Capitolo 9 :: la fée du logis de ce matin s'appelle ...

Pubblicato: 01-08-04 - Ultimo aggiornamento: 01-08-04

Commenti: enf1 1 new chap amusez vous bien en le lisant merci a mes tiote nénette pour leurs reviews je vous adore

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Kaori avait entendu quelqu’un entrer dans sa chambre mais, cette personne ne faisant aucun bruit, elle avait crut rêver et s’était rendormie. Mais soudain elle se réveilla en s’apercevant qu’une personne se trouvait sur son lit, tout près d’elle.  

Tout en passant une main sur l’épaule de sa partenaire, Ryo lui murmura :  

- Debout ma grande, il est 8h00.  

- Hum…répondit-elle en bougeant.  

Ce petit râle inoffensif fit exploser certaines barrières dans Ryo et ses ardeurs revinrent au galop et reprirent le dessus sur sa raison. Combien de fois avait-il souhaité entendre ce gémissement de sa part ? Combien de fois avait-il rêvé qu’elle pousse ce gémissement alors qu’il lui faisait l’amour tendrement et passionnément ? Tout ceci ne se passait que dans ses rêves mais, au fond de lui, il espérait qu’un jour ceux-ci deviennent réalité.  

En disant ce mot, Kaori s’était retournée, ce qui laissait à son partenaire la libre vue à bien des choses. Et, bien sûr, sans plus attendre, un coucou fit son apparition alors que sa future moitié relevait, délicatement et très doucement, l’une de ses jambes. Pour la première fois de sa vie, gêné d’avoir une érection devant Kaori, il passa un savon à son mokkori ; qui soit dit en passant, n’apprécia pas et redescendit aussi vite qu’il était monté, le bonhomme.  

Une fois cette « altercation » passée, il put continuer de réveiller sa partenaire, qui s’était cachée sous sa couette et faisait l’autruche.  

- Kaori, allez lèves-toi…  

- Pourquoi ? ? ? pas maintenant…  

- Dépêches-toi. Je vais préparer le petit déjeuner. Je t’attends en bas.  

- Non. Je veux rester coucher.  

Pour mettre plus de convictions à ses paroles, Kaori mit son oreiller sur sa tête après s’être mis sur le ventre.  

Ryo sortit en trombe de la chambre et se rendit dans la cuisine.  

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Ryo était maintenant dans la cuisine et essayait de préparer un semblant de petit déjeuner. Il sentit, soudain, la présence de Kaori. Celle-ci se tenait dans l’encadrement de la porte et regardait son partenaire avec un sourire sur les lèvres.  

- Je croyais que tu voulais rester coucher.  

- Je n’aurais louper, pour rien au monde, ce que je vois en ce moment.  

- Que vois-tu ?  

- Ryo Saeba, dans un tablier rose, en train de faire la cuisine. Je dois dire que je ne m’en lasse pas.  

- Rigoles pas ! Je suis déjà assez embrouillé avec la cuisine sans que t’es besoin d’en rajouter une couche.  

- Si on peut même plus s’amuser…  

- Bon ! ! ! Tu m’aides ?  

- Ok, mais donne-moi un tablier et garde le tien. Je ne veux pas risquer de salir Monsieur Propre. Bon, c’est pour aujourd’hui ou pour demain ce tablier ? Demanda-t-elle, avec un ton un peu autoritaire.  

- Et dire que je dois te demander de m’é……… de me dire où tu as eu cette nuisette. Elle est à couper le souffle. Mais, bon, sur toi, ça rend pas grand chose, vu que tu n’as rien à mettre dedans. Quel gâchis ! ! !  

« Blop » est le son que la tête de Ryo – encastrée par une massue sauce Kaori – fit lorsqu’il se dégagea de la cafetière qu’il tenait dans les mains cinq minutes avant. Il l’avait, quand même, échappé bel. Il avait failli tout lui dire, tout çà à cause de cette satanée nuisette qui l’obsédait.  

- A table, c’est près tête d’œuf !  

- Grrrrr…  

Ils mangèrent ainsi, paisiblement, entre coup de massue de Kaori et coup de gueule de Ryo.  

Kaori débarrassait la table quand Ryo lui lança :  

- Kaori, tu vas te préparer et tu me rejoins à la voiture.  

- Pourquoi ?  

- Je te déposerai à la gare et j’irais régler quelques petites affaires. C’est d’accord ?  

- Ouais ! Comme ça j’irai au Cat’s Eye, après à la supérette et je rentrerai tranquillement à pied en passant par le parc.  

Un quart d’heure plus tard, les deux étaient dans la voiture et se dirigeaient vers la gare  

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