Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Sarah

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 15 capitoli

Pubblicato: 28-10-04

Ultimo aggiornamento: 06-11-04

 

Commenti: 109 reviews

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RomanceHumour

 

Riassunto: Kaori a mentit à une vieille amie d'enfance. Pourquoi diable a-t-elle été racontée qu'elle était la fiancée... de Ryo !

 

Disclaimer: Les personnages de "Un petit coup de pouce" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Un petit coup de pouce...

 

Capitolo 14 :: Quand Ryo se lâche (2ème partie) !

Pubblicato: 06-11-04 - Ultimo aggiornamento: 06-11-04

Commenti: Je sens que l'on va me détester ! Bon je prends sur moi !!

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15


 

Arrivée devant sa chambre, Ryo ouvrit la porte d’un grand coup de pied. Kaori gesticulait toujours dans ses bras et maudissait à voix haute son partenaire.  

- Bon sang, ça ne t’arrive jamais de te taire ! rigola Ryo en proie au fou rire.  

- TANT QUE TU NE ME LÂCHERAS PAS, JE CONTINUERAIS !  

- C’est toi qui l’auras voulu !  

En trois enjambées, il traversa la pièce et déchargea son paquet sur le lit. Surprise, sa partenaire lâcha un cri et tomba avec toute l’élégance d’un pachyderme sur les draps. Ryo prit place à ses côtés et s’esclaffait de plus bel.  

- C’EST COMME ÇA QUE TU T’Y PRENDS AVEC LES AUTRES FEMMES ? ! ÇA M’ETONNES PAS QUE TU N’ARRIVES PAS A CONCLURE !!  

Kaori ne parvenait pas à se calmer.  

Ryo sentait qu’elle était à bout. Mais pas encore assez à son goût.  

Il n’arrivait pas encore à croire que c’était lui qui l’avait amené dans sa chambre et qu’il lui avait dit quelques minutes auparavant qu’il allait lui faire l’amour. Il s’était imaginé la scène plusieurs fois dans sa tête et bien sûr, cela était beaucoup plus magique qu’en cet instant ! Kaori était folle de passion et non une folle furieuse qui ne rêvait que d’une chose : écrabouiller sa charmante tête !…  

- QU’EST-CE QUE TU AS A ME REGARDER COMME ÇA ? !  

Ryo sursauta. Trouver une échappatoire et vite…  

- Toutes les femmes me trouvent à leur goût d’habitude ! Tu es bien la première à t’en plaindre !  

- Ben voyons et tu peux me dire comment tu peux affirmer une telle chose !  

Kaori n’eut pas le temps de réagir, Ryo venait de la pousser en arrière et il s’était allongé sur elle. Les yeux dans les yeux, il murmura d’une voix terriblement sensuelle :  

- Parce qu’en général, elles en redemandent…  

Il s’approcha un peu plus près de son visage.  

Kaori était décidément vraiment ravissante lorsqu’elle se mettait en colère.  

- Pourquoi tu n’aimes pas ? demanda-t-il en enfouissant sa tête dans son cou.  

- OUI !! Et je te ferais remarquer que tu m’écrases !  

Ryo se releva légèrement. Il n’était pas vexé, bien au contraire, notre séducteur avait bien trop l’habitude de se faire envoyer paître pour se formaliser du comportement de sa chère partenaire !  

- Je ne suis pas gros pourtant ! feignît-il de bouder.  

- Pas gros !! Tu veux rire ! Un éléphant pèserait moins lourd que toi ! D’ailleurs pas étonnant que tu ais pris du poids avec tout ce que tu engloutis !  

- C’est pas vrai ! Je suis toujours aussi beau et musclé ! Et puis si ta cuisine n’était pas aussi lourde, je n’aurais aucun mal à la digérer ! Et je te ferais remarquer que moi au moins, je peux me vanter de ne pas avoir de bourlets !  

- Toi pas avoir de bourlets ! J’aimerais bien voir ça !  

- A vos ordre mademoiselle !  

Kaori le regarda sans comprendre pendant une fraction de seconde. Ryo quant à lui enlevait son haut comme si de rien n’était. Enfin, pas vraiment, son meilleur ami commençait légèrement à se trouver à l’étroit… Ryo fit mine de l’ignorer et dévoila son torse puissant et musclé. L’effet escompté fut radical. Kaori ne put sortir un mot.  

