Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Sarah

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 15 capitoli

Pubblicato: 28-10-04

Ultimo aggiornamento: 06-11-04

 

Commenti: 109 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Kaori a mentit à une vieille amie d'enfance. Pourquoi diable a-t-elle été racontée qu'elle était la fiancée... de Ryo !

 

Disclaimer: Les personnages de "Un petit coup de pouce" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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What is NC-17 fanfiction?

 

A NC-17 fanfiction is strictly forbidden to minors (17 years old or less). It can contain violence and graphically explicite sexual scenes. We try to set limits to the content of R fanfictions, but we don't have time to read evrything and trust the authors on knowing the boundaries. So if you read something that doesn't seem correctly ra ...

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   Fanfiction :: Un petit coup de pouce...

 

Capitolo 13 :: Ryo se lâche (1ère partie)

Pubblicato: 04-11-04 - Ultimo aggiornamento: 04-11-04

Commenti: Je trouve personnellement que Ryo ne s'est pas encore suffisamment lâché. J'ai peur d'en décevoir plus d'une... Mais bon ceci n'est que la première partie car elle fait déjà presque 4 pages. Moi qui suis déjà assez timide, décrire les scènes de calins à venir dans très très très peu de temps...heu... (Voilà je pique déjà un fard!) Par pitié, ne me jeter pas de cailloux je ne m'en remettrais pas !! OOUIIINNNN!! Mais je vous ai fait une promesse alors aillez pitié d'une âme sensible!!!

 


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Kazue jeta un regard pathétique à son amant qui boudait recroquevillé sur un coin du canapé.  

- Ce que tu peux être fatiguant, toi alors !  

- Laissez-moi mourir en paix, pleura Mick.  

Tandis que Kazue se tournait vers Kaori qui tâchait de paraître la plus calme possible, Ryo se pencha vers le séducteur.  

- Et ben alors, on boude ? demanda-t-il un sourire radieux sur les lèvres.  

- Oh toi ! fuma Mick. Si tu t’approche je te crèves les deux yeux !  

- J’aimerais bien voir ça, souria Ryo de plus bel, je doute que ta chère Kazue te laisse faire.  

Mick jeta un regard à la jeune femme qui ne prêtait aucune attention à la conversation qui se déroulait à quelques centimètres d’elle. Elle était bien trop occupé à savoir le pourquoi du comment de cette situation presque inimaginable.  

- Mais alors c’est vrai ! s’écria-t-elle ravie, vous avez fait le grand saut ! Tu entends ça mon chéri, Ryo et Kaori se sont enfin avoués leurs sentiment ! C’est qu’on finissait par désespérer à force !  

Kazue avait saisi les mains de Kaori et les agitait dans tous les sens.  

- Je suis tellement contente pour vous ! Je me demandais quand est-ce que cette andouille de Ryo allait enfin te dire tous pleins de mots doux. D’ailleurs, fit-elle en se tournant vers lui, cela à dû être pénible de te retenir depuis toutes ces années.  

Kaori devint rouge cramoisi lorsque notre Ryo posa sa main sur sa cuisse et commença à la caresser.  

- Tu ne peux pas t’imaginer. Mais maintenant le mal est réparé et j’ai bien l’intention de profiter de chaque minute qui me reste…  

Si Kazue avait eu la faculté de lire dans ses pensées, elle aurait été plus que ravie de ce qu’elle y aurait vu. Ryo avait bien l’intention d’en profiter et ça jusqu’à la dernière seconde ! Quitte à voir sa Kaori complètement embarrassée !  

- Pas vrai ma chérie ?  

Aussi raide qu’un piquet, sa fiancée hocha la tête et tenta un sourire. Ryo se mordit la langue pour ne pas éclater de rire ! Il se pencha près d’elle.  

- Respire, murmura-t-il d’une voix rauque et sensuelle.  

Pour ajouter un peu d’embarras, il lui mordilla le lobe de l’oreille.  

Kaori en frissonna de la tête au pied. Mais il était devenu fou ! Jouer la comédie d’accord, mais il y avait des limites !  

- Ryo, j’’aimerais que tu…  

- m’embrasses ? compléta-t-il amoureusement. Mais tu sais que tu peux tout me demander ma chérie. Tes désirs sont des ordres.  

Sur ce, il effleura ses lèvres et les embrassa tendrement. Il aurait aimer approfondir un peu plus son baiser, mais il sentait que Kaori allait paniquer. Il préféra donc l’abréger.  

- Je… heu, bafouilla Kaori encore émue.  

