Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 10 capitoli

Pubblicato: 21-10-23

Ultimo aggiornamento: 01-11-23

 

Commenti: 10 reviews

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HumourRomance

 

Riassunto: Kaori se retrouve avec un objet entre les mains qui va soulager grandement ses articulations.

 

Disclaimer: Les personnages de "A la baguette" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 1500 words per chapter, so you can see that the minimum we're asking for is quite less.

 

 

   Fanfiction :: A la baguette

 

Capitolo 3 :: Chapitre 3

Pubblicato: 23-10-23 - Ultimo aggiornamento: 23-10-23

Commenti: Coucou, voici la suite de cette petite fic halloweenesque. Alors pouvoir ou pas pouvoir et quelles conséquences? Je suis ravie que ça vous plaise en tout cas. Merci à vous Bonne lecture et merci pour vos commentaires ^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10


 

3. Le pouvoir de Kaori.  

 

- C’est inutile mais ça fait du bien., fit-elle, baissant la baguette.  

- Kaori…, pipa Maho  

- Bon alors tu vois que ça n’a pas marché, sombre crétin !, enchaîna-t-elle.  

- Kaori !, l’interpela un peu plus fort sa cliente.  

- Ca a marché., lui apprit-elle.  

 

Elle pointa du doigt vers une petite bête noire figée au sol, un cafard. Kaori l’observa puis Maho, puis de nouveau l’insecte et n’y tint plus. Elle se mit à rire de manière tonitruante, se pliant en deux avant de se relever puis de se baisser de nouveau, se frappant le genou tellement c’était hilarant.  

 

- Tu… Tu… Tu…, commença-t-elle, incapable de continuer tellement elle riait.  

 

Maho la regardait les yeux écarquillés avant de se diriger vers le cafard. Elle chercha autour d’elle et trouva un verre dans lequel elle réussit à le mettre même s’il tenta de fuir.  

 

- T’es rapide et je sais que ça doit être désagréable mais tu seras plus en sécurité ici., lui dit-elle, tapotant le verre.  

- Non, sérieusement… Ca ne peut pas être Ryô. Il se sera juste enfui encore une fois., maugréa la rouquine.  

- Kaori, tu ne veux pas voir la réalité en face. Tu as transformé Ryô en cafard… et tu l’avais déjà fait hier soir.  

- Non, Arrête, regarde, cette bestiole n’a pas de vêtements et ils ne sont pas par terre non plus. Ce n’est pas Ryô. Ryô s’est juste tirer par la porte derr…, commença-t-elle avant de voir la porte fermée.  

 

Elle regarda la porte, puis la baguette, puis le cafard dans le verre, puis de nouveau la porte, et encore une fois le cafard.  

 

- Nooooon…. Tu crois vraiment que c’est Ryô ?, lui demanda-t-elle.  

- J’en suis sûre., affirma Maho, l’air très sérieuse.  

- J’ai besoin d’en être sûre., fit la rouquine.  

 

Elle alla du côté du divan et en sortit un magazine érotique qu’elle ouvrit en le tenant du bout des doigts. Les yeux du cafard se transformèrent en petits cœurs et il s’excita comme un bon dans le verre. Fronçant les sourcils en voyant que même ainsi il était toujours aussi pervers, elle le referma sèchement.  

 

- Satisfaite ?, demanda Maho.  

- Pas encore., répondit Kaori, approchant du verre et levant son débardeur.  

 

Une énorme goutte d’eau se forma derrière le crâne de sa cliente et la bestiole se retourna rapidement comme se cachant.  

 

- Ouais, c’est lui… grommela-t-elle, fâchée.  

- J’ai bien envie de t’écraser comme la vermine que tu es., le menaça-t-elle.  

- Je devrais peut-être aller chercher le produit anti-cafards et t’asperger avec… Ca te couperait peut-être les…, commença-t-elle.  