- Impressionnant, pas vrai ? demanda Ryo un sourire aux lèvres devant le regard de sa partenaire qui glissait sur son torse. Alors tu peux me dire où sont ces fameux bourlets !  

Il ne put s’empêcher de rire sous cape.  

- Oui évidemment, maugréa Kaori, à force de courir après toutes ces dames, pas étonnant que tu n’ais pas un poil de graisse !  

- Jalouse ?  

- Pourquoi je serais jalouse ! Pour être jalouse, il faudrait encore que je sois attirée par toi, et c’est loin d’être le cas !  

- Je te parlais des bourlets pas des dames que je courtise, souria Ryo.  

- Ha… euh…  

- T’es jalouse de ces dames ?  

- C’est faux !  

- Vraiment ? Alors pourquoi tu rougis ? Dis-le que tu me trouves terriblement attirant !  

Il s’approchait tranquillement sans la quitter des yeux.  

- C’est faux ! Tu es tout ce qu’il y a de plus banal !  

- Menteuse !  

Lentement, il s’allongea à nouveau sur elle.  

- Dis-le que tu me trouves à ton goût.  

- Pourquoi je le dirais alors que ce n’est pas le cas !  

- Dis-le…  

Ryo s’était penché sur elle et déposait de légers baisers dans son cou. Il la connaissait suffisamment pour savoir qu’elle commençait à fléchir…  

- Mais non… je…  

- Non quoi ?  

Ses lèvres glissaient lentement sur la peau de sa partenaire. Le cœur de Ryo battait à toute allure. Mais il ne s’affolait certainement pas autant que celui de la pauvre Kaori qui ne savait pas ou se mettre. Mais il était tout de même satisfait de constater qu’elle n’émettait aucun grognement et qu’aucune massue ne pointait à l’horizon !  

- Alors ?  

- Quoi ! demanda Kaori.  

De la colère perlait encore dans sa voix. Ryo soupira, mais ne baissa pas les bras.  

- Dis-le.  

- Dire quoi ?  

- Que je suis beau, fort, et que je suis le meilleur amant du monde.  

- Dis donc c’est pas la modestie qui t’étouffes !  

Ryo abandonna le cou de sa partenaire et plongea son regard dans le sien.  

- Oses me dire que tu ne ressens rien lorsque je te touche.  

Kaori frissonnait mais fronça les sourcils. Il n’était pas question que ce beau parleur entende ces belles paroles !  

- ABSOLUMENT RIEN !  

Ryo n’en crut pas un mot mais fit semblant de la croire.  

- Je vois alors il va falloir que je me montre plus convaincant.  

Tout en la serrant contre lui d’une main, de l’autre il tira les draps du lit. Puis d’un geste sur, il bascula sur le côté l’entraînant avec lui. Ses lèvres étaient juste en-dessous des siennes. Sans hésiter, il s’en empara. Kaori ne put contenir longtemps son gémissement de plaisir et Ryo en profita pour se glisser dans le lit et l’entraîner avec lui.  

Kaori ne songeait pas une seconde à la scène à laquelle elle participait activement. Ses doigts d’abord hésitants s’agrippaient désormais aux épaules de son partenaire et elle répondait à son étreinte avec autant de passion.  

Ryo passa une main sous son pull et caressa amoureusement sa poitrine, son ventre et ses hanches. Une vague de chaleur déferlait dans le corps de Kaori qui se soulevait pour épouser un peu plus le corps de son partenaire. Ryo, naturellement, n’avait aucune intention de se séparer d’elle et la serra langoureusement contre lui. Son désir était désormais indéniablement vivant et pour la première fois depuis ce matin, Kaori comprit une seule chose très importante à ses yeux.  

- Ryo, murmura-t-elle en se relevant.  

- Hum ?  

- Je croyais que tu ne me considérais pas comme une femme ! Te rends-tu comptes que tu es en train d’embrasser un homme ?  

Pour la première fois depuis qu’elle vivait avec lui, Kaori le vit rougir. Lui Ryo, le plus grand nettoyeur du Japon, le pervers de ses dames, l’étalon de Shinjuku était en train de rougir ! Mais cela ne dura qu’une seconde. Depuis quand Kaori doit-elle mener la barque ?  

- Kaori je t’ais déjà vu nue.  

- HEIN ? ! QUAND ? !  

- La nuit dernière.  

Et voilà, Ryo venait de reprendre les commandes ! Kaori avait les joues en feu…  

- Nue ? Tu veux dire « nue » ?  

