Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Mercury80

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 10 capitoli

Pubblicato: 28-07-20

Ultimo aggiornamento: 06-08-20

 

Commenti: 23 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Coincés, Ryo et Kaori évoquent leurs parcours.

 

Disclaimer: Les personnages de "L'infini des possibilités... +1" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: L'infini des possibilités... +1

 

Capitolo 7 :: Chapitre 7

Pubblicato: 03-08-20 - Ultimo aggiornamento: 03-08-20

Commenti: Bonjour, voici la suite de l'histoire. Ravie de voir qu'elle vous plaît et un grand merci pour vos commentaires qui sont un plaisir à lire comme toujours. Didine, je ne pouvais faire mijoter l'histoire: celle-ci se passant sur une nuit, les choses sont forcément rapides (pour une fois) entre nos deux héros. Et comme ça se passe sur une nuit, la fic n'est pas très longue et ne fait que dix chapitres. Mais m'est dans l'idée (qui vient de naître en la relisant) que des versions alternatives pourraient apparaître d'ici quelques temps. Qui lira verra ;). Bonne lecture et merci pour vos commentaires^^

 


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Chapitre 7  

 

- Takuya., répondit Ryo.  

 

Il repensa au jeune adolescent qui venait de la république d’Emalie avec affection.  

 

- C’était un gentil garçon., approuva Kaori.  

- Oui, un bon gamin qui visait mieux que toi., la taquina-t-il.  

- Eh ! C’est quand même moi qui ai assommé les méchants quand on est sortis du cabaret !, protesta-t-elle.  

- C’est ton côté main verte ou alors tu as fait peur aux pots de fleurs., se moqua-t-il.  

- Idiot !  

- Mégère !  

- Quand je pense que tu as emmené un gamin dans les cabarets…, maugréa-t-elle.  

- Il avait pris tous tes mauvais plis.  

 

Ryo se mit à rire face à la mauvaise humeur de sa partenaire.  

 

- A part me suivre dans les cabarets et ronfler, qu’aurait-il bien pu faire d’autres ?, lui demanda-t-il, amusé.  

- Il m’a mis les mains aux fesses puis à la poitrine !, lui apprit-elle, se souvenant de la gêne qu’elle avait ressentie.  

- Il en a de la chance… J’ai hâte de pouvoir tâter la marchandise…, souffla-t-il à son oreille d’une voix suave.  

- Non mais dis…, protesta Kaori, furieuse, tournant la tête vers lui.  

 

Elle n’eut l’occasion d’aller plus loin, les mots mourant sur les lèvres de Ryo qui lui infligea un baiser langoureux. Laissant glisser ses mains le long de son corps, il la fit pivoter et la serra contre lui approfondissant leur échange. Kaori posa la main dans son cou avant de laisser ses doigts aller caresser ses cheveux. Ils s’embrassèrent un long moment, basculant sur le sol de la grotte, allongés l’un sur l’autre, sentant la chaleur du feu non loin d’eux et surtout la chaleur qui grandissait en eux.  

 

- J’adore t’embrasser., murmura Ryo, déposant des baisers sur sa joue puis descendant dans son cou.  

- J’espère que ça va durer parce que j’aime ça aussi., soupira Kaori, fermant les yeux sous les douces sensations qu’il éveillait en elle.  

 

Le sentant descendre un peu plus, elle se releva légèrement et alla chercher ses lèvres, l’amenant de nouveau à elle en le laissant la ramener vers le sol, sa langue plongée dans sa bouche. Elle sentit à peine qu’il ouvrait son manteau, ne s’en plaignant pas. Elle n’avait pas froid. Elle se sentait bien. Si elle tressaillit un court instant, ce fut à cause de la main qui se glissa sur elle en dessous de sa veste, qui caressait doucement sa hanche puis son ventre. Se sentant à court d’air, il s’écarta d’elle et plongea son regard dans le sien.  

 

- Si seulement tu n’avais pas changé de tenue ce jour-là…, murmura-t-il.  