- Kaori !, s’exclama Maho, voyant la pauvre bête courir en rond dans le verre, tentant d’en grimper les parois sans y parvenir.  

- Tu n’as pas le droit de profiter de la situation ainsi. Ce n’est pas bien.  

- Si tu savais le nombre de fois où IL profite de la situation…, se défendit la rouquine.  

- Sois meilleure que lui., lui conseilla sa cliente, posant le verre sur une étagère.  

- J’ai besoin d’un remontant., fit son hôtesse.  

 

Maho la vit partir en cuisine et revenir avec deux thés. Ce n’était pas ce à quoi elle s’attendait comme remontant mais ça lui allait pas mal. Elles prirent place à la table du séjour et burent leurs tasses tout en regardant le verre dans lequel était Ryô.  

 

- Je n’en reviens pas… Je croyais que c’était juste une histoire familiale qu’on racontait et qui n’avait de valeur que parce qu’elle nous faisait tous rire, que nous la partagions, comme une légende., murmura Maho, une main sous le menton.  

- Kaori, tu as des pouvoirs de sorcière., constata-t-elle.  

- Non… C’est juste une coïncidence., éluda la rouquine, peu à l’aise avec ces histoires surnaturelles.  

 

Les sorcières, c’étaient comme les fantômes : elles étaient bien mieux dans les livres que dans la réalité. Elle avait déjà laissé un esprit prendre possession de son corps, elle n’allait pas maintenant se transformer en sorcière. Elle se sentit blêmir et bondit de sa chaise jusqu’au miroir de l’entrée, s’observant attentivement.  

 

- Tout va bien ?, l’interrogea Maho, surprise.  

- Oui, oui. Je veux être sûre que mon nez n’est pas déformé ou que je n’ai pas une vilaine verrue qui est apparue., expliqua Kaori sans réfléchir.  

 

Elles entendirent un vol de corbeaux passer non loin et Kaori fut la plus prompte à les empêcher d’emmener le verre contenant Ryô avec eux. Une sorcière… Elle avait un pouvoir de sorcière… C’était franchement n’importe quoi mais l’animal qui s’agitait dans le verre juste avant et l’observait maintenant attentivement en était une preuve vivante.  

 

- Tu es sûre que vous ne m’avez pas monté une petite blague avec Ryô ?, demanda-t-elle quand même à Maho.  

- Oh non… Je pense qu’il a d’autres idées en tête me concernant, n’est-ce pas ?, répondit cette dernière.  

- Tu t’en es rendue compte ?, rit jaune la rouquine.  

- Difficile de ne pas le faire mais tu veilles au grain alors je n’ai pas trop peur. Enfin, je devrais peut-être maintenant que tu as ce pouvoir. Je n’ai aucune idée de la façon dont on peut l’arrêter., lui expliqua la magicienne.  

- Si c’est lié à la baguette, il suffit que je ne l’utilise plus., répondit Kaori haussant les épaules.  

- Il ne restera qu’à attendre qu’il retrouve forme humaine…, dit-elle, tapotant sur le verre.  

 

Soudain, la porte s’ouvrit en grand et une Reika excitée pénétra dans le séjour.  

 

- Où est Ryô ? Je le cherche partout !, lui annonça-t-elle, venant prendre Kaori par les épaules et la secouant.  

- Je ne sais pas., mentit-t-elle.  

 

Soudain, les yeux de la détective se posèrent sur la bestiole dans le verre et elle se mit à hurler, donnant un grand coup sur la main de la rouquine. Le verre vola dans les airs tout comme le cafard qui atterrit sur le divan alors que le verre éclata sur le sol juste derrière.  

 

- Eh merde…, soupira Kaori.  

- Un cafard ! Tu as un cafard chez toi ! Il faut tout faire fumiger et je vais dire à mon gardien de faire fumiger notre immeuble aussi parce que ces bêtes-là, ça se faufile partout. Avec nos sous-sols qui communiquent…, s’emporta Reika.  

