Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prosa

 

Autore: vivifolie

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 10 capitoli

Pubblicato: 19-02-06

Ultimo aggiornamento: 05-04-06

 

Commenti: 63 reviews

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RomanceAction

 

Riassunto: Quand un homme se met entre Kaori et Ryô, personne ne sait comment cela se passera.

 

Disclaimer: Les personnages de "Juste un sourire de toi" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Juste un sourire de toi

 

Capitolo 8 :: Révélation (1e partie)

Pubblicato: 04-04-06 - Ultimo aggiornamento: 05-04-06

Commenti: Chapitre 8, enfin! J'ai bien cru en jamais pouvoir le finir! Mais le voici, le voilà. Quelques révélations, histoire de vous tenir en haleine encore un peu. J'espère aussi ne pas avoir été trop longue. Gros bisous à tous et à toutes Bonne lecture

 


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« Ryô, cela te fera ta dixième tasse depuis ce matin … tu es sûr que tout vas bien ? », demanda Miki.  

Aucune réponse de la part du nettoyeur. Juste un grognement du fond de sa gorge. Dépitée, la jeune femme lui versa une énième tasse de café.  

 

Une semaine qu’il venait, seul, sans dire un mot. Il buvait sans vraiment sans rendre compte et partait, aussi soudainement qu’il était venu. Une semaine que Kaori ne répondait plus. Pas de signe de vie de sa part.  

Umibozu entra dans le café, faisant fuir un client potentiel. Il prit un torchon et se mit à essuyer les verres de manière machinale. Un silence pesant s’installa dans la salle, déjà déserte. Miki alla dans la remise et son mari en profita pour ouvrir la bouche.  

 

« Tu lui manque. »  

Pas de réponse.  

« Elle n’ose pas te parler depuis cette nuit. Tu lui a fait une sacrée peur. Mais plus que tout, elle veux te voir. … ce sont ces paroles, pas les miennes. »  

Et il rougit, comme une tomate mûre en plein été.  

Ryô releva la tête. Son visage était un masque neutre mais ses yeux reflétaient un tourbillon de sentiments contradictoires.  

« Tu sais où elle se trouve ? »  

Falcon posa son verre et jeta un œil derrière lui. Miki ne revenant pas, il continua, plus bas encore.  

« Elle ne m’a rien dit. Je n’ai rien entendu qui puisse nous aider … Tu sais, elle s’améliore, elle tient cela de toi … »  

« Elle ne veux plus me voir … c’est bien normal … après cette nuit …  

[Flash-Back]  

 

« Je savais … »  

Le sang de Ryô ne fit qu’un tour. Il se jeta sur son prétendu client, le prit par le col et l’accrocha au mur.  

« Ecoute-moi, salaud des bas-fonds. Tu savais peut-être que ce couteau n’allais pas te toucher, mais que savais-tu pour Kaori ? Elle aurait put y laisser sa vie. »  

« Je savais que ce couteau ne nous atteindrais pas. Je ne suis pas devin, certes, mais je ne suis pas un salaud non plus … contrairement à vous. »  

 

A cet instant précis, Ryô ne se souvenait de rien. Juste un trou noir de 5 ou 10 minutes, pas plus. Mais qui allait jouer en sa défaveur.  

Il avait perdu le contrôle. De lui, de la situation. Quand il est sortit de cette torpeur, Alejandros gisait à terre, le visage tuméfié et sa chemise en sang. Kaori lui tenait le bras, sans grande conviction. Elle pleurait à chaude larmes, son corps secoué par ses sanglots déchirants. Son haut aussi était ensanglanté. De son sang ou de celui du client ? Il ne savait pas, il n’a pas voulut savoir. Il projeta plus qu’il ne détacha Kaori et s’enferma dans sa chambre. Le lendemain matin, Kaori avait disparu et son client aussi, laissant une enveloppe contenant de l’argent.  

 

[/Flash-Back]  

 

Et cette enveloppe était toujours sur la table du salon. Il ne pouvait se résoudre à l’ouvrir.  

Diling. La porte du café s’ouvrit et se referma. Falcon ne bougea pas et Ryô non plus, laissant l’ombre s’asseoir à ses côtés.  

 

« J’ai apprit pour ton client … tu as toujours eu le sang chaud … mais de là à le faire devant les yeux de Ka… »  

« Ne prononce pas son nom. Sinon, je te le jure, tu rejoindra ta mère. »  

« D’accord, comme tu le sens. Falcon, veux-tu me servir un gin, s’il te plait ? »  

Pendant que le géant s’occupait de la commande, elle se tourna vers son ex-compagnon d’armes.  

