Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: vivifolie

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 10 capitoli

Pubblicato: 19-02-06

Ultimo aggiornamento: 05-04-06

 

Commenti: 63 reviews

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RomanceAction

 

Riassunto: Quand un homme se met entre Kaori et Ryô, personne ne sait comment cela se passera.

 

Disclaimer: Les personnages de "Juste un sourire de toi" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Juste un sourire de toi

 

Capitolo 5 :: Pourquoi

Pubblicato: 01-03-06 - Ultimo aggiornamento: 01-03-06

Commenti: Petite réaction pour Sophie (no stress^^). Oui, tu as bien devinée, je me nomme Virginie (damned, repérée :p). Pourquoi mon nom apparait? D'abords parce que je suis nulle pour trouver des noms originaux à mes personnages. Ensuite parce ce nom colle très bien à ce personnage grâce à sa signification très particulière^^. Voilà voilà, je vous le sers, dégustez-le, car je ne sais pas quand viendras la suite ;)

 


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« Il l’a tuée ? Alors, pourquoi se tient-elle en face de lui ? »  

Alejandros venait de poser la question qui venait de faire surface chez Mick et Kaori.  

« Il l’a tuée moralement, du moins. La dernière fois que je l’ai vue, elle avait dans le corps 6 balles, dont une dans un poumon. Pour nous, elle était morte. Pour Ryô aussi … »  

Kaori fronça les sourcils. Virginie était vivante, il ne devait donc plus se faire de souci.  

 

Mick sourit et se retourna vers la rue.  

« Je vois pas pourquoi elle lui en veux. Dans la jungle, c’est chacun pour soi et Dieu pour tous, non ? »  

Falcon baissa la tête vers son « collègue ».  

« Oui. Mais c’est Ryô qui lui a perforé le poumon, alors qu’ils étaient dans le même camp. »  

Retour au calme. Les deux anciens amis se faisait toujours face. Elle, un sourire collée aux lèvres, lui, une immense tristesse dans ses yeux.  

 

« Virginie … »  

Elle leva sa main parfaitement manucurée.  

«Pas la peine. D’abord parce que je ne t’écouterais pas, ensuite parce que tu ne m’a pas habituée à ce genre de scène. »  

« … Que veux-tu faire ? »  

Elle alluma une cigarette d’un geste distrait. Elle le regarda, mais sans sourire. Sa voix ce fit plus basse, plus nostalgique.  

« Te souviens-tu, quand nous jouions à la revanche ? Je gagnais à chaque fois. Me laissais-tu gagner ? Je ne le sais pas. Toutefois, c’était amusant. » Son visage se fit plus dur, plus froid. « Nous allons recommencer à jouer, mon petit Ryô. Tu as une journée pour te préparer. 24 heures, pas plus. Moins, peut être. Tout dépendra de mon humeur envers toi. »  

Sur cette dernière parole, elle reprit son manteau et ouvrit la porte. Mais avant de la refermer sur elle, la jeune femme lança une parole par dessus son épaule.  

« Miki, je te félicite. Ton café était délicieux. Tu peux, enfin, te considérer comme une femme réussie. »  

 

Kaori se tourna vers Ryô. Son cœur battait la chamade. Cette femme venait de lancer un défi. Encore une fois, il allait lui demander de partir. Et encore une fois, elle ferait tout pour rester à ses côtés.  

« Kaori … Peux-tu t’occuper de l’affaire de Mr Zanbonini ? »  

Il lui avait demander quoi ? De s’occuper d’une affaire ? Seule ?  

‘Et avec un homme ?’ pensèrent Miki, Falcon et Mick.  

« Tu prendra tellement de temps ? », souffla Kaori.  

« Je ne sais pas. Je n’en sais rien. »  

Il se leva d’un coup sec et sortit du café, laissant ses amis et son client dans l’incompréhension.  

 

*****************************************************  

 

« Vous êtes sûre que vous allez bien ? vous êtes si pâle. », s’inquiéta Alejandros.  

