Capitolo 14 :: La réponse

Pubblicato: 31-08-04 - Ultimo aggiornamento: 31-08-04

Commenti: voilou la réponse gspère ke ca vous plaira g éT pluto inspiré pour ce chap dc il é plus long ke lé autres trè bo é trè drole lol ( ca va lé chevilles? vi po tro mal) bon sur ce bone lecture

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- NON ! ! !  

- Hein ! ! ! Tu peux répéter ?  

- Tu m’as très bien entendu. J’ai dit non. C’est hors de question.  

Ryo n’en revenait toujours pas. Sa future épouse refusait de le devenir. Il avait fait tout cet entraînement pour rien. Il pensait être maudit. Comment pouvait-elle refusait ? Elle n’en avait pas le droit. En effet, Ryo n’avait pas pensé à l’éventuel refus de sa partenaire. Il pensait qu’elle n’attendait que ça depuis des années. Pour une fois qu’il faisait le premier pas vers sa partenaire, il se faisait jeter comme une vieille chaussette. Il voulait, quand même, lui demander la raison de ce refus mais n’osa pas, par peur de sa réponse encore plus terrible. Il se sentait vide de tout courage maintenant que sa partenaire avait refusé. Il chercha une once de courage mais elle n’arriva pas. Il fixa sa partenaire dans les yeux et y chercha la réponse, mais ne trouva rien dans le regard glacial de sa partenaire.  

- Quoi ? Qu’est-ce que tu as ? J’ai quelque chose sur le nez ?  

- Euh… non, pourquoi ?  

- Tu me fixes depuis au moins cinq bonnes minutes sans rien dire alors j’en suis venu à cette conclusion.  

- Je te fixais car j’aimerais savoir !  

- Savoir quoi ? Il n’a rien à redire. C’est ma décision que cela te plaise ou non. C’est ma vie et la c’est mon choix.  

- Mais… pourquoi ?  

- Pourquoi quoi ?  

- Pourquoi as-tu dit non alors que tu ne sais même pas ce que je vais te demander ?  

- Je sais très bien ce que tu vas me demander. Tu me prends vraiment pour la pire des cloches, ma parole !  

- Comment le sais-tu ?  

- Que tu me prends pour une cloche ! Il y a pas besoin de chercher bien loin pour le savoir.  

- Je ne parlais pas de ça. Je veux savoir comment tu sais ce que je vais te demander ? Fit Ryo chez qui la colère commençait à monter.  

- Faut pas être devin pour le savoir ! ! ! Tu es tellement discret que j’ai tout entendu de tes discours. Je me doutais que ça arriverait un jour ta demande mais je ne savais pas que ce serait aussi tôt.  

La colère de Kaori monta d’un cran.  

- Tu m’as espionné ? ? ? J’hallucine là ! ! ! COMMENT AS-TU OSE M’ESPIONNER DE LA SORTE ? CELA NE TE REGARDAIT PAS EN CE QUI CONCERNE LES DISCOURS. TU N’AS VRAIMENT AUCUNE GENE.  

- QUOI J’AI AUCUNE GENE ? ? ? C’EST BIEN A TOI DE DIRE CA ALORS QUE TU FAIS DES ATTENTATS A LA PUDEUR TOUS LES JOURS. ET PUIS JE NE T’EPIAIS PAS. C’EST ARRIVE PAR ACCIDENT CE QUE J’AI ENTENDU. ALORS ARRETES DE CRIER. DE TOUTE FACON J’AI REPONDU A TA QUESTION ET LA REPONSE EST TOUJOURS LA MEME DEPUIS TOUT A L’HEURE. Donc, sur ce, bonne nuit.  

Ryo bloqua la porte d’entrée de la chambre et poussa sa partenaire contre. Ils mit ses deux mains sur le mur de façon à ce qu’elle soit de part et d’autre de la tête de la jeune femme. Kaori ne pouvait pas s’échapper, Ryo la bloquait en utilisant comme rempart son propre corps. Apparemment, il n’en avait pas fini avec elle.  

- Oh non ! ! ! Pas bonne nuit ! ! ! J’en ai pas fini avec toi. Tant que tu ne changeras pas d’avis, je resterai là.  

- Quoi ! ! ! Mais c’est du chantage ce que tu me fais là. Tu en as conscience j’espère.  

- Bien sûr que j’en ai conscience mais j’ai pas passé trois jours à y penser et à tout organiser pour que tu me dises non. C’est même pas imaginable.  

- Tu devras t’en contenter car, même si face à toi je ne peux rien faire, la réponse sera toujours la même. Que ce soit dans dix minutes ou dans dix ans !  