Décidément, depuis le début de la matinée, les bisous allaient bon train…  

Tandis que Mick essayait désespérément de retenir cette pulsion de meurtre qu’il sentait monté en lui, Ryo lui adressa un sourire resplendissant. Kazue, elle, avait les larmes aux yeux face à tout cet amour que lui renvoyait ces deux amis. Et ne semblait nullement choquée par la jalousie de son amant.  

- Mais dis-moi Kaori, toi et Ryo. Je veux dire… tout à l’heure… Miyato… Oh mais c’est fabuleux !! s’écria-t-elle soudain. Alors c’est vrai, toi et Ryo vous avez …  

- NNNOOONNNN ! hurla Mick. C’est pas possible ! Je ne peux pas le croire ! Pas ma tendre Kaori ! Pas toi ! Tu es si innocente ! Comment as-tu pu tomber dans les bras de cet OBSEDE !! Boouuuhhh !  

- Et il recommence ! s’énerva Kazue. T’as pas fini d’embêter tout le monde ! Et puis je te rappelle que TU M’AS MOI !!  

Mais Mick ne semblait nullement s’en consoler. Ryo ne pouvait pas laisser passer cette occasion. Il jeta un regard en coin à Kaori qui était à deux doigt de s’évanouir et s’exclama le plus naturellement du monde :  

- Si Miyato ne nous avait pas dérangé la nuit dernière, Kaori aurait eu des choses très intéressantes à te raconter, Kazue. Mais bon, je ne lui en veux pas. Mes mains ne sont pas encore satisfaites, mais mes yeux ont été ravis par ce qu’il ont eu le temps de voir.  

Kaori crut défaillir. Une image passa devant elle. Elle était nue dans le lit de Ryo. Alors il ne mentait pas, il l’avait vu dans son simple appareil !  

De la fumée s’échappa de ses oreilles. Il fallait qu’elle quitte la pièce, qu’elle trouve un prétexte, n’importe quoi ! Mais c’était sans compter son fiancé qui n’avait nullement l’intention de la laisser s’envoler aussi rapidement. D’ailleurs, il s’était installé près d’elle – je dirais même collé à elle tellement elle n’arrivait plus à bouger dans l’angle du canapé – et il caressait son dos et ses épaules. Des gestes lents. Terriblement lents.  

Pendant une seconde, Ryo regretta la présence de leurs amis. Ses simple caresses commençaient à le réchauffer. Jamais encore, il ne s’était permis de la toucher de cette façon. Auparavant Kaori devait rester une simple partenaire, mais ce soir la donne avait changé. Kaori était plus que sa partenaire, elle était sensée être son amante. Et cette pensée ne le laissait pas de marbre…  

Il prit soudain conscience qu’il ne lui avait pas laissé beaucoup de place et qu’elle commençait sérieusement à peiner de devoir se faire toute petite dans son coin. Sans lui laisser le temps de protester, il s’écarta un peu plus et l’attira à lui. Kaori se laissa faire, ce qui eut pour effet d’énerver –positivement bien sûr- les nerfs de notre séducteur. Il prit sa main dans la sienne et commença à jouer avec chacun de ses doigts tout en continuant son bavardage sans aucun sens, à vrai dire, avec Kazue.  

D’ailleurs même Kaori ne l’écoutait pas. Elle était perdue dans ses pensées. Ryo se montrait tellement pleins d’attentions envers elle. Elle se doutait que cela était dû à la promesse qu’il lui avait faite mais pourquoi avait-il tenu à continuer ce manège devant leurs amis ? A voir la tête que Mick avait fait lorsqu’elle avait ouvert la porte et celle que Kazue faisait actuellement, nul doute qu’ils les croyaient ! Et si elle en profitait elle-aussi ? Après tout, Ryo se permettait bien certaines choses…  

Elle sursauta. Ryo venait de glisser sa main sous son pull et recommençait ses caresses. Kazue ne semblait pas l’avoir remarqué contrairement au pauvre Mick qui avait dû mal à avaler sa salive.  

Ryo la surveillait discrètement. Kaori s’était crispée lorsqu’elle avait sentit la main chaude contre la peau nue de son dos. Satisfait de voir qu’il la troublait à ce point là, il continua sa douce torture en traçant le plus lentement possible des lignes imaginaires avec son pouce. Lorsqu’il parvenait jusqu’aux attaches de son soutien-gorge, il y exerçait une pression qui lui valait un bon raclement de gorge de sa partenaire. A contre cœur, Ryo reprenait donc tranquillement comme si de rien n’était.  

Kaori ne respirait plus. Kazue lui parlait mais elle aurait été incapable de lui dire de quel sujet elles discutaient. Elle pria pour que ses réponses lui conviennent et qu’elle ne cherche pas à connaître l’origine de son trouble.  

