieux, elle manque à nous tous et cela depuis sa disparition subite y a de ça 2 ans  

 

-je m’en veux, si j’avais su la retenir jamais, ça ne se saurait passer  

 

-tu n’y pouvais rien Ryo, c’était sa vie après tout, tu ne pouvais pas prévoir son acte  

 

-si j’aurais pu l’anticiper mais j’ai échoué, je ne suis qu’un lâche, d’ailleurs, je me demande comment vous faites pour venir m’épauler chaque jour et me pardonner.  

 

-tu penses qu’elle aurait aimé te voir te morfondre, tu as besoin de tes amis et Kaori nous aurait en voulu, si on te laissait tomber.  

 

-merci, Mick  

 

Ryo s’effondra en sanglot dans les bras de son ami, la peine et la douleur était trop forte pour le nettoyeur, pourtant le plus craint de la ville, mais à cet instant, il était un homme, qu’importe le passé qu’il s’était forgeait, aujourd’hui comme depuis deux année, il était devenu fragile,souffrant de tout son être, l’acte que sa belle l’avait infligé, l’avait paralysé, voire meurtri et maintenant, il n’était que l’ombre de lui-même, la mort pouvait lui ouvrir ses bras, il était prêt à l’accueillir telle une délivrance, car ici, plus rien le retenait.  

 

 

FLASH BACK  

 

 

-NNNOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNNNNN !!!!!!!!!!!!!!!!!!  

 

BAAAAAAAAAAAAAAAMMMMMMMMMBBBBBBBBBBAAAAAAAAMMM  

 

Le revolver tomba sur le parquet, la jeune femme s’écroula de tout son être, le jeune homme mis un genou à terre.  

La vision offerte à lui, le désola, jamais au grand jamais, il n’aurait pensé qu’elle puisse mettre fin à ses jours, le sang coulait abondamment le long de son corps. Il s’approcha de Kaori, lui pris sa main ensanglantée et lui releva le menton pour apercevoir son visage, ce qu’il vit l’effraya, elle le fixait vide, elle n’y avait plus source de vie dans ses yeux, elle était éteinte de tous sentiments.  

 

Ryo essaya de la faire bouger mais celle-ci n’avait aucune réaction, elle semblait inerte de tout mais surtout de lui, il entreprit de lui parler, de lui demander pardon pour son attitude ignoble envers elle mais il était trop tard pour lui pour se repentir, il le sentait qu’elle n’entendait plus rien, il la savait partir loin de lui, loin de ses bras, loin de son monde.  

 

FIN DU FLASH BACK  

 

 

Ryo se détacha de Mick, lui offrant un sourire qu’il se valu rassurant, il lui proposa de se joindre à lui pour boire un verre, son ami refusa gentiment.  

 

-écoutes Ryo, ce soir on a prévu de se faire un resto, tu voudrais te joindre à nous  

 

-je n’ai pas très envie de sortir  

 

-mais il y aura Miki et Falcon, Saeko, Reika, Kazué et moi, toute la bande sera réunie  

 

-toute la bande ? Il manquera toujours une personne  

 

-déjà toi pour commencer  

 

-je n’ai vraiment pas le cœur à plaisanter  

 

-très bien, tu as décidé de n’en faire qu’à tête, mais saches qu’elle ne reviendra pas …  

 

-quoi ? Tu oses me dire quoi la ???  

 

-du calme Ryo, ne te mets pas dans cet état  

 

-désolé  

 

-bon écoutes si tu es toujours intéressé par l’invitation au restaurant, voici l’adresse, on y sera pour 20h00 et es une tenue correcte, jte prie  

 

Mick pris très vite ses jambes à son cou, il avait fait exprès d’embeter Ryo avec la fin de sa phrase, l’humeur de son ami faisait mal à tous ses amis depuis que Kaori n’était plus dans leur vie, et tout le monde faisait le relais pour remonter le moral du nettoyeur mais tous savaient que c’était peine perdue.  

 

 

 

 

 

 

 

 


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