« Oui, aucun problème. Juste un peu fatiguée, rien de bien grave. »  

Elle déposa son sac sur une chaise e se dirigea vers la cuisine.  

« Je vous prépare un en-cas ? »  

Elle n’attendit pas sa réponse. Dans la cuisine, une chose avait bougé. Pourtant, tout était à sa place. Non. Pas la tasse de Hideyuki. Sa place était sur l’étagère, en évidence. Personne n’avait le droit d’y toucher. Mais, maintenant, elle se trouvait sur la table, un reste de café au fond.  

Kaori voulu prévenir son client, quand elle sentit quelque chose entre ses omoplates.  

 

« Partenaire de Ryô et même pas capable de sentir une présence ennemie ? »  

« Virginie ? »  

L’objet disparu et la tête de la femme dépassa sur sa gauche. Elle souriait, gentiment, toute trace d’hypocrisie avait disparut.  

« Vous remontez dans mon estime. Vous avez au moins reconnu ma voix. A moins que ce ne soit une coïncidence … »  

Elle se balada dans la cuisine, caressant du bout des doigts meubles et ustensiles. Elle ne faisait plus attention à Kaori. Cette dernière chercha du regard un ustensile, de préférence un couteau … gagné ! Juste à sa droite, à moins d’un mètre.  

 

« N’y pensez même pas. Faites un geste et vous je vous abats, sans autre forme de procès. »  

« Pourquoi ? Pourquoi voulez-vous tuer Ryô ? Jamais, jamais il ne vous aurait tiré dessus volontairement ! »  

Virginie se retourna ver Kaori.  

« Tu sais, c’est très vilain de se mettre entre deux personnes … surtout si les deux sont des tueurs nés … »  

La femme s’assit près d’une fenêtre et sortit un couteau. Il était fin mais doté d’une lame aussi longue que deux paumes de mains. Elle se mit à jouer avec, le mettre dans la lumière et la refléter sur les murs.  

 

« Veux-tu que je te raconte une histoire ? Bien sûr, tout les enfants aiment les histoires. Mais il faut t’asseoir, car elle est très, très longue. »  

Kaori n’eu pas le choix. Elle s’assit, face à Virginie.  

« Bien, commençons par le commencement.  

 

Il était une fois – j’adore les histoire qui commence ainsi, pas vous ? – une famille modèle. Un père qui réussit dans les affaires, une mère douce et attentionnée, un frère gentil et un bébé. Cette famille vivait en Europe, mais fut contrainte de s’exiler aux Amériques pour des raisons obscurs. LA première année se passa relativement bien. La guerre était proche et à la fois lointaine, jusqu’au jour où tout s’effondra. Un groupe de guérillero brûla la maison familiale. Deux personnes survécurent : la mère et la fille. Survécurent, c’est un grand mot. Pour rester envie, la mère dut devenir la maîtresse du chef … »  

 

Virginie s’arrêta au milieu de son histoire et brandit son couteau, pour qu’il effleure la pomme d’Adam de Kaori.  

« Tu peux rester cacher, Ryô. Mais si tu fais un mouvement, je l’égorge, comme un mouton. Te rappelle-tu ? J’étais très douée pour me servir d’un couteau, non ? »  

« Ne la mêle pas à cela, veux-tu ? »  

Rire de la part de Virginie. Rire froid et cynique.  

« Ryô, je ne plaisante pas. »  

 

Ryô sortit entra dans la cuisine. Son Magnum en main, il ne regarda même pas Kaori. Seul Virginie l’intéressait.  

 

« Je crois que la suite sera pour un autre jour, mon ange. »  

Virginie lança un second couteau en direction de Ryô qui dut l’éviter. La femme en profita pour s’enfuir, non sans laisser une petite carte de visite …  

 

« Aaaaaaaaaaaaaaaah »  

« Kaori ! »  

« A la prochaine, beau gosse ! »  

 

 


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