- De quoi tu parles ?, s’étonna-t-elle à voix basse.  

- Du jour où j’ai embrassé Atsuko. Tu lui as prêté tes vêtements et j’ai cru…, commença-t-il.  

 

Voyant ses yeux s’écarquiller, il préféra s’arrêter pour ne pas briser le moment. Kaori le regarda, n’osant croire ce qu’elle entendait.  

 

- Tu… Tu n’es pas en train de me dire que…, bafouilla-t-elle, les yeux pleins d’espoir.  

- C’était toi que je cherchais., admit-il, rassuré par sa réaction.  

- C’était toi que je voulais embrasser parce que je n’avais pas su te dire ce que j’avais à te dire., ajouta-t-il.  

 

Elle l’observa un peu plus longtemps et elle se souvint de ce que Takuya lui avait annoncé, que Ryo allait se déclarer. Sur un petit nuage, elle était partie se changer pour paraître plus féminine, plus à son avantage et Atsuko était arrivée à ce moment-là pour lui emprunter des vêtements. Elle n’avait pas vraiment prêté attention, lui disant de prendre ce qu’elle voulait. Nerveuse, elle avait croisé Ryo qui avait essayé de lui parler, finissant sur une question idiote qui l’avait mise hors d’elle. Elle avait bien noté qu’il paraissait lui aussi nerveux mais elle avait mis cela sur le compte de la présence d’Atsuko. Quelle sotte !  

 

- Et moi comme d’habitude, je n’ai rien voulu écouter et je suis partie comme une furie quand je t’ai vu avec elle., répondit-elle, caressant sa joue.  

- Pourquoi tu n’as pas réessayé après ?, lui demanda-t-elle, sans reproche.  

- Le moment était passé, le courage avec., admit-il.  

- Les choses auraient été si différentes depuis le temps., soupira-t-elle.  

- Tu m’en veux ?, l’interrogea-t-il.  

 

Elle plongea dans son regard, y lisant l’incertitude et la culpabilité.  

 

- Non. J’aurais pu faire le premier pas autant que toi. On a tous les deux fait des erreurs, on s’est tous les deux réfugiés derrière nos peurs. Aujourd’hui, on va avancer tous les deux, si tu en as envie bien évidemment. Moi, j’en ai très envie en tous cas., lui affirma-t-elle, une douce lueur au fond des yeux.  

- Moi aussi mais je ne sais pas comment faire., lui avoua-t-il.  

- Tu as bien commencé. Si on continuait tout simplement à se réchauffer ?, lui proposa-t-elle, un petit sourire en coin.  

- Je suis ton obligé., murmura-t-il, se baissant à nouveau vers elle.  

 

Il captura de nouveau ses lèvres et glissa les mains sous son pull, caressant la peau chaude et veloutée de son ventre, errant le long de la ceinture de son jean jusque dans son dos, revenant, remontant jusqu’à la lisière de son soutien-gorge mais se retenant d’aller plus loin pour le moment. A l’appartement, se dit-il, pas avant… Cherchant à reprendre appui, il posa la main sur le sol et s’écarta légèrement d’elle mais le sol étant humide, sa main glissa et il tomba sur elle, lui arrachant un cri de douleur.  

 

- Merde !, gronda-t-il.  

 

Sans attendre, il souleva son pull et vit que la plaie s’était remise à saigner. Il s’en voulut de sa maladresse et posa les mains dessus pour la comprimer. Malgré la douleur, Kaori ne cria pas. Elle serrait les dents et gardait le regard rivé sur lui, puisant dans sa force pour lutter.  

 

- Je suis désolé., murmura-t-il.  

- Ca va, Ryo., balbutia-t-elle.  

 

Au bout de quelques minutes, le saignement, heureusement faible, s’arrêta. Hésitant, il retira les mains, s’apprêtant à devoir les remettre si ça reprenait. Il resta vigilant pendant un moment puis souffla.  

 

- Ca s’est arrêté. Je vais aller chercher un peu de neige pour nettoyer le sang., l’informa-t-il.  