- C’est impossible. Et dire que Falcon m’avait dit que tu dirais oui à tout prix, que tu me sauterais au cou… je crois qu’il s’est bien trompé sur ce coup-là ! ! !  

- QUOI ? ? ? Falcon est dans ta petite combine ?  

- Oui. C’est même lui qui m’a proposé cette idée.  

- Tu rigoles ?  

- Non.  

Penser que Falcon était dans le coup la mis dans une colère inimaginable. Comment pouvait-il lui faire ça ?  

- Pousses-toi ! Faut que j’aille dire deux mots à Mammouth ! POUSSES-TOI ! ! !  

Kaori commença à bouger dans tous les sens, ce qui eu pour effet de resserrer l’étreinte de son partenaire. Elle était tellement en colère qu’elle ne prêtait même plus attention à celui-ci. Soudain, la rage se transforma en pleurs et elle s’écroula par terre suivie de son partenaire, qui la retenait pour ne pas qu’elle tombe trop fortement sur le parquet. Elle n’y croyait toujours pas. Les pleurs redoublèrent et elle trembla à chaque larme qu’elle versait.  

- Pousses-toi ! pousses-toi, s’il te plait Ryo ! répétait-elle sans cesse.  

- Non, je ne me pousserai pas. Je ne peux pas te laisser dans cet état !  

Kaori fut touché par la tendresse de Ryo. C’était bien la première fois.  

- Est-ce que les autres sont au courant ? demanda-t-elle entre deux sanglots.  

- Non. Je pensais les mettre au courant la veille du jour J mais vu ton état je vais leur dire demain, si tu veux bien. Et j’irais annulé, en même temps, toue les réservations pour la fête que je voulais donner.  

- TU COMPTAIS FAIRE UNE FÊTE ?  

- Oui. C’est normal. Ce genre d’événement se fête généralement.  

- MAIS BIEN SUR. EN PLUS TU VOULAIS FÊTER MON DEPART MAIS TU ME PRENDS POUR QUI ? RAISON DE PLUS POUR QUE JE RESTE.  

- De quoi parles-tu Kaori ? Il n’a jamais été question que tu partes ! Je ne veux pas du tout que tu partes.  

- Alors pourquoi me l’as-tu demandé ?  

- Je t’ai demandé de m’épouser, pas de partir.  

Kaori n’en revenait pas. Il voulait l’épouser et non pas qu’elle s’en aille. Elle pardonna de suite à Falcon pour l’idée qu’il avait eu. Mais une chose la troublée.  

- Pourquoi ces discours alors ? Avec eux, j’avais commis l’erreur de comprendre que tu voulais que je parte.  

- Euh… tu sais Kaori, les discours et moi ça fait deux ! Répondit Ryo, gêné. Alors tu as changé d’avis ou tu veux toujours pas ?  

Pour toute réponse, Kaori lui sauta au cou en l’embrassant au passage. Elle était la plus heureuse en ce moment. C’est avec un grand sourire qu’elle prononça la réponse qu’attendait Ryo depuis trois longs jours.  

- Je le veux.  

- Merci.  

Trop heureux pour parler d’avantage, il serra encore plus sa fiancée et scella tout ce bonheur d’un baiser, ce qui étonna grandement Kaori.  

Après cet élan de bonheur et cette perte de lucidité, ils se relevèrent. Il était l’heure d’aller se coucher. La journée de demain promettait d’être rude.  

Ryo poussa la jeune femme dans sa chambre et ferma la porte.  

- Ryo ?  

- Hum ?  

- Qu’est-ce que tu fais ?  

- Je vais me coucher, pourquoi ?  

- Tu es dans ma chambre. Et en plus tu viens de fermer la porte.  

- Oui je sais que je suis dans ta chambre. Mais vu qu’on va se marier, je pensais que... on pouvait dormir ensemble ! ! !  

- Tu penses mal, mon cher. Nous ne sommes pas encore mariés donc tu dors toujours dans ta chambre. Fit-elle en le poussant gentiment à la porte.  

- Kaori ! ! !  

- Bonne nuit !  

- NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON ! ! ! Répondit Ryo suppliant.  

Kaori referma la porte et se mit au lit avec un sourire de satisfaction. Elle allait épouser l’homme de sa vie et rien d’autre ne comptait.  

Ryo, lui, marcha le dos voûté vers sa chambre et tomba sur le lit. En pensant à la journée de demain, il s’endormit aussitôt. En effet, celle-ci promettait d’être très rude.  

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