Ryo, quant à lui, commençait sérieusement à s’amuser comme un petit fou ! Son sourire ne l’avait pas quitté d’une semelle et plus il voyait sa partenaire réagir, plus il s’étendait… Le fait de la voir complètement désemparé devant ses caresses le laissait sur un petit nuage…  

Toute la timidité de Kaori avait refait surface en un seul coup. Elle ne parvenait même pas à faire exploser ses pulsions meurtrières ! Elle rougissait à chacun de ses gestes, bafouillait lorsqu’elle répondait à son amie et évitait le plus possible le regard insistant de Mick qui n’en perdait pas une miette !  

Ryo aurait aimé continuer ce petit manège encore un peu plus longtemps, mais les réactions de sa partenaire ne lui convenait décidément pas. Prétextant, qu’ils allaient faire chauffer du café, il prit la main de sa partenaire et l’emmena de force dans la cuisine. Après s’être rassuré qu’ils ne seraient pas dérangés par l’amoureux éconduit, Ryo se tourna vers Kaori et se mit à rigoler.  

- Je peux savoir ce qui te fais rire ! s’énerva Kaori. J’espère que ton petit cirque t’a plus parce qu’il n’est pas question que cela recommence tout à l’heure !  

Avec le visage du parfait innocent, mais un sourire qui démontrait le contraire, Ryo s’approcha d’elle, la souleva de terre et la posa sur la table de la cuisine. Puis, il se glissa entre ses jambes et posa un doigt sur sa bouche.  

- Embrasse-moi, demanda-t-il simplement.  

- Hein ? Quoi !  

- Tu m’as très bien entendu.  

- Pourquoi ? Bafouilla-t-elle en rougissant.  

- Parce que je veux que tu cesses de rougir à chaque fois que je pose la main sur toi. Tu es ma fiancée, oui ou non ? Alors agis comme telle. Embrasse-moi.  

Ryo ne bougea pas d’un poil et attendit patiemment que sa fiancée daigne s’approcher. Mais s’était sans compter Kaori et sa timidité.  

- Dis donc t’es quand même beaucoup moins timide que ça d’habitude quand c’est pour me cogner la tête avec ta massue ! rigola notre séducteur.  

Kaori sentit la moutarde lui monter au nez.  

- Oui mais d’habitude je suis en colère contre toi !  

- Et bien tu n’as qu’à t’imaginer que c’est la même chose, sauf qu’au lieu de m’écrabouiller comme une crêpe tu me fais un bisous.  

- Je n’aime pas beaucoup la tournure des évènements !  

- Allez fais un petit effort, et puis n’oublie pas que c’est pour la bonne cause !  

Kaori prit une profonde respiration et embrassa timidement son partenaire.  

- Quoi c’est tout ? se moqua-t-il.  

- Ben oui ! Tu t’attendais à quoi ? Que je te sautes dessus ? !  

- Et ben on peut pas dire que tu sais vraiment t’y prendre !  

- PARCE QUE MÖSIEUR C’EST MIEUX FAIRE !  

- Bien sûr ! Je vais te montrer !  

Ryo n’attendit pas plus longtemps et approcha ses lèvres des siennes.  

- C’est très facile, murmura-t-il d’une voix rauque, laisse-toi porter par ton instinct. (Avec délicatesse, il effleura les lèvres de sa partenaire.) D’abord, tu peux jouer avec lui. (Ryo happa sa lèvre inférieure et la mordilla gentiment). Puis, très doucement, tu te rapproches. (Il s’inséra un peu plus entre ses jambes jusqu’à sentir sa poitrine contre son torse.) Et là tu peux, par exemple, embrasser délicatement le coin de ses lèvres, son menton, la naissance de son cou… (Il accompagnait chacune de ses paroles par le geste approprié.) Le principal c’est que lui et toi puissiez savourer cet instant…  

Ryo avait fermé les yeux et… savourait pleinement son moment. Pour une fois qu’il pouvait caresser sa partenaire sans que celle-ci ne soit inconsciente, il pouvait bien en profiter un petit peu ! Son désir commençait à prendre forme et sa main glissait sur l’épaule de sa fiancée pour descendre vers sa poitrine quand un énorme boum et un hurlement de douleur parvint de la pièce d’à côté.  

Ryo grogna mais demanda à une Kaori pantelante de ne surtout pas bouger et il alla s’assurer de l’état de santé de ses voisins.  

Mick finissait d’être enterré dans le pot de fleur que Kaori avait acheté il y a deux jours sur le marché. Au-dessus de lui, Kazue lui tapait dessus à grands coups de massue. Voilà donc le crétin qui venait de déranger notre couple !  

- Je suis désolé, s’exclama la jeune femme, Mick voulait vous rejoindre et…  

- OUI ! hurla celui-ci. DEPUIS QUAND ON MET AUTANT DE TEMPS POUR FAIRE DU CAFE !  