- Reika ! Le cafard ! Il est à côté de toi !, hurla Kaori, pointant vers le sol.  

 

La jeune femme fit un bond sur le côté, regardant partout autour d’elle pour le voir mais sans y parvenir.  

 

- Il approche !, insista la rouquine.  

 

Dans un cri de détresse, la détective partit en courant hors de l’appartement et Kaori alla fermer la porte.  

 

- On devrait le chercher, non ?, suggéra Maho, pointant vers le divan.  

- Il ne devrait pas bouger de là où il est., soupira Kaori.  

- Je te conseille cependant de ne pas approcher des lieux. Je suppose qu’il ne nous reste plus qu’à attendre.  

 

Maho appela l’atelier pour avertir qu’elle ne viendrait pas ce jour-là et les deux femmes restèrent dans le séjour pendant des heures en attendant que Ryô ne prenne forme humaine.  

 

- Ca fait bientôt huit heures…, fit remarquer la magicienne en fin d’après-midi.  

- Oui… Je vais aller lui chercher des vêtements… Juste au cas où., songea Kaori, montant les escaliers quatre à quatre.  

 

Elle revint à peine quelques minutes plus tard et posa le tout sur la table basse. Incapable de se rasseoir, elle commença à faire les cent pas dans le séjour. Soudain, elles entendirent du bruit provenir du canapé et se retournèrent. Les coussins se soulevaient et bientôt émergea un bras puis une jambe avant de dévoiler un Ryô entièrement nu, un bout de papier dans la bouche. Les fixant d’un regard noir, il se leva, cracha le papier sur le côté avec une grimace de dégoût et se dirigea vers sa partenaire.  

 

- Vêtements !, lui ordonna-t-elle, rouge cramoisie, pointant du doigt vers la table basse.  

 

Il baissa les yeux, grogna et s’habilla en un clin d’oeil avant de venir se planter devant sa partenaire.  

 

- Tu m’as transformé en cafard ! Encore une fois !, gronda-t-il.  

- C’est que… je ne pouvais pas savoir…, bredouilla-t-elle, regardant ses pieds.  

 

Elle culpabilisait même si la situation avait un petit côté comique.  

 

- Tu m’as transformé en cafard, Kaori !, cria-t-il un peu plus fort.  

- J’y peux rien, je te dis. Je suis désolée., s’excusa-t-elle, relevant le regard.  

- Tu m’as transformé en cafard et enfermé dans un verre !, hurla-t-il franchement cette fois.  

- Bon, c’est bon, on a compris !, hurla-t-elle en retour, abattant une massue sur son crâne.  

 

Il n’allait pas en faire un fromage non plus…, ronchonna-t-elle intérieurement. Ryô se releva et lui décocha un regard noir avant de glisser un doigt dans sa bouche et de le ressortir juste après.  

 

- Du papier ? Putain, j’ai un de ces mal de bide…, se plaignit-il.  

- Tu dois avoir faim. Il y a de quoi en cuisine et, si tu peux attendre, le repas sera bientôt prêt., lui apprit-elle.  

 

A ces mots, elle vit son teint virer au vert et il courut jusqu’aux toilettes. Grimaçant, elles l’entendirent vomir pendant cinq bonnes minutes avant d’entendre la chasse d’eau actionnée. Malgré son énervement précédent, Kaori alla lui chercher un verre d’eau qu’elle lui tendit dès qu’il revint.  

 

- Punaise… Je ne sais pas ce que j’ai bouffé en étant un cafard mais ça m’a pas réussi… Ou alors c’est encore ta bouffe infâme., se moqua-t-il.  

 

Elle lui adressa un regard noir mais ne le punit pas, se disant qu’il en avait déjà eu assez pour la journée.  

 

- Au fait, Ryô, tu te souviens de quelque chose de tes heures de cafard ?, l’interrogea Maho, curieuse.  

- Que tu étai magnifique à observer., minauda-t-il, l’approchant.  

