Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: Sophie

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 40 capitoli

Pubblicato: 15-09-03

Ultimo aggiornamento: 11-02-04

 

Commenti: 102 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Il s'agit de tenter de répondre au challenge de Kaori "Jamais sans toi"...

 

Disclaimer: Les personnages de "Jamais sans toi (ou une autre avancée)" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

Some pieces of advices to authors

 

- Check the grammar and spelling of your stories. - Read your story at least once. - Try to write chapters of at least 2 pages and of a maximum of 6-7 pages. - Try to update your story regularly.

 

 

   Fanfiction :: Jamais sans toi (ou une autre avancée)

 

Capitolo 26 :: Secours

Pubblicato: 19-11-03 - Ultimo aggiornamento: 19-11-03

Commenti: Bien, le premier temps fort (selon mon point de vue) est passé (enfin dans l'histoire, par rapport au challenge), il en reste encore au moins un… (de temps forts, parce que pour les chapitres, je ne peux pas vous dire….)… Là c’est un chapitre de transition, comme vous vous en rendrez vite compte….Enfin, pas totalement, on commence à partager les émotions de Ryô. En effet, je vais essayer de plus décrire les pensées et les sentiments de Ryô…je les avais laissés de coté parce qu’ainsi on restait dans l’inconnu avec lui, comme Kaori…mais comme la pauvre est HS pendant quelques temps…voilà mon explication Cloclo…désolée si Ryô apparaissait stupide… Je tiens à me défendre une dernière et ultime fois…..je n’ai jamais harcelé Mélusine (elle confond stimulation intellectuelle et harcèlement) Dites, continuez avec les reviews. .je me répète sans doute, mais c’est grâce à elles que j’ai envie de continuer et d’améliorer ce que j’écrit… Il y a un passage un peu grandiloquent…

 


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Combien de temps restèrent-ils ainsi ? Les minutes s’égrenèrent lentement. Trop lentement car Ryô attendait du secours. Trop rapidement aussi car il cherchait en vain une solution.  

La lutte avec Kaori avait physiquement blessé Ryô. Son dos le faisait affreusement souffrir, et il se demandait s’il n’avait pas la jambe cassée. Malgré la situation dramatique, il se permit une pensée déplacée. Sa partenaire avait fait preuve d’une force insoupçonnée. Certes, le ppcp avait une part de responsabilité dans ce déploiement, mais tout de même…Une Kaori exaltée pourrait, sans aucun doute, déployer des trésors insoupçonnés de passion. L’étalon de Shinjuku ne pu s’empêcher de s’imaginer avec Kaori dans un roulé boulé qui n’aurait rien à voir avec un combat. On ne change pas un homme.  

Cependant, il se reprit automatiquement…Comment pouvait-il penser à ce genre de chose dans un tel moment ? Il sentait la chaleur de Kaori qui fuyait peu à peu son corps… Pourtant à quoi pouvait-il penser d’autre ? A son manque de perspicacité ? A l’idée que Kaori pourrait mourir à cause de lui ? A la souffrance qu’il lui avait infligée ? A la conclusion logique de leur histoire ?  

Mieux valait penser à l’avenir ensemble que laisser les reproches l’envahir.  

L’espoir le stimulerait plus que le désespoir.  

 

Réfléchit Ryô, tu es le seul qui puisses la sauver, maintenant…  

 

Il essaya de se lever en portant Kaori mais il ne réussit pas. Seul, il aurait pu se débrouiller pour aller chercher de l’aide…mais il n’était pas question de laisser la jeune femme abandonnée. Quels pourraient être les autres effets de la drogue ?  

Il savait pourtant que chaque minute était précieuse, peut être même cruciale.  

Mais, il avait beau être fort, il y a des limites à tout, même à la volonté.  

 

Tout d’un coup, il entendit des bruits qui venaient de l’extérieur du hangar. Dans le calme du dépôt, il n’eut aucun mal à reconnaître des coups de feu et des explosions. On se battait tout près d’eux.  

Les échanges durèrent une bonne dizaine de minutes puis tout redevint silencieux.  

 

La porte du hangar gémit lentement, puis de plus en plus fort. Quelqu’un ouvrait la porte. Tout à son désir de protéger coûte que coûte Kaori, Ryô réussit à se traîner derrière une caisse en tirant la jeune femme.  

Précautionneusement, il jeta un coup d’œil, en sortant son arme, pour guetter les nouveaux arrivants. Amis ou ennemis ? S’ils lui voulaient du mal, ils se rendraient compte que City Hunter ne se rendrait pas sans combattre.  

 

 

La clarté de la lune et des étoiles éclairait l’ouverture béante. Deux silhouettes se détachèrent alors. La première était celle d’un géant de plus de deux mètres qui portait en bandoulière un bazooka. La seconde, à ses cotés, était celle d’un homme musclé, attentif et dangereux.  

Les deux hommes s’arrêtèrent, perplexes.  

Ils ne sentaient aucune présence à l’intérieur du hangar. En effet, Kaori était inconsciente et Ryô savait parfaitement caché sa présence.  