- Je ne bouge pas., répondit-elle avec un sourire épuisé mais ironique.  

 

Il revint un instant plus tard et appliqua la neige sur sa peau, provoquant un long frisson.  

 

- Que c’est froid., grimaça-t-elle.  

- C’est parce qu’on a fait monter la température et qu’on est peut-être un peu trop près du feu., la taquina-t-il.  

 

Il baissa les yeux sur la plaie et régna sur ses traits. Les contours des deux points étaient rouges sur un centimètre environ et le bord des plaies était légèrement enflé. Il posa les doigts sur la peau qui était chaude, un peu plus que le reste de son corps, estima-t-il.  

 

- Ryo ?, s’inquiéta Kaori.  

- J’observe tes abdominaux. Je serais presque jaloux, tu sais., plaisanta-t-il pour ne pas l’inquiéter davantage.  

 

Il observa son visage, ses pupilles légèrement dilatées, ses joues roses mais comment faire la différence entre l’effet d’une fièvre et la simple réaction à la chaleur provenant du brasier. Doucement, il ramena les deux pans de son manteau l’un contre l’autre et le referma.  

 

- Tu n’as plus envie de…, lui demanda-t-elle, l’air légèrement déçue.  

- Si, bien sûr que si. Mais je sais aussi que j’ai envie de toi et que si on continue, je ne pourrais peut-être plus m’arrêter et je refuse de te faire l’amour ici, surtout que tu es blessée., lui répondit-il.  

 

Il ne savait dire si elle rougissait mais il vit la flamme dans ses prunelles se faire plus forte et son sourire légèrement intimidé éclairer son visage.  

 

- Viens., lui dit-il, l’aidant à se relever.  

 

Il reprit place contre le mur de la grotte à une distance raisonnable du feu et la ramena entre ses jambes, l’enlaçant avec précaution.  

 

- Essaye de te reposer un peu., lui conseilla-t-il.  

- Je croyais qu’il valait mieux que je ne dorme pas., répondit-elle, surprise.  

- Il faut toujours que tu en fasses à ta tête ?, lui retourna-t-il.  

- Il faut bien que je m’impose face à toi., plaisanta-t-elle.  

- Joue les faibles femmes pour une fois, fais-moi plaisir., lui murmura-t-il à l’oreille.  

- Tu oublies une chose, Ryo. Je ne suis pas une femme. Je suis ta partenaire et, sans mon foutu caractère, je ne serais plus là depuis quelques années, depuis le Renard d’Argent., répliqua-t-elle.  

 

Il baissa les yeux vers elle. Elle avait posé la tête contre son épaule et avait les yeux fermés. Ses joues étaient encore rouges et, discrètement, il passa les doigts sur son front remettant des mèches en place. Elle était fiévreuse. Il jeta un œil vers l’extérieur et fusilla du regard la neige qui tombait en rafales.  

 

- Tu m’aurais laissée revenir ?, lui demanda-t-elle, réprimant un frisson.  

- Non, je n’en avais pas l’intention. Je comptais te renvoyer à la vie normale après cela parce que tu influais trop sur ma vie, sur mes décisions… parce que j’avais manqué de lucidité dans certains de mes choix par peur pour toi., lui confia-t-il.  

- Heureusement que je me suis accrochée alors., soupira-t-elle, se renfonçant dans son étreinte.  

- Kaori ?, s’inquiéta-t-il.  

- Je suis fatiguée et j’ai froid., murmura-t-elle.  

- Dors un peu., lui dit-il, resserrant son étreinte sur elle.  

- Et accroche-toi comme tu l’as toujours fait., lui souffla-t-il à l’oreille.  

 

Il repensa à cette époque où elle était partie après l’épisode de la boîte de nuit. Il lui avait laissée penser qu’il ne voulait plus d’elle comme partenaire, qu’elle avait été en dessous de tout, qu’elle était un poids plus qu’une aide… Elle s’était enfuie pendant qu’il répondait au défi du Renard d’Argent. Il avait été soulagé de la savoir chez le Professeur en sécurité. Il avait voulu la faire partir de son plein gré en la dénigrant alors qu’il la savait à portée d’oreille. Il ne s’était pas attendu à la voir partir à la chasse au renard.  