Ryo lui lança un regard noir.  

- Je t’ai dis qu’ils n’avaient pas besoin de toi pour ça ! cria Kazue en frappant à nouveau. Tu peux pas les laisser tranquille ! D’ailleurs, il est tard, et on va vous laisser. PAS VRAI MICK !  

Mick se mit à réfléchir.  

- NON JE VEUX MON CAFÉ MAINTENANT ! !  

Le regard qu’échangea Ryo et Kazue fut lourd de sens. Elle lui fit un clin d’œil complice et bâillonnant l’amoureux abandonné, elle l’entraîna de force vers la porte d’entrée. Puis sans un mot, elle referma derrière eux non sans avoir glissé un : « Prends soin d’elle ».  

Ryo lui sourit.  

- C’est bien mon attention.  

Une fois la porte refermée, Ryo prit une profonde respiration et rejoignit Kaori dans la cuisine. Cette dernière n’avait pas bougé d’un pouce.  

- Alors ? questionna-t-elle.  

- C’est rien. C’était Mick.  

- Pourquoi y avait-il tout ce raffut ?  

- Oh tu le connais, il fait toujours son intéressant…  

- J’en connais d’autre !  

- Bon reprenons où on en était. Allez embrasse-moi !  

- Dis donc je n’ai pas à t’obéir au doigt et à l’œil ! Cette mascarade commence à m’agacer ! Je ne suis pas ta fiancée !  

- Non c’est vrai. J’ai dit à Miyato qu’on était simplement ensemble. Et puis de toute façon jusqu’à ce que Miyato et compagnie quitte la ville, tu es ma petite amie ! Alors embrasse-moi et ne te fais pas prier !  

Ryo fut satisfait de l’air outragé de sa partenaire. Son caractère explosif allait l’aider à se comporter en amoureux sans qu’elle connaisse ses sentiments. Il suffirait de la mettre en colère, de la défier et là il en profiterait…  

Avant que Kaori ne puisse dire autre chose, il la souleva dans ses bras et s’empressa de rejoindre le salon. Il était à présent complètement vide.  

- Où sont Kazue et Mick ?  

- Partit.  

- Partit ? Mais alors tu peux me lâcher !  

- Pas question. Il va bien falloir que tu t’habitues à certaines choses.  

- Comme quoi ?  

Ryo approcha son visage du sien et eut un sourire de petit démon.  

- Kaori nous allons faire l’amour.  

Le teint de sa partenaire vira au rouge cramoisi. Ryo se mordit une nouvelle fois la langue pour ne pas rigoler. Décidément, ce petit jeu l’amusait beaucoup…  

- Mais il n’en est pas question !  

- Pourquoi tu es ma petite amie, non ?  

- Tu m’énerves, pose-moi immédiatement par terre !  

- Ça n’y compte pas, si je te lâche tu risques de t’enfuir !  

- Mais… mais je n’ai pas l’intention de faire… enfin… de faire…. enfin tu me comprends !  

- Pas du tout, ma chérie. Faire quoi ?  

-Ryo !  

- Et bien vas-y dit-le !  

Son sourire augmentait au fur et à mesure que Kaori rougissait.  

- Ryo Saeba tu es…  

- … adorable, beau, fort, compléta-t-il en plongeant son regard dans le sien. Je sais toute les femmes me le disent !  

- NON ! EXASPERANT, IMBECILE, OBSÉDÉ ! ! ET MAINTENANT LÂCHE-MOI !  

Ryo fit mine d’hésiter, puis finalement resserra son étreinte.  

Kaori se débattit. Elle lança ses poings et ses pieds à tout va. Mais son partenaire avec ses réflexes de nettoyeur, les évitait sans la moindre difficulté. Elle désespéra rapidement mais lui lança un regard meurtrier.  

- Tu n’oseras pas me toucher sans ma permission !  

- Qui te dis que je ne l’aurais pas !  

- MOI JE TE LE DIS ! !  

- Tu crois ça ?  

- J’en suis sûre !  

- Et bien c’est ce que nous allons voir !  

Sur ce, il se dirigea illico vers l’escalier en prenant soin tout de même de s’accrocher à la rampe. Car avec une furie qui lui hurlait dans les oreilles, lui martelait la poitrine et venait de brandir sa massue, il fallait vraiment avoir toute la patience d’un nettoyeur pour ne pas la balancer illico en haut de l’escalier.  

D’ailleurs, Ryo avait une bien meilleure idée en tête pour la calmer aussi sec.  

- Kaori.  

- QUOI !  

- Arrête donc de bouger sinon je te fais l’amour dans les escaliers.  

Kaori piqua un fard, maugréa mais se calma.  

 

 


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