 

Deux autres ombres émergèrent du dos des précédentes. La première était sans hésitation possible une femme avec de longs cheveux bouclés. La seconde était également féminine, avec une jupe fendue qui seyait particulièrement bien à sa démarche altière.  

 

Les 4 nouveaux scrutaient l’obscurité. A l’attention qu’ils prenaient à rester silencieux et à écouter le moindre bruit, on savait qu’il cherchait quelque chose…ou quelqu’un A contre jour (ou plutôt nuit), on ne pouvait pas voir leur visage, mais Ryô (tout comme nous) su immédiatement que la cavalerie était arrivée.  

Il rengaina son arme et par un effort de volonté extrême il se releva en tenant délicatement et tendrement Kaori dans ses bras. Il sortit de sa cachette et commença à avancer vers ses amis. Mais il ne pu faire plus de quelques mètres. Sa jambe se déroba sous son corps et il du mettre un genou à terre, sans pour autant lâcher son précieux fardeau.  

 

Ce spectacle fascina les témoins présents. C’était l’image d’un homme qui se dépasse au delà de l’imaginable, qui continu à lutter malgré l’inquiétude, les souffrances et les doutes. C’était l’image d’un homme qui continue à croire, au delà du désespoir quand il n’y a plus de raison de croire. C’était l’image d’un homme qui cherchait à protéger et à secourir la vie posée entre ses bras parce qu’elle lui était plus nécessaire que le souffle même de la vie. C’était l’image d’un homme amoureux qui ne renonce jamais.  

Il refuserait toujours de capituler.  

Voilà ce que virent ces amis dans cette scène, dans l’image de cet homme, un genou à terre et qui tient dans ces bras une jeune femme inconsciente.  

Personne n’aurait osé le lui dire. Pour Ryô, tout cela ne resterait que des mots, des idées de romantiques, éloignées d’une quelconque réalité. Il aurait tourné ces grands sentiments en dérision mal placée, avec sa désinvolture coutumière…Pourtant, tout, dans son attitude, prouvait qu’il serait capable des plus grandes choses pour Kaori. L’ignorait-il ou le cachait-il ?  

 

Alors, Mick, Miki et Saeko (hé oui ! !évidemment) se précipitèrent vers eux. Ils s’agenouillèrent autour du couple et Miki commença à prendre le pouls de Kaori. Falcon avança plus prudemment. Il fixait les moindres recoins obscurs afin d’être persuadé qu’il n’y avait pas un quelconque danger. Rassuré, il rejoignit rapidement le groupe.  

Le visage de Miki devint livide, mais beaucoup moins que ne l’était celui de Kaori qui semblait sans vie…  

 

« - Ryô, qu’est ce qui se passe ? ? ? Kaori est… »  

« - Plus tard » coupa le japonais. « il faut l’amener chez doc. » Sa voix rauque le fit tressaillir. Il était resté si longtemps seul avec elle, dans ce hangar, dans le silence absolu, n’écoutant que le rythme de plus en plus faible de sa partenaire.  

« - Mais, qu’est ce qu’elle a ? » Mick était aussi bouleversé.  

« - Ppcp ». La réponse était tombée comme une sentence.  

Alors tous s’activèrent, comprenant la nécessité d’agir rapidement. Le reste des explications viendrait en temps utile. Falcon tendit son bazooka à sa femme et prit précautionneusement Kaori des bras de Ryô. Celui faillit la retenir, mais il comprit vite qu’il n’en aurait pas la force et que ça ne servirait à rien.  

Mick offrit sa main pour aider Ryô à se relever. Celui-ci en fut reconnaissant. Il s’appuya ensuite sur l’épaule de son ami pour pouvoir suivre le groupe au dehors de l’entrepôt.  

 

Une fois sortis, ils se dirigèrent vers la jeep de Falcon. Celle-ci était criblée de balles, mais elle semblait encore plus solide que n’importe quelle autre voiture. D’ailleurs avec le nombre d’attaques qu’elle avait subi, on pouvait se demander par quel miracle elle marchait encore. C’était sans doute un autre secret de Falcon.  

Ils installèrent Kaori à l’arrière. La tête de la jeune femme reposait sur les genoux de Miki et ses pieds sur ceux de Mick (non, la situation était trop critique pour qu’il essaye de regarder sous la jupe de la belle endormie). Ryô prit place à coté de Falcon.  

Saeko se rendit bien vite compte qu’elle était de trop et, en plus, il n’y avait plus assez de place pour elle dans la voiture. En outre, elle avait une mauvaise égratignure au bras qui la lançait et qu’elle devait soigner. Elle demanda les clés de sa voiture à Ryô qui lui tendit sans rien dire. (ben oui, vous croyez qu’il était venu en bus ? ?) Pour lui, tout ça était du temps perdu, ils avaient déjà trop attendu. Malgré l’urgence, elle les fit promettre de la tenir au courant de l’état de Kaori. Elle savait qu’elle ne pouvait rien faire pour l’aider actuellement. Elle préférait les laisser partir plutôt que de les ennuyer. Ce n’est pas qu’elle n’était pas aussi inquiète que les autres (sauf peut-être que Ryô), mais elle était assez professionnelle pour savoir se retirer quand on n’est pas indispensable.  

 

 


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