- Toi, tu n’étais jamais aussi beau que dans ce verre., fit-elle d’un ton consterné.  

- Qu’est-ce que tu as fait dans le canapé ?, lui demanda-t-elle.  

- Il a certainement bavé sur ces miss mokkori en papier glacé., pipa Kaori d’un ton aigre.  

- Ah ah… je me marre., lâcha-t-il, narquois.  

- Pour ta gouverne, pas du tout. Comment veux-tu que je tourne les pages avec ces petites pattes pliées comme ça ?, mima-t-il.  

 

Kaori le regarda faire, l’imagina avec des antennes et une carapace et elle ne put s’empêcher de se mettre à rire de bon cœur. Cela fut vite contagieux et Maho en fit de même, tirant un froncement de sourcils du pauvre hère qui s’était retrouvé dans la peau d’un insecte peu glorieux pendant des heures.  

 

- Je suppose que j’ai roupillé. Il faisait sombre., fit-il, haussant les épaules.  

- Ce ne serait pas une mauvais chose., admit Kaori, plus calme.  

- Tu n’as pas mangé ? Je pensais que ces bêtes-là passaient leur temps à manger., pipa Maho.  

- Je ne sais pas. Maintenant que tu le dis, si c’est possible. En tout cas hier soir…, dit-il, lançant un regard noir à sa partenaire.  

- Je crois que oui. Heureusement, il y avait des choses dans la poubelle., fit-il, grimaçant légèrement.  

- Ca mange quoi un cafard d’après vous ?, les interrogea la rouquine, curieuse.  

- Des déchets, je suppose. Tout ce qu’il y a de comestible dans une cuisine., songea Maho.  

- Je crois avoir lu quelque part que ça pouvait manger du plastique aussi., ajouta Kaori.  

- Pffff… Du plastique., ironisa son partenaire.  

 

Lui lançant un regard noir, elle lui fit signe d’attendre et alla chercher un livre sur une étagère. Elle le posa sur la table et fit tourner les pages jusqu’à s’arrêter.  

 

- Du plastique. C’est écrit là., lui indiqua-t-elle.  

 

Ryô la poussa légèrement et attrapa le livre.  

 

- Régime alimentaire : omnivore, déchets, farines alimentaires, miettes, bla bla bla, bla bla bla… plastique, carton, papier… Eh bien, il n’est pas regard… ant…, plaisanta-t-il, sa voix devenant hésitante sur la fin.  

 

Il se remémora son geste un peu plus tôt, avoir retiré un bout de papier de sa bouche, il avait même craché un morceau de papier en sortant du divan et ce qu’il avait vomi…  

 

- Noooooooooooonnnnnnnnnnn !, hurla-t-il, courant comme un dératé vers le canapé.  

 

Les filles durent éviter les coussins qui volèrent vers elle, propulsés par un Ryô frénétique, et quand le bombardement cessa, elles le virent, agenouillé devant un tas de magazines comme figé.  

 

- Il…, commença Maho, soudain interrompue par des torrents de larmes que déversa le nettoyeur.  

- Mes magazines… mes précieux magazines… Qu’ai-je fait ? Pourquooooooooooooiiiiiiiiiiiiiiii ?, hurla-t-il, ses larmes redoublant.  

 

Soudain, il bondit sur ses pieds et se retourna, dardant un regard meurtrier sur Kaori. Celle-ci recula alors qu’il avançait, une veine battant à son front. Acculée contre le mur, elle ne put que le laisser approcher. A cinquante centimètres d’elle, il s’arrêta et brandit un magazine devant ses yeux.  

 

- Regarde ! J’ai mangé mon propre magazine !, lui reprocha-t-il.  

 

Malgré le peu d’envie qu’elle ressentait, elle regarda la jeune femme trouée et fronça les sourcils.  