 

Il la regarda dormir contre lui. C’était la deuxième fois qu’ils étaient si proches pour dormir sauf qu’il ne se laisserait pas aller. Il comptait bien en faire une habitude et, pour cela, il devait s’assurer de pouvoir la ramener le plus vite possible à Tokyo.  

 

- Accroche-toi, Kaori., lui répéta-t-il.  

 

Il ferma les yeux et remonta à cette époque. Quand il était rentré chez lui le soir, qu’il s’était retrouvé seul dans l’appartement, il s’était rendu compte de la place qu’elle avait prise dans sa vie. Il n’avait même pas noyé son trouble dans l’alcool. Il était monté sur le toit et avait fumé quelques cigarettes jusqu’au lever du soleil. Après une douche et un petit-déjeuner qui avait seulement consisté en une tasse de café, il était parti chez le Professeur. A ce moment-là, malgré les sentiments désagréables qui étaient nés et qu’il n’avait pas voulu nommer, il avait encore la force de la faire partir même s’il savait qu’il s’était attaché à elle beaucoup plus qu’à une autre.  

 

Qu’aurait été sa vie après son départ ? Terne, sombre, triste… Pas de petits déjeuners, pas de réveil musclé, pas de sourire chaud, pas de complicité amicale… amoureuse, corrigea-t-il. Parce qu’à vrai dire, ça faisait des années qu’ils se tournaient autour sans oser avancer, comme deux aimants qui se repoussent. Il suffit de changer la polarité d’un et ils s’attirent. L’attirance avait toujours été là mais il fallait juste enlever la couche de dénégation, de peur.  

 

- Pourquoi tu es parti ? Pourquoi tu n’as pas… Je ne comprends…, entendit-il Kaori murmurer, tout en s’agitant.  

 

Il posa une main sur son front, le sentant chaud, et écarta les mèches pour le dégager. Le geste l’apaisa et elle se calma. Il se demandait de quoi elle pouvait rêver. Doucement, il prit sa main et la remonta pour voir l’heure qu’il était : bientôt cinq heures du matin. Il pouvait encore la laisser dormir un peu. La nuit était encore noire dehors même si un voile blanc semblait couvrir l’entrée de la grotte. Quand le ciel commencerait à s’éclaircir, ils reprendraient la route.  

 

Il veilla son sommeil un long moment, la voyant s’agiter de plus en plus. Sentant la chaleur irradier de son corps, il lui ôta sa veste et la reposa sur elle comme une couverture. La chaleur ne resterait ainsi pas confinée dans l’espace étroit entre son corps et son manteau. Ca devrait l’aider. Il l’espérait tout du moins. Doucement, il passa la main sous son pull et tâta l’entrée des blessures, l’entendant gémir. Le bord était un peu plus gonflé et commençait à suinter.  

 

- T’as pas le droit de me lâcher maintenant, Kaori. Je n’ai pas mis carte sur table pour te voir t’enfuir définitivement de ma vie., gronda-t-il à son oreille.  

- Ryo… Danser… je veux encore danser., murmura-t-elle.  

 

Elle se revoyait lors de cette belle soirée où Ryo avait été son chevalier servant. Ils dansaient sur des airs endiablés, l’un face ou à côté de l’autre. Ils s’amusaient comme des fous, insouciants, sans se demander de quoi serait fait le lendemain matin. La musique avait changé et une vague de slows avaient occupé l’air. Sans avoir le temps de réagir, elle s’était retrouvée dans ses bras, contre son torse, entendant son cœur battre, sentant son odeur de tabac, poudre et son eau de cologne.  

 

- On dansera encore, Kaori. Je te le promets., lui dit-il.  

