Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: vivifolie

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 10 capitoli

Pubblicato: 19-02-06

Ultimo aggiornamento: 05-04-06

 

Commenti: 63 reviews

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RomanceAction

 

Riassunto: Quand un homme se met entre Kaori et Ryô, personne ne sait comment cela se passera.

 

Disclaimer: Les personnages de "Juste un sourire de toi" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 1500 words per chapter, so you can see that the minimum we're asking for is quite less.

 

 

   Fanfiction :: Juste un sourire de toi

 

Capitolo 10 :: Juste un sourire de toi

Pubblicato: 05-04-06 - Ultimo aggiornamento: 05-04-06

Commenti: Dernier chapitre! Fin de chez fin! Toute les réponses sont données. Je suis d'accord que la bataille finale, c'est pas top, mais je ne suis pas très douée pour les sprots de combats^^. Voilà, en espérant que la fin répondra à toute vos attentes. Bisous à vous qui m'avez encouragée à continué et à persévérer. Je vous aimeuh tous et toutes!

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10


 

« Bon, tu es sûre de ne pas vouloir un plan ? Même un tout petit ? », demanda Ryô pour la centième fois en une heure.  

« Certaine. Maintenant, tu la ferme. On va se faire repérer. »  

Ryô pleura donc en silence. Il pleurait, en priant intérieurement que son amie avait quand même un semblant de plan. Il ne voulait pas mourir à cause d’un handicapé et d’une folle furieuse.  

 

« Ryô, tu ne vois, ni entends quelque chose ? », chuchota Virginie.  

« Une dizaines d’hommes devant chaque portes de hangars … un jeep qui refait le tour du proprio tous les quarts d’heures … en gros, ils ne pensent pas nous voir de sitôt … »  

« Ryô, hangar 1 et 2, Falcon, hangar 3 et 4 et moi, les deux derniers. Ce ne devrait pas poser de problèmes. A trois, on y vas … »  

Falcon sortit un énorme bazooka et tira dans les portes. Les hommes de mains sautèrent en l’air comme des poupées de chiffons.  

« Heu … trois. », dit Virginie. « Merci pour ta patience, Falcon. »  

 

Ryô se rua dans le premier hangar. Rien de particulier. Quelques hommes de mains à assommer, des grenades à éviter, et le hangar se retrouva bien vite vide de toute présence humaine.  

‘Il ne me reste plus que le deuxième … espérons que les deux autres s’en sortent …’  

 

Sautant d’une des fenêtre au deuxième bâtiment, Ryô sut qu’il avait une chance de les retrouver. Ici, plus d’hommes, mieux armés et, semblait-il, en possession d’un cerveau qui fonctionnait. Calmement, Ryô descendit de son perchoir. Un bruit et c’était finis de lui. Il se mit donc à observer les lieux.  

Au rez-de-chaussée, une dizaines d’hommes attendaient, l’arme au poing. Au centre de la pièce, un amas de bois et de poudre était gardé par une sorte de masse humaine.  

‘Umibozu, cachottier, tu ne m’avais pas dit que tu avais un frère jumeau …’ pensa Ryô.  

Au premier, cinq hommes faisaient une ronde. Et, à côté d’une porte, deux ne bougeaient pas. Déduction : il y avait quelque chose là dedans.  

 

A pas de loup, il s’approcha le plus près possible de cette porte. Lentement, il se leva et tira deux fois, pour les deux gardes. Ce bruit alerta les cinq hommes du dessus, qui se précipitèrent sur Ryô. Ce dernier les assomma avec quelques coups bien placés. Des tirs sortirent soudainement d’en bas.  

‘Merde. Ils rappliquent …’  

 

BAOUM. Fumée noire et désagréable en option. Ryô se pencha sur la balustrade et vit un spectrale pour le moins absurde. Falcon avait son bazooka dans une main, un sourire de carnassier accroché aux lèvres. Virginie le suivait de près, arrangeant du mieux qu’elle pouvait sa tenue et sa coiffure.  

« Vi, ce n’est pas le moment pour te refaire un beauté … »  

« Ryô, soit gentil et boucle la. Je sais qu’ils sont ici. Je le sais, je le sens … ici ».  

Son dernier mot fut pour elle. Mai sa main se porta sur son cœur. Ryô en fut touché, malgré lui.  