« C’est de ma faute … »  

« Oui. »  

Petit rire de Virginie.  

« Tu pourrais au moins me faire croire l’inverse. Politesse. Enfin, toute cette histoire est de ma faute. … Merci. »  

Umibozu avait ‘déposé’ son verre sur le comptoir. Le gin avait jaillit et lui avait taché sa chemise blanche.  

 

Ryô déposa sa tasse et soupira.  

« Si c’est pour me dire que c’est ta faute, me mettre cette évidence devant moi, je te remercie, mais tu t’es déplacée pour rien. »  

Virginie ferma les yeux. Son visage, d’habitude neutre, laissait passer une grande fatigue mentale et une douleur interne.  

 

La porte du café s’ouvrit de nouveau. Un jeune enfant passa la tête entre les deux bras de Virginie. Il semblait à court de souffle, son visage était rouge et ses yeux brillaient d’excitation. Le visage de Virginie devint plus doux, un éclat maternel fit briller ses yeux.  

« Aloha my corazon. Tu ne devrait pas être à l’école ? »  

« Ah ? Je t’ai pas dit ? Aujourd’hui, c’est un jour de congé. »  

« Congé ? Tu as séché, oui. »  

« Je ne le ferais jamais. Ca te ferais de la peine et veux pas te faire de la peine. Je t’aime trop ! »  

Et il l’entoura de ses petits bras. Virginie lui caressa les cheveux doucement, un sourire aux lèvres.  

« Moi aussi je t’aime mon cœur. »  

 

L’enfant se laissa bercer. Ryô les observait. Une mère et son fils. Il imagina un instant sa vie en couple, avec un enfant au milieu de tout. Non. Danger. Danger. Son cerveau lui hurlait que ce ne pouvait qu’être un rêve utopique, sans débouchée possible. Mais son cœur lui susurrait que rien ne pouvait être plus beau qu’aimer et être aimer en retour, que de rentrer chez lui, sachant que deux êtres l’attendaient avec impatience …  

 

« Mais pourquoi es-tu ici, Sebastian ? »  

Sebastian ouvrit les yeux. Ceux-ci semblaient énormes, tant la peur et la crainte y brillaient.  

« Papa et la zolie dame, ils sont partit. »  

« Quoi ?! »  

 

Virginie regarda Ryô. Leurs yeux se croisèrent. Virginie semblaient catastrophée. Ryô, lui, semblait s’en moquer.  

« Quand ? Il sont vraiment partit ? »  

« Papa parlait avec elle, dans son magasin. Puis un monsieur de l’armée, il était pas beau du tout, les a emmener dans un zoli camion. Tu crois que papa va revenir ? »  

Regard innocent.  

« Un homme de l’armée ? Comment était-il ? »  

« Grand, remplit de muscles et il avait un drôle de foulard. Il était rouge avec une tête de mort et un serpent. »  

 

Umibozu s’arrêta de faire briller son verre, Ryô cessa de boire et Virginie crut sentir une crise cardiaque arriver.  

« Tu es sûr de ce que tu dit ? », demanda Ryô.  

« Oui. Il me faisait peur le monsieur. Et il faisait peur aussi à la zolie dame. … Maman, tu crois qu’ils vont lui faire mal ? »  

Ryô cracha le reste de café.  

« Maman ? »  

« Sebastian, vas te laver les mains, s’il te plait. »  

Une fois l’enfant derrière la porte, Virginie reprit son ton direct et froid.  

« Bien, si la bande de Gonzales est revenue, nous pouvons être sûr qu’il y aura du grabuge. A mon avis, ils doivent être hors de la ville, pour pouvoir entreposer toutes leurs armes. Je vais essayer de voir de mon côté. Vous deux, trouver les plus vite possible des armes et des munitions. Umibozu, je suppose que tu a toujours ton fameux bazooka ? Ryô, tu … »  

« Stop ! Ce gosse est de … toi ? »  

 

Regarda amusé de Virginie.  

« Je l’ai adopté. Il était enfant soldat, comme toi et moi. Je me suis dit qu’il fallait l’élever, sinon il pourrait mal tourner. »  

« Avec toi comme mère, sûr qu’il tournera mal … »  

BAM.  

Ryô se retrouva encastrer dans le bar. Umibozu prit la parole.  

« Et son père, je suppose que c’est un guérillero ? »  

« Non. Je n’arrive pas à les supporter. Son père, c’est Zanbonini Alejandros, ton client Ryô. »  

 

 


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