- Tes bras… J’ai froid., lâcha-t-elle, frissonnant.  

 

Il resserra ses bras autour d’elle et la berça doucement. Sentant le mouvement de sa tête, il baissa les yeux vers elle et croisa les siens à moitié ouverts.  

 

- Tu fais une infection, Kaori. Tiens le coup. Tu auras tout ce que tu veux après. On ira danser, manger des glaces, jouer aux jeux vidéos, faire des tours au parc. On ira sur le port…, lui promit-il, tentant tout ce qu’il pouvait pour la garder avec lui.  

- Pourquoi Ryo…, bredouilla-t-elle.  

- Pourquoi quoi, Kaori ?, lui demanda-t-il.  

- Pourquoi tu ne m’as pas embrassée ce soir-là ?, murmura-t-elle.  

 

Il la regarda sans comprendre. De quoi parlait-elle ? Il repassa toute leur collaboration en revue. Elle avait parlé de danser, maintenant d’embrasser… Quand avaient-il fait cela ensemble ? Soudain, il comprit et sourit.  

 

- Cendrillon était mignonne mais mon rôle de prince charmant s’arrêtait à minuit comme elle. Je ne voulais pas embrasser Cendrillon. Elle n’était que façade. J’appréciais cette façade mais j’aime encore plus la personne en dessous., lui murmura-t-il à l’oreille.  

- Je voulais que tu m’embrasses, mais je ne voulais pas que ce soit elle., soupira-t-elle.  

- Pourquoi…  

 

Elle n’eut pas le temps de terminer sa phrase que sa tête tomba contre son torse, les yeux fermés.  

 

- Kaori… Kaori !, s’inquiéta-t-il, relevant son visage vers lui puis le tapotant.  

- Laisse-moi dormir… Je suis fatiguée…, grogna-t-elle.  

- J’ai cru que tu t’étais évanouie., souffla-t-il, soulagé.  

- Non, je veux dormir. Je ne t’embête pas le matin, moi…, lui reprocha-t-elle, à voix basse encore à moitié endormie.  

- Tu viens me réveiller tous les matins., lui répondit-il, amusé.  

- Remarque, ça me manquera peut-être… ou alors il faudra que tu trouves autre chose pour le faire., lui susurra-t-il à l’oreille.  

- Ou alors tu trouveras un autre intérêt à te réveiller plus tôt., dit-elle, se forçant à soulever les paupières pour le regarder, une lueur amusée dans les yeux.  

- Je n’ai aucun doute là-dessus., lui répondit-il.  

 

Il déposa un baiser sur son front, essayant de ne pas penser à la chaleur qui en irradiait, d’occulter les tremblements de son corps. Il devait garder l’esprit froid et rationnel, au maximum en tous cas. Il ne pouvait faire taire la petite part de lui qui avait décidé de devenir sien. Il ne pouvait que la réduire le plus possible.  

 

- J’ai un centre d’intérêt pour me réveiller le matin et beaucoup d’idées pour l’occuper. Il faudra que tu trouves du temps pour ton nouveau centre d’intérêt., la taquina-t-il.  

- Et que tu te reposes avant… beaucoup…, murmura-t-il, déposant un baiser dans son cou avant de remonter du bout de la langue jusqu’à son oreille dont il mordilla doucement le lobe.  

- Arrête, tu me donnes chaud., haleta-t-elle, retirant sa veste.  

- Non, garde-la. Repose-toi un peu, Kaori. Quand le jour commencera à se lever, on regagnera le parking. Tu devras marcher. Après, on filera sur Tokyo te faire soigner chez le Professeur., l’informa-t-il.  

- C’est un bon plan… Je pourrais me reposer… pour après…, balbutia-t-elle.  

- Commence déjà par te reposer maintenant., lui dit-il, caressant ses cheveux.  

- Je veille sur toi. Je ne te laisserai pas partir. Tu es restée avec moi plutôt que de partir avec ta sœur. Je ne te laisserai certainement pas partir pour la destination finale., lui assura-t-il. 

 


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