- A moins que cela est une autre signification ! rigola Ryo. Bon ce n’est pas merveilleux, mais disons que c’est pas trop mal !  

- Comment ça c’est pas « merveilleux » ! TU OSES DIRE QUE JE SUIS MAL FAITE !  

- Tu sais Kaori, il y a toujours plus moche que soit…  

- Espèce de…  

Ryo ne la laissa pas finir, il la fit à nouveau basculer en arrière et souleva son pull au-dessus de ses épaules.  

- Regarde-ça par exemple ! (Il pointa son doigt sur sa poitrine.) Tu vas pas me dire que ce sont de gros seins.  

- MAIS ÇA VA PAS NON !!  

Kaori se releva d’un bond prête à sortir une massue. Ryo fut plus rapide et la rallongea sur son lit. Il ne se cachait plus pour rire.  

- Kaori si tu dépenses autant d’énergie à faire l’amour qu’à me taper dessus. Je sens que je vais adorer ! Et puis tu ne devrais pas faire cette tête de furie, ça casse un peu l’ambiance ! Déjà que t’embrasses mal…  

- J’em… QUOI ? !  

- Bah oui, on peut pas dire que ça casse des briques mais bon avec un peu d’expérience tu arriveras à quelque chose de potable !  

Kaori fuma, maugréa, cria. Mais la réaction qui suivit perturba au plus haut point son si séduisant partenaire. Elle le reversa à son tour sur le lit et l’embrassa avec une énergie redoublée. Ryo se sentit frissonner de la tête au pied. Il avait mentit, Kaori malgré son manque d’expérience était loin de mal se débrouiller. Bien au contraire, notre pauvre Ryo luttait contre lui-même pour ne pas lui arracher ses vêtements ! Son désir comprimé commençait à le faire souffrir…  

Kaori se releva et l’air triomphant :  

- Alors ose dire que j’embrasse mal !  

Ryo savait éperdument que ce n’était pas le cas. Et il était bien trop occupé à la dévorer du regard pour le démentir.  

 

Contrôle-toi bon sang !  

 

N’apercevant aucune réaction de son cher et tendre, Kaori eut une autre réaction qui le désarçonna complètement et qui lui fit oublier toutes ses bonnes résolutions.  

Sans aucune hésitation, elle avait enlevé son pull et le défiait du regard.  

- Alors Ryo Saeba, as-tu un homme devant toi ?  

Ryo avala difficilement sa salive. Sa poitrine était cachée par un minuscule soutien-gorge blanc qui contrastait avec sa peau légèrement bronzée. Les soi-disant bourlets n’étaient que ses formes plutôt généreuses. Non si elle était un homme, elle était drôlement bien déguisée, car devant lui, Ryo ne voyait plus la femme timide qui rougissait à chacune de ses caresses. Devant lui se dressait une femme fière et sûre de sa féminité. Une Kaori qu’il ne connaissait pas… encore.  

Kaori s’approcha de lui et plongea son regard dans le sien. Le savoir aussi perturbé lui donna encore plus d’assurance. Elle le fit basculer en arrière. Ryo se laissa faire – trop surpris pour réagir - et Kaori s’installa à califourchon sur lui.  

- Alors quoi, serais-je en train de perturber ce bon vieux Ryo ? rigola-t-elle. Son garçon manqué a-t-il changé ? Ryo… ! Ryo ! Et bien Ryo réponds-moi !  

Son partenaire n’arrivait pas à articuler un seul mot. Son cœur s’affolait, sa respiration s’était fait plus rapide et savoir la femme qu’il désirait à demi-nue sur lui vint à bout de toutes ses résolutions. En une fraction de seconde, il se redressa. Son regard ne quitta pas le sien tandis qu’il lui murmurait :  

- Kaori, j’ai envie de toi.  

Devant une déclaration si spontanée, Kaori se mit à rougir. Elle se mordit la lèvre inférieure. Personne encore ne lui avait dit une chose pareille. Que devait-elle dire ou faire ? Elle avait envie de lui également. Elle avait terriblement chaud et une chaleur particulière avait envahit son bas-ventre. La présence de l’homme qu’elle aimait allongé sous elle qui la regardait avec tant de désir n’arrangeait rien.  

- Ryo je n’ai…  

Il déposa un baiser sur ses lèvres.  

- Dit-moi seulement que tu le veux aussi.  

 

 


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