 

Il se tourna et ouvrit la porte. Sa joie fit place à l’horreur. Kaori et Alejandros étaient assis et ligotés sur deux chaises. La chemise d’Alejandros était en sang et Kaori semblait perdue dans un lieu mystique. Pourtant, ce n’était pas cela qui lui faisait réellement peur. Entre eux deux, un minuteur faisait un léger bruit.  

 

Tic-Tac-Tic-Tac  

 

Il lui restait moins de trois minute pour les détacher et fuir. Trois minute, c’était court, très court, même peut être trop. Virginie et Umibozu entrèrent eux aussi.  

« Non ! Alejandros ! » hurla Virginie.  

Elle se précipita sur son fiancé et lui caressa le visage.  

« Salaud, quel salaud … je le tuerais, je te le promet … mon ange, répond moi … »  

« Vi … Virginie … bonjourno … comme va ? »  

 

Une petit télévision s’alluma sur le fond. Un vieil homme apparut. L’image semblait vieillie et floue. L’homme parla.  

 

« Bonjour à vous tous. Mon nom est Gonzales. Vous ne me connaissez peut être pas, ce n’est pas bien grave. Il y a longtemps, nous avons combattu côte à côte ou face à face. Si vous êtes arriver jusqu’ici, c’est que votre réputation n’est pas faussée par les trouillards qui vous ont défier. Et si vous êtes ici, c’est parce que je l’ai demandé. Je suis un vieil homme, condamner à rester dans un fauteuil roulant. Mon rêve fut de combattre deux combattants hors pairs : Shin Kaibara et Adeline. Hélas, ceux-ci sont désarmait morts et enterrés. Qui pourrais-je bien défier ? Qui des deux étaient le meilleur ? La seule solution fut leur descendants : Ryô Saeba et Virginie. Vous deux réunit, qui donc sera le plus fort ? Qui donc a survécut ? Je ne le saurais peut être jamais.  

Je vous remercie de m’avoir écouté. Dépêchez-vous, il ne doit plus vous rester bien longtemps à vivre … »  

 

Ryô regarda le minuteur. Une minute. Plus le temps de les délivrer.  

« Falcon, vite ! Aide-moi à prendre Alejandros et Kaori avant que tout explose. Le géant souleva sans mal les deux otages et courut les mettre à l’abri, suivit des deux amis. A peine furent ils dehors, que le hangar explosa. Ryô et Virginie observèrent les décombrent.  

 

« Ils voulaient savoir qui de nous deux étaient le plus forts … », commença doucement Virginie.  

« Personne. Nous sommes égaux. Et en même temps différents. Sans Falcon, nous n’aurions rien put faire. »  

« Oui, tu as sans doute raison … »  

 

Elle se retourna et sourit à son fiancé. Mais elle ne bougea pas. Virginie posa une main sur le bras du nettoyeur.  

« Tu va lui dire ? »  

« Quoi donc ? »  

« Tout. Toi, ta vie, ton amour pour elle … »  

« Je ne sais pas … je ne veux pas qu’elle souffre … »  

« Elle souffre déjà bien assez. Elle souffre de cet amour qu’elle croit à sens unique. Elle souffre au plus profond de son cœur. Un mot, une phrase et tu peux vous rendre heureux. »  

 

Pendant ce temps, Umibozu desserraient les liens des deux otages. Kaori lui sourit et se tourna vers Ryô. Elle semblait apeurée, comme prise entre plusieurs émotions.  

« Je vous laisse … j’ai une personne à embrasser … »  

Elle le laissa seul, face à sa partenaire. Cette dernière baissa les yeux et s’avança vers lui.  

 

« Pardon … »  

« Pourquoi donc ? »  

« De m’être faite avoir »  

« C’est normal. J’ai pas envie d’une nouvelle partenaire … »  

Kaori leva les yeux. Ryô ne souriait pas, mais ses yeux étaient remplis de tendresse.  

« Tu veux bien me pardonner … pour la nuit dernière … »  

« Et toi, pour être partie ainsi … »  

Ils ne dirent plus un mot. Les paroles sont inutiles dans de tels moments.  

 

Ryô se pencha vers sa partenaire.  

« Sais-tu pourquoi je suis venu te libérée ? »  

« Tu me l’a dit … »  

« J’avais envie d’une chose que je n’avais pas vu depuis trop longtemps. »  

Kaori rougit.  

« Pourquoi ? Quelle est cette chose ? »  

« … juste pour un sourire de toi … »  

 

Il se pencha et l’embrassa. Enfin il était heureux, il avait trouvé sa place dans ce monde.  

 

 


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