 

- Même en tant que cafard, tu n’es qu’un maudit pervers. Tu lui as bouffé les seins et…, répliqua-t-elle, incapable de finir sa phrase tant elle était gênée de prononcer le nom de cet endroit si intime.  

- Ah oui, tiens… J’avais pas fait gaffe., fit-il plus calme.  

 

Il se prit même à ricaner en bavant, stoppé rapidement par un coussin reçu en pleine tête de Maho. Il revint alors à la réalité et sa colère remonta en flèche.  

 

- Et il n’y en a pas qu’un ! Ils sont tous grignotés ! Tous ! Pas un seul intact !, recommença-t-il.  

- Et tout ça, c’est de ta faute, Kaori !, lui reprocha-t-il à nouveau.  

- Oh ça va ! J’ai compris ! Qu’est-ce que j’y peux si après m’être retrouvée envahie par une fantôme, je me retrouve avec des pouvoirs de sorcière ?, se défendit-elle.  

- Des pouvoirs de…, répéta-t-il.  

 

Il se mit soudain à rire de manière tonitruante tout en s’écartant d’elle.  

 

- Des pouvoirs de sorcière, Ryô. Elle a raison., indiqua Maho.  

- Kaori est une sorcière mais elle n’a pas de pouvoir… Enfin si, celui de me faire suer avec ses massues et autres petits cadeaux…, cracha-t-il, moqueur.  

- Ryô, Kao…, tenta la magicienne.  

- Le pouvoir, il est là dedans., assura-t-il, prenant en main la baguette.  

- Je devrais peut-être te transformer à mon tour. C’est comment déjà la formule ?, réfléchit-il.  

- Ah oui ! Je conjure les forces de la nature, que pendant les huit prochaines heures, tu vives la vie d’un sale cafard !, lui lança-t-il, visiblement en colère.  

 

Kaori ferma les yeux comme si cela pouvait lui éviter l’emprise du sort. Ryô et Maho regardèrent la jeune femme et attendirent mais rien ne se passa.  

 

- Bien évidemment, ça ne marche qu’avec elle !, gronda le nettoyeur.  

- Ou alors, je dois adapter., pensa-t-il à voix haute.  

- Je conjure les forces de la nature, que pendant les huit prochaines heures, tu vives la vie d’une sale fouine !, lança-t-il.  

 

Rien ne se passa, ce qui le frustra.  

 

- Je conjure les forces de la nature, que pendant les huit prochaines heures, tu vives la vie d’une vache !, tenta-t-il à nouveau sans succès.  

 

Kaori l’écouta et le regarda faire encore une dizaine de fois les bras croisés, tapant du pied de plus en plus fort puis elle en eut assez et alla l’affronter.  

 

- Ca suffit les bêtises maintenant !, Rends-moi ça ! Je vais la ranger et ne l’utiliserai que pour le soir d’Halloween sans te menacer., lui promit-elle, tendant la main.  

 

Ryô la contempla puis la baguette et avant que l’une des deux femmes aient pu réagir, il la fracassa contre son genou, la brisant en deux ou presque. La pauvre chose ne tenait plus qu’à quelques fibres de bois.  

 

- Eh voilà, c’en est fini de la sorcellerie et des transformations en cafard., fit-il triomphalement.  

 

Maho approcha et prit la baguette cassée de ses mains. Elle l’observa attentivement avant de lever un regard inquiet vers le nettoyeur.  

 

- Ben quoi ?, fit-il, ne comprenant pas son air soucieux.  

- Plus de baguette, plus de problème, non ?, dit-il, haussant les épaules.  

- Au contraire… Le pouvoir contenu dans la baguette va chercher un nouvel hôte., lui apprit-elle.  

 

Ils se regardèrent tous les trois, comprenant la portée des paroles de Maho.  

 

- Mais qui ?, osa demander Kaori.  

- L’un de nous trois vraisemblablement., répondit la magicienne.  

 

De nouveau, le silence se fit et ils se contemplèrent. Qui avait hérité des pouvoirs ? 

 


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